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vendredi, 16 juin 2017

Pourquoi de Gaulle est parti à Londres…

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

Publié le 15 juin 2017 - par

Le 16 juin 1940, le général « à titre temporaire » Charles de Gaulle, sous-secrétaire d’État à la Défense du gouvernement Paul Reynaud, revient de Londres, où il avait été envoyé en mission.

Il rejoint aussitôt Bordeaux, où s’est replié le gouvernement de la France.

Paul Reynaud vient de démissionner et Philippe Pétain est appelé pour le remplacer et former un nouveau gouvernement.

De Gaulle espère un ministère bien plus important qu’un sous-secrétariat d’État à la Défense dans ce nouveau gouvernement, proposé par le Maréchal Pétain.

Énormément déçu de ne pas être nommé, de Gaulle profite de l’avion envoyé de Londres pour transporter soit Paul Reynaud, soit Georges Mandel, pour s’enfuir, en compagnie de son aide de camp Geoffroy Chodron de Courcel.

Il déclare au général Edward Louis Spears : « C’est bon, ils ne veulent pas de moi ! Dans ces conditions je fous le camp à Londres. »

Considéré comme déserteur devant l’ennemi (il est important de signaler que ce 16 juin 1940 l’armistice n’est pas encore signé, que donc la France est toujours en guerre et que la fuite de de Gaulle est une désertion face à l’ennemi en temps de guerre, acte pour lequel des dizaines de soldats ont été fusillés), le gouvernement français lui ordonne de revenir immédiatement en France.

De Gaulle répond au général Weygand, chef des armées, le 20 juin 1940 : « Mon général, j’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune résolution que de servir en combattant » (Mémoires de guerre – 1954).

Depuis 1958 cette lettre a été supprimée, occultée, par tous les historiens officiels du gaullisme qui nous livrent donc une histoire de France revue et corrigée.

Si de Gaulle avait pu se procurer un moyen de transport, que les autorités britanniques lui ont refusé, il aurait rejoint Bordeaux.

Il s’agit là d’un point très important car si de Gaulle s’était vu confier un poste ministériel il serait resté à Bordeaux et aurait fait partie du premier gouvernement formé par le Maréchal Pétain.

Quelle aurait été sa véritable conduite dans la suite des évènements ? Cela nous ne le saurons jamais !

Ce que l’on sait en revanche : en 1967, de Gaulle se confie à Roger Stéphane, au sujet de son départ le 16 juin 1940 : « Et pourquoi ne pas l’avouer, il y avait l’ambition, j’étais un ambitieux politique et il y a eu rencontre de la circonstance et de l’ambition. »

Cette ambition politique, avouée par lui, l’aura conduit tout au long de sa carrière politique jusqu’au reniement de sa parole, jusqu’à la trahison et même jusqu’aux crimes contre l’humanité.

Manuel Gomez

(Davantage de preuves dans mon livre J’accuse De Gaulle – Edition 2016)

 

Source : ripostelaique

samedi, 08 avril 2017

Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises fermées

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises ferméesVoici encore un fait que les négationnistes du « Grand remplacement » auront du mal à nier. Selon un article du Gatestone Institute daté du 2 avril 2017, depuis 2001, 500 églises chrétiennes ont fermé dans la capitale britannique pendant que 423 mosquées ont été ouvertes, la part de la population anglicane étant passée de 21 à 17 % entre 2012 et 2014, soit une perte sèche de 1,7 million de fidèles.  La part des musulmans dans les autres grandes villes britanniques a considérablement augmentée : ils représentent désormais 15,8 % de la population de Manchester, 21,8 % de celle de Birmingham et 24,7 % % de celle de Bradford.

L’église de Hyatt United, sur Hamilton Road, est devenue une mosquée pour des colons égyptiens et l’église Saint Pierre, église catholique, est devenue la mosquée Madina. Rappelons que l’une des premières mosquées de Londres en 1976, celle de Brick Lane à Spitalfields, le fut en lieu et place d’une synagogue, qui elle-même remplaça un temple méthodiste en 1898, lui-même succédant au temple bâti pour les Huguenots français réfugiés en 1742. Submergés ethniquement, il ne reste plus que 679.000 chrétiens à Londres, il ne reste plus que 12 fidèles dans la paroisse de San Giorgio dont l’église peut accueillir 1230 personnes et 20 à celle de Santa Maria.

Le plus intéressant est que sur les 1700 mosquées anglaises, il y’en en a que 2 qui prônent un islam non-fondamentalisme, contre 1176 aux Etats-Unis ! Il existe également à Londres 100 tribunaux de la Charia, la capitale anglaise ayant élu un maire musulman (qui d’ailleurs a condamné mollement les attentats du 22 mars dernier), le Pakistanais Sadiq Aman Khan, ayant succédé au truculent pluripatride (turc par son grand-père paternel, issu de la famille princière du Wurtemberg par sa grand-mère paternelle, anglais par son grand-père maternel et juif par sa grand-mère maternelle) Alexander Boris de Pfeffel Johnson (Boris Johnson en version abrégée). Rappelons que Londres fut évidemment majoritairement hostile au Brexit, la carte lisible ici étant plus que révélatrice

Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur le Gatestone Institute, disons simplement que ses liens avec la prétendu « fachosphère » sont inexistants : fondée par Nina Rosenwald (Démocrate) qui en est la présidente, il est dirigé par l’ancien ambassadeur américain à l’ONU, John Robert Bolton (Républicain) et compte dans ses rangs l’écrivain David Joel Horowitz, le juriste Alan Morton Dershowitz, le conseiller pour la défense de Donald John Trump Sebastian Lukacs Gorka (fils du résistant hongrois Paul Gorka), ainsi que le baron Daniel William  Finkelstein (rédacteur en chef du Times) et, avant sa mort, ce bon vieux Eliezer « Elie » Wiesel, humoriste et romancier Prix Nobel de la Paix.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 09 septembre 2016

Immigration : Londres annonce la création d’un mur anti-migrants

Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2016

calais-routiersEffet Brexit. Liberté de manœuvre retrouvée. Ras-le-bol de l’invasion.

Londres est prête à financer la construction, qui devrait commencer très prochainement, d’un mur le long de l’autoroute qui arrive du port français de Calais. Afin d’arrêter les migrants qui essayent de monter à bord des camions dirigés vers l’Angleterre.

C’est la BBC qui lance cette information en citant le sous-secrétaire pour l’immigrationRobert Goodwill.

Surnommé par les médias britanniques, « le grand mur de Calais », il sera haut de quatre mètres et long d’un km des deux côtés de l’artère routière proche de la jungle de Calais où vivent des milliers de clandestins.

Selon les estimations, le projet devrait coûter 1,9 millions de livres sterling et fait parti d’un ensemble de mesures de 17 millions de pound du gouvernement britannique pour mieux contrôler les frontières gérées avec les autorités françaises.

Ces derniers jours, la Grande-Bretagne à menacer Paris de sanctions sur la coopération bilatérale concernant la sécurité avec la France dans le cas où le gouvernement français décidait de modifier l’accord sur les migrants à Calais, signé en 2003. En effet le président de la région de Calais, Xavier Bertrand, a émis l’hypothèse que les « réfugiés » puissent présenter leur demande d’asile au Royaume-Uni bien qu’ils soient encore sur le territoire français. Cette idée n’a pas l’air de plaire du tout à Londres qui a promis, après le Brexit, de réduire fortement le nombre d’étrangers qui entrent dans le pays. Selon le souhait, compréhensible, des Britanniques !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 29 avril 2016

Londres, bientôt un maire musulman ?

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2016

sadiq-khan-for-london

Fils d’immigrés pakistanais, de religion musulmane, le candidat du Labour Party pour la charge de maire de Londres est en tête dans les sondages.

Londres, avec ses 5,7 millions d’électeurs, ira voter pour son futur maire dans 3 jours pour choisir le successeur de Boris Johnson qui, aujourd’hui, conduit la campagne pour le Brexit en Grande-Bretagne.

Plus grande capitale européenne, cœur de la finance internationale, ville multi-ethnique par excellence, Londres risque de se réveiller dans quelques jours avec le premier maire musulman de son histoire, Sadiq Khan, 45 ans. Immigré de la seconde génération, d’une famille de 8 enfants, d’humble extraction, tout l’oppose au candidat du parti conservateur, Zac Goldsmith, 41 ans, descendant de l’illustre famille juive allemande et ancien étudiant d’Eton et Cambridge, multimillionnaire.

Sadiq Khan milite bien entendu pour l'accueil des "réfugiés"

Sadiq Khan milite bien entendu pour l’accueil des « réfugiés »

Ces élections ont déchaîné une lutte féroce. En effet, la capitale du Royaume-Uni reste un des objectifs principaux du terrorisme islamique et il est impossible pour les Tory de ne pas ignorer et jouer sur le fait que le candidat travailliste est un musulman « dévot », un pratiquant. Il est suspecté par les Tory, qui en ont fait un argument majeur de leur campagne, d’être proche des milieux islamistes et antisémites. Il est attaqué pour avoir participé à une rencontre où était présent feu l’imam extrémiste d’Al Qaida, Anwar al-Awlaki, d’avoir tenu un discours, en 2008, au principal « festival » multiculturel musulman sur lequel flottait le drapeau noir du djihad et d’avoir un beau-frère, militant du groupe islamiste al-Mujajiroun.

En somme, aucun candidat pur jus pour la City londonienne !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info



vendredi, 29 août 2014

Londres : « Les Blancs ne sont pas les bienvenus »

Publié par Guy Jovelin

La police londonienne a constaté un graffiti proclamant que les Blancs ne sont pas les bienvenus (« Whites not welcome »), sur le sol, à l’entrée de l’École primaire « du Prince de Galles ». Certains parents d’élèves ont précisé que ça n’était pas la première inscription de cette nature.

Mais, préférant s’attaquer aux conséquences plutôt qu’aux causes, le conseiller municipal par ailleurs adjoint à l’environnement a sorti sa plus belle langue de bois, assurant tout d’abord que l’inscription allait être effacée de toute urgence… (comme si cela allait résoudre le problème de fond !) Puis, il a réussi à placer le triangle « multiculturel », « harmonieux » et « diversité » dans la même phrase censée décrire la population d’Enfield ; au demeurant une prétendue « harmonie » en contradiction complète avec les faits constatés…

Enfin, le bien nommé Nick De Bois, député d’Enfield Nord, a demandé au conseil municipal et à la police de tout mettre en œuvre pour… effacer cette inscription – Nicolas Sárközy leur prêtera-t-il son Kärcher ? Puis il a noyé le poisson, façon habituelle d’amoindrir la portée des faits : « tout type de graffiti est très choquant pour la grande majorité des gens, surtout quand c’est devant une école primaire et que des jeunes enfants vont donc la voir »… lapalissade en prime !

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