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vendredi, 22 avril 2016

Politique Friction / Hijab Day: Sciences Po, l’école de la soumission……

Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2016

Hijab Day: Sciences Po, l’école de la soumission

 Par Eric Verhaeghe Jusqu’ici tout va bien 21/04/2016 

L’initiative du « Hijab Day » prise par des étudiants de Sciences Po a un mérite: elle jette les masques sur le fond idéologique d’une école dont les véritables valeurs sont parfois mal connues.

Le Hijab Day a échoué

On se félicitera de l’échec de cette opération qui visait à faire prendre conscience aux élèves de ce que signifie porter le voile. C’était une réponse aux propos de la ministre Laurence Rossignol et du Premier Ministre sur la question. Certains se sont sentis obligés d’expliquer que la France était le dernier pays où le port du voile à l’université posait problème. Malgré cette campagne d’intoxication sur le mode bien connu: « soyez modernes, acceptez le voile », la mayonnaise semble n’avoir pas pris. Très peu d’élèves, ce qui est bon signe, ont suivi le mouvement.

Le relativisme de Sciences Po

On s’étonnera néanmoins que l’école ait accepté d’ouvrir ses portes à cette initiative. Elle révèle en effet que des étudiantes françaises non-musulmanes sont prêtes, au nom de la tolérance et du respect des cultures, à remettre en cause des décennies de combat pour la libération de la femme. Il n’est pas si loin le temps où les femmes françaises n’avaient pas le droit de porter le pantalon ou la mini-jupe. Il a d’ailleurs fallu attendre mai 68 pour que le port du pantalon se banalise pour les femmes.

Il est assez fascinant de voir que les enfants de soixante-huitards sont aujourd’hui prêts à tolérer d’une religion ce que leurs parents avaient farouchement combattu dans une autre. Non seulement ils le tolèrent, mais ils pratiquent une sorte de prosélytisme volontaire, une apostasie en quelque sorte.

On y verra l’effet d’un relativisme destructeur: toutes les cultures se valent, toutes les traditions et tous les modes de vie aussi. Il n’y a donc pas d’obstacle à oublier sa propre histoire pour épouser ou faire sienne celle des autres. Après tout, tout est dans tout et inversement.

Sciences Po retient le pire de la mondialisation

C’est bien la culture Sciences-Po qui est en cause ici, avec sa profession de foi au premier degré en faveur de la mondialisation et de ses bienfaits. Dans un syncrétisme curieux, la compréhension de la mondialisation ne se fait pas à partir d’une mise en exergue et d’une adaptation de notre patrimoine et de nos valeurs, mais bien dans l’abandon de celles-ci au profit d’une sorte d’universalisme béat où le sens et l’histoire sont dissous dans un immense melting pot pour ainsi dire archaïque.

La « pensée » Sciences-Po incarne la tendance contemporaine à se représenter la Terre comme un grand Tout appelé « la planète » à laquelle il faut vouer un culte indifférencié, comme si porter le voile n’avait pas plus d’impact que de ne pas le porter. Après tout, tout cela, c’est la planète où nous devons tous vivre ensemble dans la tolérance.

On comprend mieux pourquoi les élites qui accèdent au pouvoir après un passage par cette école s’en prennent autant à des traditions françaises finalement plutôt tolérantes, et montrent autant de bienveillance vis-à-vis de cultures beaucoup moins démocratiques que la nôtre.

Sciences Po, école de la soumission

Les élèves de Sciences Po, qui finissent régulièrement aux postes de décisions, sont-ils réellement préparés à défendre l’intérêt général de la Nation? L’épisode du Hijab Day pose une question de confiance sur ce point.

Car Sciences-Po a plus que jamais endossé les habits de la soumission décrits par Michel Houellebecq dans son dernier roman. Tout le monde sait que la culture Sciences-Po a toujours limité l’exaltation du courage personnel à un culte très extérieur rendu à Jean Moulin. Mais tous ceux qui ont fréquenté de près des anciens élèves de cette école savent qu’elle déborde rarement de cette iconographie abstraite.

Comment ne pas s’interroger en voyant ces enfants majoritairement issus des quartiers privilégiés manifester de l’empathie, et ne plus être très loin de la promotion en faveur d’un objet qui illustre de façon frappante le recul de la condition féminine dans le monde contemporain?

Dans les années 80, lorsque la Guerre Froide prenait mauvaise tournure, des mouvements pacifistes (surtout en Allemagne) soutenaient: « Plutôt rouges que morts ». Dans leur esprit, la paix était la valeur suprême et justifiait tous les renoncements à nos libertés. Le « Hijab Day » n’est rien d’autre que la reprise française de ce slogan: mieux vaut vivre en paix dans une société où les femmes portent le voile, que de faire la guerre pour avoir le droit de ne pas se voiler.

Le germe de la soumission est là, toujours nourri par une illusion absurde. En effet, croire que le renoncement à nos libertés permet d’avoir la paix est une énorme erreur d’appréciation. Les exécutions en tous genres dans tous les pays où le voile est obligatoire le rappellent.

http://www.eric-verhaeghe.fr/hijab-day-sciences-po-lecole...

 

Source : leblogalupus

À Bruxelles, on va parler turc !

Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2016

On assiste à l’ottomanisation insidieuse de l’Europe dans le dos des Européens.

Et voilà ! C’est l’Europe comme on l’aime, l’Europe démocratique, généreuse, attentive aux souhaits de ses 500 millions de nationaux.

Cette Europe vient de faire une stupéfiante proposition. Chypre – que je connais bien pour y avoir vécu deux ans – est un pays aimable, direct, nature, sympa. Les Chypriotes sont naturellement accueillants et amicaux. Par malchance, ils sont en guerre ! Depuis 1974 et la honteuse invasion de la partie nord de l’île par les troupes turques, le régime appliqué est celui du cessez-le-feu sous contrôle des Casques bleus de l’ONU. Le pays est sectionné par une sinistre balafre, la « green line » ou « ligne verte », qui isole un gros tiers de l’île : au sud, la République de Chypre, État indépendant depuis 1960 ; au nord, la RTCN – République turque de Chypre du Nord – faux État fondé sur la brutalité militaire, reconnu par aucun pays au monde, à l’exception de la Turquie. On a cru « régler » la question chypriote en faisant entrer Chypre dans l’Europe et en lui faisant accepter l’euro : quelle erreur !

Il y a cinq jours, le Parlement européen a adopté un « rapport sur la Turquie » à une majorité de deux tiers de voix. Dans ce rapport, un coup de griffe sur le génocide arménien a agacé Erdoğan mais, pour faire passer la pilule, plein de gentillesses sur tout un tas de sujets, montrant que la Turquie est, décidément, un partenaire avec lequel il faut absolument compter. Dans ce concert de louanges, le président chypriote, Níkos Anastasiádis, a glissé une peau de banane : selon la fondation EurActiv, il a demandé que le turc soit ajouté aux 24 langues officielles de l’Union européenne, afin de favoriser la signature d’un accord sur la réunification de l’île de Chypre. Les eurodéputés se sont aussi déclarés « favorables à l’évolution de la République de Chypre vers une fédération bicommunautaire et bizonale ».

Nous avons, là, deux Scud pour le prix d’un : le turc est appelé à devenir l’une des langues officielles de l’Union européenne d’une part et, d’autre part, il faudrait acter définitivement l’invasion de l’île par les Turcs en 1974, acte contraire à tous les principes de droit international. La réunification concerne les Chypriotes et les Turcs. Laissons-les se débrouiller.

En revanche, la langue, c’est le bien commun de tous les États d’Europe, dont la France.

On savait que la langue turque était déjà utilisée au Conseil de l’Europe et à la Cour européenne des droits de l’homme. Mais, de là à devenir l’une des langues officielles de l’Union tout entière avant le terme de tout processus d’adhésion, il y a une sacrée marge. La Turquie, c’est 80 millions d’habitants, dont 79 millions de musulmans. On assiste à l’ottomanisation insidieuse de l’Europe dans le dos des Européens. Faut-il rappeler que 83 % des Français sont opposés à l’entrée de la Turquie dans l’Europe ? On nous refait le coup du traité de Lisbonne. Du loukoum dans les moules-frites ? Euh…non, merci !

 

Source : boulevard voltaire

C’était un 22 avril…

Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2016

22 avril 2016 par admin4

1182 : le roi de France Philippe Auguste, expulse de ses Etats tous les Juifs, sans exception. Il les avait tous arrêtés, un jour de sabbat, dans toutes les villes du Royaume. Etant ainsi détenus dans leurs synagogues, ils n’obtinrent leur liberté qu’en rendant l’or et l’argent qu’ils avaient extorqués par les usures les plus diverses. Le roi anéantit toutes les créances et confisqua tous leurs biens.

1676 : victoire navale du marquis Duquesne sur le Hollandais Michel de Ruyter. Le combat se déroula devant Agousta en Sicile, face aux flottes combinées des Hollandais et des Espagnols. L’amiral Ruyter, un des plus grands marins de son temps, fut tué d’un boulet de canon. Cette victoire assura notre suprématie sur les mers jusqu’au 29 mai 1692 (défaite de la Hougue).

1794 : le député Isaac Le Chapelier est guillotiné. On doit à ce révolutionnaire, franc-maçon, la loi portant son nom, qui a supprimé les corporations, le compagnonnage, les coalitions ouvrières et le droit de grève, et a favorisé l’essor du capitalisme libéral du XIXe siècle, fondé sur l’exploitation des salariés.

1915 : vers 17h, première utilisation de gaz asphyxiant par les Allemands, sur le front des Flandres, contre les lignes françaises, entre Langemark et Ypres (d’où le nom « ypérite » ou « gaz moutarde »).
Les visages vont désormais s’orner de masques à lunettes. 94 000 soldats seront tués par les gaz durant la Grande Guerre et 136 000 autres seront intoxiqués.

1944 : ouverture, à Alger, du procès de 43 responsables de la Phalange africaine(dont 39 jugés par contumace). Son ancien chef, le lieutenant-colonel Cristofini, sera condamné à mort (et exécuté sur une civière où il agonisait). Parlant des Français partis dans la dissidence, Philippe Pétain déclare, le 28, à la radio : « le bolchevisme qui s’est servi d’eux les écarte à présent et, sur une terre française, nous assistons au spectacle de tribunaux illégaux condamnant à mort des Français coupables d’avoir obéi à mes ordres ».

1961 : Alger est prise par les putschistes favorables à l’Algérie française. « L’armée s’est assurée le contrôle du territoire algéro-saharien. Je suis à Alger avec les généraux Zeller et Jouhaud, en liaison avec le général Salan, pour tenir notre serment: garder l’Algérie», déclare Challe à Radio-Alger. La confusion est totale en métropole.
Le 25, Challe négocie malheureusement sa reddition tandis que Salan passe dans la clandestinité le 26.

1968 : saccage du Comité Vietnam national par des membres du mouvement Occident.

1988 : trois gendarmes sont assassinés à la hache, un quatrième d’une balle dans la tête, et 27 autres pris en otage par des indépendantistes canaques, dans l’île d’Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie.

Source : Ephémérides nationalistes

jeudi, 21 avril 2016

Les réfugiés, des personnes tellement proches…

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2016

Ces hommes considèrent ces filles prépubères comme « leur petite amie »…

En ce moment, de nombreuses captures d’écran de pages Facebook et de comptes Instagram tournent sur les réseaux. L’on y voit des hommes qui semblent avoir entre 20 et 40 ans. Ils posent en photo avec des fillettes. Au vu des images, ces hommes considèrent ces filles prépubères comme « leur petite amie » et les décrivent comme « magnifiques », « trop belles », « trop mignonnes ».

Selon le média finlandais Mvlehti qui a mené l’enquête, ces hommes sont des migrants et les fillettes sont finlandaises et viennent de la ville de Saarijärvi. Après avoir réussi à les identifier, les reporters sont entrés en contact avec leurs familles afin de les prévenir. À leur surprise, ces dernières étaient au courant et ont répondu « que c’était tout à fait normal et qu’il n’y avait aucune allusion sexuelle dans ces clichés ». Une mère ajoute : « Ils sont justes amis, il est tout à fait normal pour des gars de les appeler “bébé” et de dire qu’ils “les aiment”. » Dans une autre conversation, la mère d’une des fillettes déclare : « C’est tout à fait normal, pour des adultes, de traîner avec des filles de 13 ans, ils n’ont pas la même culture que nous. » Un père tente d’être rassurant en déclarant que les fillettes sont encadrées par des adultes finlandais. On se demande alors où ils/elles sont, à moins qu’il s’agisse des personnes qui prennent les photos…

Toujours d’après Mvlehti, la mère d’une des filles travaille dans un« camp pour réfugiés ». Sa fille a 10 ans et ses parents souhaitent lui apprendre la tolérance, l’ouverture d’esprit et l’acceptation des différences culturelles. En bref, elle veut lui bourrer le crâne avec du multiculturalisme.

Cette maman a raison et j’espère qu’elle enrichira culturellement sa fille en lui parlant, par exemple, de la pratique du « taharrush gamea », qui est devenu tristement célèbre après le réveillon de Cologne. Si elle a aussi un garçon, peut-être peut-elle aussi lui apprendre ce qu’est le « bacha bazi » qui, en dialecte afghan, veut dire« jouer avec les garçons », qui sont généralement des prépubères et sont vendus comme prostitués à des hommes riches ou puissants afin de les divertir avec des danses érotiques et autres activités sexuelles. Cette entreprise prospère en Afghanistan et au Pakistan, mais commence aussi à l’être en Europe. Ainsi, comme le rapportait en janvier 2016 le Daily Mail, dix policiers suédois avaient été forcés de fuir pour préserver leur vie après avoir été attaqués par une foule de « demandeurs d’asile » alors qu’ils cherchaient à sortir un jeune garçon de 10 ans qui auraient été « violé de manière répétée » dans le centre pour réfugiés…

De toute manière, que les parents apprennent ces termes ou pas, cela n’a vraiment pas d’importance. En soutenant cette immigration folle, ces mères et pères ont fait en sorte que ces pratiques entrent dans notre vocabulaire quotidien, comme le sont devenus des mots comme« djihad », « allah akbar », « kuffar » ou encore « dhimmi » qui, il y a encore 10 ans, étaient vagues, voire inconnus pour beaucoup.

 

Source : boulevard voltaire

Les étudiants de Sciences Po Paris vous invitent à une « Journée en hijab » !

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2016 

Un collectif d’étudiants de Sciences Po Paris a invité ses camarades à un « Hijab Day » le 20 avril – traduisez, en bon français, à se « couvrir les cheveux d’un voile » dans l’enceinte de la célèbre école.

Tous en hijab, jamais sans mon foulard, le tchador pour tous : ce rendez-vous est ouvert aux « femmes musulmanes et non musulmanes voilées et non voilées » mais aussi à quelques hommes – théorie du genre oblige. Bienvenue dans le monde des diktats de la bien-pensance prêts à nous gouverner.

Adieu féminisme et libération de la femme : dans cette pouponnière intransigeante de l’intelligentsia gauchiste, on n’en est plus à une contradiction près, pourvu que l’esprit du vivre ensemble trouve à s’épanouir !

En juin dernier, Sciences Po organisait une table ronde sur le thème « La laïcité en péril ? » Ce mercredi 20 avril était prévue à l’entrée de l’école une distribution de foulards ou pashminas, étendards religieux et cheval de Troie de l’islam en France. Une aide « manuelle » et un tutorat pour positionner correctement le voile était également proposés sous le regard, sinon bienveillant, au moins « neutre » de la direction.

Objectif des organisateurs ? « Démystifier le tissu ! »

« Il y a autant de voiles que de femmes. C’est la personne qui le porte qui donne une signification à son vêtement, et elle est la seule légitime à le faire », indiquent les organisateurs sur la page Facebook de l’événement.

Évoquer le « tissu » pour occulter le caractère religieux d’un hijab, c’est prendre nos vessies pour des lanternes basse consommation.

C’est insulter la femme asservie par le port d’un voile qui lui recouvre les cheveux, cache son corps sous une toile, gante ses mains de noir.

C’est cracher à l’intelligence des femmes afghanes ou d’Arabie saoudite – pour ne citer qu’elles – qui vivent sous le joug de régimes moyenâgeux et autoritaires qui autorisent encore leur lapidation, interdisent la scolarisation de leurs filles, ramènent à l’état de « sous-être » la moitié de l’humanité.

En Iran, les Gardiens de la révolution ont remplacé la jupe par le port du voile obligatoire.

L’oublier, c’est accepter ce renoncement et vouloir imposer en France un rétropédalage à vous rendre sympathiques toutes les Simone de Beauvoir.

L’initiative a été prise « au nom des étudiantes voilées de Sciences Po qui se sentent stigmatisées »… La stigmatisation, ou l’arme fatale du multiculturalisme imposé, le « Taser » de la liberté de penser, la complice du « padamalgame » dans les couloirs de la pensée unique, censée anesthésier toute faculté de raisonner.

L’association Salaam de Sciences Po, qui se veut être une « porte ouverte à la découverte de l’islam » et qui soutient l’initiative, a également mis en garde sur sa page Facebook contre les « messages de haine et d’irrespect » et supprimé la page discussion.

Dommage : on y aurait volontiers suggéré une « Journée sans mon voile » rue Saint-Guillaume, histoire que le voile mette les voiles et que respect rime aussi avec réciprocité. 

 

Source : boulevard voltaire