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mercredi, 18 avril 2018

Justice ou harcèlement indécent ?

Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2018

 

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 Bernard Plouvier

Il est évident pour tout observateur goy que la haine vengeresse de la communauté juive reste pleine et entière à propos de la Shoah. Cela peut se comprendre même si d’autres génocides n’ont bénéficié ni de la même publicité ni des mêmes réparations : on pense au génocide des peuples de l’antique Canaan, à celui des Allemands au cours de la Guerre de trente ans (1618-1648), à celui – tellement occulté en France - des « Vendéens », exterminés en 1793-94 etc.

L’Ancien Testament nous l’apprend : toute offense faite à la « race élue de Yahvé » doit se payer de flots de sang et sur le très long terme. Toutefois, nous autres Européens ne vivons pas au Moyen-Orient et ne sommes pas régis par le Code d’Hammourabi et sa resucée mosaïque. Il est une certaine décence à respecter.    

Que le génocide d’une partie des Juifs d’Europe ait été l’une de ces monstruosités historiques, au même titre que les abominables tueries de civils entraînées par toutes les guerres (lisez ou relisez L’Exode et le Livre de Josué, les descriptions hallucinantes des tueries des soudards ottomans à Constantinople et en terres danubiennes, de ceux de Napoléon Ier en Espagne, de ceux de Sherman et de Sheridan dans les États confédérés), nul ne le conteste, hormis quelques hallucinés.

Que les révisionnistes aient eu raison de contester les chiffres grotesques énoncés par l’accusation au Tribunal Militaire Interallié de Nuremberg, nul ne peut désormais le contester. Pour l’exemple d’Auschwitz, énorme complexe concentrationnaire, un accusateur made in USA évoquait « 4 millions de morts, dont au moins 2 millions de Juifs ». On sait maintenant que, fort heureusement, les chiffres, tout en étant considérables, effroyables, n’avaient pas cet ordre de grandeur hallucinant : on évoque 1 million de morts (plus ou moins 100 000, car il s’agit d’une estimation et nullement d’une certitude) de toutes nationalités et ethnies.

Que les années 1939-1945 n’aient pas été des années d’humanisme, mais bien au contraire une époque horrible de fer, de feu et de sang, tout le monde le sait. Mais les Allemands n’eurent en aucun cas le monopole du carnage et de l’horreur.

On aurait pu s’attendre à ce que durant la 2e décennie du XXIe siècle, des esprits mûrs, sensés, réfléchis évitent d’en « remettre une couche », puisqu’après tout nous sommes saturés de ce « devoir de mémoire » qui n’a nullement empêché de se produire une multitude de guerres et de génocides depuis 1945. Et d’autant moins que la communauté juive a été saturée de commémorations, de réparations pécuniaires, et de traitements de faveur par les media, au point que nul, en Occident, n’ose attaquer un Juif coupable de crapuleries sexuelles ou de canailleries financières et que l’État d’Israël est statutairement innocent de tout crime.

Et pourtant, l’année 2015, l’on a condamné à 4 ans de prison un aide-comptable d’Auschwitz : Oskar Gröning. Il est mort en mars 2018, à 96 ans, juste avant son incarcération. Calculons : s’il avait survécu au harcèlement judiciaire, il aurait été libéré pour ses Cent Ans !

Et l’on remet cela. L’on s’attaque à un ex-SS, qui avait 19 ans lorsqu’il servait comme garde à Auschwitz. Cet homme de 94 ans doit être prochainement traduit devant le Tribunal des mineurs de Mannheim - la majorité pénale était de 21 ans en Allemagne nazie.

Va-t-on enfin rendre à la Justice européenne un peu de décence ? Certes, les « crimes contre l’humanité » sont imprescriptibles, en vertu d’une loi à caractère rétroactif. Mais dans ce cas, citons devant une Cour internationale les mânes de messieurs Moïse et Josué, Gengis Khan et Tamerlan, et tous les assassins marxistes : « Lénine », « Trotski », « Staline », Kaganovitch, Mao Tsé-toung, « Pol Pot », Castro et on en oublie.

Il n’est nullement question d’oublier les génocides si nombreux de l’histoire d’Homo sapiens sapiens, l’assassin de l’Homo sapiens neandertalensis. Mais doit-on continuer à ridiculiser la « Justice » européenne ? C’est une bonne question.

 

Source : synthesenationale

lundi, 13 novembre 2017

FN : Un proche de Marine Le Pen accusé de menaces et harcèlement

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2017

 

 Axel Loustau, accusé de harcèlement par une militante FN. Photo Elaine Ganley/AP/SIPA

Politique. Le journal Le Monde rapporte qu’Axel Loustau, militant FN et proche de Marine Le Pen est accusé de harcèlement par une autre membre du parti. Après un long silence, Marine Le Pen s’est exprimée à ce sujet sur France 3. 

Une cartouche de 9mm posée sur un bureau, des menaces à répétition… Les méthodes d’intimidation employées par Axel Loustau seraient des plus virulentes. Militant du Front National, trésorier du micro-parti Jeanne, et proche de Marine Le Pen, ce dernier est accusé d’avoir menacé et moralement harcelé une ancienne militante du parti entre 2015 et 2016.

Un de nous deux doit disparaître rapidement

“Il ne cesse de me menacer, moi et ma famille. Il a opéré un vrai harcèlement moral afin que je ne puisse être embauchée” aurait rapporté la plaignante aux enquêteurs. De nombreuses pressions auraient été exercées par Axel Loustau pour ne pas qu’elle rejoigne le Conseil régional d’Ile-de-France notamment.  “Un de nous deux doit disparaître rapidement” lui aurait-il envoyé par SMS à ce sujet. 

Dans un style toujours très direct, le militant FN lui aurait promis aussi de faire rencontrer la haine et la force à ses parents, après que la jeune femme ait été se plaindre de ces menaces auprès de son épouse. 

Au moment des faits, la direction du parti n’aurait pas serait restée sourde à ces accusations selon les révélations du Monde. Marine le Pen estimant alors cela relevait de la “vie privée”. Interrogée aujourd’hui à ce sujet sur le plateau de Dimanche en politique sur France 3, la chef du parti a jugé cet article “profondément scandaleux”. 

 

Source : valeursactuelles

samedi, 11 novembre 2017

Balance ta truie : Mariah Carey, raciste et harceleuse

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2017

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Il n’y a pas de raison que les hommes aient le monopole du harcèlement sexuel. Voici un cas qui n’intéressera pas les médias, puisque ici, « l’homme blanc chrétien » est victime et qu’il sera impossible de dénoncer l’horrible patriarcat… Puisque les unes balances leurs porcs, allons-y joyeusement et balançons les truies.

La gagnante du jour est la mulâtre Mariah Carey, une chanteuse et une femme d’affaires, accusée par son ancien garde du corps Michael Anello de racisme et de harcèlement sexuel, ; sans oublier bien sûr l’exploitation professionnelle.

Anello a été spolié par Melle Mariah de 221 329,51 $ de salaire entre juin 2015 et mai 2017, nonobstant les 511.000 $ des deux années de contrat non honorées. Il a également été humilié par la puissante « businesswoman » qui, arguant du fait qu’il était blanc et chauve, se permettait à son égard des sobriquets socialement offensants tels que « nazi », « skinhead », « membre du KKK » et « suprémaciste blanc ». Son collègue a également subi ce genre d’insultes. Mariah déclarait d’ailleurs vouloir n’être entourée que de Noirs et en aucun cas de Blancs. Un peu comme dans les réunions d’Houria Bouteldja…

Anello a été aussi victime de harcèlement sexuel. Melle Mariah a en effet commis « des actes sexuels dans l’intention qu’ils soient vus par Anello». Anello témoigne qu’au cours d’un voyage à Cabo San Lucas (Mexique), Mariah lui a demandé de venir dans sa chambre pour déplacer des bagages et quand il est arrivé là, elle portait un négligé transparent qui était ouvert. Il dit qu’il a essayé de partir, mais elle a insisté pour qu’il déplace les bagages. Il dit qu’il a quitté la pièce et qu’il n’y a eu aucun contact physique.

Ce témoignage soulève un point important. Il est nécessaire de lutter contre le harcèlement sexuel sous toutes ses formes, et le fait pour une femme d’avoir une attitude assimilable à du racolage, combinée ou non avec une tenue similaire à celle des professionnelles de l’amour tarifié, doit également être considéré comme tel, un homme devant avoir la possibilité de porter plainte pour « harcèlement sexuel » en cas de « drague lourde » de ce genre. Il va de soi aussi que toute femme essayant de monnayer ses charmes contre de l’argent, une promotion, voire son diplôme universitaire devra répondre de ce type de harcèlement devant les tribunaux, puisqu’elle interfère dans le consentement de l’homme…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 02 novembre 2017

Éric Zemmour : Derrière la campagne contre les porcs, c'est la porcherie qui flambe et que l'on nous cache

Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2017

Par Éric Zemmour

Cet article - paru dans le Figaro Magazine du 27 octobre -  nous a paru si judicieux, si intelligemment pensé et écrit, il soulève des questions si essentielles et répond même à celles que nous posions ici vendredi dernier (lien ci-dessous)  que nous avons jugé impératif de le mettre en ligne pour les lecteurs de Lafautearousseau. On jugera.  LFAR

 

 

 7739347071_eric-zemmour.jpgC'est un torrent qui emporte tout. Qui dévaste tout, qui détruit tout, qui ravage tout. Qui envahit tout. Le torrent de la parole libérée. La parole qui dénonce, la parole qui accuse, la parole qui menace. L'incroyable tsunami de « Balance ton porc » nous plonge soudain dans le monde décrit il y a des années par l'écrivain Philippe Muray qui avait prophétisé que le temps du néopuritanisme féministe succéderait à celui de la libération sexuelle des années 1970, et qu'il s'achèverait dans une fureur répressive et inquisitoriale : « A l'envie de pénis, succédera l'envie de pénal. »

Nous y sommes. Et plus rien d'autre n'existe ni n'importe. Comme si (alors même que l'affaire Weinstein partait des Etats-Unis, et même d'Hollywood, qui n'a jamais eu la réputation d'être un monastère), la France était devenue un enfer où des « porcs » par millions harcelaient et violaient en liberté des pauvres victimes féminines, forcément victimes, qui n'avaient aucun moyen légal de se défendre. Les mêmes militantes féministes - qui, il y a quelques semaines, nous expliquaient doctement que les incessants harcèlements de rues par les migrants Porte de la Chapelle se régleraient par un élargissement des trottoirs - ne proposent nullement l'agrandissement des chambres d'hôtel où Weinstein et ses émules français reçoivent leurs proies. Il est vrai que ceux-ci sont occidentaux et riches, tandis que ceux-là sont africains et pauvres.

Mais le torrent médiatique de « Balance ton porc » ne saccage pas seulement toute raison et cohérence intellectuelle. Il réduit à presque rien tout le reste de l'actualité. Soudain, la sécession catalane devient anecdotique. On évoque à peine les efforts - largement vains d'ailleurs - d'Emmanuel Macmn pour limiter les effets délétères des travailleurs détachés. Les menaces nucléaires venues de la Corée du Nord ont disparu. La défaite de Daech ? On s'en moque. On a déjà oublié que les Allemands de Siemens ont racheté nos TGV. Les ambitions mondiales de la Chine, proclamées haut et fort désormais par le chef du Parti communiste chinois, n'ont qu'une importance insignifiante. Le développement de sa marine, en particulier, et de son armée en général, son impérialisme économique mis en place à travers « la route de la soie », n'intéresse personne. Pas plus que le réveil programmé de la puissance militaire japonaise. Ou l'invasion continue de migrants venus d'Afrique, et qui passés par la Libye, se déversent sur les côtes italiennes, en sachant très bien qu'ils seront non seulement sauvés, mais jamais renvoyés dans leur pays. Tout cela est insignifiant. Négligeable. Marginal. Il est vrai qu'il ne s'agit que de paix et de guerre. Un sujet bien moins important que de savoir si tel député ou ancien ministre a posé sa main sur la cuisse d'une jeune femme ou si une actrice a pleuré en comprenant qu'un producteur l'avait invitée dans sa chambre d'hôtel pas seulement pour évoquer son prochain rôle. Si on était amateur de complots, on dirait que cette campagne médiatique contre les porcs est bien utile pour ne pas voir la porcherie qui flambe. Mais ce n'est pas notre genre. 

 

Source : lafautearousseau

mercredi, 12 octobre 2016

Une députée interpelle Jean-Michel Baylet sur des violences contre une collaboratrice, classées sans suite

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2016

AFP Publié le

 

Coupe de théâtre à l'Assemblée nationale ce mardi. La députée (non-inscrite) Isabelle Attard a interpellé le ministre Jean-Michel Baylet au sujet d'une plainte déposée par une ancienne collaboratrice. Le ministre a riposté en rappelant l'affaire avait été classée sans suite. 

© ERIC FEFERBERG / AFP

© ERIC FEFERBERG / AFP

 
En plein débat sur le projet de loi montagne, la députée écologiste Isabelle Attard a accusé mardi Jean-Michel Baylet de "violences" passées envers une collaboratrice, ce à quoi le ministre a rétorqué que ce dossier avait été classé sans suite par la justice.

Sous les yeux ébahis de ses collègues dans un hémicycle dégarni, l'élue du Calvados (non inscrite), qui a porté plainte en juin pour harcèlement contre le député écologiste Denis Baupin, a pris la parole. "Le président de la République a dit vouloir un gouvernement exemplaire" et "la lutte contre les violences faites aux femmes est une exigence" pour lui, a-t-elle commencé.

"Et pourtant, le 11 février 2002, vous étiez encore sénateur du Tarn-et-Garonne lorsque votre collaboratrice parlementaire a porté plainte contre vous à la gendarmerie de Toulouse", a lancé Mme Attard au ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales.

Et l'élue du Calvados d'ajouter : cette collaboratrice a déclaré avoir été "frappée au visage, à plusieurs reprises" et "vous avez enfermé votre collaboratrice chez vous", puis "chassé", la laissant dans la rue "entièrement dévêtue et pieds nus".

La vidéo de cet échange a été mis en ligne par Buzzfeed : 
Vidéo Baylet interpellé par une députée
 
Quand cette affaire est sortie, via le site Buzzfeed en mars 2016, "vous avez choisi le silence" et "vous ne serez jamais condamné, puisque vous avez acheté le silence de votre victime", a encore accusé Mme Attard, après une brève coupure de micro à la demande de la présidente de séance Laurence Dumont (PS).

Elle n'a cependant pas pu prononcer au micro sa dernière phrase de son interpellation : "Comment osez-vous encore vous présenter à l'Assemblée nationale?".

Peu après, le ministre lui a répliqué calmement : "On peut tout romancer, mais il y a eu une instruction judiciaire dans cette affaire et elle a été classée sans suite, ce qui prouve, vous l'imaginez, que les choses ne se sont pas passées comme vous le racontez".