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jeudi, 24 août 2017

Attentats en Espagne : la justice avait annulé l’expulsion de l’imam responsable de la cellule djihadiste

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

Un juge espagnol avait annulé en mars 2015 un arrêté d’expulsion contre Abdelbaki Es Satty, l’imam soupçonné d’avoir endoctriné les auteurs des attentats à Barcelone et Cambrils, considérant qu’il n’était pas dangereux, a annoncé mercredi la justice.

Un juge de Castellon, ville de l’est de l’Espagne où ce Marocain a purgé une peine de quatre ans de prison pour trafic de drogue, a estimé alors qu’il avait démontré ses « efforts d’intégration dans la société espagnole », précise la justice dans un communiqué, qui confirme une information du journal El Mundo.

Le juge relevait qu’il n’avait commis qu’un seul délit, travaillait et ne représentait à ses yeux pas une « menace réelle et suffisamment grave pour l’ordre public ».

Abdelbaki Es Satty, 44 ans à sa mort mercredi dernier, a vécu plusieurs années à Ripoll, petite ville au nord de la Catalogne dont sont originaires la plupart des membres de la cellule soupçonnée d’avoir préparé et commis les attentats.

 

Source : fdesouche via La Libre

dimanche, 09 juillet 2017

« Lorraine Airport » : la justice impose l’éradication du français

Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2017

 

Par Ilyes Zouari

Excellent article que son auteur nous a fait l'amitié de nous transmettre. Notre accord va de soi.  LFAR 

 

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Chose passée inaperçue, le tribunal de grande instance (TGI) de Metz a débouté, en avril dernier, l’Association francophonie avenir (AFRAV), qui avait intenté une action pénale contre l’aéroport international de Lorraine suite à la décision de ce dernier de se donner, en toute illégalité, la dénomination anglaise de « Lorraine Airport ».

En effet, et pour sa défense, la direction de l’aéroport estime que la langue anglaise est « plus adaptée au domaine aéronautique où l’anglais fait référence »… d’où une décision qui permettrait sans doute aux avions de ne pas se perdre dans le ciel ni d’exploser en plein vol. Cette attitude n’est pas sans rappeler celle de la direction collaborationniste de la SNCF qui avait poussé le gouvernent de Vichy à aligner la France sur l’heure allemande afin, selon elle, de faciliter la circulation des trains…

Pourtant, la décision de l’aéroport de Lorraine est en totale contradiction avec la loi Toubon de 1994, qui interdit aux personnes morales de droit public « l’emploi d’une marque de fabrique de commerce ou de service constituée d’une expression ou d’un terme étranger ». Ce qui n’a pas empêché le TGI de Metz de débouter l’association (au motif saugrenu que celle-ci « ne pouvait ester en justice »), tout comme l’avait fait avant lui le tribunal administratif de Nancy à la suite d’une première procédure intentée en 2015. Pire encore : le tribunal de Metz a même jugé nécessaire de condamner l’association à verser la somme de 1.500 euros à l’aéroport, alors que le budget annuel de cette petite structure formée de bénévoles n’est que de 2.000 euros.

L’AFRAV compte toutefois faire appel. « Nous ne nous tairons pas et n’abandonnerons pas l’aéroport aux anglomanes », a déclaré M. Régis Ravat, président de l’association. Et d’ajouter : « Nous allons rassembler nos forces et nos sous pour revenir plus forts sur le terrain et continuer le combat […]. Plus que jamais la Résistance à la dictature au tout-anglais doit s’organiser, plus que jamais ceux qui contribuent à angliciser notre environnement linguistique doivent être dénoncés, attaqués et condamnés. »

L’association AFRAV, particulièrement active et qui s’est dotée d’un site Internet régulièrement mis à jour, fait donc une nouvelle fois preuve d’un courage et d’une ténacité qui pourraient, et devraient, inspirer nombre de nos concitoyens. 

D’ailleurs, qu’un aéroport international (ou une grande école) se donne un nom en anglais est absolument inimaginable au Québec, ou encore en Afrique francophone, vaste comme 3 fois l’Union européenne. Qu’un tribunal refuse d’appliquer la loi est également impensable à Montréal (3e pôle mondial de l’aéronautique et de l’industrie du jeu vidéo) où la loi… est la loi !

Cette décision de justice prouve donc, une fois de plus, que la France est bien devenue une sorte de république bananière, où la « Justice » elle-même entrave et empêche l’application de la loi.

Plus grave encore, et au mépris de ses propres intérêts économiques et géopolitiques, le message ainsi adressé par la France aux pays francophones, francophiles et au reste du monde est donc le suivant : cessez de parler ou d’apprendre le français, et mettez-vous au tout-anglais et aux valeurs qui s’y rattachent !

La France d’aujourd’hui est bel et bien la principale menace qui pèse sur la langue et la culture françaises dans le monde.  

Secrétaire général adjoint de la revue Population & Avenir

 

Source : lafautearousseau

vendredi, 23 juin 2017

Elle n'arrivait plus à payer les soins pour sa fille handicapée, la justice lui en retire la garde

Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2017

La maman de Myléna, 7 ans, atteinte de dysphasie, est en fuite avec sa fille depuis une décision de justice, le 19 mai dernier, qui la prive de la garde de son enfant. Une décision qui choque et mobilise de nombreuses associations, pour lesquelles cette affaire est "un emblème" pour les parents d'enfants handicapés en situation précaire.

jeudi, 16 mars 2017

L'élue FN dans le viseur de la justice

Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2017

 Marie-Christine Boutonnet en séance municipale à Gaillac./ Photo DDM, P.G.

Marie-Christine Boutonnet en séance municipale à Gaillac./ Photo DDM, P.G.

Conseillère municipale d'opposition à Gaillac, l'élue Front National, Marie-Christine Boutonnet, était bien présente mardi dernier autour de la table du conseil municipal. En revanche, elle n'aurait pas donné suite à la convocation de la justice dans l'enquête sur les soupçons d'emploi fictif au FN. Tout comme Marine Le Pen qui dénonce «une opération politique». L'élue gaillacoise est également députée européenne depuis 2014 pour la circonscription de l'île de France. Le 6 mars, Charles Hourcade, son assistant parlementaire a été mis en examen «pour recel d'abus de confiance». Il s'agit de la deuxième mise en examen dans ce dossier pour lequel une information judiciaire est ouverte depuis décembre 2016 par le Parquet de Paris. C'est la gestion des assistants parlementaires des eurodéputés frontistes qui éveille la curiosité de la justice. Les juges d'instruction veulent vérifier l'existence ou non d'un système de rémunération des cadres du parti par des fonds publics européens destinés aux assistants des députés.

Marie Christine Boutonnet n'a pas répondu à nos sollicitations. Cette cadre du FN est une militante de la première heure. Native d'Albi, elle siège au conseil municipal de Gaillac depuis 2014. Élue député européenne, la même année, elle a délaissé le troisième mandat qu'elle détenait comme conseillère régionale dans la région Champagne -Ardennes. Elle était également déléguée communautaire de Tarn et Dadou avant de perdre ce poste avec la naissance de la communauté d'agglomération. Si on peut la voir de temps en temps à la mairie de Gaillac, son investissement et son questionnement d'élue de l'opposition sont pour le moins réduits.

 
 

lundi, 27 février 2017

Toulouse: Neuf ados arrêtés pour avoir passé à tabac un homme et agressé sa grand-mère

Publié par Guy Jovelin le 27 février 2017

Des policiers de Toulouse et Colomiers ont arrêté neuf adolescents après un passage à tabac.. Illustration.
Des policiers de Toulouse et Colomiers ont arrêté neuf adolescents après un passage à tabac.. Illustration. - B. Colin - 20 Minutes

N.S.

Les faits de violence remontent au 20 janvier, mais les arrestations ont eu lieu un mois plus tard, mercredi. Neuf adolescents âgés de 13 à 16 ans ont été interpellés par des policiers de Toulouse et de Colomiers, rapporte La Dépêche du Midi. Six d’entre eux ont été présentés vendredi devant le parquet des mineurs.

21 jours d’ITT

Ils feraient partie d’une bande d’une dizaine de personnes qui a passé à tabac un jeune homme, dans le quartier du Seycheron, à Colomiers. La victime, qui a subi 21 jours d’incapacité temporaire de travail (ITT), était intervenue alors que le groupe abîmait des voitures. Le jeune homme avait quitté son domicile en compagnie de sa grand-mère, également agressée.

 

Source : 20minutes