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lundi, 20 novembre 2017

L’Aquila (Italie) : le maire refuse l’attribution de logements pour les migrants et préfère les réserver aux Italiens démunis

Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2017

« Des maisons pour les migrants plutôt que pour les sinistrés du tremblement de terre ? Le maire de L’Aquila dit non. »

L’annonce provient de la page Facebook de Giorgia Meloni (leader du parti de droite Fratelli d’Italia), à propos d’un maire dont elle fut la marraine politique et qu’elle a vu remporter les élections à L’Aquila, sous la bannière de Fratelli d’Italia.

Un maire, Pierluigi Biondi, qui a annulé un arrêté qui octroyait l’attribution de logements communaux aux migrants, cela a été décidé par l’administration précédente.

Sur les 50 premiers logements sociaux, grâce aux critères définis par la précédente majorité, 40 auraient été attribués à des demandeurs d’asile.

« A L’Aquila, dans une ville ravagée par le tremblement de terre !”, s’indigne Meloni qui poursuit: “Et cela aurait même permis à ces étrangers d’y obtenir le droit de résidence principale. Mais vous vous rendez compte ? Heureusement est arrivée une administration sérieuse et cette folie a été stoppée. Les maisons reviendront aux familles de L’Aquila sinistrées par le séisme. »

Secolo d’Italia via fdesouche

mercredi, 09 août 2017

Italie. Naples : 8 jeunes migrants africains ont séquestré et menacé le responsable du centre qui les hébergeait

Publié par Guy Jovelin le 09 août 2017

migrant

Les migrants ont bloqué l’entrée du centre avec des meubles. Ils ont séquestré le responsable dans son bureau, et lui ont ordonné de leur remettre de l’argent et leurs documents personnels sinon ils mettront le feu au centre.

La police est intervenu et a libéré le responsable puis a arrêté

Il Gazzettino via Fdesouche.com

mardi, 08 août 2017

Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée !

Publié par Guy Jovelin le 08 août 2017

 

 

2910916609.3.jpgQuelles que soient les objurgations morales, les prétentions éthiques, qui surabondent, il était prévisible que face à ce qui est bien une invasion migratoire massive de l'Europe, l'emploi de la force - donc de la force armée - finirait, un jour ou l'autre, par s'imposer.

Bien entendu, on ne tirerait pas sur les migrants mais l'on chargerait les militaires et les marins de détruire les embarcations destinées à les transporter, de neutraliser les passeurs ; et même de se confronter aux associations de bonnes âmes qui n'ayant de charité que pour l'étranger quel qu'il soit et point du tout pour les populations européennes malheureuses de ne plus se sentir chez elles, d'y perdre leur identité, prêtent assistance à la transhumance migratoire et à ceux qui se sont organisés pour en faire un très lucratif commerce.

Il devait donc arriver un jour où les choses seraient devenues si graves, si massives et si intenables que l'on devrait y mettre un terme par la force. Il est possible que ce jour soit arrivé. Ou très prêt d'être arrivé.

C'est ce dont témoigne la réaction italienne en Méditerranée où c'est par la force que les marins italiens refoulent les embarcations des migrants quittant les côtes libyennes; par la force aussi qu'ils bloquent les navires des ONG qui sont en mer pour - en fait - sécuriser et favoriser les passages. Tel le sulfureux Aquarius français ou le l'allemand Juventa. Quant à lui, Médecins Sans Frontières n'est pas seulement en action  pour soigner des malades parmi des populations lointaines mais, en l'occurrence, par idéologie, pour prêter la main aux migrations africaines et orientales vers l'Europe.

Seulement, l'Italie est à bout. Migrants et ONG sont désormais considérés et traités pour ce qu'ils sont. Des adversaires, des envahisseurs et leurs complices.

Il y a tout lieu de penser que cette évolution de l'attitude des Européens face à cette invasion tendra graduellement à s'amplifier.

L'Italie montre la voie parce qu'elle est en première ligne, qu'il y a plusieurs années maintenant qu'elle est saturée d'arrivées massives de migrants, et qu'elle n'en veut plus.

Le dernier recours, en pareille extrémité, est toujours la force; la force armée. L'Italie s'est décidée à y recourir. Elle ne fait que montrer la voie à l'Europe et l'on ne peut que l'en féliciter. 

 

Source : lafautearousseau

mercredi, 12 juillet 2017

L’Italie ferme ses portes du Sud … et ouvre celles d’Hannibal

 

you-shall-not-pass-petit
 
Alors que nous pensions qu’enfin le gouvernement italien avait compris que le sauvetage industriel des bateaux de migrants était mortel pour l’Europe… il nous faut déchanter, il s’agissait d’un faux espoir.

En effet, il n’en est rien, l’invasion de l’Europe par les migrants arrivant en Italie va continuer. La nouvelle folie consiste juste à acheminer les bateaux de sauvetage des migrants vers les ports du Nord, de préférence vers Trieste, ainsi l’invasion migratoire n’aura plus à traverser toute l’Italie. Les envahisseurs africains seront plus proches de leurs destinations finales, c’est à-dire la Suisse, l’Allemagne, la Belgique... Renzi demande également à l’Espagne et à la France d’ouvrir leurs ports.

C’est une nouvelle qui devrait secouer les Européens, mais les autochtones sont dans un tel état de torpeur qu’ils ne réagiraient même pas si l’Etat islamique débarquait, tous drapeaux déployés. La Ligue du Nord, l’Autriche, la Slovénie sont très, très énervées par ce projet, vu la proximité de leurs frontières et ce que cela  signifie du point de vue sécuritaire, sanitaire, etc.

L’Autriche qui n’a accepté qu’une cinquantaine de migrants depuis 2 ans, elle a envoyé 750 soldats et des blindés aux frontières concernées. Nous devinons ce qui pend au nez de la Suisse, avec Simonetta aux commandes...
Les journalistes n’arrêtent pas de dire à la population que les demandes d’asile n’ont jamais été aussi basses depuis des années ! Qui peut croire à ces balivernes ? 
Est-ce que les migrants ne s’enregistrent même plus dans les centres ad hoc ? 
De toute manière, ils détruisent leurs papiers d’identité avant de s’enregistrer. Non enregistrés, ils sont juste doublement illégaux.

À l’heure actuelle, la seule question importante qui peut encore se poser est la suivante : est-ce que la civilisation européenne est capable de s’organiser pour stopper cette invasion puis la repousser ?
 Si la réponse est négative, nous, les Européens, allons tous couler à plus ou moins brève échéance.

Cenator

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Face à l'afflux de migrants, l'Italie menace de fermer ses ports  

Par Jean-Jacques Mevel, publié le 02/07/2017

Rome réclame l'aide urgente de ses voisins européens et les appelle à ouvrir leurs ports aux bateaux secourant les migrants. Les ministres de l'Intérieur français, allemand et italien se sont réunis dimanche soir à Paris pour discuter d'une «approche coordonnée».

L'Italie a vu déferler une vague de 10.000 migrants africains en 48 heures la semaine dernière et elle en a assez d'attendre un partage du fardeau. La France, l'Espagne et aussi l'Allemagne vont devoir calmer sa colère après un vrai coup de semonce: Rome pourrait interdire les côtes italiennes à une partie des irréguliers, obligeant les voisins méditerranéens à les accueillir directement pour la première fois.

La menace, formulée en coulisse mais pas confirmée par le gouvernement Gentiloni, suffit à déclencher un branle-bas diplomatique. Il débute dimanche à Paris, avec un rendez-vous d'urgence des trois ministres de l'Intérieur français, allemand et italien. Jeudi, les mêmes tenteront une fois encore de trouver avec leurs 25  collègues de l'UE une issue au dilemme qui hante la crise migratoire: comment aider les pays de première ligne, comme l'Italie et la Grèce, sans les soulager d'au moins une partie des irréguliers ? La discussion se prolongera sans doute au sommet du G20, vendredi à Hambourg.

Les Africains débarqués au sud de l'Italie sont avant tout des migrants «économiques». Ils sont voués à l'expulsion à terme, à la différence des bénéficiaires du droit d'asile comme les réfugiés de guerre syriens. Mais ni Marseille ni Barcelone ne seraient enthousiastes à les recevoir même provisoirement, comme le font aujourd'hui les ports de Sicile et de Calabre. D'autant que les chiffres explosent: l'Italie en a déjà accueilli plus de 80.000 cette année, un tiers de plus qu'au premier semestre 2016.

Marseille sollicitée?

La majorité des nouveaux arrivants sont recueillis en mer, non loin des côtes libyennes, par les bâtiments militaires et civils de deux opérations de sauvetage de l'UE, «Sophia» et «Triton». Le mandat est clair et Rome ne le conteste pas: ces migrants continueront d'être débarqués sur le sol italien. Le cas des bateaux affrétés par les ONG françaises, espagnoles ou allemandes est plus ambigu. De plus en plus nombreux, ils peuvent recueillir jusqu'à la moitié des irréguliers. Ils sont aussi plus difficiles à contrôler. La diplomatie italienne soutient que le pays de pavillon devrait être le pays de débarquement des migrants. Comprendre: la France, l'Espagne voire la République fédérale…

«On ne peut pas prendre toute la misère du monde, mais chacun doit prendre sa part. C'est bien de cela qu'il s'agit»

Emmanuel Macron, la semaine dernière à Berlin

Le sujet sera discuté cette semaine par Paolo Gentiloni et Jean-Claude Juncker, le patron de la Commission. À ses yeux, l'Italie et la Grèce «ne peuvent plus être laissées seules en première ligne». Bruxelles légitime l'inquiétude de l'Italie, mobilise de nouveaux financements et se prépare, le cas échéant, à modifier les règles de débarquement pour les ONG. La France et l'Espagne font la moue. Le président Macron, pourtant, fait une ouverture: «On ne peut pas prendre toute la misère du monde, mais chacun doit prendre sa part. C'est bien de cela qu'il s'agit», disait-il la semaine dernière à Berlin, empruntant une formule chère à Michel Rocard.

Pression politique

En cas d'échec, il y a peu de risques que l'Italie interdise finalement l'entrée des pavillons étrangers dans ses ports, veut croire Bruxelles. Rome force l'admiration pour la tâche accomplie depuis trois ans, avec l'accueil de 500.000  migrants et réfugiés. Un geste de mauvaise humeur pourrait tout gâcher, déchirer profondément l'UE et infliger un spectacle encore plus désolant en Méditerranée.

Dans la Botte pourtant, la pression politique n'est pas près de se relâcher, avec en vue des élections générales au plus tard au printemps 2018. Le Parti démocratique de Matteo Renzi, au pouvoir, se sent chaque jour plus vulnérable sur le dossier brûlant de l'immigration. Silvio Berlusconi et l'inclassable Beppe Grillo multiplient les attaques. Alors que les offensives électorales du populisme et de l'extrême droite viennent de se briser en Autriche, aux Pays-Bas et en France, l'Italie craint au contraire d'être deux fois perdante. Elle attend un geste politique de ses voisins. «Macron, au secours! Les populistes reviennent…», titrait il y a quelques jours La Stampa, le grand quotidien du Nord.

Source : lesobservateurs via  Le Figaro

samedi, 08 juillet 2017

Les immigrés voyagent gratuitement en train pour venir d’Italie en France

D’Italie en France, les immigrés illégaux voyagent gratuitement en train.