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samedi, 06 août 2016

Immigration : le père Henri Boulad rappelle les limites de l’hospitalité

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2016

 

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Le père Henri Boulad consacre une homélie aux limites de l’hospitalité et évoque, par analogie, l’immigration qui envahit l’Europe.

Une réplique pleine de bon sens à ceux qui dénaturent le sens de la charité et réclament l’accueil sans condition de toujours plus d’immigrés.

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 20 juillet 2016

Toulouse, Paris, Bruxelles, Nice : 100 % des terroristes sont issus de l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2016

19 juillet 2016 par Bucheron

 

Source : contre-info

samedi, 16 juillet 2016

L’attentat de Nice est l’œuvre de l’immigration, du laxisme judiciaire et de l’ambiance anti-France

Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2016

15 juillet 2016 par Lionel

Pour comprendre l’attentat de Nice, il faut s’interroger sur son auteur, un certain Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, et il en ressort 24 heures après les faits qu’il y a trois responsables : L’immigration, le laxisme judiciaire et la haine entretenue par les migrants contre le pays hôte.

L’immigration : Mohamed Lahouaiej-Bouhlel est né le 3 janvier 1985 à M’Saken (Tunisie), est donc un immigré, sa présence en France n’est que la conséquence de la politique pro-immigration mise en œuvre depuis 40 ans. Tous les hommes politiques successifs qui l’ont encouragée ont donc une part de responsabilité dans le carnage niçois, puisque si une autre politique migratoire avait été menée, ce personnage n’aurait pas été sur le sol français. De plus, sa carte de séjour avait été obtenue le 15 janvier 2009 et n’avait pas été révoquée suite à ses démêlés judiciaires. Car, on en arrive au deuxième point, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait eu maille à partir avec la justice, ce qui ne l’a nullement inquiété pour rester en France.

Le laxisme judiciaire. Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été condamné pour violences conjugales, menaces, vol et dégradations et, en mars dernier, pour violence avec armes contre Jean-Baptiste Xiemenes, en l’agressant à coups de batte de baseball. Selon ce dernier, qui est dépité, il devait faire 6 mois de prison, qu’il n’a évidemment pas faits. Donc si Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été là où il aurait dû être -en prison-, cet attentat n’aurait pas eu lieu. Le terroriste peut dire merci au juge d’application des peines qui lui a permis de réaliser sa tache, tout comme à M. Sarkozy qui a abrogé l’expulsion des étrangers condamnés car paraît-il, cela était une double peine, et était donc discriminatoire par rapport aux Français de souche.

La haine entretenue par les allogènes -et nullement combattue voire encouragée- contre le pays hôte. Vingt-quatre heures après les faits, il semble qu’il n’y ait pas de motivation religieuse à cet attentat : L’auteur était un piètre musulman : (Selon son cousin, il ne faisait pas ses prières, ne respectait pas le ramadan, n’allait pas à la mosquée, buvait de l’alcool et, -impensable pour un musulman- mangeait du porc). Quoiqu’il en soit, Daesh n’a, à cette heure, pas revendiqué l’attentat (l’auteur ne semble pas avoir enregistré de vidéo de mise en scène avant de commettre son forfait), il n’était pas fiché S par les services du renseignement et n’était donc pas considéré comme radicalisé. Certes, pour agir, il s’est servi des conseils de Daesh, mais, semble-t-il, uniquement comme modus operandi, nullement à des fins religieuses. Se pose alors la question du pourquoi ?
En réalité, nombre d’immigrés s’estiment discriminés en France, encouragés en cela par le gouvernement qui ne cesse de répéter qu’il existe des discriminations voire du racisme dont ils seraient victimes, évidemment sans en apporter la moindre once de preuve. Cela crée un ressentiment chez ces allogènes qui expliquent leurs échecs non à cause des décisions qu’eux-mêmes prennent, mais à cause des supposées discriminations ou du supposé racisme. Par ailleurs, certains partis, tel le PIR (parti des indigènes de la république) utilisent ces discours officiels pour entretenir un discours raciste anti-Blanc et haineux à l’égard de la France. L’hypothèse selon laquelle Mohamed Lahouaiej Bouhlel, dont la vie n’était pas épanouie, ait pu nourrir une haine du pays hôte paraît crédible, son acte s’apparentant comme une vengeance vis à vis du pays qui l’a accueilli, mais pas rendu heureux.

 

Source : contre-info

dimanche, 05 juin 2016

Pour les médias il n’y a aucun problème d’immigration en France

Publié par Guy Jovelin le 5 juin 2016

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Jean-Yves Le Gallou

Pour les médias, ni le Grand Remplacement de population, ni le Grand Remplacement civilisationnel n’existent. Et si les médias l’affirment les hommes politiques « convenables »… le répètent comme des perroquets. Juppé, Mélenchon ou Philippot vous le confirmeront. Le Grand Remplacement n’existe pas, foi d’autruche ! Le vice-président du Front national l’a redit sur BFM TV le 30 mai : « Je ne parle pas comme ça [c’est vrai que ce ne serait pas chic pour un petit marquis] parce que c’est flou, je ne sais pas ce qu’on y met derrière. »

C’est sûr, le Grand Remplacement, c’est « flou », c’est un fantasme et même un « fantasme complotiste » (le même Philippot au JDD en 2014).

Alors ne bêlons plus ! Ouvrons les yeux ! Sortons la tête du sable :

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Angleterre mais le nouveau maire de Londres s’appelle Sadik Khan. Ce musulman pakistanais a été élu à la suite du départ en 10 ans de 600.000 Britanniques de souche, des cockneys, des quartiers de l’est.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Belgique : comme chacun sait, les Flamands et les Wallons se partagent toujours Molenbeek.

Il n’y a pas de Grand Remplacement Gare du Nord à Paris et il n’y a que Nadine Morano pour s’y croire en Afrique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en Seine-Saint-Denis mais on y voit de moins en moins de femmes ne portant pas le voile islamique.

Il n’y a pas de Grand Remplacement en France mais, en 2015, le président du CFCM, le Conseil français du culte musulman, a demandé de transformer des églises en mosquées.

Cela ne vous suffit pas ? Vous voulez des statistiques ?

En voici quelques-unes !

Oui, il y a Grand Remplacement dans les abattoirs où plus de 50% des animaux de boucherie sont tués dans d’atroces souffrances, sans étourdissement préalable.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les prisons où plus de 50% des détenus sont musulmans et où les Français de souche représentent moins de 30% des effectifs.

Oui, il y a Grand Remplacement dans les maternités. Les statistiques médicales confirment ce qu’on y voit. Les médecins y dépistent la drépanocytose chez les nouveau-nés qui ne sont pas d’origine européenne. Voici les chiffres : 20% des nouveau-nés étaient dépistés en France en 2001, 37% en 2014. Les chiffres montent à 50% en Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur et 66% en Ile-de-France.

Quant à imaginer que cela serait sans conséquences c’est nier le réel : de même qu’il y a des pommes sous les pommiers, les Africains africanisent et les musulmans islamisent.

Les Français sont confrontés à une difficulté majeure : le déni de réalité de la classe médiatique et, à sa remorque, de la classe politique. Tous partis confondus ?

Via Les Villes contre l'islamisation cliquez là

 

Source : synthesenationale

mercredi, 09 mars 2016

Immigration : cette loi votée en catimini qui élargit le droit du sol

Publié par Guy Jovelin le 9 mars 2016

Assemblee Nationale

Immigration : cette loi votée en catimini qui élargit le droit du sol

FIGAROVOX/TRIBUNE – En pleine crise migratoire européenne, la loi publiée au journal officiel le 8 mars 2016 affaiblit l’Etat dans la lutte contre l’immigration illégale, estime Alexis Théas.

Jamais aucune loi sur l’immigration n’a connu un destin aussi étrange que la loi n°2016-274 publiée le 8 mars 2016 au journal officiel. Cette loi, en chantier depuis près de deux ans, a fait l’objet d’un silence absolu des médias, de la presse, du monde politique. Le Front national, nourri depuis trente-cinq ans du thème de l’immigration est totalement muet. Les Républicains n’en soufflent mot. Le gouvernement et les socialistes ne fanfaronnent pas non plus. Lors du vote final de cette loi à l’Assemblée nationale, l’hémicycle était quasiment vide: un seul député de l’opposition (Les Républicains) pour une dizaine de socialistes, tandis que les deux députés d’extrême droite brillaient par leur absence… Or ce texte fondamental bouleverse le droit des étrangers dans le sens de l’ouverture et de l’accueil.

« Cette réforme, adoptée en catimini dans le dos des Français, alors que plusieurs pays d’Europe renforcent la rigueur de leurs lois sur l’immigration irrégulière, est un nouveau coup dur pour la démocratie. »


Ainsi, son article 59, élargit l’accès à la nationalité française par le droit du sol, en introduisant une innovation majeure qui modifie sensiblement le droit français de la nationalité. Il ouvre la nationalité française à leur majorité, aux personnes vivant sur le territoire français «depuis l’âge de six ans et ayant suivi leur scolarité obligatoire en France […] lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française [par le droit du sol].» Cette loi crée ainsi une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française, un droit du sol dérivé, indirect, transmis par le lien de fratrie, qui ne nécessite pas d’être né sur le territoire français, mais d’avoir un frère ou sœur devenu lui-même français par le droit du sol.

Son article 13 concerne les personnes en situation irrégulière, malades sur le territoire français. Il prévoit en faveur de tout étranger malade et en situation illégale, un droit à la régularisation si «eu égard à l’offre de soins et aux caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire, il ne pourrait pas y bénéficier effectivement d’un traitement approprié». Un étranger en situation irrégulière en France qui n’a pas les moyens personnels d’être soigné dans son pays d’origine, obtient ainsi le droit à une régularisation et donc celui d’être soigné en France. L’intention est certes généreuse mais une telle mesure risque d’entraîner un appel d’air d’une ampleur inconnue.

L’article 17 de la loi crée une carte de séjour pluriannuelle de quatre (ou deux ans) qui sera délivrée «au terme d’une première année de séjour régulier». Jusqu’alors, le système français reposait sur la délivrance d’une carte de séjour d’un an renouvelable pendant cinq ans, avant d’accéder au titre de résident de dix ans. Les cinq ans de séjour temporaire constituaient une période probatoire, destinée à s’assurer d’une bonne intégration. Désormais, dès l’expiration du visa de long séjour d’un an, l’étranger obtient le droit à un titre de séjour consolidé, ne nécessitant pas un renouvellement annuel, d’une durée de quatre années, avant l’obtention du titre de dix ans.

L’article 33 chamboule le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière.

L’article 33 chamboule le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière. Il supprime la rétention administrative de cinq jours pendant laquelle le préfet peut décider de garder un étranger en situation irrégulière en rétention, le temps d’organiser son départ. Celle-ci passe à 48 heures, une durée bien entendu insuffisante pour organiser le retour d’une personne dans son pays. Seul le juge des libertés, traditionnellement ultralibéral en matière de droit des étrangers, pourra autoriser une prolongation de cette durée. En outre, la nouvelle loi interdit, sauf exception, le placement en rétention des familles avec enfant.

En pleine crise migratoire européenne, la loi socialiste du 8 mars 2016 affaiblit l’Etat dans la lutte contre l’immigration illégale. Aujourd’hui, seule une décision de reconduite à la frontière sur quatre prises par les préfets est appliquée (environ 15000 par an). Avec le nouveau dispositif, la paralysie du système ne peut que s’aggraver. Alors pourquoi une telle omerta sur un sujet aussi sensible? Le silence général face à cette réforme reflète la situation politique. Le pouvoir socialiste n’est pas fier de cette concession à sa base militante, qui contraste si fortement avec ses postures de fermeté. Les leaders de droite veulent à tout prix éviter de se salir les mains en cette période décisive pour leur avenir personnel, tout comme d’ailleurs ceux d’extrême droite, plongés dans la course à la «dédiabolisation».

Cette réforme, adoptée en catimini dans le dos des Français, alors que plusieurs pays d’Europe renforcent la rigueur de leurs lois sur l’immigration irrégulière, est un nouveau coup dur pour la démocratie.

Alexis Théas

 

Source : Le FigaroVox, > Voix Politique,