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mercredi, 16 mai 2018

La justice ose sauver la tête de Cahuzac !

Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2018

Rédigé par notre équipe le 15 mai 2018


C’est une décision de justice qui était attendue avec impatience. Jérôme Cahuzac, l’ancien ministre délégué au Budget, ami de Hollande, collègue et frère de pensée de Macron était devant la cour d’appel de Paris pour répondre de ses forfaits. Finalement condamné à quatre ans de prison dont deux ferme, le politicien socialiste peut remercier la justice pour sa clémence. En effet, cette condamnation n’en n’est pas vraiment une puisqu’il ne passera pas par la case prison… 

En politique, on peut mentir, truquer, en détail et en bloc sans jamais sentir les balles siffler près de ses oreilles. Beaucoup font des carrières pendant des décennies ainsi, mais le ministre du Budget de Hollande n’a pas réussi à être aussi malin que ses collègues. Il faut aussi dire à sa décharge que Cahuzac a été plombé par un ego surdimensionné et une liste conséquente d’actes illégaux enfin passés au crible par la justice. Résultat des courses, la carrière de ce pauvre Jérôme a été balayée et son casier judiciaire bien rempli. Pourtant…

Une vraie-fausse condamnation

En première instance, Cahuzac avait écopé de trois ans de prison ferme. Un coup dur pour celui qui se croyait tout puissant et qui détenait bien des secrets inavouables grâce à son poste sensible au Gouvernement. Un ministre en prison ? Impossible dans notre République irréprochable, alors un appel avait été fait d’emblée pour sauver la liberté et l’honneur d’un homme pas tout à fait intègre ! Pendant des mois, ses avocats ont travaillé d’arrache-pied pour sauver sa tête et le célèbre Eric Dupond-Moretti peut enfin souffler devant les caméras venus s’abreuver de ses bonnes paroles.

Le défenseur surnommé « Acquittateur » explique : « C’est un réelle victoire de la justice, cette décision est équilibrée, elle rappelle la gravité des faits, le mensonge de Jérôme Cahuzac, sa responsabilité dans toute sa plénitude. Elle rappelle aussi sa personnalité, sa fragilité et ses failles (…) La Cour, tout en le condamnant à de l’emprisonnement, permet qu’il y ait un aménagement de cette peine. Ce n’est pas acquis, il faut saisir une autre juridiction, le juge d’application des peines. (…) Jérôme Cahuzac ne mérite pas d’aller en prison ». Une victoire de la justice ? Vraiment ?

En condamnant l’ancien ministre à quatre ans de prison dont deux ferme, la cour d’appel a été moins sévère que le jugement en première instance. En effet, à partir d’une condamnation à deux ans de prison, il suffit d’un petit coup de fil pour transformer deux années derrière les barreaux en liberté surveillée. A la limite, Cahuzac aura un bracelet électronique à porter – c’est toujours moins lourd que la culpabilité et la honte d’un individu qui se dit encore choqué de l’acharnement dont il aurait été victime. Sauf que si acharnement il y a, il n’est pas du fait de la justice.

Un recours en cassation alimentera-t-elle encore la chronique judiciaire ? Pas certain tant la clémence de la cour d’appel soulage un homme au pouvoir de nuisance réel. Le parquet ne se lancera pas dans une telle procédure, car la condamnation a coché toutes les cases du symbolisme. Le bon peuple croit ainsi que justice a été rendue et qu’elle ne faiblit pas contre les puissants. Finalement le seul vrai coup porté à Cahuzac est l’amende de 300 000 euros qu’il devra payer. Pour un homme qui aime autant l’argent, la somme n’est pas anodine. Quant aux cinq années d’inéligibilité, elles sont juste là pour compléter le tableau du symbolisme judiciaire.

En résumé, c’est un grand ouf de soulagement ! Les apparences sont sauves et les politiciens les plus véreux ont ainsi eu la confirmation qu’en tutoyant les sommets, la chute, si chute il y a, ne les conduira jamais dans les enfers. Décidément, la politique est un bien beau métier !

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 29 avril 2018

UN GENERAL BOSNIAQUE RATTRAPE PAR LA JUSTICE

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2018

samedi 28 avril 2018par Michel Dantan

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Il aura fallu deux décennies pour que les crimes de guerre imputés à l’ancien commandant du 5e corps de l’armée bosniaque commis pendant la guerre civile de Bosnie entre 1992 et 1995 soient enfin pris en considération par la justice de Bosnie-Herzégovine. Un délai que le Président de la Républica Serpska, Milorad Dodic n’hésite pas un instant à mettre sur le compte des protections dont le présumé coupable aurait bénéficié tout ce temps et qui lui ont permis de se soustraire à la justice pourtant informée dés 1999 des crimes qui lui sont reprochés. En effet l’officine du TPIY à Sarajevo avait déja eu connaissance des pièces du dossier incriminant le commandant, mais le tribunal de la Haye n’en avait pas tenu compte, probablement sous la pression des américains ( ce qu’ils démentent formellement) dont l’intérêt n’était pas que celui ci raconte aux juges comment par exemple sur l’aéroport de Tuzla des tonnes de matériels militaires étaient livrés aux troupes d’Alija Izbegovic et comment les américains entraînaient les volontaires musulmans intégrés dans l’armée bosniaque. La position des américains aurait-elle changé. Les semaines à venir le diront. En attendant, c’est un dossier de 8000 pages que les juges devront étudiés, dans lesquelles sont recensés les centaines de civiles et de soldats serbes tués notamment pendant l’ opération Maestral du 8 au 17 septembre 1995 conduite dans la région située à l’Est de la poche de Bihac par le 5e corps de l’armée bosniaque associés aux troupes de l’armée croate. Plusieurs centaines de témoignages concernant les municipalités de Petrovac, Bosanski Krupa, Sanski Most et Klic qui furent le théâtre d’exactions, de même qu’une trentaine de villages incendiés, devraient fournir suffisamment de preuves établissant la réalité des faits et permettre aux juges de confondre leur auteur. Parmi ces documents figurent de nombreuses vidéos dont l’une accessible sur le site de RT où l’on voit le commandant Atif Dudakovic ordonner l’exécution de deux prisonniers serbes(1). Atif Dudakovic ne semble rien avoir perdu de la violeence des sentiments anti serbes qui l’animaient pendant la guerre civile en Bosnie. On l’a vu en effet ces derniers temps à maintes reprises inviter ses compatriotes âgés de 17 à 99 ans à revêtir un uniforme et à s’équiper en armes pour se préparer dit-il à affronter ceux qui selon lui appelleraient à la création d’une Grande Serbie. Des déclarations fracassantes qui ont créé un malaise à Sarajevo et qui peut-être ne sont pas étrangères à son arrestation. 11 anciens officiers de l’armée de Bosnie-Herzégovine ont également été arrêtés pour répondre de crimes présumés commis pendant la même période.

(1) https://youtu.be/5hLgUH_60Fk

 

Source : national-hebdo

mercredi, 18 avril 2018

Justice ou harcèlement indécent ?

Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2018

 

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 Bernard Plouvier

Il est évident pour tout observateur goy que la haine vengeresse de la communauté juive reste pleine et entière à propos de la Shoah. Cela peut se comprendre même si d’autres génocides n’ont bénéficié ni de la même publicité ni des mêmes réparations : on pense au génocide des peuples de l’antique Canaan, à celui des Allemands au cours de la Guerre de trente ans (1618-1648), à celui – tellement occulté en France - des « Vendéens », exterminés en 1793-94 etc.

L’Ancien Testament nous l’apprend : toute offense faite à la « race élue de Yahvé » doit se payer de flots de sang et sur le très long terme. Toutefois, nous autres Européens ne vivons pas au Moyen-Orient et ne sommes pas régis par le Code d’Hammourabi et sa resucée mosaïque. Il est une certaine décence à respecter.    

Que le génocide d’une partie des Juifs d’Europe ait été l’une de ces monstruosités historiques, au même titre que les abominables tueries de civils entraînées par toutes les guerres (lisez ou relisez L’Exode et le Livre de Josué, les descriptions hallucinantes des tueries des soudards ottomans à Constantinople et en terres danubiennes, de ceux de Napoléon Ier en Espagne, de ceux de Sherman et de Sheridan dans les États confédérés), nul ne le conteste, hormis quelques hallucinés.

Que les révisionnistes aient eu raison de contester les chiffres grotesques énoncés par l’accusation au Tribunal Militaire Interallié de Nuremberg, nul ne peut désormais le contester. Pour l’exemple d’Auschwitz, énorme complexe concentrationnaire, un accusateur made in USA évoquait « 4 millions de morts, dont au moins 2 millions de Juifs ». On sait maintenant que, fort heureusement, les chiffres, tout en étant considérables, effroyables, n’avaient pas cet ordre de grandeur hallucinant : on évoque 1 million de morts (plus ou moins 100 000, car il s’agit d’une estimation et nullement d’une certitude) de toutes nationalités et ethnies.

Que les années 1939-1945 n’aient pas été des années d’humanisme, mais bien au contraire une époque horrible de fer, de feu et de sang, tout le monde le sait. Mais les Allemands n’eurent en aucun cas le monopole du carnage et de l’horreur.

On aurait pu s’attendre à ce que durant la 2e décennie du XXIe siècle, des esprits mûrs, sensés, réfléchis évitent d’en « remettre une couche », puisqu’après tout nous sommes saturés de ce « devoir de mémoire » qui n’a nullement empêché de se produire une multitude de guerres et de génocides depuis 1945. Et d’autant moins que la communauté juive a été saturée de commémorations, de réparations pécuniaires, et de traitements de faveur par les media, au point que nul, en Occident, n’ose attaquer un Juif coupable de crapuleries sexuelles ou de canailleries financières et que l’État d’Israël est statutairement innocent de tout crime.

Et pourtant, l’année 2015, l’on a condamné à 4 ans de prison un aide-comptable d’Auschwitz : Oskar Gröning. Il est mort en mars 2018, à 96 ans, juste avant son incarcération. Calculons : s’il avait survécu au harcèlement judiciaire, il aurait été libéré pour ses Cent Ans !

Et l’on remet cela. L’on s’attaque à un ex-SS, qui avait 19 ans lorsqu’il servait comme garde à Auschwitz. Cet homme de 94 ans doit être prochainement traduit devant le Tribunal des mineurs de Mannheim - la majorité pénale était de 21 ans en Allemagne nazie.

Va-t-on enfin rendre à la Justice européenne un peu de décence ? Certes, les « crimes contre l’humanité » sont imprescriptibles, en vertu d’une loi à caractère rétroactif. Mais dans ce cas, citons devant une Cour internationale les mânes de messieurs Moïse et Josué, Gengis Khan et Tamerlan, et tous les assassins marxistes : « Lénine », « Trotski », « Staline », Kaganovitch, Mao Tsé-toung, « Pol Pot », Castro et on en oublie.

Il n’est nullement question d’oublier les génocides si nombreux de l’histoire d’Homo sapiens sapiens, l’assassin de l’Homo sapiens neandertalensis. Mais doit-on continuer à ridiculiser la « Justice » européenne ? C’est une bonne question.

 

Source : synthesenationale

vendredi, 10 novembre 2017

Déradicalisation : le gouvernement dévoile son dispositif secret

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017

Par Auteurvaleursactuelles.com 

/ Jeudi 9 novembre 2017 à 23:40

 
 Nicole Belloubet, la ministre de la Justice. Photo © AFP

Société. Ce jeudi 9 novembre, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a levé le voile sur un dispositif de déradicalisation lancé il y a un an dans le plus grand secret.

Peu de gens le savent, mais il y a un an, le gouvernement a lancé un dispositif de déradicalisation dans le plus grand secret. Baptisé “Recherche et intervention sur les violences extrémistes” (Rive), ce dispositif prend en charge en milieu ouvert, à la demande d'un juge, des personnes déjà condamnées ou en attente de leur jugement, pour une infraction en lien avec une entreprise terroriste ou du fait d'un signalement pour radicalisation violente. Ce jeudi 9 novembre, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a rendu une visite dans les locaux parisiens de Rive et a ainsi dévoilé ce programme expérimental un mois avant l’annonce par le gouvernement d’un plan national de lutte contre la radicalisation.

 

Un suivi individuel

“Le processus mis en place est extrêmement intéressant”, a déclaré la garde des Sceaux. “Nous avons autour de 500 détenus très radicalisés et 1.500 personnes en voie de radicalisation. Donc il faut agir”, a-t-elle fait valoir. Contrairement aux précédentes méthodes, qui consistaient à regrouper en prison les détenus impliqués dans des dossiers djihadistes, soit pour les évaluer, soit pour les isoler au sein de quartiers dédiés, le programme de Rive propose un suivi individuel, à raison d'au moins six heures par semaine les premiers mois, mêlant entretiens et aide à la réinsertion.

 

Quatorze personnes - huit hommes et six femmes - sont prises en charge au minimum pour un an, par une équipe d'éducateurs, psychologue, référent religieux ou psychiatre. En outre, le lien est établi avec la famille et les entretiens sont réalisés dans les locaux de Rive, dans le quartier ou au domicile de la personne suivie. Cette dernière est également accompagnée dans ses démarches administratives. “L'objectif, c'est le désengagement de la violence extrémiste. Pour cela, nous favorisons le mentorat, la mise en place d'une relation de confiance dans une prise en charge sur mesure, en complément de l'action des services de probation et d'insertion (SPIP)”, a expliqué Samantha Enderlin, directrice de Rive. Pour l'heure, les retours sont “très positifs”, s’est-elle félicitée.

 

Source : valeursactuelles

mardi, 19 septembre 2017

Un adolescent de 17 ans poursuit ses parents en justice parce qu’il est né blanc

Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2017

 

Un jeune de 17 ans entreprend l’un des procès les plus controversés de l’histoire du pays alors qu’il poursuit ses propres parents biologiques pour être né blanc.

Anthony Dwight, 17 ans, affirme avoir souffert toute sa vie de la honte de naître blanc.

“Quand j’étais enfant, je passais des heures dans la douche en essayant de me laver le blanc de ma peau, mais ça ne partira jamais”, se souvient douloureusement.

“Il n’y a pas déjà assez de personnes blanches sur cette planète? N’avons-nous pas infligé suffisamment de souffrance, de racisme et d’oppression dans ce monde? “, A-t-il demandé aux journalistes.

L’avocat du jeune homme, Robert Hoffman, affirme que son client a souffert d’une grave détresse psychologique, de symptômes de dépression et de tendances suicidaires en raison de ce qu’il appelait «le fardeau du privilège blanc».

“Mon client n’a pas choisi de vivre ce genre de vie. Pourquoi aurait-il à porter le fardeau de centaines d’années d’esclavage et de racisme parce que ses parents avaient le désir égoïste d’apporter un autre enfant blanc dans ce monde “, at-il déclaré au juge.

“En raison du niveau de détresse psychologique de mon client, nous demandons à ses parents de payer toutes les dépenses nécessaires pour changer son statut racial, y compris les traitements pour la peau”, a-t-il ajouté.

Anthony Dwight, qui envisage de changer son nom à Jamal Freeman, demande à ses parents de payer le traitement de couleur de peau de 20 000 $ dont il a besoin pour transformer sa couleur de peau en «noir foncé», a-t-il déclaré aux journalistes.

Son avocat a soutenu devant les tribunaux que 20 000 $ est un prix faible à payer pour changer positivement la vie de ce jeune homme, compte tenu des tendances suicidaires de son client et du «profond sentiment de honte et de désespoir» dont son client a fait face depuis sa naissance.

NB : image utilisée à des fins illustratives –

Source : Worldnewsdailyreport.com