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vendredi, 28 octobre 2016

L’interview inouïe de la préfète du Pas-de-Calais : « Ça fait partie des traditions de la population migrante de détruire leur habitat avant de partir »

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2016

par 27 octobre 2016

Au passage la préfète qui nous parle au départ de la « tradition » de détruire par le feu les habitats avant de partir, finit par nous expliquer que ce qui a brûlé sont en définitive les commerces. Mensonges et contradictions…

Des propos inouïe, d’autant plus explique-t-elle qu’elle savait très bien que des incendies allaient avoir lieu, disant avoir discuté avec les « chefs de communauté ». Mais devant l’impossibilité de faire renoncer les envahisseurs à leurs « traditions », la préfète s’est contentée des prépositionner des pompier…

Absolument ubuesque !!!

Vidéo du camps après l’incendie « traditionnel » :

 
 

mercredi, 26 octobre 2016

Incendies dans la "Jungle" de Calais: 30 départs de feu dans la nuit

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2016

Un Afghan âgé de 16 ans a été légèrement blessé lors de l'explosion d'une bonbonne de gaz dans la "jungle" de Calais. Une trentaine de départs de feu ont été enregistrés depuis mardi.

Les veinards...

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2016

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dimanche, 23 octobre 2016

Migrants à Saint Bauzille, le préfet conspué, le maire démissionne

Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2016

Publié par : Jordi Vives 21 octobre 2016

Migrants à Saint Bauzille, le préfet conspué, le maire démissionne
Crédit : Lengadoc Info

Migrants à Saint Bauzille, le préfet conspué, le maire démissionne

21/10/2016 – 13h55 Saint Bauzille de Putois (Lengadoc-info.com) – Entre 500 et 600 personnes étaient rassemblées ce 20 octobre 2016 pour une réunion publique houleuse dans la salle polyvalente de Saint Bauzille de Putois concernant l’arrivée prochaine de 87 migrants issus de la Jungle de Calais.

Saint Bauzille

Crédit : Lengadoc Info

En effet le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a décrété que cette fameuse Jungle serait démantelée très prochainement. Cette décision a été prise à cause des troubles à l’ordre public quotidiens provoqués par les milliers de clandestins à proximité de la ville de Calais. Ce sont donc 12 000 hommes qui vont être disséminés sur le territoire national. Dans l’Hérault ce seront 207 de ces « majeurs célibataires » qui seront implantés. Une part à Montpellier et 87 d’entre eux dans le village de Saint Bauzille de Putois. Une arrivée qui n’est pas du tout du goût de la population ni de celle du maire soutenu par son Conseil, lequel a largement communiqué son avis. En effet, c’est suite à un simple appel téléphonique de la sous-préfecture que le maire a appris il y a une semaine que sa commune avait été choisie pour cet accueil. La raison invoquée par les services de l’Etat étant que Saint Bauzille de Putois est la seule commune du département à posséder une structure d’accueil aux normes. En effet, un bâtiment d’accueil de jeunes appelé « Les Lutins Cévenols » existe depuis fort longtemps à la sortie nord du village et y reçoit des adolescents en difficulté en leur proposant des activités de pleine nature. Ce centre est géré par l’association SOS, présidée par Jean Marc Borello. Cette association qui possède 13 000 salariés a été qualifiée hier soir par le maire de la commune, Michel Issert, de « multinationale de la pauvreté », accusée de ne « penser qu’au pognon ». Il est vrai qu’avec un chiffre d’affaires annuel de 650 millions d’euros, la pilule passe mal en Cévennes où la population est plutôt proche du RSA…

Saint Bauzille

Michel Issert, maire de Saint Bauzille, ce jeudi soir à la réunion publique sur l’arrivée des migrants dans la commune. Crédit : Lengadoc Info

Michel Issert, maire de la commune a tenu à remercier les nombreux soutiens reçus en mairie suite à sa décision de rendre public le passage en force de l’Etat dans la commune. Soutien reçu du Conseil municipal à l’unanimité. Ensuite de la part de ses administrés, une écrasante majorité étant opposés à cette arrivée. Les communes situées aux alentours ont également apporté officiellement leur soutien exprimant le fait que cette problématique concernait tout le monde. Il avait été décidé que personne ne serait autorisé à prendre la parole et que les questions seraient posées par écrit, de façon à éviter toute digression et risque de dérapage. Michel Issert après avoir à nouveau exprimé son opposition a tenté de répondre aux questions en n’hésitant pas à renvoyer les sujets délicats en direction de l’équipe préfectorale.

Le Préfet de l’Hérault, Pierre Pouëssel, représentant de l’Etat, au début plein de morgue, a essayé de convaincre les habitants du bien fondé de cette implantation obtenue au forceps. Ses arguments techniques n’ont recueilli que des concerts de protestation d’une population très remontée. Une petite partie de la salle semblait pourtant soutenir cette arrivée de « réfugiés ». Principalement des femmes venues en groupe et en avance. D’après des habitants du village, ces femmes ne seraient pas de Saint Bauzille mais viendraient de la commune de Sumène où un important tissu associatif est implanté.

Saint Bauzille
 
Source : lengadoc-info

mercredi, 19 octobre 2016

80 migrants ont quitté la «Jungle» de Calais pour rejoindre l'université

Publié par Guy Jovelin le19 octobre 2016

- Avec AFP

 REUTERS/Pascal RossignolSource: Reuters
REUTERS/Pascal Rossignol
 

Quatre-vingts migrants ont quitté mardi la «Jungle» de Calais pour rejoindre le campus universitaire des facultés de Lille à Villeneuve-d'Ascq (Nord), a affirmé le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué.

«Dans le cadre des préparatifs du démantèlement du camp de migrants de Calais, ces 80 étudiants, recensés par les maraudes sociales effectuées par l'Etat et les associations, ont quitté Calais pour rejoindre ce campus universitaire situé en banlieue de Lille», a annoncé Bernard Cazeneuve, qui ira à la rencontre de ces étudiants jeudi le 20 octobre.

Ces migrants, majoritairement soudanais selon François Guennoc de l'Auberge des Migrants, pourront selon le ministre de l'Intérieur bénéficier «d’un parcours-type universitaire, qui débutera par un apprentissage intensif de la langue française».

«Après la période initiale de formation, ils pourront poursuivre un cursus universitaire classique dans la matière de leur choix», a ajouté le ministre.

Ces 80 futurs étudiants, déjà titulaires «au moins du bac» selon François Guennoc, «seront hébergés dans un centre d'accueil spécifique co-géré par le Crous et Adoma [ex-Sonacotra, foyers pour travailleurs immigrés], à proximité de l'université», précise encore le ministre de l’intérieur.

«Cette démarche s'inscrit dans la politique globale menée par le gouvernement à Calais, qui vise à mettre l'abri les personnes en besoin manifeste de protection fuyant les guerres et les persécutions et faciliter leurs parcours de demande d'asile et d'intégration», a ajouté Bernard Cazeneuve.

Ce projet a été mené à l'initiative d'un professeur de l'Université de Villeneuve-d'Ascq et monté en collaboration avec l'Auberge des migrants, l'une des associations les plus actives de la «Jungle» de Calais dont le démantèlement est prévu dans les jours à venir.

 

Source : francais.rt