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samedi, 14 novembre 2015

Attentats : qui arrêtera de mentir ? Qui osera le mot qui tue ?

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2015

12239504_617633185076171_1502991418665079378_nDepuis cette nuit, la France est en deuil. Elle est en guerre, aussi. L'ennemi se déclare lui-même, annonce la couleur sans ambages, tue sur notre sol, nous sommes en guerre. La France ce matin se vêt de noir, elle est en deuil. Les politiques, chef de l'Etat en tête - il était bien dans son rôle - y sont allés de leur déclaration, le visage grave et le tweet épique; les larmes affleuraient.

Mais la gravité du moment, qui devrait électriser la France, la faire se réveiller en sursaut de cet affreux cauchemar, n'a pas suffi, politiques et médias dorment toujours, du sommeil nauséeux de l'alcoolique. Un mot, un seul, qui aurait pu montrer que la France a pris la mesure du danger, n'a pas été prononcé : le mot qui tue, le mot "islamique". Car c'est bien aux cris d'"Allah Ouakhbar" que des Français sont morts. Les alcooliques reprendront une dose accrue de Padamalgam, continueront de mentir par omission et... les islamistes recommenceront. Plus fort, plus grave, plus souvent. Notre-Dame de France, ayez pitié de la Fille aînée de l'Eglise de votre Fils.

Marie Bethanie

Le Salon Beige

mardi, 10 novembre 2015

France : les militaires bientôt autorisés à abattre les terroristes en pleine rue

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2015


Selon l’hebdomadaire, lors d’une intervention au sein de l’Assemblée nationale fin octobre, le chef d’état-major des armées françaises Pierre de Villiers a déclaré que la France, ainsi que d’autres pays européens, devraient prochainement faire face à « un niveau de menaces inédit depuis de nombreuses années« .
Dans ce contexte, M.de Villiers a affirmé que les forces de sécurité intérieure avaient besoin « d’un renfort substantiel et durable des forces armées« .

« Puisque nous avons affaire (à l’étranger, ndlr) aux mêmes terroristes, nous devons pouvoir recourir, le cas échéant, à des modes d’action qui s’inspirent de ceux utilisés à l’extérieur du territoire national« , a expliqué le général français cité par Le Canard Enchaîné.

En commentant ces propos, l’hebdomadaire concède qu’il serait « stupide » de nier la menace terroriste qui pèse sur la France mais s’inquiète de l’éventuelle présence sur les rues de soldats qui pourraient ouvrir le feu selon les nouvelles règles jugées cependant « très contraignantes » par un expert militaire cité par le CE.
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lundi, 09 novembre 2015

"L'HYMNE ALGÉRIEN UNE INJURE POUR LA FRANCE!"

Communiqué du Parti de la France Midi-Pyrénées

Rédigé par Franck Pech


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Le texte qui suit, est la traduction française de l'hymne Algérien (Kassaman, c'est à dire nous jurons).


Les paroles ont été écrites par Moufdi Zakaria, militant et poète nationaliste algérien, le 25 avril 1955;
Il faut préciser que cet hymne a régulièrement été joué lors de réceptions officielles sur notre territoire depuis l'indépendance de l'Algérie jusqu’à nos jours.


Le texte de cet hymne est édifiant, comment nos présidents de la République successifs depuis 1962, ont ils pu entendre ces appels à la haine contre la France, sans broncher, sans doute par intérêt, enjeux financiers et économiques, mais dans ce cas, ils ne méritent pas notre respect et ne doivent pas êtres considérés comme des patriotes, mais plutôt des traitres et des profiteurs!!


Certains passages ont été surlignés  pour bien montrer la haine anti-française et le coté prémonitoire de certains propos.
Mais jugez plutôt son contenu:


Traduction française (Nous jurons !)

   

Nous jurons ! par les tempêtes dévastatrices abattues sur nous
Par le sang pur généreusement versé
Par les éclatants étendards flottant au vent
Sur les cimes altières de nos fières montagnes
Que nous nous sommes dressés pour la vie ou la mort
Car nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins !


Nous sommes des combattants pour le triomphe du droit
Pour notre indépendance, nous sommes entrés en guerre
Nul ne prêtant oreilles à nos revendications
Nous les avons scandées au rythme des canons
Et martelées à la cadence des mitrailleuses
Car nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins !


Ô France ! le temps des palabres est révolu
Nous l'avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! voici notre réponse
Le verdict, Notre révolution le rendra
Car nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins !



Nos braves formeront les bataillons
Nos dépouilles seront la rançon de notre gloire
Et nos vies celles de notre immortalité
Nous lèverons bien haut notre drapeau au-dessus de nos têtes
Front de libération nous t'avons juré fidélité
Car nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins !


Des champs de bataille monte l'appel de la patrie
Écoutez le et obtempérez !
Écrivez-le avec le sang des martyrs !
Et enseignez-le aux générations à venir !
Ô Gloire ! Vers toi nous tendons la main !
Car nous avons décidé que l'Algérie vivra
Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins 
!

 

 

samedi, 07 novembre 2015

C’est dit : moins de bébés = plus d’immigrés

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2015

La vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.
 

On a tort de se prendre le chou : la vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.

Donc, les Françaises, cette année, ont fait moins de bébés : la natalité a baissé de 2,75 % sur les neuf premiers mois de l’année, ce qui constitue, paraît-il, le chiffre le plus bas depuis 1999. Là, je glisse une petite parenthèse : si les chiffres étaient bas en 1999, c’est parce que les Français ont majoritairement sauté en marche, réservant leurs gamètes pour le passage à l’an 2000… À corréler sans doute avec le boom sur la vente de préservatifs, mais c’est une donnée qui n’intéresse pas nos statisticiens.

Donc, disais-je, on a entendu ce matin sur les radios cette information alarmante : bien que demeurant en tête (ex æquo avec l’Irlande) des nations fécondes en Europe, la France fait moins de bébés.

Avec 569.000 nouveaux petits Français, notre pays serait donc en grave péril. Toutefois, comme l’explique au Parisien la dame de l’INSEE, « il faut se méfier des données brutes, surtout provisoires ». J’allais le dire. D’autant qu’on n’est jamais à l’abri d’un effet Charlie, et que les Français, s’étant consolés sous la couette après les ouragans compassionnels du début d’année, pourraient nous valoir un baby-boom post-traumatique dans les semaines qui viennent.

Qu’importe, les médias – et le gouvernement ? – ont déjà tiré de ces chiffres la conclusion qui s’impose. Car notre pays, s’il a enregistré cette année moins de naissances, a vu aussi augmenter ses morts. Les anciens ont en effet en plus grand nombre abandonné la partie :

1) À cause de la grippe contre laquelle ils n’avaient pas voulu se faire vacciner (ouh, les vilains !) avec un vaccin dont il convient de rappeler qu’il était inefficace.

2) À cause de la chaleur estivale qui-prouve-bien-le-réchauffement-climatique et patati et bla-bla-bla, justifiant au passage le licenciement de l’affreux climato-sceptique Philippe Verdier.

Alors ? Ah ah ! Alors c’est bien simple, comme le disait Adeline François ce mercredi matin sur RTL : s’il y a moins de naissances et plus de morts, c’est bien la preuve qu’il nous faut accueillir en masse des immigrés ! Parce que la vie, hein, c’est simple comme une soustraction. Et que pour revenir à zéro, il faut ajouter ici ce qu’on a retiré là. CQFD.

Cette opération-là porte un nom : d’aucuns l’appellent le « Grand Remplacement ». Ils se sont même retrouvés au tribunal pour avoir osé l’employer.

Si l’on dit « substitution de population », est-ce qu’on évite la prison ?

 

dimanche, 01 novembre 2015

FRANCE, LE PAYS OÙ IL NE FAIT PLUS BON VIVRE ?

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2015


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Dr Bernard Plouvier Métamag cliquez ici

Un sondage, mené cet automne en milieu estudiantin dans divers pays d’Europe et d’Amérique du Nord, classe la France au 19ème rang des pays « où il fait bon vivre », loin derrière de nombreux pays réputés moins riches. Est-ce étonnant ?

Il est bien loin le temps où les Allemands disaient : « Heureux comme Dieu en France »… à moins que, par une géniale anticipation, ils n’évoquaient la situation en Gaules d’un Allah exotique au XXIe siècle. Lorsque l’on a connu la France des années 1960-80 – c’est l’un des rares privilèges que l’on obtienne par la vieillesse -, l’on peut très facilement comprendre la dégringolade en matière d’attraction pour les étrangers hautement désirables (les gens honnêtes, intelligents et travailleurs) et l’entrée dans la zone de répulsion, éprouvée par des Français autochtones de grande qualification technique et de haute valeur morale. Pourquoi vivraient-ils dans une France aveulie et se complaisant dans sa médiocrité, envahie d’extra-Européens de comportement agressif, voire parasitaire, et continuant inlassablement d’en accueillir de nouveaux ?
 
À partir de 1981, de soi-disant socialistes ont fait entrer la France dans le monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle. Les politiciens de la droite molle et du centre marécageux ont poursuivi ce chemin, pavé d’or pour eux-mêmes et leurs familles, à défaut de l’être pour la Nation. Délocalisations d’entreprises, restructurations et « plans sociaux » ont fait passer le chômage réel (pas obligatoirement celui annoncé par les organismes truqueurs de statistiques) d’1,5 million en avril 1981, à 3 millions en 1983 et à plus de 5,3 millions de nos jours. Beaucoup de chômeurs, gavés d’allocations et de stages de formation plus ou moins utiles, se sont contentés d’engraisser, de s’alcooliser et de vivoter sans projet d’avenir. En 2015, des centaines de milliers de Français diplômés d’Université sont chômeurs ou sous-employés (donc sous-payés), insatisfaits, indéniablement aigris.
 
On conçoit que l’attraction soit faible pour des Européens ou des Canadiens cherchant un lieu de vie étranger et qu’une répulsion se fasse jour chez de nombreux diplômés autochtones aventureux. C’est le schéma inverse de ce que l’on constatait durant les années 1970-80.
 
Il est une autre cause à cette double désaffection : l’immigration-invasion des Africains (noirs et maghrébins) et des Moyen-Orientaux, apportant avec eux leurs haines racistes anti-Blancs, leur religion médiévale, fanatique et conquérante, l’islam, important sur le sol français la guérilla – par définition extra-européenne – entre Juifs et musulmans, au nom de la lutte antisioniste, indifférente par essence à tout Français autochtone.
 
À terme, soit dans un demi-siècle, même sans l’intervention des terroriste « fous d’Allah », par le simple jeu de la différence de rythmes de reproduction entre autochtones victimes de la sottise féministe et immigrés à la démographie de primitifs, il est évident que l’on assistera au « génocide mou », à la substitution de population dominante, à l’instauration d’un État islamique en France (et en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne etc.). 

Les Français, veules autant que sottement accueillants, auront transformé en un Enfer, régi par la charîa, ce qui avait été, sinon un Éden, du moins un pays où, en dépit de querelles politiques et sociales devenues avec le temps non sanglantes, il faisait bon vivre.

On peut soit constater tristement le résultat logique du sondage évoqué plus haut, voire reconnaître qu’une 19ème place, c’est peut-être inespéré, quand l’on sait ce qui se passe à Roubaix, Marseille, Montpellier, Tours-Nord et Joué-lès-Tours, Rouen-Sottevilleetc. (soit plus d’un millier de « cités de non-droit », dominées par ce que l’on appelle à bon droit la « racaille immigrée »), soit s’insurger, ce qui revient à chasser les politiciens ineptes, inaptes et corrompus, renvoyer massivement les extra-Européens dans leurs continents d’origine (Afrique, Proche-Orient, Asie du Sud-Ouest) – en conservant les Extrême-Orientaux travailleurs et calmes s’ils se plaisent chez nous et demeurent en faible nombre -, enfin se lancer dans l’aventure de l’union des nations autochtones d’Europe… c’est, pour les vrais Européens, le défi du XXIème siècle.