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mercredi, 20 avril 2016

Chasse aux Blancs à Mayotte (département « français ») !

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2016

19 avril 2016 par admin4

L’île de Mayotte, dans l’océan Indien, a été faite département français d’Outre-mer en 2011.
Grâce à l’argent de la métropole, le niveau de vie a très fortement augmenté et une large partie de la population, désormais considérée administrativement comme « française » vit des aides de l’Etat.
Par ailleurs, tous les jours, des immigrés clandestins de cette région du monde se précipitent sur l’île pour bénéficier de l’argent français.

Mais voilà que depuis le 30 mars, Mayotte est paralysée par une grève générale lancée par une intersyndicale du territoire. Les Mahorais, qui réclament une « égalité réelle » entre leur île et la métropole française, sont mécontents. Des violences urbaines marquent le quotidien des habitants.

Le Télégramme a interrogé des expatriés bretons :

« L’île est totalement bloquée et on est dans un climat proche de la guerre civile. Il y a deux nuits, 85 voitures ont été incendiées pas loin d’ici, des bandes de jeunes mènent des attaques avec des tronçonneuses ! C’est comme une guérilla urbaine ! », explique un Breton joint mercredi soir par téléphone.
Dans la capitale Mamoudzou, « des bandes de jeunes armés de  » chumbos « , de grands coupe-coupe, et de  » m’pangas « , des machettes, ont mis en place des barrages sauvages où ils rackettent les automobilistes. Si tu paies, tu passes, sinon, tu risques de te prendre une caillasse sur la figure ou de te faire agresser », témoigne la cousine Léa.
Avant d’ajouter « des blindés de la gendarmerie traversent le village, un hélicoptère tourne en permanence avec des projecteurs la nuit et lance des bombonnes lacrymogènes pour faire fuir les groupes de délinquants. L’autre jour, une chasse aux « n’zungus » (ndlr, les blancs) a été lancée par des jeunes. On n’ose plus sortir pour aller au travail. Mes enfants sont déscolarisés depuis le début des événements […]  »
 

mardi, 19 avril 2016

Terrorisme : j’irai danser sur vos tombes

Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2016

Les pays de la vieille Europe ont leurs quartiers au sein desquels la bataille métapolitique est en passe d’être gagnée par les islamistes.

Le ministre belge de l’Intérieur Jan Jambon (N-VA, Nieuw-Vlaamse Alliantie/Alliance néo-flamande) vient de lancer un fameux pavé dans la mare en affirmant, dans une interview accordée auStandaard, quotidien flamand, qu’« une partie significative de la communauté musulmane avait dansé à l’occasion des attentats », précisant que ce sont des faits rapportés par les services de renseignement et non de simples spéculations.

On se souvient qu’en 2001, après l’effondrement des tours jumelles à New York, et les 2.977 victimes que le 11 septembre engendra, partout dans le monde arabe, notamment à Gaza, les attentats furent célébrés aussi bruyamment qu’une victoire sportive.

Quinze ans plus tard, c’est en Occident même, dans les territoires perdus de nos pays, que l’on fête les actes barbares de terroristes agissant aujourd’hui au nom de Daech. Faut-il, dans ce contexte, s’étonner qu’il ait fallu plusieurs mois pour retrouver Salah Abseslam dans la commune même d’où il était parti commettre ses méfaits ?

Les pays de la vieille Europe ont donc leurs communes et quartiers au sein desquels la bataille métapolitique est en passe d’être gagnée par les islamistes. Dans son dernier ouvrage, La France djihadiste, Alexandre Mendel explique remarquablement comment Molenbeek est devenue une zone grise dans laquelle un environnement, que l’on qualifiera de halal, fait de boutiques vendant des livres aux titres évocateurs, d’enseignes en arabe ou de voiles, sert de terreau à la guerre sainte.

Pire encore : nous pouvons également affirmer que dans certaines écoles belges, où il n’y a plus beaucoup de têtes blondes, il est désormais interdit de manger des bonbons ou des tartines de jambon sous peine d’insultes et de crachats. N’essayez pas non plus d’y expliquer la théorie de l’évolution et ne vous aventurez pas trop dans un débat sur le terrorisme. Le Premier ministre belge, le libéral Charles Michel, tout en confirmant qu’il y a eu « des expressions de soutien aux auteurs des attentats », a néanmoins recadré son ministre de l’Intérieur, pourtant l’un des meilleurs depuis longtemps, en affirmant qu’il s’agissait « d’actes provenant de personnes minoritaires » et qu’il faut éviter « de faire des généralisations ». En d’autres termes, cachez cette réalité que je ne saurais voir.

Les médias se sont mis au diapason : alors que la Belgique organisait ce dimanche une marche contre la haine et la terreur, organisée et soutenue par le ban et l’arrière-ban de la gauche et de l’extrême gauche – sorte de marche du 11 janvier, mais à la belge -, les médias ont fait tourner en boucle l’image des quelques musulmans et musulmanes voilées présents sur les lieux. L’honneur du multiculturalisme est sauf !

Si l’on peut se féliciter que des musulmans se désolidarisent de la terreur, on ne peut occulter une réalité autrement préoccupante : oui, en Belgique, quand les cadavres jonchent le sol, certains dansent et font la fête à quelques encablures de corps sans vie !

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

lundi, 18 avril 2016

Paris – L’extrême gauche traque les reporters de Russia Today

Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2016

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Paris – Les antifas diffusent sur les réseaux sociaux  des photos de journalistes de la chaîne de télévision Russia Today appelant à les agresser.

Les reporters de Russia Today France, qui couvrent en direct les manifestations contre la Loi travail via l’application Périscope, reçoivent des menaces de la part des militants d’extrême-gauche.

Un journaliste de RT France s’est déjà fait agresser le 14 avril durant un reportage en direct pendant une manifestation contre la Loi travail à Paris.

Ci-dessous le tweet significatif d’un membre du mouvement Blocus Paris :

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/04/chasse-aux-reporters.jpg

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Source : http://www.medias-presse.info/

Général Soubelet : dire la vérité aux Français plutôt qu’à l’État

Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2016

Le général Soubelet paye sa franchise et son honnêteté qui l’ont amené à dépasser son devoir de réserve de militaire.

Pendant que le Conseil d’État se dépatouille pour trouver un statut juridique aux fameux lanceurs d’alerte, il en est un qu’il faudrait protéger avec cette nouvelle et splendide définition (« Un acteur civique qui signale, de bonne foi, librement et dans l’intérêt général, des manquements graves à la loi ou des risques graves menaçant des intérêts publics ou privés, dont il n’est pas l’auteur ») : le général Soubelet.

Le général de gendarmerie Soubelet a déjà été décrié en 2013 pour avoir averti l’Assemblée nationale de la catastrophique situation de la délinquance des mineurs : entre moyens inadaptés et récidives, rien n’aura été épargné à une commission d’enquête qui n’en menait pas large. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, aurait affirmé « vouloir la tête » du général en question. Chose promise, chose due : le général, pour avoir dit la vérité devant un parterre de personnes qui préfèrent se complaire dans le mensonge, a été muté au commandement de la gendarmerie d’outre-mer.

Mais le brave homme a récidivé récemment en publiant un livre, Tout ce qu’il ne faut pas dire. Insécurité, justice : un général de gendarmerie ose la vérité, afin de révéler au peuple tous les abus et petits secrets que le gouvernement souhaite garder dans l’ombre. Cette publication a provoqué beaucoup d’émoi en haut lieu et la hiérarchie a placé le général temporairement « hors cadre » (en attente, sans doute avec un rôle de chargé de mission), le temps qu’une commission statue sur son compte. Cette commission aura, d’ailleurs, pour but de décider si le général doit toujours bénéficier des faveurs de la hiérarchie pour son avancement ou non (devinez !)… L’obligation de réserve du militaire reste un principe flou, qui peut engloutir tous ceux qui ne pensent pas comme tout le monde ou ceux qui disent une vérité qui n’est pas bonne à exprimer.

Ainsi, le général Soubelet paye sa franchise et son honnêteté qui l’ont amené à dépasser son devoir de réserve de militaire : il avait le choix entre savoir et se taire ou faire savoir et être mis au ban.

Rappelons également que ce haut gradé militaire (quatre étoiles) est un héros malgré lui : pris entre deux feux lors de son audition parlementaire de 2013, il devait soit dire une vérité que personne n’avait envie d’entendre, soit l’édulcorer par une langue de bois que les parlementaires réclamaient pour pouvoir, une fois de plus, mentir au peuple. Comme quoi, même accomplir un devoir de citoyen correctement peut vous mettre en défaut par rapport au pouvoir qui l’exige et l’impose.

La grande muette, finalement, arrive encore à parler avec raison ! Le projet d’élimination des officiers qui donnent un avis différent ou un point de vue différent est toujours en place : la fameuse doctrine du« réfléchir, c’est désobéir » reste encore bien ancrée mais se fendille de plus en plus. Bon vent et bravo, Général, pour ces beaux actes de vérité, dans un monde qui ne la désire plus depuis bien longtemps !

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

dimanche, 17 avril 2016

L’ensauvagement de la France : des rixes de migrants du métro parisien au harcèlement scolaire

Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2016

Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays.

 
Nous assistons à l’ensauvagement progressif de la France. Progressif à l’échelle de nos vies mortelles, fulgurant à l’échelle de l’Histoire. Sous les effets conjugués du laxisme et de l’immigration massive, la tiers-mondisation du pays n’est plus désormais le seul « fantasme » de Jean Raspail et Louis Pauwels, vilipendés en 1985 pour avoir osé jouer les Cassandre avec une certaine prescience, mais un phénomène observable sur lequel nous n’avons, pour lors, aucune influence. Les exemples prouvant cet ensauvagement sont multiples, il faudrait un véritable almanach pour les recenser. Deux d’entre eux ont attiré mon attention cette semaine ; ils sont éminemment révélateurs.

Jeudi soir, deux « rixes » sont survenues sous la station du métro aérien Stalingrad à Paris. Depuis le début du mois de mars, des centaines de « migrants », originaires de plusieurs régions du monde (Érythrée, Soudan ou bien encore Afghanistan), campent à cet endroit. La cohabitation est difficile entre ces migrants aux origines ethnoculturelles variées, mais tout sauf européennes. Inévitablement, des tensions se font fait jour pour le contrôle du territoire, des trafics, la domination d’une communauté.

Comme le disait le philosophe anglais Thomas Hobbes : « À l’état de nature, l’homme est un loup pour l’homme (…) » Livrés à eux-mêmes, sans règles, sans menaces de sanctions ou d’expulsions, les migrants sont revenus à l’état de nature. Au cœur de cet inframonde barbare, la loi est la force. D’où ces bagarres de grande ampleur. Une vidéo diffusée par le journal Le Parisien en témoigne : jets de palettes, hurlements monstrueux, coups de bâtons…

Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays. La brigade anticriminalité de nuit (BAC N) en a d’ailleurs fait les frais, accueillie par une volée de projectiles lancés par un migrant ivre. Les riverains sont sous le choc, une habitante du quartier déclarait ainsi au Parisien : « Jamais il n’y avait eu de violences, jusqu’à présent. Là, c’était vraiment impressionnant. » La crise migratoire amène au milieu de la capitale ce que les habitants des banlieues perdues connaissaient déjà : la violence, l’arbitraire de la rue, le chaos des ensembles multiculturels qui ne font pas société. Les Parisiens peuvent aussi enfin observer ce que signifie l’impuissance d’un État qui a renoncé à sa souveraineté, à son pouvoir d’agir. En effet, le 30 mars dernier, Bernard Cazeneuve et Anne Hidalgo annonçaient le démantèlement du camp. Quinze jours plus tard, les envahisseurs reprenaient leurs droits, installant matelas et tentes de fortune.

L’autre cas qui a retenu mon attention concerne une jeune fille, une très jeune fille. Sandra, âgée de 12 ans, a été littéralement torturée par des « camarades » à la sortie de son collège à Créteil, en banlieue parisienne. À la sortie des classes, plusieurs jeunes filles de son âge lui ont demandé la somme de 170 euros. Elle n’avait pas cette somme. Un déchaînement de violence d’une intensité sans nom s’est alors abattu sur la collégienne, menacée à l’aide d’un couteau de boucher : brûlures de cigarettes, lacérations, coups de genoux au visage, humiliations (les tortionnaires se sont filmées en train de lui uriner dessus et l’ont forcée à voler dans des magasins)… Laissée pour morte, à moitié nue sous une voiture, il lui restait à peine la force nécessaire pour rentrer au domicile parental.

Ce cas sinistre montre une autre facette de l’ensauvagement généralisé. Quel monde laisserons-nous à notre descendance ? Une France ruinée économiquement, vidée de son peuple, oublieuse de sa culture, envahie ? Notre pays est gouverné de l’extérieur, mais, avant tout, il s’effondre de l’intérieur. Le chronomètre tourne…

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/