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mardi, 02 mai 2017

Allemagne. Un demandeur d’asile se plaint: « Les Allemands ne ramassent pas assez nos déchets. »

Publié par Guy Jovelin le 02 mai 2017 

Allemagne

"Ceci est la cuisine pour les réfugiés et c'est un lieu très dégoutant."

Il s'insurge sur le fait que la femme de ménage leur réponde que ceci est leur problème. Il fait ce film afin que les employés allemands s'occupent mieux des requérants.

"Demain c'est le premier mai, un jour férié en Allemagne et bien entendu personne ne vient ici jusqu'à mardi et nous devons vivre dans ces conditions. Et personne ne s'en préoccupe."

 

Source : lesobservateurs

mardi, 18 avril 2017

Allemagne: Plus d’eau chaude, les requérants d’asile saccagent un centre d’asile et agressent des policiers

Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2017

polzei

Ici les Africains épuisent non seulement nos ressources d'eau potable sans payer le moindre centime alors que leur continent n'en possède presque pas mais encore ils agressent les autochtones qui travaillent et se lèvent tôt chaque jour pour subvenir à leurs besoins.

On a dépassé tout ce qui était admissible depuis fort longtemps.

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Samedi, la situation a dégénéré dans le centre pour requérants d'asile à Memmingerberg en raison du manque d'eau chaude.

Les émeutiers ont lancé des vélos sur la police et le personnel paramédical. Quatre requérants d'asile ont été appréhendés, quatre fonctionnaires et deux résidents ont été blessés.

A 16 heures, les résidents du centre d'hébergement de Memmingerberg (Unterallgäu) ont brisé  plusieurs fenêtres dans les douches et dans le sas d'entrée et ont menacé les agents de sécurité du centre. La raison de ces émeutes: un manque d'eau chaude. Les policiers qui avaient été alertés ont dû faire face à la mauvaise humeur d'environ 20 Africains.

La situation dégénère

La situation a dégénéré lorsque deux résidents qui avaient été blessés par du verre (Nd Schwarze Rose: En clair par leur propre faute et en raison de leur violence), ont été acheminés dans l'ambulance par les policiers. L'ensemble des requérants d'asile a jeté des vélos, deux policiers ont été touchés et légèrement blessés. Même l'ambulance a été touchée et légèrement endommagée.

Lorsque les meneurs, quatre Nigérians, ont dû être arrêtés, ils ont manifesté une forte résistance et n'ont pu être réduits au silence qu'à l'aide de spray au poivre. Au total, six personnes ont été légèrement blessées dans l'incident - quatre policiers et deux résidents. Les quatre Nigérians ont été arrêtés, des plaintes ont été déposées contre eux.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

mardi, 14 mars 2017

Erdogan veut coloniser – puis annexer – l’Allemagne et les Pays-Bas

Publié par Guy Jovelin le 14 mars 2017

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Erdogan représente une véritable menace pour le monde, notamment l'Europe et le Moyen Orient. De l'Asie mineure à l'Asie centrale en passant par l'Europe, le Proche et le Moyen Orient, le fou d'Ankara rêve d'expansion. Calife mégalomane, Erdogan-le-sanguinaire ment comme il respire lorsqu'il s'adresse à l'Occident y compris lorsqu'il taxe certains gourvernements européens (allemand et néerlandais) de "nazis", lui, Erdogan, le nazislamiste. Du reste, au plan interne, il ne cesse de révéler ses véritables projets impérialistes.

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Que l'on se souvienne : Erdogan ne reconnaît toujours pas le génocide des chrétiens arméniens. Erdogan poursuit l’occupation militaire d’une bonne moitié de l’île souveraine de Chypre. Erdogan persécute des milliers de turcs chrétiens. En 2011, la population grecque chrétienne orthodoxe d'Istanbul comptait encore 2’500 personnes, sachant -- petit rappel -- que l’Asie mineure, aujourd’hui dite Turquie, était judéo-chrétienne avant l’arrivée des mahométans avec les génocides qu’ils ont perpétrés.
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En 2013, Erdogan s’attirait des critiques de la part du secrétaire général de l’ONU, des Etats-Unis et d’Israël, car il alléguait que le sionisme serait, selon lui, un « crime contre l’humanité ». « Comme c’est le cas pour le sionisme, l’antisémitisme et le fascisme, il devient maintenant inévitable de considérer l’islamophobie comme un crime contre l’Humanité », ajoutait Erdogan.
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Et, toujours pour mémoire, rappelons qu'en octobre 2016, Erdogan a remis en cause le traité de Lausanne de 1923 – fondateur de l’Etat turc moderne qui fixe les frontières de la Turquie actuelle – et évoqué une géographie du "cœur", dans laquelle les îles grecques, mais aussi des localités aussi éloignées que Mossoul, Alep et Kardjali, en Bulgarie, font, selon lui, partie d’une même entité : un Empire ottoman renouvelé sous sa présidence dictatoriale.
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Voici le plan impérialiste d'Erdogan tel qu'annoncé par lui-même :  "On nous demande pourquoi on s’intéresse à l’Irak et à la Syrie, à l’Ukraine, à la Géorgie et à la Crimée, à l’Azerbaïdjan et au Karabakh [région disputée par Erevan et Bakou], aux Balkans et à l’Afrique du Nord. Mais ces pays ne nous sont pas étrangers. Comment faire la différence entre Rize et Batoumi [en Géorgie]. Comment évoquer Edirne sans parler de Thessalonique et Kardjali [en Bulgarie] ?, ajoute Erdogan.
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Et le fou moustachu d'Ankara ajoute : Comment ne pas admettre que Gaziantep, Alep, Mardin, Syrte et Mossoul ne sont pas liés ? De Hatay au Maroc, vous trouverez les traces de nos ancêtres. C’est la même chose en Thrace [région à cheval entre la Turquie, la Grèce et la Bulgarie] et en Europe de l’Est. Aujourd’hui, lorsque nous parlons de la Syrie, de l’Irak, de la Crimée, de la Thrace occidentale et de la Bosnie, des gens nous regardent comme si nous étions des extra-terrestres. Mais pour nous, il ne s’agit pas d’autres mondes mais de morceaux de notre âme", conclut le président-dictateur islamiste Erdogan.
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Et maintenant, Erdogan veut coloniser - puis annexer - l'Allemagne et les Pays-Bas, des pays "nazis", selon lui....

Michel Garroté, 13.3.2017

 

Source : lesobservateurs

lundi, 27 février 2017

Islamisation de L’UE: 10 000 Turcs, aux cris de « allah akbar » font de l’Allemagne leur champ de bataille électoral

Publié par Guy Jovelin le 27 février 2017

Dans une Allemagne « turquisée », il y a six jours, des milliers de Turcs en délire scandaient « allah akbar » lors du meeting du premier ministre Binali Yildirim venu plaider pour le « oui » au référendum en faveur de quasi plein pouvoirs au président Erdogan.  Une engérence tolérée dans un pays déjà conquis. Cependant que par ailleurs, des milliers d’autres Turcs demandent l’asile politique à l’Allemagne pour échapper aux rigueurs du Président Erdogan! Ce qui promet de belles guerres ethniquesau sein de l’Union! Or Le traité de Schengen a supprimé toutes les frontières nationales. Ces foules islamistes sont donc libres de circuler et de s’installer partout ailleurs dans l’Union, et notamment en France frontalière. L’islamisation de l’Allemagne c’est l’islamisation de la France, qu’elle s’implante par l’imposante diaspora turque nichée en Union européenne, ou par l’immigration de masse des autres pays du Moyen-Orient, du Magreb, d’Afrique ou d’Asie! Le quotidien allemand «Bild» rapporte que lors du rassemblement « la foule en délire scandait à n’en plus finir « allah akbar » en demandant le rétablissement de la peine de mort » pour les opposants au régime Erdogan. Une peine de mort dont Erdogan a promis le rétablissement ce qui serait une raison rédhibitoire de refuser l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne concoctée par les mondialistes qui dirigent l’Union. Au moins trois millions de turcs (donc non naturalisés ou à double nationalité…) vivent en Allemagne. Près de 60% de ceux qui votent lors des élections turques soutiennent le parti islamiste au pouvoir, l’AKP (source: Spiegel). Opposants à Erdogan ou non, les uns et les autres s’entendent pour une radicalisation de l’Islam dans leur pays.

10 000 Turcs en délire scandent sans fin « allah akbar! »

C’est au cœur de l’Allemagne que samedi 18 février le Premier ministre turc Binali Yildirim est venu faire sa campagne nationale en un meeting de soutien aux réformes constitutionnelles du président Recep Tayyip Erdogan tout en promettant une traque impitoyable aux ennemis putschistes du régime. Des milliers (plus de 10 000 ?), de sympathisants en délire sont venus scander « allah akbar! »
« L’époque où certains pouvaient donner des leçons à la Turquie est révolue. La Turquie n’est pas un pays que l’on peut intimider », a lancé Binali Yildirim dans le stade d’Oberhausen dans l’ouest de l’Allemagne, noyé sous la marée rouge des drapeaux turcs au croissant islamique. Un stade comble où plusieurs milliers de sympathisants de l’AKP, le parti au pouvoir, sont venus défendre le « oui » au référendum constitutionnel du 16 avril.

Allemagne champ de bataille des Turcs

Or, la communauté turque d’Allemagne, au moins 3 millions de personnes non naturalisées ou bi-nationaux, la plus importante dans le monde hors frontières ottomanes, est appelée à participer à cette consultation. Les autorités allemandes,Angela Merkel en fer de lance, qui sont en pointe dans la volonté d’arrimer ce pays de plus de 80 millions de musulmans dans l’Union européenne, entendent noyer lacivilisation chrétienne de l’Europe dans un magma culturel informe et antagoniste, pour compenser la politique de mort de l’avortement qui sévit dans ce pays plus encore que partout ailleurs en Union européenne.

Si le « oui » l’emporte, le pouvoir exécutif, pour le moment essentiellement détenu par le Premier ministre, sera transféré au président Erdogan pour qui la réforme a été conçue. L’Allemagne se trouve donc prise en étau entre les islamistes d’Erdogan et les islamistes de son opposant Fethullah Gülen, exilé aux USA et accusé d’être à l’origine du putsch de juillet 2016. En effet plusieurs centaines ( 1200?) de diplomates et autres fonctionnaires turcs accusés d’avoir participé au putsch demandent à présent l’asile à leur sous-patrie européenne, l’Allemagne.  Ceux-ci  soutiennent que la réforme accorderait trop de pouvoirs à Erdogan, accusé de mégalomanie. 

Photo d’une foule hystérique en Allemagne le 20 février 2017. Comme la photo de tête.

Traquer les opposants turcs jusqu’au cœur de l’Union européenne

Lors de son allocution, Binali Yildirim a également promis « d’aller chercher dans tous les trous où ils se cachent » les putschistes… Et donc en Allemagne et plus précisément en Union… De quoi déclencher de belle guerres ethniques!

Le prédicateur islamiste Fethullah Gülen, exilé aux États-Unis qui ont jusque-là refusé son extradition, est désigné par la Turquie comme l’instigateur du coup d’État manqué, ce que l’intéressé à beau jeu de démentir. Les procédures judiciaires lancées après le putsch avorté sont d’une ampleur sans précédent en Turquie. Cette division au sein de la population turque profite principalement au régime en place qui flatte le sentiment nationaliste ottoman. Ce différend avec les autorités américaines a permis lerapprochement, dans une certaine mesure, de la Turquie avec la Russie, notamment sur des accords concernant la distribution intercontinentale du gaz russe, mais aussi sur la position de la Turquie sur la question syrienne au détriment de l’OTAN.

Erdogan à Strasbourg en octobre 2015, devant 12 0000 Turcs en délire

Erdogan en meeting à Strasbourg

Cette ingérence en Allemagne d’une Turquie déjà quasiment intégrée à l’Union, n’est pas sans rappeler les 12.000 personnes qui dans un délire comparable à celui d’Allemagne étaient  venues acclamer le président turc islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan en France à Strasbourg en octobre 2015, lors d’un rassemblement contre le terrorisme kurde, et pour les élections législatives du 1er novembre 2015.

Comme en Allemagne samedi dernier, les opposants s’étaient manifestés à Strasbourg. Parallèlement, une contre-manifestation avait réuni environ 1500 personnes, organisée au centre de Strasbourg à l’appel de la Fédération Union des Alevis de France voulait signifier à Erdogan « qu’il n’est pas le bienvenu à Strasbourg, capitale des droits de l’Homme »« Le président turc devrait être au-dessus des partis, mais là il organise un meeting électoral », a dénoncé Erdal Kiliçkaya, président la fédération Union des Alévis de France.

emiliedefresne@medias-presse.info

 

Source : medias-presse.info

mardi, 10 janvier 2017

Déploiement militaire américain massif en Europe

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017

par 9 janvier 2017

us_army-300x200.jpgLes États-Unis ont débarqué une brigade blindée en Allemagne. C’est le plus grand déploiement de force américain en Europe depuis la guerre froide. Alors même que le président élu Trump continue de vouloir réchauffer les relations avec Poutine, l’équipe d’Obama tente une dernière manœuvre pour déclencher une guerre contre la Russie.

L’équipe de combat de la 3e Brigade blindée de l’armée américaine, qui fait partie de la 4e Division d’infanterie, est arrivé au port de Bremerhaven le week-end. Quelque 2800 chars, véhicules blindés, pièces d’artillerie et véhicules de soutien – ainsi que 3 500 soldats – sont arrivés sur des navires de transport depuis.

La brigade blindée est destinée à renforcer les défenses de la Pologne. « Permettez-moi d’être clair : c’est une partie de nos efforts pour dissuader l’agression russe, assurer l’intégrité territoriale de nos alliés et maintenir une Europe entière, libre, prospère et en paix » , a déclaré le commandant adjoint du Commandement européen, Tim Ray, dans un communiqué de presse.

Il s’agit du plus important mouvement de troupes américaines, destiné à contrer les menaces et l’intimidation de Moscou vers les pays de l’Est comme la Pologne, la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie, la Roumanie, la Bulgarie et la Suède. Cette action porte le nombre total de troupes américaines en Europe à près de 70.000 hommes. La Grande-Bretagne a également envoyé ces derniers mois une unité de chars et 800 soldats en Estonie. D’autres forces de l’OTAN, dont un régiment d’hélicoptères américain, devraient se déployer dans les prochains mois.

Lorsqu’il a annoncé le déménagement, l’an dernier, le secrétaire américain à la Défense, Ash Carter, avait déclaré que les forces iraquiennes participeraient à des exercices militaires réguliers dans la région avec des alliés de l’OTAN. À cette époque, le Lieutenant-général Ben Hodges, commandant de l’armée américaine, avait qualifié le déploiement d’ «incarnation de l’engagement américain à défendre ses alliés européens».

L’opération a été décidée par Obama alors que le président Trump a déclaré que les relations chaleureuses avec la Russie étaient une bonne chose et que seuls les gens « stupides » seraient en désaccord. Donald Trump a également attaqué à plusieurs reprises le rôle obsolète de l’OTAN.

L’arrivée de la brigade blindée intervient quelques jours après que les agences de renseignements américaines aient formellement accusé le président russe Vladimir Poutine d’être derrière les efforts de piratage électronique pour stimuler les chances du président élu américain Donald Trump de remporter le scrutin de 2016.

 

Source : medias-presse.info