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mercredi, 13 avril 2016

Le mouvement « Nuit debout » rejoint par les assis et les allongés

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2016

Après les résistants des terrasses de café, voilà qu’ici et là d’autres opérations spontanées voient le jo

Le mouvement d’indignation s’étend. Après les résistants des terrasses de café et les rebelles de la place de la République qui n’hésitent pas à rester éveillés jusqu’à point d’heure pour exprimer leur révolte, voilà qu’ici et là d’autres opérations spontanées voient le jour. Tout d’abord, en signe de solidarité avec les Parisiens de « La nuit debout », un groupuscule de travailleurs contraints de se lever tôt a décidé de démarrer une lutte baptisée « La nuit couché ».

Bientôt rejoint par des milliers de citoyens, le mouvement prend une ampleur qui surprend jusqu’aux initiateurs du projet. « Nous ne nous attendions pas à une telle mobilisation », a déclaré Marcel Dunlopillo, militant de la première heure. Force est de constater que le mot d’ordre « Au lit dès 21 h 30 » semble suivi à la lettre par de nombreux Français bien décidés à bousculer l’ordre établi. Face à l’étendue du mouvement, le gouvernement reste serein. Le recours aux forces de l’ordre pour faire évacuer dortoirs et chambres à coucher n’est, pour l’instant, pas envisagé par Bernard Cazeneuve.

Entre deux bâillements, le leader de ce rassemblement de trublions a précisé que quelques ex-manifestants bretons avaient troqué leurs bonnets rouges contre des bonnets de nuit et qu’ils ne répondaient pas de leurs réactions en cas de réveil brutal. Groupes de réflexion et autres commissions émaillent cette initiative. Un débat intitulé« Politique et couette républicaine » s’est tenu de 21 h 35 à 21 h 40 au rayon literie des « Galeries Lafayette », ouvertes exceptionnellement pour la circonstance. Dormir à gauche, à droite ou au centre ? La question divise les participants et fait l’objet de nombreuses discussions enflammées autour d’infusions fumantes.

Parallèlement à ces divers mouvements pacifiques, d’autres Français ont choisi des moyens de lutte plus démonstratifs. D’après des informations du ministère de l’Intérieur, il apparaît que des groupes de citoyens responsables ont décidé de prendre leurs véhicules pour aller occuper les autoroutes durant le week-end de la Pentecôte. Le vendredi 13 mai, une vaste mobilisation est attendue de la porte d’Orléans jusqu’au péage de Fleury-en-Bière. L’initiateur du projet, Jérôme Bouchon, estime que ce gigantesque blocage entre pleinement dans l’esprit du manifeste de « La nuit debout » : « Chaque jour, nous sommes des milliers à occuper l’espace public pour reprendre notre place dans la République. Et paf, dans les dents ! » a-t-il ajouté.

« Debout dans le RER », « Assis la nuit », « Accroupi dans les WC »,« Debout derrière un caddy », etc. Chaque jour voit naître un nouvel élan citoyen et divers regroupements de Français qui refusent de refuser. Ceux qui sont pour tout en étant contre ce qui est pourpeuvent désormais faire entendre leur voix, débattre, créer des commissions tout en faisant leurs commissions, discuter sous des éoliennes, brasser de l’air dans des conduits d’aération, bref, exprimer leur désaccord avec ce monde si injuste qu’ils contribuent tant à construire.

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

Les cambriolages en forte hausse à Toulouse et en Haute-Garonne

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2016

+ 15,6 % en 2015 . Les cambriolages chez les particuliers connaissent une progression importante ces derniers mois en Haute-Garonne. 

 
Photo d'illustration © MaxPPP

© MaxPPP Photo d'illustration

 
"La situation dans le département est problématique" reconnaît la préfecture de la Haute-Garonne, sur le front des cambriolages. Problématique, car si le nombre de cambriolages (entreprises et particuliers) a augmenté de 10 % entre 2014 et 2015, il a bondit de 15,60 % en 2015 pour les seuls vols chez les particuliers (résidences principales et secondaires). 

Une distinction cependant : il progresse moins à la campagne ou en zone périurbaine (zone gendarmerie : + 4,3 % en 2015) qu'en ville (zone police : + 14 08 %). 

Selon la préfecture, le nombre de faits commis augmente aussi mathématiquement en raison de l'accroissement démographique du département (+ 15 000 habitants par an), mais aussi en raison de la "professionnalisation des groupes de cambrioleurs, de l'augmentation de la délinquance en zone résidentielle non occupée dans la journée et la possibilité d'utilisation rapide du butin dans différents types de trafic notamment les stupéfiants.

Un nouveau plan anti-cambriolages est donc lancé en Haute-Garonne, qui prévoit de "renforcer la prévention par l'occupation du terrain" et d'améliorer la repression via "la collaboration entre les forces de sécurité, le recours à la technologie et la réponse pénale". 

Voir le reportage de Pascale Lagorce et Frédéric Desse

dimanche, 10 avril 2016

Molenbeek, « the place to be » pour les parlementaires français

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2016

Une visite dans la terrifiante Molenbeek a tout de l’aventure pour adultes en manque de sensations fortes. Molenbeek-Saint-Jean, de son sobriquet officiel, mais que l’on appelle désormais, pour des raisons assez évidentes, simplement Molenbeek, est devenue « the place to be », en passe de devenir un nom commun désignant tout « foyer du fondamentalisme ». Bientôt, on y posera comme on le fait devant la gendarmerie de Saint-Tropez.

Et comme tout bon safari, la visite n’est réservée qu’aux nantis : si les militants de Génération Identitaire se sont vus interdire l’accès au territoire par les autorités locales, samedi dernier, quelques députés français ont eu le privilège de fouler, le 8 avril, le sol de la capitale mondiale du terrorisme. Frissons garantis.

Mieux : à la façon des Américains fortunés posant, le fusil entre les mains, dans la profonde Afrique aux charmes rugissants, les représentants du peuple français ont pu esquisser un sourire béat devant les objectifs venus immortaliser l’événement. Mais pas trop près, tout de même, des quartiers « chauds ».

À l’Internationale terroriste, opposons l’Internationale de la résistance, tel semble être le message commun des députés français de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de Paris, présidée par Georges Fenech (Les Républicains), et des représentants belges rencontrés à l’occasion, dont la bourgmestre de la commune Françoise Schepmans, le chef de corps de la police et différents acteurs de l’antiradicalisme.

On peut être souverainiste et penser que la lutte contre le fanatisme nécessitera une union des forces, car la barbarie – les événements récents l’ayant prouvé – n’a pas de frontière. Seulement, nous doutons de la capacité des dirigeants en place, en Belgique et en France, à éradiquer le fléau. Ce n’est pas avec une dose de « moraline », fût-elle costaude, que l’on viendra à bout de Daech !

Outre-Quiévrain, on comprend volontiers la volonté de représentants du peuple français de venir sur place pour observer ce qui se passe dans cette commune où ont transité les terroristes du 13 novembre, mais aussi, bien avant, les assassins du commandant Massoud, Mehdi Nemmouche, auteur de la tuerie au Musée juif de Bruxelles, ou Ayoub El Khazzani, qui aurait probablement commis un carnage dans le Thalys s’il n’avait rencontré sur sa route deux militaires américains.

On se désole, en revanche, du voyeurisme, phénomène toujours assez vulgaire, de la délégation française alors que la Belgique est toujours à la recherche – du moins, nous l’espérons – de certains protagonistes des attentats de Bruxelles.

Surtout, de la part des députés français – dont l’ingérence a, certes, fait moins de bruit que la visite récente de quelques députés en Syrie -, c’est voir la paille dans l’œil du voisin et ne pas voir la poutre dans le sien que de venir enquêter à l’étranger : c’est que la France, elle aussi, compte de nombreux « Molenbeek ».

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

Catherine Lemorton raconte n’importe quoi

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2016

Rédigé par Louis Blase le 10 avril 2016.

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La présidente PS de la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale a perdu une bonne occasion de se taire quand elle ose déclarer : «Je rappelle que la terreur blanche a fait plus de morts que la terreur rouge !». Un effet de manche complètement raté, puisqu’elle est se révèle en cette occasion telle qu’en elle-même, inculte, obtuse et falsificatrice. Carton rouge pour Lemorton.

Cette élue de la Nation, pharmacienne de profession, est favorable aux salles de shoot et a fait concevoir ses deux filles par PMA. Le décor est campé. Elle se déclare «très jacobine» et «robespierriste», mais à la vue de ses connaissances historiques moins qu’élémentaires, il est probable qu’elle n’ait pas vraiment conscience de ce qu’elle dit. Dans ce cas, on se tait.

Ce que les historiens appellent «la terreur blanche» a fait entre 300 et 500 morts, et fut conduite en réaction aux persécutions de la République, alors que le roi l’avait absolument interdite. En revanche, l’embryon de la terreur rouge qu’on situe généralement en Vendée, fit a minima 115 000 morts, jusqu’à 700 000 morts selon certains, et fut non seulement planifiée par le comité de salut public, mais encore militarisée et votée par deux lois génocidaires de la convention, d’aout et octobre 1793.

Ne parlons même pas des crimes communistes qui sont les enfants bâtards de la terreur rouge révolutionnaire ; Lénine déclarait «il nous faut des Vendées» rappellera à juste titre Alexandre Soljénistysne, et jusqu’aux kmers rouges de Pol Pot qui trouvèrent leur inspiration chez Jean-Jacques Rousseau, les centaines de millions de morts de la terreur rouge dont elle se réclame, viennent rappeler à Catherine Lemorton l’impudicité de son propos indigne. Scandaleux !

 

Source : http://24heuresactu.com/

La direction de Twitter France formée par le CRIF…

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2016

twitter-censure

Un communiqué du CRIF nous apprend que des membres de la direction de Twitter ont suivi une formation organisée par le CRIF sur « l’expression de l’antisémitisme sur l’Internet et dans les réseaux sociaux ».  Le CRIF a été invité à dispenser cette formation dans les bureaux de Twitter à Paris.

 Sinéad McSweeney, Senior Director Public Policy EMEA chez Twitter et Audrey, Head of Public Policy, France chez Twitter ont participé à cette formation assurée par Marc Knobel, Directeur des études au CRIF.

La cellule digitale du CRIF a également assisté à cette formation qui portait « sur l’ensemble des formes et caractéristiques de l’antisémitisme (actions, violences, terrorisme, stéréotypes…) depuis l’année 2000 ainsi que sur les dispositions pénales en matière de lutte contre le racisme et l’antisémitisme, l’apologie du terrorisme et/ou les discriminations et les conventions internationales« .

 

Source : http://www.medias-presse.info/