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samedi, 20 mai 2017

Suède : Une femme de 70 ans risque 4 ans de prison pour avoir dit sur Facebook que des migrants « mettaient le feu aux voitures, urinaient et déféquaient dans les rues »

Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2017

19 mai 2017 par Pierrot

Trouvé sur Breiz Atao : Une femme de 70 ans de Dalarna est poursuivie pour « incitation à la haine » après avoir indiqué sur Facebook que les migrants urinaient, déféquaient dans la rue et brûlaient les voitures.

Breitbart (source) :

Selon l’accusation, la femme a « exprimé des opinions inacceptables au sujet des migrants » sur Facebook. Elle est en effet accusée d’avoir utilisé le réseau social en juillet 2015 pour poster des commentaires « diffamants », affirmant que les migrants « mettaient le feu aux voitures, urinaient et déféquaient dans les rues ». Les juges suédois affirment que les messages de l’accusée violent les lois nationales sur « l’incitation à la haine », un délit puni de quatre ans de prison. L’accusée a admis avoir écrit les messages mais nié avoir commis un délit.



 

Source : contre-info

mercredi, 17 mai 2017

Le Saint-Siège défend à l’ONU un pacte mondial pour les migrants

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2017

Au siège des Nations Unies à Genève, se tenait ces jours derniers, une réunion dédiée auGlobal Compact sur les migrations.Mgr Ivan Jurkovic est intervenu en tant que représentant du Saint-Siège. Bien entendu, son intervention est en faveur d’une politique d’accueil inconditionnelle ainsi que le préconise le pape François. Il défend cette ligne en estimant que « le primat et la centralité de la personne humaine » ainsi que « les droits fondamentaux et inaliénables » de chaque personne doivent être au centre de toutes les décisions prises en matière d’immigration. Il va s’en dire que dans l’esprit de ces ecclésiastiques modernistes et progressistes tant en religion qu’en politique sociale ces notions de «primat » et de« centralité de la personne humaine» et ces fameux «droits fondamentaux et inaliénables » ne s’appliquent pas aux autochtones des pays concernés par ces immenses vagues migratoires qui les submergent.

Radio Vatican rapporte ainsi son intervention :

« Le Saint-Siège lance un appel pressant pour protéger la dignité des migrants et pour respecter « sans réserve » les principes humanitaires envers les plus vulnérables. Au cours d’une réunion dédiée au Global Compact sur les migrations, au siège des Nations Unies à Genève, Mgr Ivan Jurkovic, représentant du Saint-Siège, a souligné le primat et la centralité de la personne humaine dans chaque décision prise en matière d’immigration. Il a exhorté la communauté internationale à donner un exemple de solidarité, en dépassant « les divisions politiques et les barrières géographiques ».

La foi, comme seule bouée

Reprenant les paroles du Pape François, le diplomate a rappelé que « chaque migrant est une personne disposant de droits fondamentaux et inaliénables, lesquels doivent être respectés ». Mgr Jurkovic a rappelé que les voyages entrepris par les migrants comportent souvent des « expériences traumatisantes » qui peuvent être dépassées « seulement avec la foi et l’espérance ». Trop souvent aussi, a-t-il encore déploré, les migrants sont « exposés à l’exploitation, à des abus et à des violences ».

Aider les parents

Voilà pourquoi il incombe aux autorités de protéger ces migrants, a insisté Mgr Jurkovic, tout en précisant que cela ne suffisait pas. Tant que perdureront des « situations de pauvreté, de conflits et de persécutions, les intérêts des trafiquants continueront à prospérer », a-t-il affirmé. Et d’évoquer le cas des migrants mineurs, dont la situation « préoccupe vivement le Saint-Siège » ; Mgr Jurkovic a notamment cité l’exemple des enfants séparés de leurs parents, qui sont ensuite victimes d’abus et d’exploitation en tous genres. D’où l’exhortation du diplomate à toujours garantir aux parents, surtout migrants, la possibilité de faire grandir leurs propres enfants et de les éduquer. »

Le Saint-Siège, sous couvert de protéger des principes  humanitaristes absolus et abstraits et un pseudo-droit fondamental des migrants à s’installer où ils veulent, bénit indéniablement la ligne immigrationniste et mondialiste de l’ONU : ces migrations colossales, universelles, apocalyptiques, du sud vers le nord, sont un véritable cheval de Troie au sein des nations pour imposer un monde sans frontières constitué d’une humanité apatride, nomade, déracinée, chaotique, sans foi ni la loi, mais soumise à une internationale financière.

Les intérêts des nations européennes et de leur population, leur survie identitaire et nationale, sont des points de détail pour lesquels ces philanthropes immigrophiles n’ont que dédain et mépris.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mardi, 16 mai 2017

Bretagne : train gratuit pour les migrants afin qu’ils puissent se rendre à la mosquée

Publié par Guy Jovelin le 16 mai 2017

12 mai 2017 par Pierrot

Trouvé sur le site Breizatao : Suite à l’implantation imposée par le gouvernement français de migrants clandestins en Bretagne, fin 2016, les communes de Kemperle (Quimperlé) et Rieg (Riec-sur-Belon) hébergent depuis des colons afro-musulmans, dont des soudanais et des afghans.

Sébastien Miossec, le maire socialiste de Riec-sur-Belon, avait pris l’initiative d’héberger des clandestins dans divers appartements du centre-ville de cette commune, sans en avertir la population. Il avait été rejoint dans cette politique par le maire socialiste de Trégon (Trégunc) et de Molan (Moëlan-sur-Mer).

Miossec avait également organisé une opération de propagande (source) en faveur du remplacement de population et de l’islamisation aux côtés de la Ligue des Droits de l’Homme. Une structure alliée aux Frères Musulmans militant notamment pour la burka de plage (voir ici) : ndf.fr

Se sachant en minorité face à l’opinion publique, ces maires socialistes agissent dans l’opacité la plus complète.

Lire la suite :
http://www.contre-info.com/ |


vendredi, 28 avril 2017

Paris : les « cadenas d’amour » vendus aux enchères au profit d’associations d’aide aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2017

Par le 27/04/2017  

Plusieurs centaines de kilos de « cadenas d’amour », ces cadenas gages de fidélité que les touristes accrochent aux grilles des ponts et que la Ville de Paris enlève, seront vendus aux enchères le 13 mai en faveur d’associations d’aide aux migrants. 45 tonnes de métal avaient ainsi été enlevées lors du nettoyage du Pont des Arts.

Quinze grilles portant des centaines de cadenas, pesant jusqu’à 500 kg, et 150 grappes de cadenas de tailles diverses, seront proposées à la vente. Les bénéfices iront à trois associations mobilisées dans l’accueil et l’accompagnement des réfugiés accueillis par la Ville : Solipam, l’Armée du Salut et Emmaüs Solidarité.

Cette « vente au profit des associations qui accompagnent les réfugiés, c’est notre façon de respecter le geste de tous ceux qui ont choisi de venir célébrer leur amour dans une ville ouverte et généreuse« , a assuré Bruno Julliard, premier adjoint de la maire PS de Paris Anne Hidalgo. […]


Source : fdesouche via  Le Nouvel Obs

dimanche, 09 avril 2017

La dérive humanitariste du christianisme

Publié par Guy Jovelin le 09 avril 2017

Publié par : Jordi Vives 8 avril 2017 dans Société

La dérive humanitariste du christianisme

La dérive humanitariste du christianisme 

08/04/2017 – 18h15 Montpellier (Lengadoc Info) – Tribune Libre – La question de savoir pourquoi les cultures disparaissent et les empires s’écroulent a toujours oppressé historiens et philosophes. Nietzsche, dans l’Antéchrist, n’hésite pas à dire que « le christianisme nous a frustrés des fruits de la civilisation antique ». La question de la responsabilité que porte le christianisme dans la chute de l’Empire Romain fascine encore. C’est le Britannique Edward Gibbon (1737-1794) qui, le premier, établi cette responsabilité. Ernest Renan, dans son Marc-Aurèle (1895), reprit l’une des formules de Nietzsche :« Durant le II ème siècle, le christianisme suce comme un vampire la société antique ». Et il ajoutait cette phrase qui aujourd’hui résonne d’un bien étrange écho : « L’Eglise, au III ème siècle, en accaparant la vie, épuise la société civile, la saigne, y fait le vide. Les petites sociétés tuèrent la grande société ».

En ce début du XXI ème siècle, se pose la question de la responsabilité de l’Eglise et plus précisément, de la Papauté dans cette crise migratoire qui risque de plonger l’Europe dans le chaos et l’anarchie.

Le Pape François dans la continuité de la dérive humanitariste du christianisme

Le Pape François aime les gestes symboliques spectaculaires (comme de ramener des familles de clandestins musulmans de Lesbos dans son avion). Il a multiplié les déclarations sur le sujet. Mais il ne faut pas se méprendre. François est dans la continuité des papes précédents. Même Jean-Paul II, qui a un discours très fort sur les nations et sur « la valeur religieuse de la fidélité à l’identité nationale », ne semble pas percevoir la contradiction avec la sanctification du phénomène migratoire qu’il opère par ailleurs : « la clef d’un avenir de paix pour l’humanité tout entière ».

Tout le problème est que c’est un magistère qui est né au moment où l’Eglise semblait dans une sorte d’euphorie de la « mondialisation heureuse ». L’impact de ce discours en faveur de l’accueil des migrants sur les fidèles est énorme : il relève de l’intimidation en faisant croire dans l’Eglise qu’être opposé à l’immigration de masse, c’est être contre l’Eglise. Contre la parabole du Bon Samaritain et la parole du Christ : « J’étais un étranger et vous m’avez accueilli ».

La confusion entre politique et charité

Il existe au sein de l’Eglise, une tentation de faire des préceptes évangéliques, qui sont des chemins de salut personnel, des principes de gouvernance politique. Cette confusion s’étend également à la notion même de charité, dont on oublie qu’elle doit être juste, responsable, efficace, et qu’elle obéit à un ordre de priorité : « Les plus proches ont un droit de priorité », écrit Saint Thomas d’Aquin. En oubliant ces adjuvants, on fait de la charité une caricature humaniste d’elle-même qui n’a plus grand-chose de chrétien. La charité devient alors l’une de ces « vertus chrétiennes devenues folles » décrites par Chesterton.

En se coupant des populations autochtones européennes, l’Eglise se marginalise

En participant activement à plonger l’Europe dans le chaos et l’anarchie, l’Eglise n’apporte aucun secours aux migrants car ces derniers ont besoin de stabilité et de prospérité. En favorisant en Europe la progression d’un Islam conquérant, l’Eglise contribue elle-même à se marginaliser encore davantage des populations européennes qui sentent leurs souffrances ignorées au profit d’une attention exclusive donnée aux migrants et qui s’indignent de voir leurs inquiétudes quant à leur avenir et à celui de leur civilisation balayées d’un revers de main comme autant de « crispations identitaires… ».

Retrouver l’équilibre entre le souci de la fraternité et la bénédiction des enracinements

Cette dérive du christianisme qui hérisse tant de Catholiques n’est pas une fatalité. La charité ne peut pas être une fuite en avant. L’Eglise doit se souvenir qu’elle doit également la charité aux populations européennes dont elle a la charge. Il lui faut cesser de considérer la migration comme une panacée et qu’elle consente à privilégier les solutions durables de développement et de stabilité politique plutôt que favoriser le déracinement des peuples.

Pour cela, il y a besoin d’une Europe forte, fière de ses racines, et à laquelle l’Eglise sache redonner le supplément d’âme qui lui fait aujourd’hui cruellement défaut.

Germanicus

Photos : DR

 

Source : lengadoc-info