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mardi, 15 novembre 2016

La France remet un prix de journalisme à un soutien d’Al-Qaïda

Publié par Guy Jovelin le 15 novembre 2016

Le reporters syrien primé, Hadi Abdullah, un proche du terroriste Shaykh Abdullah al-Muhaisany, a remporté le 6 novembre le Prix  Reporters sans frontières (RSF) de 2016

Al-Muhaysini, un clerc saoudien qui vient d’être désigné comme cible est le principal idéologue de al-Nusra en Syrie. Certains le considèrent comme le nouveau Osama Bin-Laden. On le voit sur l’image, à gauche, bras dessus bras dessous avec le chef d’Al-Qaeda en Syrie, le propagandiste et « journaliste » Hadi Abdullah.

 
Le reporters syrien Hadi Abdullah avec le chef terroriste Shaykh Abdullah al-Muhaisany

Le reporters syrien Hadi Abdullah avec le chef terroriste Shaykh Abdullah al-Muhaisany

Hadi Abdullah, ami du terroriste ciblé d’al-Qaïda nommé Muhaysini, vient de recevoir le prix Reporters sans frontières de 2016, une ONG financée par la fondation Soros. Est-ce que cela signifie que Hadi Abdullah est lui-même un homme de la CIA? Il ne serait pas le premier « journaliste » à l’être en Syrie.

Source

jeudi, 20 octobre 2016

La liberté d’expression plus que jamais menacée

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2016

19 octobre 2016 par Lionel

Alors que la France est en voie de décadence avancée, les autorités officielles, loin de s’attaquer aux causes de ce déclin, veulent au contraire s’en prendre à ceux qui les dénoncent, quand bien même ceux-ci n’ont pas de pouvoir et ne font qu’exprimer leurs points de vue. Bref, les autorités ne veulent pas d’un débat qui opposerait argument contre argument, mais la censure pure et simple de ceux qui ne pensent pas comme elles. Ainsi, par exemple, en matière d’avortement, le ministre Laurence Rossignol a voulu déposer un projet de loi pour réprimer ceux qui feraient un « délit d’entrave numérique » (sic). Serait susceptible d’être condamné pour cette entrave numérique quiconque aurait, sur internet, exposé des arguments qui ne siéraient pas à la doxa officielle du planning familial, car le ministre sait qu’un débat loyal lui ferait perdre la partie. Heureusement, ce délit d’entrave numérique n’est pas encore adopté mais une autre menace arrive, bien plus grave encore, car ce ne sont pas les seuls opposants à l’avortement qui sont visés mais quiconque émet un avis critique sur la société actuelle.

Ainsi, deux sénateurs (l’un républicain, l’autre socialiste) ont déposé un rapport qui pourrait devenir proposition de loi, intitulé (sans rire) « égalité et citoyenneté » et qui vise à démanteler la loi 1881 sur la liberté de la presse, loi qui protège a minima la liberté d’expression. La charge est telle que même des feuilles bien pensantes, tel le quotidien le monde, s’en inquiètent, parlant de « texte dangereux ». Et en effet, si un tel projet était adopté, on ne pourra plus rien dire de politiquement incorrect sans risquer de devoir comparaître devant un tribunal. Du reste, ses auteurs reconnaissent explicitement qu’ils visent l’espace de liberté qu’est internet, comme quoi, si la liberté fait partie officiellement de la devise républicaine, ses principaux ennemis sont au plus haut sommet de l’État, quand bien même ces derniers, ne craignant pas le ridicule, se disent Charlie…

 

Source : contre-info

samedi, 24 septembre 2016

Depardieu : la France est «un Disneyland peuplé d'imbéciles»

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2016

© ALEXA STANKOVIC Source: AFP
 

L'acteur, habitué aux déclarations fracassantes, a reproché à la France de se transformer en vaste centre touristique pour étrangers. Il a également déclaré apprécier le «côté hooligan» du président russe.

«Gégé» n'a semble-t-il plus beaucoup d'affection pour son pays natal. Dans un entretien accordé au journal italien Il Corriere della Sera daté du 22 septembre, le célébrissime acteur a déclaré que la France risquait «de devenir un Disneyland pour les étrangers, peuplé d'imbéciles qui font du vin et du fromage qui pue pour les touristes». Enfonçant le clou, l'interprète de Cyrano de Bergerac et d'Obélix a assuré qu'il n'y avait «plus de liberté» dans l'Hexagone, et que les gens y étaient «manipulés».

Le cinéma, domaine dans lequel la France excellait jadis, «n'existe plus» selon Gérard Depardieu, qui a dénoncé la pression exercée par les blockbusters américains sur le septième art. «Il y a un monde du divertissement, les gens, terrorisés par les Américains, ne savent plus quelle langue parler», a regretté l'acteur. «Il y a dix stars et elles sont toutes américaines. Leurs films bourrés d'effets spéciaux sont des jeux, et le reste du cinéma a du mal à exister», a-t-il encore déploré.

Les gens, terrorisés par les Américains, ne savent plus quelle langue parler

Interviewé à l'occasion de la sortie de la version italienne de son ouvrage autobiographique, la star a néanmoins tenu des propos élogieux à l'égard de l'Italie, qui selon lui, n'a pas perdu sa culture et son identité. «Parce que vous [les Italiens] êtes un pays jeune, né avec Garibaldi» (en 1861), a-t-il expliqué.

Titulaire d'un passeport russe depuis 2013, le monstre sacré du cinéma français a également trouvé l'occasion d'adresser un compliquent au président Vladimir Poutine, dont il a dit apprécier le «côté hooligan».

Un récidiviste du French bashing

Ce n'est pas la première fois que Gérard Depardieu se montre sévère vis-à-vis de la France. En mai dernier, l'artiste avait déclaré à Nice Matin : «Il y a tellement de merde en France que c'est très difficile d'y faire sa place, puisque l'on vous prend tout. On prend tout, y compris aux plus pauvres, surtout aux plus pauvres.»

 

Source : francais.rt

samedi, 10 septembre 2016

Opération Ronces… Un scoop qui n’en est pas un

Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2016

char-paris

Coup de tonnerre dans un ciel bleu horizon… Le journaliste Eric Zemmour a annoncé à la page 36 de son ouvrage « Un quinquennat pour rien » que des officiers français étaient formés en Israël pour un projet de reconquête militaire des banlieues, connu sous le nom de code « Opérationronces ». Dans une intervention radiophonique sur RTL mercredi, il comparait cette future mission militaire à la bataille d’Alger, mais inversée, déclarant nettement que la France était maintenant un pays colonisé, ajoutant à l’intention de Calvi qui était estomaqué : « C’est quelqu’un de très proche de l’état-major qui me l’a assuré. C’est la Bataille d’Alger qui recommencera. Je n’ai pas donné le nom de l’Opération Ronces en vain. Le plan est prêt ».

Ceci permet de comprendre le revirement d’une certaine frange de la communauté qui est passée en quelques années de « Touche pas à mon pote » à « Pas touche mon pote »… Ainsi, le 18 août 2015, le journaliste Michel Garroté, proche des milieux racialistes israéliens, déclarait que la gauche française basculait dans l’antiaméricanisme, l’antisémitisme et la dictature, relayant des propos tenus par l’historien sépharade Georges Bensoussan dans Le Figaro du 17 août : « Nous sommes en train d’assister en France à l’émergence de deux peuples au point que certains évoquent des germes de guerre civile. Dans le cadre de la préparation d’un nouvel ouvrage, j’ai été frappé en écoutant plusieurs de mes interlocuteurs de voir que l’expression ‘guerre civile’, qui aurait fait ricaner il y a dix ans ou surpris il y a cinq ans, est aujourd’hui dans les bouches d’un grand nombre, tant d’élus de terrain, de policiers, de médecins hospitaliers (service des urgences par exemple) ou de banlieue. Le sentiment que deux peuples sont en train de se former, côte à côte, et qui se regardent souvent avec hostilité, ce sentiment-là est aujourd’hui partagé par beaucoup ». D’autres intellectuels connus pour leurs idées arrêtées au sujet du Proche-Orient ont abondé dans ce sens : Ivan Rioufol dans Le Figaro du 8 janvier 2015 et Pascal Bruckner dans Le Point du 25 juin 2015. En novembre 2015, le général Didier Tauzin évoquait la possibilité d’une guerre ethnique et religieuse en France…

Le 1er juin 2016, l’armée créait le «  commandement Terre pour le territoire national (COM TN) » qui fit renaître de leurs cendres la 1re division et la 3e division de l’armée française, alors que l’échelle divisionnaire avait disparue lors de la grande réforme de 1999 qui intronisait la brigade. Cette création fut complétée par celle d’un commandement spécifique pour les forces spéciales et un autre pour les forces aéromobiles, c’est-à-dire la flotte d’hélicoptères d’attaque détenue à 95% par l’armée de terre, confié au général Bosser. Ce dernier déclara au sujet de son unité : « À sa tête, un état-major sera capable de mener des opérations de troisième dimension : raids en profondeur, flanc-garde ou opérations à caractère interarmes, comme l’utilisation d’hélicoptères de manœuvre pour transporter une force, saisir un pont, récupérer des otages, exfiltrer des personnes ».

L’Opération ronces est prévue depuis très longtemps. En 1992, la 8e division d’infanterie qui était alors en garnison à Lille, avait réalisé des manoeuvres militaires sur le thème suivant : « reprise de la ville de Roubaix sous contrôle de milices islamiques ». Cinq ans plus tard, en 1997, le colonel Emmanuel de Richoufftz, ancien commandant du 2e REI, réalisait un scénario similaire dans la ville de Brignoles. Rappelons aussi à toutes fin utile l’existence de la ville de Jeoffrécourt, cité imaginaire de 5.000 habitants bâtie dans l’enceinte de la base militaire de Sissonne, jadis garnison du 94erégiment d’infanterie. Cette « ville » est devenue le CENZUB-94e RI et dont la création – qui a coûté 80 millions d’euros – permet à 10.000 soldats par an, tant français qu’étrangers, d’être formée à la guerre urbaine dans un monde où 75 % de la population est citadine…

Visiblement, l’inéluctable nié dans les médias est pris en considération en haut lieu. Comme le dit avec justesse l’économiste Charles Sannat : « Préparez-vous, il est déjà trop tard… »

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 02 septembre 2016

« La France ne lui donne pas assez à manger » : le clandestin menace de mort des agents de la SNCF

Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2016

Par le 01/09/2016

A la suite d’un déclenchement d’alarme, deux contrôleurs du train reliant Marseille à Lyon sont intervenus dans un compartiment lors de l’arrêt en gare d’Avignon.

Deux individus, allongés sur des sièges, ont été suspectés d’être les auteurs de ces faits. Ils ont nié avoir tiré le signal d’alarme de façon intempestive. Sans billet, ils ont refusé de descendre en gare d’Avignon pour en acheter. Il était alors fait appel à la Surveillance générale (sûreté ferroviaire). Un des individus, très énervé, s’en est pris au contrôleur et à un agent de la Surveillance générale en l’insultant et le menaçant de mort.

Au poste de police, il a déclaré « qu’il n’avait rien à perdre, que la France ne lui donne pas assez à manger, ni de travail et qu’il fera couler le sang ». Il en profitait pour dégrader sa cellule de garde à vue. De nationalité camerounaise, le mis en cause est en situation irrégulière. Il fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. Entendu, il a reconnu s’être énervé et avoir menacé les contrôleurs car il avait déjà été verbalisé pour un voyage sans titre de transport mais a nié être l’auteur du déclenchement du signal d’alarme. Il fera l’objet d’une convocation par officier de police judiciaire prochainement.

Le Midi Libre

Merci à cathyB

 

Source : fdesouche