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On devrait se pencher plus souvent sur la presse économique, riche d’enseignements politiques, enseignements assez peu relayés par les autres médias mainstream. La preuve par le mensuel Challenges du mois d’août dernier et ce volumineux dossier intitulé « Iran, la face cachée de l’Eldorado ». Soit l’occasion pour le lecteur d’apprendre l’existence de l’UANI (United Against Nuclear Iran).
De quoi s’agit-il ? D’une discrète officine qui, depuis fin juin, « appelle Airbus, Air France, Renault, Total, Engie, Vinci à renoncer à leurs contrats en Iran, » tout en sommant Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale de « défendre les droits de l’homme » à l’occasion de son récent voyage à Téhéran.
Qui sont les responsables de ce puissant lobby ?
« Un coup d’œil à la liste des fondateurs et membres du conseil de surveillance de l’UANI met en évidence des motivations moins nobles. On y trouve l’ancien directeur de la CIA, James Woolsey, ainsi que d’anciens patrons du Mossad, Tamir Pardo et Meir Dagan (décédé en mars dernier), dont le mandat avait été marqué par l’assassinat ciblé de scientifiques iraniens. »
Et le mensuel en question de révéler, citant « un ponte français de l’intelligence économique » : « Cette ONG est le faux nez des faucons américains et de leurs alliés de la ligne dure du Likoud israélien. C’est organisé par une vingtaine de types à peine, mais après le traumatisme de l’amende de BNP Paribas, ça peut faire du dégât. »
À ce titre, on rappellera que cette banque avait dû s’acquitter d’une amende record de neuf milliards pour avoir « violé » l’embargo unilatéralement décidé par les USA sur l’Iran…
Il y a effectivement de quoi faire peur aux plus grandes entreprises françaises, ce d’autant plus qu’elles savent n’être que de loin protégées par la diplomatie élyséenne. Exemple ? Le groupe PSA, récemment obligé, sous pression de General Motors, son actionnaire américain et minoritaire, de rompre le contrat historique le liant au groupe Khodro, géant de l’automobile iranienne, à la grande indifférence de notre gouvernement et au ravissement des constructeurs d’outre-Atlantique qui en profitèrent alors pour prendre notre place…
Pis, les gigantesques transactions financières qu’impliquent de tels accords commerciaux demeurent encore et toujours, de près ou de loin, soumis au contrôle bancaire américain. D’où la nécessité pour la France de faire transiter ses fonds par de complexes réseaux pouvant impliquer Dubaï, la Chine ou la Russie ; ce qui implique un important surcoût financier et une évidente baisse de compétitivité pour les entreprises tricolores.
En attendant, que fait l’État ? Quel État, au fait ? Le nôtre ? Quand on voit celui dans lequel il se trouve, on comprend mieux. Et quand on constate celui des instances européennes, on ne comprend que trop bien…
La nuit de la Saint-Sylvestre 2015, tandis que des hordes d’immigrés presque tous musulmans s’attaquaient à des centaines d’Allemandes et en violaient des dizaines à Cologne, Hambourg et autres lieux, une crapule sabotait l’installation électrique de l’hôpital de Millau (dans l’Aveyron), risquant de bouter le feu à un centre de soins hébergeant une quarantaine de personnes.
Au mois de juin 2016, d’autres crapules, des gauchistes ameutés par des slogans de syndicalistes, ont brisé les fenêtres de l’hôpital Necker à Paris. Appelons les êtres et les choses correctement : une crapule est un être pervers – soit un individu qui est dangereux pour la santé d’autrui, éventuellement pour la sienne. S’attaquer à un centre de soins ou à un soignant, c’est volontairement ôter une chance d’être secouru à qui est malade, blessé ou en détresse.
On ne cesse de nous tympaniser lorsqu’une synagogue ou une mosquée sont vandalisées (en se moquant des dizaines d’églises et de cimetières chrétiens profanés chaque année depuis plus de dix ans). Il est infiniment plus grave de s’en prendre à l’organisation des soins. Tout le monde ne croit pas en une quelconque divinité… et les musulmans font tout pour que l’on haïsse le nom d’allah. Mais tout le monde a, un jour ou l’autre, besoin de se faire soigner.
En 1914-15 – ça n’a plus été le cas ensuite -, les médecins et brancardiers capturés par une armée ennemie lors d’opérations militaires étaient renvoyés dans leur pays d’origine, via la Suisse. Durant la guerre suivante où un degré de plus dans l’horreur fut escaladé, l’on filma des aviateurs alliés qui tiraient sur des ambulances, notamment lors du bombardement de terreur de Dresde, en février 1945… mais les esprits étaient chamboulés par l’état de guerre.
De nos jours, on n’hésite plus à s’attaquer aux vieillards et aux enfants, on saccage et on incendie par simple ivresse de puissance (toute temporaire soit-elle) et l’on s’en prend aux soignants ou aux malades.
Certes, depuis les années 1980, de nombreuses cités sont périodiquement mises à feu et à sang par les fruits pourris de l’immigration exotique. Certes, les crapules djihadistes assassinent à tout-va et d’autres crapules violent de façon pluriquotidienne en France.
Mais faut-il que des Blancs se jettent eux aussi dans la plus immonde barbarie ? Si des syndicalistes, des activistes trotskistes, des crétins désœuvrés ont un surcroît d’énergie à dépenser, qu’ils le fassent en organisant des milices d’autoprotection contre les trafiquants d’armes et de drogue, contre les racketteurs, contre les centres de prêche du Djihâd.
Si les Français de souche européenne se jettent aussi dans la bagarre, qu’au moins ils le fassent dans l’intérêt de la Nation et non pour le plus éculé des slogans, celui qui a provoqué directement 100 à 120 millions de morts au XXIe siècle : la sordide lutte des classes.
La France est en péril de destruction par l’islam djihadiste et par l’effet d’une immigration-invasion. C’est infiniment plus grave qu’un texte de loi mal torché, issu d’un pseudo-pouvoir qui a peu de chances d’être reconduit, l’an prochain, dans son exceptionnelle faculté de nuisance.
Dans la grande entreprise de réécriture de l’histoire de France par les partisans du « grand remplacement », la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constitue un argument de poids. Son résumé est clair : les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.
Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du « vivre ensemble » que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade, et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie.
Laissons donc parler les chiffres[1] :
1. Effectifs français (métropolitains et coloniaux)
- Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20% de la population française totale.
- Parmi ces 7,8 millions de Français, figuraient 73.000 Français d’Algérie, soit environ 20% de la population « pied-noir ».
- Les pertes françaises furent de 1.300 000 morts, soit 16,67% des effectifs.
- Les pertes des Français d’Algérie furent de 12.000 morts, soit 16,44% des effectifs.
2. Effectifs africains
- L’Afrique fournit dans son ensemble 407.000 hommes, soit 5,22 % de l’effectif global de l’armée française.
- Sur ces 407.000 hommes, 218.000 étaient des « indigènes » originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, soit 2% de la population de ces trois pays.
- Sur ces 218.000 hommes, on comptait 178.000 Algériens, soit 2,28 % de tous les effectifs français.
- L’Afrique noire fournit quant à elle, 189.000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français.
- Les pertes des unités nord africaines furent de 35.900 hommes, soit 16,47% des effectifs.
- Sur ces 35.900 morts, 23.000 étaient Algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc 17.98 % des effectifs mobilisés ou engagés.
- Les chiffres des pertes au sein des unités composées d’Africains sud-sahariens sont imprécis. L’estimation haute est de 35.000 morts, soit 18,51% des effectifs ; l’estimation basse est de 30 000 morts, soit 15.87%. Pour importants qu’ils soient, ces chiffres contredisent donc l’idée-reçue de « chair à canon » africaine. D’ailleurs, en 1917, aucune mutinerie ne se produisit dans les régiments coloniaux, qu’ils fussent composés d’Européens ou d’Africains.
Des Africains ont donc courageusement et même héroïquement participé aux combats de la « Grande Guerre ». Gloire à eux. Cependant, compte tenu des effectifs engagés, il est faux de prétendre qu’ils ont permis à la France de remporter la victoire. Un seul exemple : le 2° Corps colonial engagé à Verdun en 1916 était composé de 16 régiments. Les 2/3 d’entre eux étaient formés de Français mobilisés, dont 10 régiments de Zouaves composés très majoritairement de Français d’Algérie, et du RICM (Régiment d’infanterie coloniale du Maroc), unité alors très majoritairement européenne.
Autre idée-reçue utilisée par l’idéologie dominante : ce serait grâce aux ressources de l’Afrique que la France fut capable de soutenir l’effort de guerre. Cette affirmation est également fausse car, durant tout le conflit, si la France importa six millions de tonnes de marchandises diverses de son Empire, elle en importa 170 millions du reste du monde.
Conclusion durant la guerre de 1914-1918, l’Afrique fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22 % de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation.
La veulerie leucocytaire qui s’est emparée de nos « élites » n’a d’égale que leur xénophilie acculturée.
Depuis quelques années, la France est devenue le pays des contrastes fâcheux, comme l’illustration archétypique, mutatis mutandis, de ce qu’Orwell qualifiait de « doublepensée » (« doublethink ») appliquée à la rhétorique totalitaire.
Ainsi, ce 8 mai, deuxième dimanche du mois, vit-on un ministre du gouvernement Valls affecté de cultiver une union nationale de façade sous les auspices de Jeanne d’Arc. Ce 10 mai (date retenue, il y a dix ans, pour la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions), ce sera au tour de François Hollande de participer à une cérémonie de commémoration de l’abolition de l’esclavage à Paris, aux côtés de plusieurs membres du gouvernement. La France prétendument unie dans un cas, balkanisée et communautarisée dans un autre. On cherchera, en vain, une cohérence qui, depuis longtemps, faute de ne plus être la colonne vertébrale de l’action publique, transforme nos gouvernants en véritables mollusques de l’impolitique.
Quel trait commun entre Jeanne d’Arc boutant l’ennemi hors du royaume, il y a six cents ans, et un funeste sans-culotte républicain se vautrant dans une célébration hémiplégique de l’Histoire, laquelle est cyniquement et abondamment instrumentalisée par des associations complaisamment stipendiées, en dépit de (ou grâce à) leur haine ouvertement affichée pour notre nation (Les Indigènes de la République, le CRAN, etc.) ?
Tandis qu’à longueur de reportages télévisés, l’on ne cesse de vanter les mérites du Puy du Fou, deuxième parc d’attractions de France (derrière Disneyland Paris) en matière de fréquentation, on promeut, çà et là, comme à Évry cette semaine, des « actions » et autres « happenings » festifs, pseudo-culturels (on y proposera même des dictées en créole ; le wolof et le swahili semblent injustement discriminés !) mais pleinement diversitaires sur l’esclavage et sa bienheureuse abolition.
Le format de cette chronique nous interdit de rappeler que l’Histoire telle qu’elle s’est réellement déroulée n’est évidemment pas celle que l’anti France oligarchique s’évertue à nous enfoncer dans le crâne depuis deux lustres au moins sur cette épineuse question, soit depuis la loi « Taubira » du 23 mai 2001 reconnaissant « le caractère de crime contre l’humanité pour la traite négrière atlantique perpétrée à partir du XVe siècle ».
Mais l’on ne répétera jamais assez que cette « contre-Histoire » « méa-culpante » instillée comme un poison dans les millions de cerveaux consumés aux feux irrésistibles de l’hédonisme de marché a mithridatisé nos contemporains sommés implicitement d’acquiescer à ce détournement délibéré de la vérité historique.
L’historien Dimitri Casali reconnaît très justement que « la loi Taubira, en qualifiant de “génocide” un épisode historique survenu il y a plus de deux siècles, sans qu’on connaisse avec précision les victimes et les auteurs français, sème la haine et la division dans le cœur des Français »(L’Histoire de France interdite, Jean-Claude Lattès, 2012).
On ne saurait mieux dire, en effet, que la veulerie leucocytaire qui s’est emparée de nos « élites » n’a d’égale que leur xénophilie acculturée où l’obséquiosité le dispute avec le masochisme le plus consommé. La haine de soi est le plus sûr carburant du Grand Remplacement.
Ce samedi 7 mai avait lieu le 3e congrès du Parti de la France présidé par Carl Lang.
Des vétérans de l’ancien FN de l’époque du « Menhir » étaient présents, fidèles à leurs idées, sans compromissions ni dépoussiérages aussi excessifs que laborieux. Les anciens soldats, les soldats de toujours se tenaient fiers et droits avec leurs médailles sur la poitrine, tenant sans faillir le drapeau auquel ils ont consacré toute leur carrière.
Mais la jeunesse n’était pas en reste, cohabitant le plus naturellement du monde avec la vieille garde, unies dans un même amour charnel pour la patrie.
Car c’est tout simplement la France que le public et les militants étaient venus soutenir et défendre, la vraie France, celle des clochers et des coqs, celle du bon vin, de l’élégance, des libertés, celle qui des siècles durant a été le phare du monde.
Cette France qui « n’a jamais été aussi mal », comme l’a rappelé en préambule Roger Holeindre, co fondateur du FN, avant d’évoquer l’Algérie, ce pays où il avait en son temps créé un lieu visant à l’instruction de nombreux jeunes musulmans, ce territoire où pullulaient avant 1830 les maladies mortelles, l’esclavagisme et les guerres tribales avant que les Français n’aillent y construire des hôpitaux, des écoles, des routes, faisant monter en flèche la démographie d’un territoire en plein désarroi.
Il a fustigé la République et son évocation à toutes les sauces destinée à faire oublier que sous le vernis républicain se trouve la France, notre pays foulé aux pieds par des usuriers avides de gloriole. « Ils armeront les banlieues pour sauver les soi-disant valeurs de la République. Moi je ne connais pas les valeurs de la République, je connais les valeurs de la France ».
Les Francs-Maçons n’ont pas été en reste sur sa liste des coupables : « A Sidi Ferruch, le chef des Arabes est venu se présenter aux Français et il a dit ‘maintenant vous avez gagné’, nous prendrons la religion chrétienne, nous attendons vos missionnaires’. Et c’est le gouvernement à Paris, des Francs-Mac, qui ont refusé. Ils ont pris le chef des armées arabes et ils l’ont inscrit dans une loge maçonnique. Alors ça tombe bien parce qu’aujourd’hui, quels que soient les gens qui sont élus, c’est le programme des loges maçonniques qui est mis en avant en France et absolument aucun autre ».
Roger Holeindre s’est défendu ensuite d’être le diable, quoiqu’en disent les médias et les politiques, obligeant notamment le FN à montrer patte blanche au point de n’en plus avoir de patte du tout : « J’accuse ce gouvernement de tricherie, de mensonge et de trahison, lorsque Mme Le Pen se croit obligée de dédiaboliser le Front National, moi j’ai répondu immédiatement que je n’avais pas besoin d’être dédiabolisé. Cela voudrait dire que depuis 40 ans, mes amis et moi-même nous ne racontions que des balivernes. Ce que nous avons raconté depuis 40 ans est l’exacte vérité, et si cela avait été appliqué, la France ne serait pas dans l’état où elle est aujourd’hui ».
Il a enfin appelé à entrer en résistance pour sauver notre pays, non par les armes mais par notre motivation, par une « résistance morale », par l’affirmation sans rougir de ce que nous sommes.
Fernand Le Rachinel, lui aussi ancien du FN, a lui évoqué le triste tableau de l’abyssal déficit de l’Unedic grevé principalement par le budget alloué à l’existence même de Pôle Emploi, cet organisme tape à l’œil qui coûte une véritable fortune aux contribuables pour un piètre résultat.
Intervenait ensuite Katell Mautin, mère de famille nombreuse qui a rappelé l’importance de ne pas laisser à des tiers, notamment à l’Education Nationale, le soin de s’occuper de l’éducation des enfants en lieu et place de leurs parents, a fortiori de leur sexualité, l’enseignant devant se cantonner au seul rôle d’instructeur, un avis partagé par l’intervenant suivant Christian Baeckeroot, lui aussi ancien du FN, lequel a précisé qu’il n’y avait que dans les états totalitaires que l’Etat éduquait les enfants à la place de leurs parents. On se souviendra de l’énormité proférée d’ailleurs par Vincent Peillon, alors ministre de l’EN qui parlait « d’arracher l’enfant au déterminisme familial »…
L’orateur suivant, Eric Pinel, nous a narré cette histoire d’un homme qui avait commandé un portail en chêne pour sa maison, lequel souhaitait que son portail soit de fabrication française. Les chênes ont bien été abattus et coupés en France… avant de partir pour la Chine où ils ont été débités en billes, lesquelles ont été réexpédiées en France pour garantir la fabrication… française ! En période de forte sensibilisation à l’écologie, de fumisterie de COP 21 et autres campagnes de culpabilisation massive des Français, on ne pourra que s’étonner que le gouvernement ne légifère pas sur l’usage de telles pratiques
Le chouchou de la conférence a été ce beau et brillant garçon d’une vingtaine de printemps, très élégant dans son costume et particulièrement droit dans ses bottes. L’écouter fut une vraie bouffée d’air frais. Ce jeune militant du PDF, étudiant en médecine, nous a donné une leçon de bravoure inespérée pour son jeune âge. S’adressant à la jeunesse, il a demandé : « ne nous laissons pas nous, la jeunesse, culpabiliser par les tenants de la bien pensance ».
Evoquant Verdun et la hardiesse de nos Poilus, il a appelé à s’armer intellectuellement car l’arme morale, culturelle et intellectuelle va de pair avec la défense physique : « Apprenons à connaître notre civilisation, notre nation, et en tout premier lieu son Histoire. Car celui qui connaît l’Histoire de France, celui-là ne peut pas se laisser aussi indifféremment qu’actuellement conduire dans les poubelles de l’Histoire ».
Comme son aîné Roger Holeindre, lui aussi a fait part de son ras-le-bol des sempiternelles valeurs républicaines. Avec fougue il a asséné : « Ils nous emmerdent avec la République, ce n’est pas la République que l’on aime, c’est la France ! Ce n’est pas la République qui voit son identité dissoute et remplacée par des cultures étrangères, c’est la France ! ». Voilà qui était dit !
Une autre ancienne figure du Front National, Martine Lehideux a pesté contre l’invasion migratoire. Les immigrés italiens, polonais et autres venaient en France dans le but de travailler, aujourd’hui, les nouveaux immigrés viennent pour demander des logements, des aides… « Ils restent, ils demeurent, ils exigent »… « et ils obtiennent », contrairement, a t-elle rappelé, aux personnes âgées dans les campagnes qui vivotent avec un revenu de misère.
Refusant toute compromission de nos propres valeurs visant à nous faire adopter de force les fondements de la charia, elle a dit refuser dans notre pays la construction de mosquées, ces marqueurs de conquêtes mahométane, mais aussi l’imposition du voile et de toute autre culture contraire et hostile à la nôtre, car « non, la France n’est pas terre d’islam ! ».
L’avant-dernier intervenant a remporté un franc-succès au point d’être ovationné debout. Il s’agissait de Koen Dillen, fils du fondateur et représentant actuel du Vlaams Blok. Il nous a fait part de l’avancée terrifiante de l’islamisation dans son pays, chiffres à l’appui. La Belgique se meurt peu à peu, des quartiers entiers tombent sous la charia, des villes…
Pour clôturer cette journée, le président du PDF a fustigé Hollande et son gouvernement, un régime qui fabrique les conditions de la guerre et des « guerres de religion », mais aussi l’immigration et son corollaire l’islamisation de moins en moins rampante de la France : « Pas de charia chez nous ! », « l’islamisation de la France aujourd’hui ça suffit ! ».
Accusant « ceux qui organisent l’immigration de travail » qui sont « des criminels », il a rappelé que les Français devaient être prioritaires en tout dans leur propre pays, ce qui semble normal, vu que c’est ce qui se pratique dans tous les pays du monde, et que l’unité nationale était la garantie de la paix sociale.
« Si vous êtes pour l’Algérie aux Algériens, vous êtes un héros mais si vous réclamez la France aux Français, vous êtes un nazi ». Eh oui, quoi de plus délirant, n’est-ce pas ?
Bien sûr, à la sortie du Novotel de Bagnolet le cloaque de la réalité nous a cruellement rattrapés….