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jeudi, 01 juin 2017

Génétique : les Égyptiens anciens ressemblaient plus à des Européens qu’à des Égyptiens d’aujourd’hui

Publié par Guy Jovelin le 01 juin 2017

Par le 31/05/2017 
 

L’analyse génétique révèle une relation étroite avec les pays du Moyen-Orient, mais pas avec l’Afrique centrale.

Les tombeaux de l’Égypte ancienne ont révélé des colliers d’or et des bracelets d’ivoire, mais un autre trésor – l’ADN humain – s’est révélé insaisissable. Maintenant, les scientifiques ont capturé des informations génomiques provenant de momies égyptiennes. Et ces informations démontrent que les momies étaient étroitement liées à l’ancien Moyen-Orient, indiquant que les Africains du Nord pourraient avoir des racines génétiques différentes des personnes au sud du désert du Sahara.

Les deux types de matériel génomique ont montré que les anciens Egyptiens partagent peu d’ADN avec les Africains subsahariens d’aujourd’hui. Au lieu de cela, leurs parents les plus proches étaient des personnes vivant pendant les années néolithique et de bronze dans une région connue sous le nom de Levant. D’une manière impressionnante, les momies étaient plus étroitement liées aux anciens Européens et Anatoliens qu’aux Egyptiens modernes.

Les résultats montrent que les parents les plus proches des momies étaient des anciens agriculteurs d’une région qui comprend l’Israël actuel et la Jordanie. Les Égyptiens modernes, en revanche, ont peu hérité de leur ADN mais plus de celui des Africains du centre.

Les découvertes archéologiques et les documents historiques suggèrent des liens étroits entre l’Égypte et le Moyen-Orient, mais « il est très agréable que cette étude ait maintenant fourni des preuves empiriques à ce niveau génétique », explique l’anthropologue évolutionniste Omer Gokcumen de l’Université d’Etat de New York à Buffle. (…)

Nature et Independent

 

Source : fdesouche

mercredi, 06 avril 2016

Les nouveaux « Collabos » et le Héros

Publié par Guy Jovelin le 6 avril 2016

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Dr Bernard Plouvier

En ce printemps de l’An 2016, les Européens de l’Ouest et ceux de l’Est s’opposent de façon caricaturale dans leurs rapports à l’islam conquérant et aux djihadistes.

À l’Ouest, rien de nouveau ! En Allemagne, une ex-violée de la Saint-Sylvestre déclare comprendre la frustration sexuelle des immigrés maghrébins et regrette d’avoir porté plainte. Le pape François hurle ses imprécations contre les Européens égoïstes qui refusent d’accueillir davantage d’Africains, noirs et maghrébins, de Proche et de Moyen-Orientaux… en majorité musulmans !

En France, on dépense quelques millions d’euros dans une grande campagne de lutte contre le racisme : Tous unis contre la haine, qui a pour but de faire croire aux crétins décérébrés que la France est peuplée de millions de vilains Blancs racistes, agressant, par simple joie de nuire, du gentil Noir, de l’adorable Maghrébin, du vertueux Turc (variantes : Proche- ou Moyen-Oriental). Cette coûteuse absurdité va jusqu’à nier l’existence même du racisme anti-Blancs.

Un ou une carriériste d’Air France veut faire porter le voile islamique aux hôtesses de l’air d’origine européenne pour les vols à destination de l’Iran ou qui en proviennent… et par la suite, on imagine que cette mesure de prostitution commerciale sera étendue aux lignes desservant les autres États islamiques.

On ne compte plus les mosquées, en Belgique, en France, en Scandinavie, où imams et oulémas gueulent tous les vendredis soirs leur haine de l’infidèle. Et pendant ce temps, d’honnêtes politiciens, à la recherche des voix d’immigrés, bradent terrains et bâtiments municipaux pour permettre l’édification de nouvelles mosquées (qui servent parfois aussi de salles de sport de combat).

En France, le porc est interdit dans les cantines scolaires et, bientôt, il sera difficile de trouver une viande qui ne soit pas halal.

En Belgique, à Molenbeek, des rejetons de l’immigration arabo-musulmane et congolaise se sont violemment affrontés à la police anti-émeute le 1er avril, ce qui a occasionné les habituelles scènes de pillage et de vandalisme, en plus de l’écrasement d’une Belge par un gentil chauffard maghrébin… les contribuables et les assurés belges paieront la note. Une élue locale, probablement hautement intellectualisée, a incriminé, non les émeutiers immigrés, mais des « fascistes ». Renseignements pris, des militants de Génération Identitairevoulaient manifester, mais ne l’ont pas fait : ils ont respecté l’interdiction qui leur avait été signifiée par le chef de la police du Grand Bruxelles. Mais les extra-Européens ont trouvé bonne l’occasion de démontrer ce dont ils sont capables à tout moment : rébellion, émeute raciale et destructions. Cela, c’est la façade Ouest de l’Europe.

À l’Est, une lueur d’espoir naît. Il existe, là-bas, un homme d’État qui a pris conscience du péril. Là-bas, il existe des héros prêts à mourir pour combattre l’islam conquérant. Pendant que les politiciens français, belges, allemands etc. donnent des milliards d’euros à la Turquie (où l’on tente de devenir une puissance nucléaire), des soldats russes se battent en Syrie, au sol et dans les airs, contre l’État Islamique, où le calife Abou Bakr II coordonne les attentats qui ensanglantent l’Europe.

Il y a quelques jours, le lieutenant russe Alexandre Prokhorenko s’est battu jusqu’à la mort face aux djihadistes. Sa mort glorieuse a enthousiasmé les vrais Européens. Quelque part à l’Est, l’on forme encore de vrais soldats, qui savent pourquoi ils se battent et qui le font jusqu’au sacrifice suprême s’il le faut, non pas dans des missions de police, mais en combattant le Mal à la racine.

À l’Ouest, clowns des media et pitres politiciens globalo-mondialistes pérorent sur un inexistant « péril fasciste » et sur la très curieuse « nécessité » d’accueillir encore des millions d’extra-Européens dans un continent en voie de paupérisation et en proie à un énorme chômage.

À l’Est, on envoie des troupes écraser le Mal, de façon à y réexpédier les réfugiés pour qu’ils puissent de nouveau vivre chez eux, pour moderniser leurs pays (Libye, Irak, Syrie, Afghanistan, Yémen etc.), en exploiter les richesses naturelles, échanger avec les pays développés le produit de leur travail et ne plus vivre en état de boulets économiques pour les peuples civilisés.

Le véritable humanisme est de pacifier les pays islamiques, ravagés depuis que George Bush Jr et Hussein Obama en ont donné l’ordre, de façon à ce que leurs ressortissants puissent travailler et entrer dans le monde du commerce équitable, valeur contre valeur, sans vivre aux crochets des Nations qui sont devenues prospères, en deux millénaires, à force de travail. Paix et Travail seront plus profitables à l’humanité que le triomphe d’une religion où un chef de très haute volée encourage ouvertement les assassinats et les attentats terroristes.    

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

vendredi, 18 septembre 2015

Crise migratoire : Faites le tour, pas la guerre

Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2015

 

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Désormais, les pays européens se classent en deux catégories, ceux qui agissent et ceux qui s’agitent. Ainsi, la Hongrie n’a pas attendu la catastrophe pour fermer ses frontières, quelque 200 migrants y ont sont restés bloqués ce mercredi. L’Allemagne et plusieurs autres pays contrôlent désormais leurs trains, leurs gares et leurs frontières. Mais en France, on se téléphone.

Pourtant, lundi encore la police hongroise enregistrait 9380 entrées selon le Figaro, avant la fermeture de sa barrière (4 mètres de haut et barbelés en prime). Mais mardi, 367 personnes ont été arrêtées pour avoir tenté un passage en force. Le délit est passible de trois à cinq ans de prison.

C’est pourquoi, plusieurs centaines de migrants ont déjà contourné la Hongrie pour pénétrer par la Croatie ce mercredi. La consigne circule à travers le fameux téléphone arabe : «faites le tour, pas la guerre». En prévision, la Hongrie a lancé dès mardi le chantier d’extension de sa clôture en direction de la Roumanie. Il est utile de rappeler que 200000 migrants sont passés par la Hongrie depuis le début de l’année.

En Croatie, la présidente Kolinda Grabar Kitarovic a d’urgence convoqué le Conseil de sécurité de son pays. Pourtant, le premier ministre croate Zoran Milanovic, a assuré devant son parlement que son pays allait permettre le passage sans encombre des migrants vers l’Europe occidentale : «Nous sommes prêts à accepter ces gens, quelles que soient leur religion et la couleur de leur peau, et à les diriger vers les destinations où ils souhaitent se rendre, l’Allemagne et la Scandinavie». Ce brave monsieur se prendrait-il pour Angela Merkel ?

En France, François Hollande s’est entretenu au téléphone avec la chancelière allemande. L’Allemagne, désormais suivie par l’Autriche et les pays de l’ex-bloc soviétique réclament la tenue d’un sommet extraordinaire de l’Union européenne, vu l’ampleur de la crise migratoire.

Après l’échec de la réunion des ministres de l’Intérieur européens, on peut douter d’un accord rapide entre les partenaires embrouillés de l’Union. «C’est au pied du mur qu’on reconnaît le maçon» disait avec une pointe d’ironie le grand maître du GODF à François Hollande après son élection.

Une chose est certaine : les migrants n’attendront pas 2017 pour entrer dans une France qui téléphone. C’est également au pied du mur qu’on fusille le condamné, il serait utile de s’en souvenir avant qu’il ne soit trop tard.

Source : http://24heuresactu.com/2015/09/17/crise-migratoire...

lundi, 11 août 2014

Le bras d’honneur du camarade Poutine

Publié par Guy Jovelin

Le billet de Patrick Parment

poutine.jpgIl ne fallait pas s’attendre à ce que Vladimir Poutine reste de marbre face aux sanctions décidées par Washington et suivies de près par les Toutous européens que nous sommes. Le ministère des Affaires étrangères russe a raison de déclarer que les Européens ne pèsent désormais plus rien sur l’échiquier international.

Le problème est que cet embargo sur les denrées alimentaires, décidé par Poutine, pénalise les Européens et fort peu les Américains. L’Europe est en effet l’un des premiers fournisseurs de la Russie en matière d’agroalimentaire. Ce qui risque, à court terme, de déstabiliser tout le marché intérieur européen. Ce dont, soi dit en passant, se fout complètement Barack Banania.

Quant aux Russes, ce ne sont pas les restrictions qui vont leur faire peur. Au contraire. Plus Poutine se montre intransigeant avec « l’Occident décadent » plus sa cote grimpe auprès des Russes. Voici de quoi faire avaler leur chapeau à tous les sociologues du ruisseau qui bavassent dans Libération ou Le Monde.

Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que la décision de Vladimir Poutine est d’ordre politique et qu’il en assumera les conséquences, s’apprêtant même à aller plus loin, si nécessaire. Par ce biais, Poutine met aussi en lumière l’état de dépendance dans lequel se trouvent les Européens vis-à-vis des Américains. Et il les invite à se réveiller,d’être enfin eux-mêmes. Ce langage-là, tous les Européens l’ont compris, sauf ceux qui nous gouvernent. Et c’est bien là le problème. Car toutes ces couilles molles qui nous gouvernent n’auront pas raison face à Poutine. Soixante-dix ans de communisme ont formé les Russes à tous les goulags. Le peuple russe n’est pas encore avachi par la société de consommation comme le sont les Américains et les Européens, vautrés dans leur confort anesthésiant. Et c’est bien là leur force. Ils sont encore un peuple avec une conscience nationale et le sentiment de partager le même destin. 

Les Européens se casseront les dents au petit jeu des embargos. Ca commence déjà. La presse nous entretient de la dérégulation du marché de l’agroalimentaire. Voici qui va venir s’ajouter à l’état catastrophique dans lequel se trouve notre pays.  Sarkozy avait déjà appuyé sur la pédale du déclin. François Hollande n’a plus de pédale du tout, il est le déclin à lui seul.

La rentrée sera chaude, Camarades !

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

lundi, 02 juin 2014

L’héritage des Européens selon les communistes de l’Éducation nationale

Publié par Guy Jovelin

 

A la question « qu'est-ce qu'être européen aujourd'hui ? », voici ce que répond le manuel : « c'est fondamentalement être des héritiers » :

- des Juifs (placés en premiers et associés à la « liberté de choix » « illustrée pour la première fois » dans le mythe adamique ;
- des Grecs réduits à la notion de « rationalité » dans une perspective maçonnique ;
- des chrétiens réduits à la notion « d’égalité de tous les êtres humains » très éloignée du catholicisme historique ;
- des Arabes qui nous auraient appris « la solidarité communautaire. »

Voilà de quoi l’Européen est l’héritier selon le manuel d’endoctrinement des éditions Vuibert au Concours Professeur des écoles.

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