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mercredi, 22 août 2018

Le grand remplacement, des écrans de cinéma jusque dans les têtes !

Publié par Guy Jovelin le 22 août 2018

Le grand remplacement, des écrans de cinéma jusque dans les têtes !

Le grand remplacement, des écrans de cinéma jusque dans les têtes !

Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe contre les peuples ♦ [Rediffusion] Nous publions à nouveau cette analyse exclusive, publiée initialement dans nos colonnes le 18 février 2018. En effet, ce texte fait partie des articles les plus lus du début d’année 2018. Un intérêt massif qui motive une nouvelle diffusion en cette période estivale pour préparer au mieux la rentrée politique. Bonne lecture et bonnes vacances.
Polémia

Depuis longtemps, les films – notamment hollywoodiens mais pas seulement – observent un code de bonne conduite politiquement correcte : les méchants ne doivent jamais être des personnes « perçues comme non blanches », comme on dit en novlangue.
Mais aujourd’hui, le pouvoir médiatique semble en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains.

Les méchants sont blancs

Depuis longtemps les films hollywoodiens nous montrent que les méchants sont des albo-européens, même si leur nationalité peut varier selon le scénario. Des méchants mafieux siciliens, des méchants albanais [1] qui organisent des réseaux de prostitution et surtout des méchants russes… Tous fachos et suppôts de Poutine !
Comme lorsqu’à la télévision, on nous présente des policiers procédant à une interpellation : le prévenu est toujours de la bonne couleur ! Car les codes hollywoodiens se sont imposés partout en Occident.
Les asiatiques ont certes eu leur heure de gloire dans le registre du mal cinématographique : du Docteur No [2] au méchant Thao qui veut voler la belle voiture de Clint Eastwood [3] puisqu’il est bien connu que les gangs hmongs sont très puissants outre-atlantique….
Il y a encore périodiquement aussi des méchants terroristes islamistes au cinéma, mais ils sont heureusement souvent mis hors d’état de nuire par de gentils policiers musulmans [4] ou noirs [5].
Mais aujourd’hui, sur nos écrans, chacun peut constater que les méchants sont pour l’essentiel des « personnes perçues comme blanches ».

Les gentils sont afro-américains

Les afro-américains, par contre, entrent rarement dans la catégorie des méchants. Ils jouent en général des rôles de policiers, de militaires, de savants [6], de prêtres (non pédophiles) ou d’informaticiens dans les productions hollywoodiennes.
S’ils commettent des hold-up c’est en général pour se venger des méchants blancs [7], car ce sont toujours de gentils bandits. Ils sont aussi Président des Etats-Unis ce qui, vous en conviendrez, est un gage de gentillesse [8].
Ce stéréotypeapparaît désormais comme la marque de fabrique des productions hollywoodiennes et déteint partout.

Le rôle des lobbies communautaires

Cette situation ne résulte pas du hasard.
Elle traduit d’abord la volonté de l’industrie médiatique de séduire aux Etats-Unis le public afro-américain et, sur un plan plus général, de s’adapter à un monde où, demain, 40% de la population mondiale, sera, d’après les prévisions de l’ONU [9], issue du continent africain. Et de s’adapter aussi à une Amérique de moins en moins WASP et de plus en plus multiculturelle.
Un phénomène qui se retrouve d’ailleurs dans la propagande publicitaire, qui met désormais systématiquement en scène des couples mixtes ou des métis voire qui vise des créneaux carrément ethniques, mot novlangue pour désigner un segment de cette clientèle « perçue comme non-blanche ».
Le stéréotype « méchant blanc/gentil noir » traduit aussi la vigilance des associations de défense communautaires qui veillentau respect de la bonne image cinématographique et télévisuelle des « minorités » et qui n’hésitent pas à engager des procès et des boycotts pour se faire entendre.

Les remakes, expressions de la nouvelle norme politiquement correcte

D’où aussi la propension du cinéma à augmenter la proportion de personnages de couleur incarnant un rôle positif dans le scénario, comme on peut le voir lorsqu’on examine des remakes.
Car les remakes correspondent le plus souvent à une réécriture politiquement correcte de l’œuvre initiale.
Ainsi par exemple le film américain de fiction apocalyptique Je suis une légende de Françis Lawrence (2007) est un remake du film Le Survivant de Boris Sagal (1971).
Mais dans ce remake, le héros est noir (incarné par l’acteur Will Smith) alors que, dans le film original, il est blanc (incarné par l’acteur Charlton Heston). Dans le remake le héros rencontre aussi une femme blanche ; dans le film initial il rencontre une métisse. Dans le remake enfin, les méchants mutants ont la peau blanchâtre alors que dans la version originale ils avaient la peau sombre !
En d’autres termes le starring du film a été systématiquement inversé.

Salauds de blancs !

Cette comparaison permet de mesurer la progression du stéréotype consistant désormais à associer aux albo-européens des caractères systématiquement négatifs. Un stéréotype que bien sûr les bonnes âmes se gardent de dénoncer.
Ainsi, par exemple, dans le film de fiction Prometheus de Ridley Scott (2012), les méchants humanoïdes albinos qui veulent détruire la terre, semblent sortis de la statuaire d’Arno Brecker ! Et dans le même film le capitaine du vaisseau spatial qui se sacrifie courageusement pour sauver la terre est… un afro-américain, comme il se doit.
Il serait fastidieux de citer les innombrables scénarios, que ce soit sur grand ou petit écran, qui reposent sur ce stéréotype de nature raciste : salauds de blancs, gentils noirs !
Mais ce racisme ne choque évidemment pas les ligues de vertu puisque, par construction, le racisme anti-blanc n’existe pas. Et qu’il véhicule une haine de soi à destination du seul public albo-européen, sommé de gober sans broncher ces stéréotypes masochistes.
Les blancs sont méchants et les gentils sont de couleur : une autre façon, finalement, d’affirmer que « l’immigration est une chance pour nous » !

Le Grand Remplacement, c’est aussi dans nos têtes

Mais cela ne suffisait pas !
Car aujourd’hui Hollywood et ses suiveurs sont en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains dans les films à prétention historique.
Par exemple dans le film King Arthur de Guy Ritchi (2016), l’acteur noir Djiman Hoansou incarne un chevalier de la Table Ronde, sir Bevedere. Dans la série télévisée Once Upon a Time, c’est Sinqua Walls, un autre acteur noir, qui joue le rôle de Lancelot. Dans le film Robin Hood Origin d’Otto Bathurst, le personnage de Petit Jean sera joué par un acteur afro-américain Jamie Fox.
Au théâtre, l’actrice afro-américaine Condola Rashad incarnera Joan Of Arc. Et dans la série de la BBC The Hollow crown, la reine Marguerite d’Anjou est jouée par l’actrice métisse Sophie Okonedo.

On entend déjà les bonnes âmes s’écrier : pourquoi une personne « perçue comme non blanche »n’aurait-elle pas le droit de jouer Lancelot ou Marguerite de Valois ? D’autant que les races humaines n’existent que dans l’esprit tordu des racistes.
Mais, curieusement, les mêmes ne supporteraient sans doute pas qu’un acteur albo-européen joue, par exemple, le personnage de Martin Luther King…Comme le footballeur Antoine Griezmann l’a appris à ses dépens, quand il s’est déguisé en basketteur afro-américain !
Car pour le Système médiatique, il ne peut y avoir de réciprocité : le Remplacement n’est autorisé que dans un seul sens. Sinon c’est du racisme, du colonialisme ou de l’appropriation culturelle.
Bref, c’est toujours mal quand c’est blanc.

Un casting ridicule ? Non un projet chaotique

A l’évidence ces castings placés sous le signe de la « diversité », comme ces scénarios où les méchants sont invariablement des albo-européens, ne sont pas neutres : ils jettent les bases d’une nouvelle guerre cognitive menée contre les Européens.
Une guerre destinée à leur faire croire qu’ils n’existent pas, sinon pour nuire au reste de l’humanité. Une guerre qui s’attaque aux représentations de leur passé donc à leur identité et à leur être. Une guerre qui s’intègre dans le projet chaotique de la Super Classe Mondiale consistant à transformer les Européens en monades, pour mieux les mettre en servitude.
Ces castings font certes sourire ceux qui ont encore un peu de culture, car il est douteux qu’on ait désormais le droit d’en rire en Europe de l’Ouest.
Mais qu’en sera-t-il demain des petits européens qui auront été essorés par la machine à « éducation inclusive », sevrés de théorie du genre et d’antiracisme obligatoires et lobotomisés à la sous-culture du portable ?
Croiront-ils que le roi Arthur était un migrant Erythréen et que Jeanne d’Arc entendait des Negro Spirituals avant d’aller bouter les Russes hors d’Ukraine ?
Si c’est le cas, la Super Classe Mondiale qui pilote les écrans aura gagné : ils ne seront plus Européens car ils auront aussi été remplacés dans leur tête.

Michel Geoffroy
22/08/2018

[1] Voir notamment Taken de Pierre Morel (2008)
[2] James Bond 007 contre Dr No de Terence Young (1962)
[3] Gran Torino (2008) de Clint Eastwood
[4] Voir par exemple l’Union Sacrée d’Alexandre Arcady (1989) où les méchants iraniens sont mis hors d’état de nuire par un policier maghrébin et un policier juif
[5] Par exemple Couvre Feu d’Edward Zwick (1998)
[6] Par exemple, dans 2012 de Roland Emmerich, le gentil physicien est incarné par l’acteur noir Chiwetel Ejiofor
[7] Voir par exemple Ocean Eleven de Steven Soderbergh( 2001)
[8] Dans 2012 de Roland Emmerich, le Président des Etats-Unis est incarné par l’acteur noir Danny Glover
[9] En 2100

Correspondance Polémia – 15/02/2018

Crédit photo : Montclair Film (CC BY 2.0) via Flickr

jeudi, 22 mars 2018

Le « grand remplacement » fait son cinéma

Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2018 

 

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Quel est le point commun entre Lancelot, Jules césar, la reine Marguerite d’Anjou et Jeanne d’Arc ? Certainement - entre autres - le fait que tous font partie de l’Histoire ou de la mythologie européenne. Aujourd’hui, un nouveau point commun leur a été trouvé: ils sont tous d’origine extra-européenne !

 

Si l'élection par le comité Jeanne d'Arc de Mathilde Edey Gamassou pour représenter la pucelle d'Orléans lors des prochaines fêtes johanniques a beaucoup fait parler, le fait que les autres personnalités historiques susmentionnées aient également été interprétées par des acteurs d’origine africaine est plutôt passé inaperçu chez nous.

 

C’est au Royaume-Uni que l’adaptation cinématographique de l’Histoire européenne a en premier été revisitée de façon multiculturelle. Dans la série télévisée « The Hollow Crown », une actrice nigérienne incarne la reine Marguerite d’Anjou. Il est peu probable qu’une souveraine anglaise ayant régné entre 1445 et1461 aie eu la peau noire, surtout lorsqu’il s’agit de la fille de René Ier d'Anjou, roi de Naples, duc d'Anjou, de Bar, de Lorraine et comte de Provence, et d'Isabelle Ire, duchesse de Lorraine.

 

Bien plus connu que Marguerite d’Anjou, Lancelot fait partie des mythiques chevaliers de la table ronde du roi Arthur. Un mythe fondateur pour le Royaume-Uni. Il est surtout connu par le roman courtois de Chrétien de Troyes, Lancelot le Chevalier de la charrette, et La légende du roi Arthur . Il est l'un des chevaliers de la Table Ronde, faisant ainsi partie du cycle du Graal. La légende de Lancelot a inspiré nombre de romans et de films jusqu’à aujourd’hui. En 2016, la série américaine « Once upon a time » produite par la chaine ABC a engagé un acteur noir pour le rôle du chevalier à la charrette…

 

Jules césar n’a pas non plus échappé aux retouches colorées des metteurs en scène. Il fut lui aussi interprété par un acteur noir lors d’une représentation au « Nashville Shakespeare Festival »en 2012.

 

L’interprétation de Jeanne d’arc par une jeune métisse de 17 ans n’est donc pas un cas sans précédent dans l’interprétation artistique d’événements historiques européens.

 

Mais pourquoi engager des acteurs noirs pour incarner des rôles de personnalités manifestement blanches ? S’agit-il d’une simple provocation ?

 

Le fait de donner actuellement des rôles de personnalités historiques européennes à des personnes de couleur dépasse en fait la simple provocation. N'est-ce pas aussi une attitude particulièrement perfide qui revient à imposer un discours raciste anti-blanc par le biais de la culture? Bien que nous soyons habitués à une attitude politiquement correcte outrancière de la part du milieu culturel, nous pouvons nous demander si l’interprétation de personnages blancs par des noirs (en contradiction totale avec l’Histoire) n’est pas simplement une autre illustration du grand remplacement des populations.

 

Albert Leimgruber, 22.3.2018

 

Source : lesobservateurs

samedi, 03 février 2018

Cinéma : Guy Bedos n’aura pas du mal à se mettre « dans la peau d’un Algérien »

Publié par Guy Jovelin le 03 féfrier 2018

Par  le 02/02/2018

 

Guy Bedos, l’acteur et humoriste né à Alger, jouera bientôt le rôle d’un Algérien dans le film « Une lettre pour Ambre » qui raconte l’histoire de la guerre de libération nationale en prônant la réconciliation des mémoires entre l’Algérie et la France. En visite à Alger, il s’est confié au quotidien El Watan.

Emmanuel Macron me déçoit par sa politique migratoire car la France se doit d’être plus accueillante et tolérante avec les migrants, ces pauvres gens qui fuient la guerre et la misère.

Vous avez passé récemment quelques jours à Alger. Comment étiez-vous accueilli par votre public algérois et les Algériens d’une manière générale ?

Comme à chacune de mes visites en Algérie, tout le monde me disait : «Bonjour mon frère, bienvenue chez vous» ! Dans la rue, les gens m’arrêtent pour prendre des photos ou juste pour m’embrasser. J’aime l’Algérie et le peuple algérien. Ils me le rendent bien. Je l’ai tout le temps dit : l’Algérie, c’est mon pays. A la veille de l’élection présidentielle française de 2017, j’ai dit que «si le Front national passe, je me réfugie en Algérie». Je vous assure que je ne plaisantais pas. […]

Je me suis baladé en ville et j’ai pris part, à ma manière, aux festivités. Toute la rue Didouche Mourad était en fête. On a discuté, mangé, chanté et dansé avec la population. J’ai découvert davantage de choses sur le patrimoine culturel et historique de mon pays de cœur. Je trouve ça bien que l’Algérie avance, s’ouvre et se réconcilie avec son histoire plurielle. […]

Vous allez être très prochainement à l’affiche d’un film sur la guerre d’Algérie dans lequel vous allez interpréter le rôle d’un Algérien. Que pouvez-vous nous dire sur ce projet ?

Je suis très heureux de pouvoir enfin être un Algérien à part entière, le temps de ce film, et j’en suis fier. Mais je tiens quand même à m’excuser auprès des acteurs algériens, très talentueux, et regrette de prendre ainsi la place de l’un d’entre eux qui pourrait jouer aussi bien ce rôle. Ceci dit, je n’aurais pas du mal à me mettre dans la peau d’un Algérien car j’ai toujours gardé au fond de moi une part importante de mon algérianité. 
[…]

El Watan via fdesouche

dimanche, 24 décembre 2017

Des enseignantes interrompent la projection d'une séance quand elles s'aperçoivent qu'il s'agit d'une histoire de Noël

Publié par Guy Jovelin le 24 décembre 2017

Etoile-de-noël"Le 13 décembre, un groupe scolaire de 83 écoliers du Langonnais assistait à une projection du film d’animation américain « L’Étoile de Noël » au cinéma Le Rio de Langon quand celle-ci a été interrompue à la demande des enseignantes. Elles se sont en effet aperçues qu’il y avait un problème de thématique et qu’il ne correspondait pas au choix qu’elles avaient fait.

Il est vrai que le synopsis de ce film de Timothy Reckart parle avant tout d’une histoire d’animaux : « Un petit âne courageux, Bo, rêve d’une vie meilleure loin du train-train quotidien du moulin du village. Un jour, il trouve le courage de se libérer pour vivre enfin la grande aventure avec une brebis, une colombe, trois chameaux déjantés et des animaux de la ferme, très excentriques… »

Mais on se rend compte au fil de l’histoire qu’il ne s’agit pas d’un film sur une légende de Noël mais sur l’histoire de la nativité, de la naissance de Jésus, du périple de Marie et Joseph jusqu’à Bethléem… Le film puise d’ailleurs son contenu dans les Évangiles, ce qui n’est pas laïque…

« J’avoue que je n’avais pas vu le film avant, il vient d’un grand studio américain », reconnaît le responsable du Rio, Emmanuel Raymond, qui a remboursé la séance. Les écoliers sont retournés en classe et une autre séance de cinéma aura lieu l’an prochain."

On espère que ces enseignantes passeront leur 25 décembre à corriger des copies.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 22 novembre 2017

Cinéma : le porno et la violence extrême, oui ! La cigarette, non !

Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2017

Auteur : admin4

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Alors que la France meurt et sombre dans le chaos, le gouvernement prépare une loi pour interdire… la cigarette dans les films… Tribune de Marie Delarue sur  bvoltaire :

« Jusqu’en février dernier – il y a moins d’un an, donc -, tout film qui « comporte des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence » était en principe automatiquement interdit aux moins de 18 ans. Considérée comme une offense à la liberté de création et une faveur accordée aux catholiques traditionalistes, cette mesure a été « adoucie » par un décret du gouvernement Hollande « afin de redonner plus de liberté d’appréciation à la commission de classification des films du Centre national du cinéma (CNC), chargée de donner des avis ».

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