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mercredi, 19 octobre 2016

80 migrants ont quitté la «Jungle» de Calais pour rejoindre l'université

Publié par Guy Jovelin le19 octobre 2016

- Avec AFP

 REUTERS/Pascal RossignolSource: Reuters
REUTERS/Pascal Rossignol
 

Quatre-vingts migrants ont quitté mardi la «Jungle» de Calais pour rejoindre le campus universitaire des facultés de Lille à Villeneuve-d'Ascq (Nord), a affirmé le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué.

«Dans le cadre des préparatifs du démantèlement du camp de migrants de Calais, ces 80 étudiants, recensés par les maraudes sociales effectuées par l'Etat et les associations, ont quitté Calais pour rejoindre ce campus universitaire situé en banlieue de Lille», a annoncé Bernard Cazeneuve, qui ira à la rencontre de ces étudiants jeudi le 20 octobre.

Ces migrants, majoritairement soudanais selon François Guennoc de l'Auberge des Migrants, pourront selon le ministre de l'Intérieur bénéficier «d’un parcours-type universitaire, qui débutera par un apprentissage intensif de la langue française».

«Après la période initiale de formation, ils pourront poursuivre un cursus universitaire classique dans la matière de leur choix», a ajouté le ministre.

Ces 80 futurs étudiants, déjà titulaires «au moins du bac» selon François Guennoc, «seront hébergés dans un centre d'accueil spécifique co-géré par le Crous et Adoma [ex-Sonacotra, foyers pour travailleurs immigrés], à proximité de l'université», précise encore le ministre de l’intérieur.

«Cette démarche s'inscrit dans la politique globale menée par le gouvernement à Calais, qui vise à mettre l'abri les personnes en besoin manifeste de protection fuyant les guerres et les persécutions et faciliter leurs parcours de demande d'asile et d'intégration», a ajouté Bernard Cazeneuve.

Ce projet a été mené à l'initiative d'un professeur de l'Université de Villeneuve-d'Ascq et monté en collaboration avec l'Auberge des migrants, l'une des associations les plus actives de la «Jungle» de Calais dont le démantèlement est prévu dans les jours à venir.

 

Source : francais.rt

Multiculturalisme – Bienvenue chez Nous – Calais : Sauvages et Sauvageons….

Publié parGuy Jovelin le19 octobre 2016

PAR LE

  CALAIS : Une femme interprète victime d’un viol dans la « jungle »

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Par Jackturf Le nouveau journal 18 Octobre 2016

Une interprète en langue pachtoune, qui accompagnait un journaliste dans la « jungle », a été violée dans la nuit de lundi à mardi. Les faits se seraient produits à l’entrée du bidonville, selon le procureur de Boulogne-sur-Mer Pascal Marconville, qui a confié l’enquête à la police judiciaire de Coquelles.
Selon le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Pascal Marconville, «  le viol est avéré  » : «  La victime a été examinée par un médecin légiste, qui confirme le viol. Des prélèvements ont été réalisés afin de tenter de déterminer le profil génétique de l’auteur  ».

Plainte déposée

Les faits se sont déroulés dans la nuit de lundi à mardi, vers 2 h 3 0  : «  Une interprète de 38 ans d’origine afghane, domiciliée à Paris, accompagnait un journaliste freelance d’une société de production, qui préparait un documentaire pour France 5 sur les mineurs étrangers isolés  », explique le procureur. 
 
Tous deux avaient un rendez-vous, et c’est en arrivant à la « jungle », «  apparemment dans la bande des 100 mètres  » qui sépare le bidonville de la rocade portuaire, qu’ils se sont retrouvés nez à nez avec «  trois individus parlant pachtoune, munis de couteaux  ». 
 
 «  Ils leur sont tombés dessus, ont volé leur matériel et leur caméra. Pendant que deux des individus maintenaient le journaliste sous la menace d’un couteau, le troisième violait la jeune femme interprète  ».
 
Prise en charge par les pompiers de Calais, la victime a été transportée à l’hôpital dans la nuit. Une plainte a été déposée auprès du commissariat de Calais. Le procureur de Boulogne-sur-Mer a confié l’enquête à la police judiciaire de Coquelles.
 
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Source : leblogalupus

lundi, 10 octobre 2016

Calais : une seule solution, l’expulsion !

Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2016

Publié le 9 octobre 2016 - par

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Nous pouvons constater que l’éparpillement des clandestins à travers l’hexagone n’arrange en rien la situation des Calaisiens et des Français. L’accueil des pseudos-réfugiés ne peut pas se faire. À cette heure, l’expulsion totale et définitive des milliers de clandestins installés de force à Calais semble être le dernier moyen de résoudre ce problème qui pourrit la vie des Calaisiens et des personnes de passage dans la ville depuis bien trop longtemps.

Communiqué de Kévin Reche, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis

Le mot « réfugiés » ne représente pas les milliers de clandestins de Calais. Certains (une infime minorité) fuient véritablement leur pays en guerre. Pour les autres, la très grande majorité, ce sont des migrants économiques entrés illégalement en France. Autrement dit, des clandestins. Des jeunes hommes environnant la trentaine d’années en pleine forme physique (ils ont quand même réussi à parcourir des milliers et des milliers de kilomètres avant d’arriver ici) qui auraient dû rester dans leur pays et se battre pour lui, plutôt que de le quitter et d’abandonner leur famille.

Une question se pose alors : il s’agit de clandestins ou de lâches déserteurs ? Ces hommes, puisqu’à Calais ce sont bien des hommes et non des femmes, sous prétexte qu’il y aurait une guerre dans leur pays fuiraient en France dans l’espoir d’atteindre l’Angleterre.

En attendant, ils se retrouvent bloqués à Calais et mènent leur guerre ici car l’Angleterre n’en veut pas. Et elle a raison !

Il n’existe pas 36.000 solutions pour remédier à ce fléau.

Nous pouvons constater que l’éparpillement des clandestins à travers l’hexagone n’arrange en rien la situation des Calaisiens et des Français.

L’accueil des pseudos-réfugiés ne peut pas se faire. À cette heure, l’expulsion totale et définitive des milliers de clandestins installés de force à Calais semble être le dernier moyen de résoudre ce problème qui pourrit la vie des Calaisiens et des personnes de passage dans la ville depuis bien trop longtemps. Le visage de Calais a changé depuis toutes ces années et ce n’est pas fini.

Il est temps de mettre un terme à cette immigration dévastatrice et de prendre véritablement le parti de la France.

Jacques Chassaing

 

Source : ripostelaique

samedi, 03 septembre 2016

Calais : « les routiers se font agresser chaque nuit depuis 6 mois » (Màj)

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre2016

Par le 02/09/2016

« Plus on démantèle, plus il y a de migrants »



Le ras-le-bol des chauffeurs routiers se fait de plus en plus ressentir à Calais. Inquiets, les conducteurs de poids-lourds qui passent par Calais pour traverser la Manche vivent avec la peur au ventre. Des barrages de migrants ralentissent les camions pour que ceux-ci puissent monter à bord des camions. Les chauffeurs désemparés sont obligés de chercher le soutien de CRS, trop peu nombreux.

Lundi, une manifestation des chauffeurs routiers aura lieu à Calais. Les conducteurs sont à bout de nerfs, après 6 mois d’agressions quasi-quotidienne des poids-lourds et de multiples alertes à la préfecture pour obtenir des moyens. Ils dénoncent une indifférence totale de la part des autorités.

 

Source : fdesouche

vendredi, 27 mai 2016

Affrontements sauvages à Calais entre des centaines d’Afghans et de Soudanais: une soixantaine de blessés

Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2016

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Scènes de guerre à Calais, hier jeudi en fin d’après-midi entre environ 200 Soudanais et Afghans clandestins, avec incendies volontaires, notamment des locaux de Médecins sans frontière et explosions. Les forces de l’ordre intervenues ont été prises à partie, de même que des travailleurs sociaux. Bilan:  57 blessés, dont une quinzaine évacués vers l’hôpital de Calais, 5 dans un état grave. Parmi eux 5 travailleurs sociaux dont un grièvement blessé a reçu un projectile au visage, et deux CRS dont l’un a reçu un pavé au niveau du thorax.

Malgré l’importance des forces déployées: 250 policiers et gendarmes ainsi que 2 unités et demi de forces mobiles, aucune interpellation n’a été faite, de crainte probablement, de violer l’identité des clandestins…

Depuis le témoignage d’un officier CRS, nous savons que la non-répression est l’expression d’une complaisance politique. Quand il y a répression, c’est que les policiers ont ordre de casser du catholique.

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En outre 70 sapeurs-pompiers ont été mobilisés pour éteindre les incendies. Une épaisse colonne de fumée s’est élevée au-dessus du camp, et une odeur de brûlé était perceptible jusque dans le centre-ville de Calais, comme le montre l’une des vidéos ci-dessous, bonjour l’atmosphère!

Le théâtre d’origine de cet affrontement sauvage a été le centre d’accueil Jules Ferry au moment de la distribution des repas. Les centaines de clandestins afghans et Soudanais, armés de machette, de pierres et de lance-pierre, n’ont pas du aimer la soupe…

le préfet du Pas-de-Calais, Fabienne Buccio, arrivée sur place vers 19 heures a indiqué  qu’une « bagarre importante » avait eu lieu, « une situation qui s’est déjà produite, mais jamais à ce point », ajoutant qu’aucune interpellation n’avait eu lieu. Dormez, braves gens, tout va bien!

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« J’ai entendu vers 17 h une déflagration qui ressemblait à un coup de feu ou un tir de lacrymo et j’ai entendu hurler », explique un riverain de la route de Gravelines. Sa maison est située presque en face du chemin des Dunes, qui longe la « jungle ». « Je suis sorti. J’ai vu des CRS qui demandaient qu’on emmène un CRS blessé, puis des migrants épaulant d’autres migrants blessés », d’après La Voix du Nord.

 

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Le procureur s’est aussi rendu sur place ainsi que le sous-préfet, Vincent Berton, venu s’entretenir avec les responsables des communautés de la « jungle » pour apaiser la situation. Souhaitons qu’il a su déployer toute la diplomatie nécessaire pour ne pas heurter la sensibilité exacerbée de gens déjà survoltés par leurs affrontements. On comprend que dans ces conditions il aurait été de mauvais goût d’arrêter qui que ce soit.

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Les bénévoles des associations qui œuvrent dans la « jungle » ont quitté les lieux, en fin d’après-midi. Il ne semble pas qu’ils aient eu des blessés à déplorer, ni qu’ils aient empêché quoi que ce soit.

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« Dans le même temps, [le riverain de la route de Gravelines]  aperçoit des centaines de migrants quitter la « jungle » pour se diriger vers la rocade. « Ils semblaient prêts à en découdre. Ils ramassaient des pierres, ils avaient des barres de fer. Dans la jungle, une épaisse fumée et des flammes montaient dans le ciel. » Alors que les secours convergent vers Jules-Ferry, il regagne son domicile, où il vit avec son épouse et sa fille de 15 ans. « Des violences, on en voit tous les jours, vous savez. Mais elles ne sont pas si importantes ». 

Un Calaisien qui finalement n’a pas le temps de s’ennuyer…

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emiliedefresne@medias-presse.info