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mercredi, 20 avril 2016

L’appel de musulmans à coloniser l’Italie

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2016

 

 

drapeau_italien_islamLa loi anti-mosquée votée début avril en Vénétie, en Italie, suscite l’émoi dans la communauté musulmane. Un émoi qui s’exprime avec un appel lancé sur Facebook aux musulmans du monde entier à envahir l’Italie.

« Musulmans venez en Italie » c’est le message écrit sur la page web du groupe Rumiya Al-Mawu’ , communauté musulmane internationale qui compte 80 000 inscrits et qui est domiciliée en Italie.

« Nous apprenons avec déplaisir que la loi anti-mosquée a été votée en Vénétie la semaine dernière. La loi pose des restrictions pour la construction de nouveaux lieux de culte et de facto réduit la capacité de pratiquer la religion musulmane librement et en toute sécurité.

« Si la communauté islamique en Italie était plus forte et nombreuse cela ne serait pas arrivé » continue le post, écrit en Italien et en arabe. Qui invite donc à l’envahissement de l’Italie : « Nous demandons à tous les musulmans du monde de rejoindre l’Italie, pour renforcer notre communauté et nous aider à garantir un futur meilleur pour tous.  »  Enfinpour tous, c’est un bien grand mot. Pour les musulmans, oui, pour les Italiens, non !

D’autre part, pour bien marquer cette volonté d’islamiser et de coloniser l’Italie, le drapeau italien reproduit sur le message est islamisé tout simplement avec au centre la paroleInshallah (Si Allah veut)

Ces gentils envahisseurs musulmans ont déjà trouvé deux alliés de poids dans leur œuvre de conquête : l’évêque de Venise qui s’est insurgé contre cette loi anti-mosquée au nom de la liberté religieuse. Et surtout le pape François qui a ramené avec lui, de Lesbos, trois familles musulmanes, soit 12 personnes. Avec de tels soutiens, la colonisation de l’Italie par le monde musulman risque d’être un jeu d’enfants…

Francesca de Villasmundo

 

Source : http://www.medias-presse.info/

mercredi, 09 mars 2016

Radicalisation : la police n'est pas épargnée

Publié par Guy Jovelin le 9 mars 2016

Éric Pelletier |

Les entorses à la laïcité progressent dans les commissariats. Une note confidentielle de la préfecture de police de Paris recense ces cas qui, bien que limités, inquiètent.

 
La préfecture de police de Paris recense désormais de manière hebdomadaire les « comportements de transgression du principe de laïcité ».
La préfecture de police de Paris recense désormais de manière hebdomadaire les « comportements de transgression du principe de laïcité ». (Photo d’illustration/Baptiste Fenouil/REA.)

 

Diffusion de chants religieux en patrouille, refus de participer à une minute de silence ou de protéger une synagogue, voire incitation, sur Facebook, à commettre des attentats : la police est confrontée à des actes de gravité variable, en nombre limité, mais qui illustrent une progression préoccupante du fondamentalisme religieux dans ses rangs.

C'est un fait : la Grande Maison n'est plus imperméable au communautarisme. Des comportements qui, en plus de malmener le principe de laïcité, posent de réels problèmes de sécurité. Comme leurs collègues, les fonctionnaires en voie de radicalisation sont en effet équipés d'une arme de service et ont accès à la plupart des fichiers de police.

Même s'ils restent très marginaux, ces incidents mobilisent les services de renseignement et préoccupent la préfecture de police (PP) de Paris. A tel point qu'elle recense désormais de manière hebdomadaire les « comportements de transgression du principe de laïcité ». Une note confidentielle dont nous avons eu connaissance, rédigée à la fin de l'année dernière par la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération, détaille 17 cas, survenus entre 2012 et 2015 avec une accélération en 2014, au sein de la PP, forte de plus de 27 000 policiers et agents de surveillance.

Des fonctionnaires assez jeunes

La plupart des incidents portent sur l'exercice de la religion musulmane au sein des commissariats, notamment lors des prières quotidiennes. Ou encore sur les signes extérieurs de religiosité, comme l'habillement. Les femmes sont impliquées dans environ un tiers des affaires et affichent souvent une détermination plus marquée que les hommes. Au moins quatre des affaires recensées concernent des convertis à l'islam.

Ces comportements sont souvent le fait de fonctionnaires assez jeunes, entrés en tant qu'adjoints de sécurité à la fin des années 2000 et qui ont ensuite réussi le concours interne. Ils sont désormais policiers à part entière, gardiens de la paix ou brigadiers. Aucun cas ne concerne les échelons supérieurs de la hiérarchie, officiers ou commissaires. Est-ce un effet générationnel ? Les plus gros dérapages ont eu lieu sur les réseaux sociaux. L'un d'eux, qui s'apparente à un appel au meurtre, a conduit l'auteur devant la justice.

Pour autant, ces exigences religieuses ne semblent pas relever d'une quelconque stratégie d'infiltration de groupes violents. Pas de « cinquième colonne islamiste » identifiée : le parquet antiterroriste n'est saisi d'aucune procédure impliquant des policiers. Ces attitudes apparaissent tout d'abord comme des prises de position individuelles, parfois en lien avec des difficultés d'ordre personnel. « Il faut être attentif aux termes employés, insiste le sociologue Farhad Khosrokhavar. La radicalisation suppose un passage à l'acte violent. C'est pourquoi je parlerais plutôt ici de fondamentalisme. Cette forme d'enfermement relève rarement d'une attitude mûrement réfléchie mais révèle une impulsivité et une fragilité mentale. En se comportant ainsi, ces personnes savent qu'elles s'exposent à une sanction et, à terme, à une exclusion. Il s'agit ni plus ni moins que d'un suicide professionnel. »

 

Source : http://www.leparisien.fr/

vendredi, 26 février 2016

« Il y a 3 millions de musulmans qui veulent arriver en Europe. Supposons qu’ils aient trois enfants. Ils seront 20 millions de plus dans 20 ans puis, un jour, ils seront 100 millions. » (le bourgmestre de Knokke)

Publié par Guy Jovelin le 26 février 2016

Leopold-Lippens-bourgmestre-de-Knokke

Depuis quelques semaines, des immigrés illégaux quittent Calais pour se rendre à la Côte belge en vue d’y trouver le moyen de rejoindre l’Angleterre. Le phénomène s’est accéléré avec l’annonce d’un prochain démantèlement de la « Jungle » de Calais.

Du côté belge, le gouvernement s’affole et prend des mesures essentiellement symboliques comme le rétablissement des contrôles à la frontière franco-belge. Mais les élus locaux des communes de la Côte belge font part de leur insatisfaction.

La rédaction de Sudpresse a contacté le Comte Léopold Lippens, bourgmestre de Knokke, station balnéaire huppée du Royaume de Belgique. Celui-ci a tenu des propos pour le moins décoiffants !

. « Ce qui commence à me pomper l’air, c’est qu’on ne parle plus que des migrants, de l’EI, des musulmans. »

. « Bon, les gens rentrent dans notre pays. Soit ils ont la permission de rester, ils sont en règle. Soit, ils sont illégaux. Alors, avec eux, qu’on fasse un camp comme à Guantanamo. Sans les torturer. Et qu’on les envoie dans leur pays! Et qu’on n’attende pas la décision du procureur du Roi pour leur demander de quitter le pays dans les 5 jours. » 

. « Les Français jouent les Sainte-Nitouche en laissant prendre le tram aux migrants de Calais. Ils s’arrêtent à La Panne puis ils prennent la direction de Zeebrugge où ils espèrent tenter l’aventure pour l’Angleterre. La police n’est plus assez efficace. Il y a 3 millions de musulmans qui veulent arriver en Europe. Supposons qu’ils aient trois enfants. Ils seront 20 millions de plus dans 20 ans puis, un jour, ils seront 100 millions. On ne veut pas de cela. On aurait dû rester dans une Europe à 9 et fermer les frontières! Heureusement qu’on a la N-VA. Avec les socialistes, on aurait 80.000 illégaux de plus. Et ils auraient reçu leur carte de séjour et ils pourraient voter aux prochaines élections! »

 

Source : http://www.medias-presse.info/

jeudi, 04 février 2016

Tirs contre des commerces musulmans en Corse

Publié par Guy Jovelin le 4 février 2016

Des policiers répertorient les impacts de balles sur la façade d'une boucherie musulmane à Propriano (Corse-du-Sud), le 3 février 2016_1

Tirs contre des commerces musulmans en Corse

Des policiers répertorient les impacts de balles sur la façade d'une boucherie musulmane à Propriano (Corse-du-Sud), le 3 février 2016_1
Des policiers répertorient les impacts de balles sur la façade d'une boucherie musulmane à Propriano (Corse-du-Sud), le 3 février 2016afp logoPhoto - AFP - PASCAL POCHARD-CASABIANCA
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Par Pierre LANFRANCHI

Ajaccio (AFP) - Une boucherie et une sandwicherie musulmanes ont été visés dans la nuit de mardi à mercredi par des tirs à Propriano (Corse-du-Sud), des actes condamnés et qualifiés de "racistes" par une partie de la classe politique même si "aucune piste" n'était privilégiée dans l'enquête.

Plusieurs dizaines d'impacts de balles ont été relevés par la gendarmerie sur les façades des deux commerces voisins dans la rue Charles-de-Gaulle, au centre de la station balnéaire de Propriano. C'est le gérant de la boucherie qui a donné l'alerte vers 08H30.

"Les dégâts sont minimes", a précisé à l'AFP le procureur de la République à Ajaccio, Eric Bouillard. "Des témoins ont indiqué avoir entendu, peu après 02H00, deux séries de tirs en rafales", a-t-il ajouté, évoquant des "armes automatiques tirant du 9 mm".

La boucherie avait déjà été la cible de tirs peu après son ouverture, en juin 2013.

Quelques semaines après les manifestations qui avaient suivi l'agression de pompiers à Ajaccio la nuit de Noël, et qui avaient été marquées par des débordements racistes et islamophobes, une partie de la classe politique a promptement condamné des actes "racistes".

Le maire PRG de Propriano, Paul-Marie Bartoli, a immédiatement dénoncé "le racisme le plus vil et le plus stupide". Le Premier ministre Manuel Valls a dénoncé des "actes intolérables" qui "imposent notre condamnation unanime".

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve affirmant "la détermination totale du gouvernement à faire respecter l'ordre public et l'Etat de droit sur l'ensemble du territoire de la République", a souligné qu'"aucun acte de la sorte ne (devait) rester impuni" et qu'il appartenait "à la Justice de donner le cas échéant des éléments à l'enquête en cours".

Les tirs ont été condamnés par un représentant du Conseil français du culte musulman, Abdallah Zekri, qui a "demandé aux autorités de faire la lumière sur ces événements".

Le procureur d'Ajaccio a souligné qu'"aucune piste n'(était) privilégiée", jugeant même "plutôt dangereux de donner une hypothèse privilégiée". Les enquêteurs ne disposent "d'aucune revendication et d'aucun lien avec une quelconque revendication communautaire ou avec un acte de terrorisme", a insisté M. Bouillard.

- 14 interpellations depuis Noël -

Aucune inscription n'a en effet été retrouvée sur place, selon les enquêteurs de la brigade de Sartène et de la section de recherches de la gendarmerie

M. Bouillard a en revanche évoqué "de nombreuses pistes" faisant l'objet des investigations sur ces actes. Des différends commerciaux et des affaires financières concernant les gérants des deux magasins, originaires du Maroc et âgés de 27 ans, font notamment partie de ces pistes suivies, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Dans l'enquête distincte portant sur l'agression de pompiers et de policiers dans la nuit de Noël à Ajaccio, trois hommes ont été interpellés mercredi à Ajaccio.

Intervenant après une fausse alerte incendie pendant la nuit de Noël, et alors que des actes de vandalisme avaient déjà été commis dans la journée du 24 décembre, le camion des pompiers avait été caillassé par plusieurs dizaines d'hommes cagoulés et armés de gourdins et de clubs de golf criant, selon les témoignages des sauveteurs, "Corses de merde, vous n'êtes pas chez vous". Deux pompiers et un policier avaient été blessés.

Au total, dans cette enquête, 14 personnes ont été interpellées et cinq mises en examen, pour leur implication présumée dans les actes de vandalisme ou l'agression des pompiers, précise M. Cazeneuve dans son communiqué.

Le 25 décembre, des centaines de personnes avaient dénoncé ces violences devant la préfecture d'Ajaccio. Des manifestants s'étaient ensuite rendus aux Jardins de l'Empereur et dans d'autres quartiers à forte population maghrébine, scandant pour certains "les Arabes dehors". Des déprédations avaient été commises, sans faire de victime, notamment dans une petite salle de sport servant aussi de salle de prière pour les musulmans.

Plusieurs actes antimusulmans ont depuis été enregistrés dans l'île.

 

Source : http://www.corsematin.com/

mercredi, 25 novembre 2015

Ce qui nous attend (probablement)

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2015

On ne pourra pas faire l'économie d'une guerre civile.
 
 
Je crains, je crois qu’on ne pourra pas faire l’économie d’une guerre civile, ou plus exactement de plusieurs, ouvertes ou larvées : Français de souche ou d’origine contre musulmans immigrés ; Français « soumis » et « collaborateurs » (nombreux dans les médias) contre Français « résistants » ; musulmans sincèrement gagnés à la République et à la démocratie contre musulmans haïssant la France et sa civilisation. Si nous perdons cette guerre, qui sera une guerre durable, implacable, incertaine, c’en est fait de la France. Il n’y aura plus de place pour les indifférents.

Si l’on avait voulu éviter cela, il aurait fallu ne pas se laisser constituer sur le sol national, à partir de rien, une communauté de 5 à 7 millions de musulmans, la plupart plus ou moins indifférents et paisibles, mais qui servent, volontairement ou non, de « vivier » à une minorité de fanatiques, terroristes potentiels ou en devenir. Malheureusement, ce sont là ces ennemis de la France, de son art de vivre, de sa civilisation, qui comptent et qui mènent la danse. Seul un gouvernement de salut public peut nous tirer de l’impasse dans laquelle nous nous sommes volontairement engagés.

Faut-il le répéter pour la centième fois, car personne n’écoute : sur le fond, le problème est de nature démographique. Ce sont les hommes, leur nombre, leur poids qui importent. « Tout le reste est littérature. » Or, le temps nous est compté. Car l’évolution démographique joue contre nous. Elle nous est radicalement défavorable. Et quand nos ennemis seront suffisamment nombreux, France et Français seront irrémédiablement perdus.