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dimanche, 28 octobre 2018

Allemagne : Un migrant a tenté de tuer un enfant en le jetant sous un train. Depuis, le garçon traumatisé « crie » lorsqu’il aperçoit « des gens de couleur ».

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 20185

Par  le 27/10/2018 
 

Allemagne – Il a attrapé un enfant qu’il ne connaissant pas et qu’il a brusquement arraché à sa mère, puis s’est jeté avec lui sous un train qui arrivait en gare.

Depuis mardi, l’homme, un migrant indien qui vivait à Gelsenkirchen, est jugé pour tentative de meurtre et blessures corporelles dangereuses.

L’assaillant a sauté devant un train en marche avec un enfant dans les bras. Devant les yeux de la famille de la petite victime. L’homme s’est couché sur les rails, en tenant l’enfant.

Selon le ministère public, ce n’est que grâce à une coïncidence heureuse et à la rapidité d’action du conducteur que le garçon n’a subi que des blessures mineures à la tête. Si le train était allé un peu plus loin, le choc aurait été fatal.

L’Indien de 23 ans a tenté « insidieusement de tuer un être humain », déclare le bureau du procureur de la République.

Le père Christian V. (34 ans) a déclaré au tribunal : « Mon fils m’a confié plus tard que l’agresseur lui avait dit qu’il voulait l’emmener à la mort ». Après l’arrêt du train, le père a sauté sur les rails et a récupéré son fils.

Le tribunal de district examine le placement permanent de l’accusé, Jagdeep S., dans un service psychiatrique fermé.

Sandro, la victime âgée de 5 ans, souffre encore aujourd’hui de l’agression qu’il a subie. Son père déclaré : « Quand des gens s’approchent rapidement de lui ou ont la peau foncée, il crie, s’accroche à nous. On ne peut plus prendre le train. Il en a peur. »

Sa mère Daniela V. (24 ans) est toujours très choquée. En larmes, elle a dû interrompre son témoignage devant le tribunal et s’est évanouie dans le hall.

 

BILD via fdesouche

samedi, 08 juillet 2017

Les immigrés voyagent gratuitement en train pour venir d’Italie en France

D’Italie en France, les immigrés illégaux voyagent gratuitement en train.

 

mercredi, 14 juin 2017

La novlangue s’empare des transports

Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2017

Rédigé par notre équipe le 13 juin 2017.

 
 
 
La SNCF et la RATP sont entrées dans une nouvelle ère. Celle où les mots ne veulent plus rien dire et où les changements de noms doivent cacher une réalité qui ne fait plus rêver. La SNCF peine à maintenir son réseau qui faisait la fierté de tout un pays et transforme le TGV en InOui… La RATP, quant à elle, ne veut plus parler de RER, mais de train… Les agences de communication font du sacré bon boulot !

Fin mai, la SNCF annonçait fièrement qu’à partir du 2 juillet 2017, les TGV allaient faire peau neuve et devenir InOui. Plus de train à grande vitesse, il est désormais de bon ton de s’extasier devant une technologie qui à plus de 30 ans d’âge. Un nom vide de sens qui est un bon rappel de l’époque dans laquelle nous vivons. Il ne manque plus qu’un pouce levé comme sur Facebook pour que la SNCF entre pleinement dans le train de la modernité.

 Qu’est-ce qu’un train ?

InOui c’est aussi des rames rénovées où il sera possible de se connecter au Wifi et même de choisir son siège ! La belle affaire ! Sous prétexte de rattraper son retard sur les autres grandes compagnies ferroviaires européennes, la SNCF tente de faire croire à une révolution technologique sans précédent grâce à un coup de peinture et du Wifi pour les clients près à payer plus. Comme la ficelle est un peu grosse, on recrute une agence de communication chargée de trouver un nom assez minable pour que toute l’attention se porte dessus. Et contrairement aux affirmations de la SCNF, InOui se limite bien à un changement de nom.

Malheureusement, la novlangue fait des émules dans le domaine des transports et on apprend que la RATP songe sérieusement à changer les fameux « RER » (Réseau Express Régional) en « train ». Désormais, prendre le train signifiera faire le trajet entre Paris et Trappes. De quoi faire baisser drastiquement le nombre de voyageurs si on s’en tient au nouveau fantasme linguistique du STIF (Syndicat des Transports d’Ile-de-France). Ce dernier explique cette réflexion (qui n’aurait pas dû fuiter) par le fait que les gens ne comprendraient pas toujours la distinction entre le RER et les trains.

Une farce qui va coûter cher car il va falloir changer tous les panneaux de signalisation et la communication qui va avec. En d’autres mots, certaines agences vont rafler des millions pour un lifting totalement inutile. A qui profite le crime ? Apparemment à beaucoup, car cette mesure insensée a été prise sous la direction du PS Jean-Paul Huchon et la pseudo réflexion se poursuit sous celle de la Républicaine Valérie Pécresse. Les échanges de bons mots sont pour les caméras, mais lorsque certains intérêts sont à défendre, ils sont tous dans le même panier !

Pourquoi cette déferlante de novlangue ? Uniquement pour donner l’illusion que les choses changent, que le progrès est en marche et que les gros mastodontes comme la SNCF se modernisent. Un cache-sexe bien ridicule qui coûte affreusement cher et que les élites ne remettent pas en question. Il faut suivre la ligne du foutage de gueule et bercer sans cesse un peuple qui ne demande qu’à être convaincu. Il s’agit de changer la réalité en la désignant autrement. Un RER est un train, un TGV est un InOui. A ce rythme là, les mauvaises langues pourraient bien qualifier En Marche d’UMPS ! Mais chut ! Ceci n’est pas une vérité officielle.

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 07 janvier 2016

Versailles : un viol évité de justesse dans un train

Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2016

Illustration. Une femme a échappé de justesse à un viol grâce à l'intervention d'un passager. 
 

Terreur dans le train entre Paris et Dreux (Eure-et-Loir). Deux Afghans, de 21 et 45 ans, ont été mis en examen, samedi 19 décembre à Versailles (Yvelines), pour tentative de viol avant d'être écroués. La justice leur reproche d'avoir, le 9 décembre dernier, alors que le train circule entre Versailles et Houdan, tenté de violer collectivement une jeune femme de 28 ans.

Ce soir-là, Cindy, qui travaille dans une supérette de Versailles, monte dans la voiture déserte du train. Une dizaine d'Afghans, qui étaient montés à la gare de Paris Montparnasse, se trouvent déjà dans ce train. Trois d'entre eux profitent de son isolement et commencent à l'importuner. Cindy change de place. Le trio la suit. La jeune femme terrorisée est tétanisée. L'un des trois hommes en profite pour se livrer à des attouchements tandis qu'un autre l'étrangle en serrant son écharpe. Le troisième sort un couteau et l'approche de son visage. Les agresseurs commencent à la déshabiller. Ils auraient certainement continué leur forfait si un voyageur n'avait pas surpris la scène. Le passager n'hésite pas à intervenir et parvient à faire descendre Cindy du train à la gare de Houdan (Yvelines), qui se réfugie alors dans un restaurant. « Elle a été très traumatisée par cette agression, précise une source proche de l'affaire. Les urgences médicolégales lui ont accordé dix jours d'incapacité totale de travail (ITT). »

Un des trois agresseurs toujours en fuite

Les enquêteurs de la brigade des transports sont chargés des investigations. Les trois suspects sont identifiés grâce aux images de vidéosurveillance recueillies à la gare Montparnasse. Ces migrants ont élu domicile dans un foyer Adoma où ils partagent une chambre. Le 17 décembre, deux des trois violeurs présumés sont interpellés et placés en garde à vue à Paris.

Les deux hommes nient avoir commis l'agression sexuelle. Mais Cindy les a formellement identifiés. Ils expliquent que ce jour-là, le groupe était parti en virée au bois de Boulogne pour rencontrer des homosexuels et des travestis afin d'avoir des relations sexuelles « tarifées ou consenties ». Ces hommes se présentent comme des réfugiés politiques et expliquent avoir quitté l'Afghanistan à cause des talibans qui leur auraient demandé de commettre des crimes contre l'Occident. L'enquête confiée à un juge d'instruction se poursuit, afin de tenter d'identifier et d'interpeller un agresseur qui court toujours.

Le Parisien

mercredi, 26 août 2015

Après l’apprenti-terroriste du Thalys, un « déséquilibré » menace d’égorger les passagers dans le TGV Strasbourg-Roissy

Publié par Guy Jovelin le 26 août 2015

Après l’apprenti-terroriste du Thalys, un « déséquilibré » menace d’égorger les passagers dans le TGV Strasbourg-RoissyLoi des séries ? Mimétisme ? Orchestration destinée à nous faire avaler de nouvelles lois liberticides ? Après...

 

 

Lire la suite : http://www.medias-presse.info/apres-lapprenti-terroriste-...