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mercredi, 10 juin 2015

"LES MIGRANTS, SYMBOLE D'UNE INVASION-COLONISATION RÉCURRENTE!"

asile politique,calais,migrantsNous ne devons pas nous étonner de cette déferlante immigrationniste qui investit notre nation et nos voisins européens, en effet, l'eldorado occidental constitue une aubaine pour de "pauvres" hères fuyant un univers néfaste dans leurs pays d'origine.


Mais il est un fait indéniable qui n'échappe à personne, ce sont les fonds dont ils disposent pour payer des passeurs (le tarif oscille entre 2000 et 5000 euros)!


Nous nous interrogeons donc  sur les capacités financières de ces candidats à "l'exil forcé" pour rejoindre le jardin d'Eden que constitue la France et l'Europe, à moins qu'une association droits de l'hommiste ou un pays ne favorise et finance secrètement cette invasion?


Les spécialistes en matière d'immigration annoncent que la plupart des migrants ne seraient qu'en transit en France! Ce dont nous doutons car la France constitue un havre de paix pour ces exilés; il est vrai qu'il suffit de demander l'asile politique pour s'implanter durablement sur notre sol!


Ces migrants auront tout le loisir de jouir et de disposer des bienfaits du système français en matière de protection sociale et de logement notamment au détriment de nos bons Français de souche.


De plus, cet afflux d'immigrés pèsera un peu plus sur le salaire des travailleurs français, mais ceci n 'est pas une nouveauté.


Nous aimerions vous citer un exemple pour étayer ce constat: personne n'ignore qu'il existe en France des travailleurs français, élisant domicile dans leurs véhicules, incapables de se loger tant des règles drastiques les empêchent d’accéder si ce n est à la propriété, du moins à la location, un comble!!!


Les événements du 7 juin 2015 devraient nous faire réagir, le gouvernement français pro-immigrationniste déloge des migrants dans le 18éme arrondissement de Paris et s'empresse de trouver un habitacle pour chacun d' entre eux, autrement dit un logement! Les travailleurs français squattant leurs véhicules de fortune apprécieront...


Au même moment à Calais, la population locale calaisienne se retrouve confrontée à des hordes d'exilés menaçantes, agressives, troublant l'ordre public, sans que personne ne s'en émeuve, aucune compassion pour les calaisiens et calaisiennes, mais toujours plus de mansuétude pour les migrants par les associations droits de l 'hommistes, qui osent traiter de fascistes , ceux qui ne partagent pas leur délire immigrationniste!


Une question doit etre posée: FAUT-IL ETRE CANDIDAT A L'IMMIGRATION POUR BÉNÉFICIER DES LARGESSES DU POUVOIR? TOUT PORTE A LE CROIRE!
Quel est donc ce système qui abandonne les Français et les laissent dans une insécurité sans cesse croissante? Nous vous laissons le soin de trouver la réponse.


Nous considérons les oligarques au pouvoir comme les destructeurs de la Nation Française, entre eux et nous, point de trêve!

 

Le peuple Français devra choisir entre l'Anti-France et le renouveau Nationaliste, toute sa survie en dépend.

Franck Pech

Délégué Adjoint du Parti de la France de Haute-Garonne

mardi, 09 juin 2015

Interview de Thomas Joly sur TV Libertés sur la situation à Calais

 Publié par Guy Jovelin

  
 

mercredi, 04 mars 2015

DE CALAIS À POUILLY-EN-AUXOIS : LE GOUVERNEMENT DISSÉMINE LES CLANDESTINS DANS LES CAMPAGNES FRANÇAISES !

 Publié par Johanna

De Calais à Pouilly-en-Auxois : le gouvernement dissémine les clandestins dans les campagnes françaises !
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vendredi, 23 janvier 2015

Dictature socialiste : Le préfet interdit la manifestation de Sauvons Calais prévue ce dimanche

 

 Publié par Guy Jovelin

L’arrêté interdit toute manifestation ou rassemblement ayant trait à la situation migratoire à Calais ce dimanche. Le préfet invoque six motifs pour justifier sa décision : le contexte particulier à Calais, avec ses 2.000 migrants ; la présence de militants extrémistes connus pour leur violence ; le risque de heurts violents entre manifestants ; le risque d’atteinte aux biens en centre-ville ; la constatation d’altercations ou de dégradations de véhicules lors des précédents rassemblements ; et enfin le fait qu’en raison des attentats de Charlie Hebdo, les forces de l’ordre sont mobilisées en priorité sur le plan Vigipirate « et ne pourront contenir les différents troubles à l’ordre public potentiel ».

« Pour moi, c’est une décision politique »

Kevin Reche, leader du collectif Sauvons Calais, voulait organiser ce rassemblement dimanche pour « protester contre l’immigration, contre le camp Jules-Ferry et pour l’expulsion des migrants de Calais ». Reçu ce jeudi matin par le sous-préfet de Calais, il a appris quelques heures plus tard la décision du préfet. « Pour moi c’est plus une décision politique, réagit-il. Ils m’ont dit que ce qui les gênait, c’est qu’on soit d’extrême droite et que des Belges se joignent à nous pour la manifestation. Les antifas n’allaient être qu’une soixantaine face à nous : les forces de l’ordre auraient été tout à fait capables de les repousser. D’autant que j’avais prévu moi-même un gros service d’ordre privé. » Le jeune Calaisien estime que cette interdiction est purement « de la censure » et prévient qu’il ne demandera pas à ses camarades de ne pas manifester.

Le préfet avait déjà interdit une manifestation de Sauvons Calais en avril 2014, en raison là aussi des risques graves de troubles à l’ordre public. Il avait en revanche autorisé un rassemblement devant l’hôtel de ville en septembre 2014. Plusieurs associations avaient, à la suite de ce rassemblement, déposé une plainte contre le collectif et son leader pour incitation à la haine raciale. L’enquête, ouverte par le parquet de Boulogne-sur-Mer, est toujours en cours.

Source

vendredi, 21 novembre 2014

Calais entre l’enclume et le marteau (par François-Xavier Rochette)

 

Publié par Guy Jovelin

La France est inégalement contaminée par l’immigration-invasion sur un plan strictement géographique. Quelle différence de couleur, encore, entre Paris et Limoges ! Entre les régions du Massif central et les Bouches-du-Rhône ! Entre Nancy et Brest, entre Vichy et Mulhouse. D’une manière générale, de nombreuses zones rurales sont encore épargnées par ce que l’on appelle communément maintenant le Grand remplacement. Mais, faut-il le préciser, les territoires qui ont une faible teneur allogène sont presque toujours, également, de faible densité démographique et toujours peu peuplés en valeur absolue. Les poches et les vallées préservées de l’étrange, de l’hétérogène et de l’exotisme se réduisent en outre à une vitesse inquiétante, des quartiers entiers se métamorphosent en des écosystèmes inattendus et changent soudainement la vie des autochtones qui rencontrent la diversité brutalement. Nous ne ferons pas de corrélations entre immigration et certains phénomènes sociaux car la loi nous l’interdit, mais force est de reconnaître que l’existence est plus douce dans certains villages de Lozère, des Hautes-Alpes ou du Pays basque qu’à Saint-Denis, Saint-Ouen ou Roubaix ! Et il ne s’agit pas seulement d’une question de ruralité, comprenons-nous bien… Il y a cinquante ans, il existait des quartiers populaires parisiens qui étaient encore parfaitement respirables, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Il y a seulement 25 ou 30 ans, Dijon et Metz étaient des villes assez aérées si l’on peut dire et Grenoble n’était pas encore ce tison délinquant qui brûle une grosse partie d’une Isère défigurée.

Bref, il existe toujours des Français qui naissent au bon endroit, au bon moment. Et puis, il y a les autres, qui vivent là où le chaos s’accélère, là où la neige a la couleur de la boue et la rue l’odeur du pois chiche, du shit et de la crasse internationale. Le quotidien ne doit pas être toujours facile, surtout pour les collégiens et lycéens indigènes évoluant au sein de cités où les allogènes croissent d’une manière exponentielle (et si ostentatoire)… Le petit Blanc perdu dans cette nouvelle démographie vit en temps réel ce processus de disparition du peuple historique alors que dans le même temps, évidemment, les étrangers ont naturellement conscience du développement fulgurant de leur communauté, un phénomène continu fortifiant en chacun d’eux une volonté de puissance qui devient impossible à contenir.

Le très banal racisme anti-blanc provient de là, de cet orgueil né du nombre, et non de je ne sais quelle rancœur à la noix. Il n’est donc pas nécessaire d’être diplômé en ethnologie pour saisir l’ampleur du problème qui pèse sur les populations autochtones qui y sont confrontées. Mais il existe des cantons, des agglomérations, des villes qui cumulent les difficultés sur les plans démographique et sociologique. On dit trivialement qu’il pleut là où c’est mouillé et que le malheur attire le malheur… Calais, qui souffre d’un chômage aigu, d’une immigration classique en progression (même si elle n’est pas, fort heureusement, au niveau de celle qui a ruiné la Seine-Saint-Denis) est depuis quelques années victime de sa position géographique, celle-là même qui devait constituer son plus grand atout.

CALAIS, GOULET D’ETRANGLEMENT DE L’IMMIGRATION CLANDESTINE

La plus grande ville du Pas-de-Calais (73.000 habitants) ne souffre en effet pas seulement de l’immigration banale, légale et même de la simple immigration clandestine telle qu’on la connaît un peu partout en Hexagonie, mais également d’une immigration sauvage, ou pour être précis, d’une migration sauvage puisque les candidats africains et arabes qui se bousculent à cette halte calaisienne n’ont qu’une idée en tête, Londres et ses mirages. Nous connaissons bien le phénomène depuis Sangatte et ses multiples soubresauts. Celui de vagues successives de Kossovars, de Somaliens, d’Erythréens, de Soudanais, d’Afghans, qui foncent vers Calais pour s’immiscer dans la remorque d’un camion, pour franchir l’Eurotunnel avant de trouver, pensent-ils, le paradis britannique. Las, parvenus à Calais, les illégaux se retrouvent dans un parfait goulet d’étranglement, et les moins “fortunés”, ceux d’entre eux ne pouvant s’offrir les services d’un passeur professionnel se voient contraints, pour atteindre leur rêve, de prendre d’assaut les semi-remorques à destination de la Perfide Albion.

Les conditions d’entrée aux alentours du tunnel sont aujourd’hui plus difficiles, les routiers ayant témoigné violemment de leur exaspération (même si la justice persiste à condamner les récalcitrants agissant manu militari pour expulser les Africains en exil), les migrants surexcités se déplacent en amont sur le parcours des véhicules de marchandises, principalement sur l’autoroute A16, à son terme, là où les premiers ralentissements autorisent l’abordage des camions. Les policiers seraient impuissants devant le déferlement de ces envahisseurs…

« Sur la rocade menant au port, nous avons une grande visibilité », analyse Gilles Debove, du syndicat Unité-SGP-Police-FO. « Alors qu’ici, les migrants se cachent dans des bosquets, dans les marais, par petits groupes. Il n’y a pas de trottoir, on ne peut faire ni demi-tour, ni marche arrière. Et ça roule vite, rien à voir avec la rocade : c’est hyper dangereux. ». En effet, le 21 octobre, une Ethiopienne de 16 ans est pulvérisée par une voiture alors qu’elle traverse l’autoroute avec un groupe de noirs. Le 22 octobre un Soudanais téméraire saute d’un pont donnant sur la bretelle d’accès au Tunnel pour essayer de s’introduire dans un camion. Le cascadeur improviste rebondit comme une grume d’ébène sur la bâche et s’écrase au sol en se brisant tous les os ; il décède quelques heures plus tard. Le 6 novembre, un sérieux accident se produit entre deux poids lourds, ce qui engendre un bouchon important sur l’A16. Quelques minutes plus tard, des centaines d’illégaux foncent vers les camions à l’arrêt, non pour secourir les routiers, mais pour s’offrir un petit voyage chez les Britanniques. La situation autour de Calais devient de plus en plus critique du fait de l’accroissement continu du nombre de ces allogènes en quête d’eldorado européen.

15 ANS DE PRESSION MIGRATOIRE

Depuis 1999 et la réquisition d’un hangar à Sangatte (commune limitrophe de Calais) pour héberger 200 migrants (à l’époque surtout des Kossovars) qui campaient jusque- là dans un parc, la situation n’a cessé de se dégrader pour les vrais Calaisiens. La fausse charité de l’Etat pressé par des ONG antinationales d’intervenir prestement a mis le feu aux poudres. Dès 2000, le fameux hangar géré alors par la Croix-Rouge s’occupe en moyenne de 1 500 clandestins par jour (soumis à un fort turn-over). En 2002, année de sa fermeture, le centre de Sangatte aura vu passer plus de 50.000 illégaux qui furent à la fin de leur parcours« pris en charge » par une vaste filière d’immigration clandestine. Affolé par l’ampleur du phénomène migratoire, le gouvernement a voulu, en premier lieu, casser le thermomètre et flouter une activité mafieuse ne cessant de grossir d’une manière concomitante. Les noirs en question ne retournent pourtant pas sur leur continent mais s’incrustent dans des terrains vagues entre deux dunes…

L’un de ces squats est rapidement surnommé la “jungle” pour les raisons que l’on devine. La “jungle” devient un abcès de fixation médiatique et sera donc évacuée en 2009 par un pouvoir public qui entend détruire les symboles de l’invasion pour empêcher la colère populaire de s’alimenter de ses stigmates. Notre indigénat veut tout embrouiller. Dégagez ! Y’a rien à voir ! En 2014, d’autres zones ont été évacuées, comme pour mimer une action policière digne de ce nom.. Et la Grande-Bretagne promet désormais 15 millions d’euros pour sécuriser le port… Alors que ces Africains dans la nature investissent les camions avant que ces derniers n’accèdent au port… Les autorités s’échinent bel et bien à plâtrer des jambes en bois depuis 15 ans. La situation est aujourd’hui explosive après toutes ces années de laisser-faire. Avant l’été, les migrants n’étaient “que” 600 installés sur Calais. Ils sont aujourd’hui 2 500, demain ils seront 3 000, en 2015, 5 000.

MAUVAISE CONSCIENCE ET ETHNOMASOCHISME

Cette multiplication inquiétante est facilement explicable. Travail clandestin, prestations sociales (que le Royaume-Uni sait aussi verser sans compter aux allogènes), fantasmes divers sur la Blanche lubrique cultivés par les media du monde entier et par l’industrie de la pornographie interraciale, toutes choses qui tranchent radicalement avec la vie quotidienne de ces Noirs dans leur pays, terre natale qu’ils préfèrent fuir plutôt que d’utiliser leur énergie pour la sauver de la misère. Le courage de ces individus est donc pour le moins relatif. Leurs valeurs ne sont a priori pas les nôtres. Comment peut-on accomplir tant d’efforts et dépenser tant d’argent (pour les passeurs notamment) pour partir si loin de chez soi si l’on est sincèrement attaché à son pays ? Et puis, le fait d’être bloqués en France, un certain temps, avant de décrocher la timbale, ne représente pas vraiment une perspective angoissante pour eux. Une fraction non négligeable de ces migrants décide même, chaque année, de rester chez nous après avoir compris qu’elle peut toucher mensuellement un revenu géré par le Pôle Emploi (le mystère de l’usine à gaz antiraciste de notre Hexagone… et de ses pompes aspirantes) à toute personne étrangère faisant une simple demande d’asile politique, et profiter de l’Aide Médicale d’Etat (AME).

Les autres peuvent profiter de la générosité d’essence ethnomasochiste des nombreuses associations parasitaires qui s’occupent des migrants parfois en les pouponnant. Repas chauds (récemment l’affaire des plats insuffisamment épicés au goût des clandestins fit le buzz sur Internet), argent, douche, recharges des téléphones portables des migrants (exécutées notamment par une certaine Brigitte Lips, militante du Secours “catholique”), et on se demande si certaines autochtones ne s’offrent pas carrément aux illégaux pour les réconforter dans un tendre câlin… Si on rajoute à ce tableau l’impunité dont ils jouissent malgré les méfaits de plus en plus nombreux et de plus en plus graves qu’ils perpètrent, on obtient une zone très attractive pour beaucoup d’Africains bien décidés à « profiter de la vie » de toutes leurs forces, ici ou ailleurs en Europe.

LA CRIMINALITE EXPLOSE, LA RESISTANCE SE DEPLOIE

Nous ne comptons déjà plus les actes de délinquance commis par ces « chances pour l’Europe ». Plusieurs Calaisiens (il y a quelques jours, une jeune femme a été volée et agressée sexuellement par trois Africains sur le quai de la gare) ont été férocement tabassés par ces bandes ethniques qui peuvent toujours compter sur la bienveillance de la “justice”, des politiciens locaux et des journaux régionaux pour minimiser leurs actes, voire pour les innocenter sur un ton misérabiliste. De jeunes Calaisiens, en colère contre la chienlit qui se répand, se sont organisés au sein d’un collectif appelé (sans emphase tant la situation devient grave) « Sauvons Calais ». Contre tous, menés par le très dynamique Kévin Reche, ils agissent au quotidien pour la population calaisienne qui souffre dans cet assourdissant silence médiatique. Ils sont à l’écoute des petites gens abandonnées de cette gauche arrogante qui préfère les autres avant les nôtres. Mais ce n’est pas tout ! Kévin Reche est décidé à ce que les choses changent enfin dans le Calaisis. Pour ce faire, il s’est engagé avec de nombreux militants de Sauvons Calais en politique dans un mouvement qui, depuis quelques mois, prend localement une nouvelle ampleur, le PdF, le Parti de la France.

Marine Le Pen avait bien fait un saut de puces à Calais il y a 5 semaines avant d’évoquer le fantasme que serait le Grand remplacement (chez nous et en Europe), mais, loin de soutenir les Calaisiens en plein chaos et qui ne se risquent plus à sortir le soir, elle cracha sur les militants de Sauvons Calais qui ont eu le toupet de lutter, en vrai, contre l’immigration-invasion. Le secrétaire général du PdF, Thomas Joly, que nous avons interrogé sur les échéances à venir, est décidé à présenter et à soutenir plusieurs candidats aux prochaines élections départementales sur les différents cantons calaisiens. « Les clandestins ont violé la loi en entrant illégalement sur le territoire français », s’explique-t-il. « La France n’a pas vocation à accueillir toute la misère du monde ni les réfugiés de toutes les guerres du monde. Qu’ils aillent demander l’asile à des pays musulmans bien plus proches et richissimes comme le Qatar ou l’Arabie Séoudite. » Dans l’immédiat, il faudrait, selon Joly, mettre en place un groupement de gendarmerie mobile dans le Calaisis afin de réduire tout de suite l’insécurité qui a explosé en l’espace de quelques semaines. « Instaurer l’état d’urgence le cas échéant comme lors des émeutes en 2005 ». Puis, il est impératif de résoudre le problème en profondeur en « mettant en place un camp de rétention afin d’organiser le renvoi rapide, total et définitif des clandestins. »

Il est bien évident que seule la solution nationaliste peut aider les Calaisiens, perdus chez eux, submergés, abandonnés et trahis. Mais Calais est plus que Calais, c’est un symbole du combat que les authentiques nationalistes doivent mener à tout prix : celui de notre sécurité, de notre identité, celui de notre délivrance et du renouveau. Loin du blabla des baudruches médiatiques, la bataille de Calais est le front des patriotes, des radicaux, des honnêtes Français qui deviennent des braves ! Pour que Calais devienne notre Dreux nationaliste ! Pour que, demain, toutes nos villes soient libérées de l’immigration-invasion, il faut agir maintenant !

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