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lundi, 28 novembre 2016

Irlande. Le Irish National Party veut interdire le pays aux musulmans

Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2016

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23/11/2016- 07H00 Dublin (Breizh-info.com) – Un nouveau parti, The Irish National Party, a été lancé en Irlande, à Dublin, courant novembre 2016, lors d’une conférence de presse (perturbée par quelques militants antiracistes).

Son leader Justin Barrett, entend notamment interdire totalement l’accès à l’Irlande pour les musulmans. Ce dernier, qui est par ailleurs un militant anti-avortement, mais également un partisan d’une Irlande réunifiée, a déclaré : « nous avons besoin de contrôler chaque personne qui vient dans notre pays. La plupart d’entre eux, sur un simple coup d’oeil, vous pouvez savoir si ils sont menaçants ou pas » a-t-il déclaré.

 Justin Barrett souhaite instaurer les contrôles au faciès, pour protéger la population irlandaise. « C’est quelque chose que la police utilise dans le monde entier pour assurer la loi et l’ordre. Les libéraux condamnent cela, mais l’absence de contrôle en France a provoqué des meurtres et du chaos (…). Tout le monde est inquiet. Nous essayons de sauver des vies. Les familles qui ont perdu des êtres chers en France sont traumatisées. Les contrôles au faciès protègent la population » a-t-il déclaré dans des propos rapportés par le Irish Times.

Justin Barret a par ailleurs annoncé que le National Party présenterait des candidats lors des prochaines élections en Irlande, et que son parti s’opposait au mariage homosexuel, mais pas aux homosexuels ; « ce qui se passe dans la vie privée des gens entre deux adultes consentants ne regarde personne, mais le mariage pour tous est lui du domaine de la sphère publique ».

Par ailleurs le National Party – qui entend expulser de nombreux immigrés d’Irlande en cas d’arrivée au pouvoir – dénonce également la dictature de l’Union Européenne, et dénonce l’ascension du multiculturalisme dans la société irlandaise. Lors de l’interview qu’il a donné à une radio irlandaise, il s’en est également pris à l’immigration d’Europe de l’Est, y compris celle de l’Union Européenne.

Le président du nouveau parti – qui n’a jusqu’ici pas d’équivalent dans l’histoire de l’Irlande – a par ailleurs expliqué être financé par des donateurs, et avoir récolté plusieurs dizaines de milliers d’euros pour le lancement, tout en refusant de donner un nombre d’adhérents ; selon la presse irlandaise le National party ne regrouperait que quelques dizaines d’adhérents pour le moment.

Irish National Party ne possède à l’heure actuelle ni site Internet, ni page Facebook, et a vu un de ses meetings d’information annulé par le Merrion Hôtel de Dublin, qui devait l’accueillir.

Son lancement alors que Donald Trump vient de remporter la présidentielle américaine, que M. Hofer est en passe de gagner en Autriche, ou encore que le Brexit a été voté au Royaume-Uni pourrait toutefois contribuer à une ascension significative du parti dans les prochains mois.

Justin Barret avait disparu de la vie politique irlandaise depuis le début des années 2000, alors qu’il menait à l’époque campagne contre l’avortement en 2002 (référendum). Coup de communication ou réelle volonté de construire un mouvement politique nationaliste et conservateur en Irlande ? Réponse dans quelques mois …

 

Source : breizh-info

vendredi, 04 novembre 2016

Italie: La messe pour les militaires défunts est supprimée car « il y trop d’élèves musulmans » Partager sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

italie
 
Dans la province de  Vicence (Vicenza en italien) la municipalité de Malo et les écoles se mettent d’accord pour abolir la messe pour les écoles afin de favoriser la présence des élèves.

Pas de messe donc le 4 novembre, jour de fête des forces armées et de l'Unité Nationale. Une insulte à la mémoire des dizaines de milliers d’officiers et de soldats italiens qui sacrifièrent leur vie au cours de la première guerre mondiale.

De nombreux habitants de Malo, ont mal vécu la décision d’abolir cette traditionnelle Messe pour les écoles pour le motif de respecter les élèves des « autres religions ».

Il avait été demandé au curé seulement de bénir la couronne de lauriers, sans célébration religieuse. Mais le prêtre s’est refusé à cette mascarade : « je renonce à la bénédiction de cette couronne, nous prierons à la cathédrale. »

La municipalité est pour autant restée inflexible : « La messe constitue un problème pour les écoles – tente d’expliquer Irène Salata, adjointe à l’enseignement – les enseignants m’ont dit que c’était une question de « tutelle » (des élèves). Pour cela nous avons décidé d’éliminer tout élément qui puisse être un obstacle à la présence des enfants. »

De fait 13% des écoliers sont maintenant d’origine étrangère.

La décision de l’administration municipale a cependant suscité l’ire de nombreuses associations d’anciens combattants et du comité de citoyens “Prima noi”.

Source: ilgiornale.it Traduit par ce blog

lundi, 03 octobre 2016

Menacés par des musulmans, des réfugiés chrétiens cherchent à quitter leurs centres d’accueil

Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2016 

Ils importent la persécution :

T"Mehdi Davud se rend tous les dimanches après-midi dans une petite église protestante du quartier de Neukölln à Berlin. Il y assiste à un office en allemand, traduit en langue persane. Cet informaticien iranien de 33 ans est arrivé en Allemagne il y a un an et a suivi, tous les samedis, des cours de catéchisme avant d’être baptisé au printemps. « En Iran, on m’aurait tué pour oser changer de religion », explique ce trentenaire, au large sourire. Pourtant, ici aussi, au cœur même de la capitale allemande, il se dit mal à l’aise.

À son arrivée, il a été logé, avec 2 000 autres personnes, dans le plus grand foyer d’accueil de la ville, dans les anciens hangars de l’aéroport de Tempelhof. Ce qui l’a poussé à quitter ce centre n’est pas la promiscuité mais les menaces qu’il a reçues de la part de musulmans radicaux.

« Un petit groupe a commencé à nous demander pourquoi nous ne priions pas avec eux, le vendredi, et pourquoi nous lisions la Bible. Ils nous ont dit qu’un musulman n’avait pas le droit de changer de religion. Ils étaient 7-8 personnes au départ, puis une cinquantaine. J’ai eu peur. » [...]

La branche allemande de l’organisation évangélique Portes ouvertes a réalisé en début d’année une enquête auprès de 231 chrétiens irakiens, afghans et syriens (199 sont des convertis) logés dans des centres d’accueil : 204 disent avoir été victimes d’insultes, de menaces ou d’agressions physiques de la part de colocataires musulmans. Pour cette association, ceci ne serait que le « sommet de l’iceberg »"

Michel Janva

dimanche, 02 octobre 2016

En Bosnie-Herzégovine, les Serbes "ne veulent plus vivre avec les musulmans"

Mersiha Nezic / L'Express
Résultat de recherche d'images pour "bosnie herzégovine"Les partis nationalistes devraient sortir gagnants des élections locales en Bosnie-Herzégovine qui se tiennent ce dimanche. Les velléités séparatistes des Serbes font craindre une implosion du pays. Reportage à Pale, fief des nationalistes serbes le jour de cette consultation coxntroversée.

"Nous les Serbes, nous avons renoncé à ce concept qu'est la Bosnie-Herzégovine." Dans la petite ville de Pale, des élections locales succèdent ce week-end à un référendum sauvage la semaine dernière. Elles devraient donner la victoire aux partis nationalistes issus des trois communautés du pays. L'heure n'est pas au vivre-ensemble, comme le laisse comprendre Aleksandar, le tenancier d'un minuscule bar.

Ici, vingt ans après la guerre qui a fait 100 000 morts et provoqué le déplacement de 1,8 million d'habitants, le temps semble figé. Pale était la capitale autoproclamée des Serbes de Bosnie entre 1992-1995 et les 3 000 Bosniaques - le nom désigne les musulmans de Bosnie - chassés en début du conflit ne sont jamais revenus.

Grand remplacement

"Les Bosniaques s'accrochent. Comme tous les musulmans, ils font beaucoup d'enfants. Ils savent que dans deux cents ans, ils vont nous dominer démographiquement", assène Aleksandar, planté bras croisés devant un mur tapissé de drapeaux serbes. La théorie du "grand remplacement" et de l'islamisme rampant a de nombreux partisans sur place. "Nous ne pouvons pas vivre ensemble. Nous, les Serbes orthodoxes, nous sommes des gens normaux. Eux, les Bosniaques, à l'instar de tous les musulmans en Europe et dans le monde, recherchent la domination", estime pour sa part Djordje, un grand gaillard au crâne rasé de 37 ans.

Alors l'idée de diviser la Bosnie-Herzégovine- pour l'instant constituée de deux entités non indépendantes gagne du terrain. "L'indépendance, c'est la volonté de notre peuple. J'espère la voir se réaliser de mon vivant", abonde Milomir, un discret client quadragénaire, en sirotant son café. La semaine dernière, Milomir a été parmi les premiers électeurs à glisser son bulletin dans l'urne pour dire oui au maintien de la "fête nationale" des Serbes de Bosnie le 9 janvier. La cour constitutionnelle bosnienne, les autorités de Sarajevo et la communauté internationale s'opposent à cette fête, jugée discriminatoire. Et pour cause: le 9 janvier 1992 est la date de création de la "République du peuple serbe" par Radovan Karadzic, quelques mois avant le début de la guerre, excluant les non-Serbes de cette entité.

Kazadvic, théoricien de l'épuration ethnique et héros

Car Pale est aussi le fief de la famille Karadzic. Son patriarche, Radovan, considéré comme le théoricien de l'épuration ethnique, purge à La Haye une peine de quarante ans de prison pour génocide et crime contre l'humanité. Mais ici, il est considéré comme un héros. En mars dernier, une résidence étudiante a été baptisée de son nom. C'est sa fille Sonja, vice-présidente de l'assemblée parlementaire de l'entité serbe, qui a coupé le ruban. "Longue et heureuse vie à Radovan. Il a été condamné sans aucune preuve", sourit une institutrice, blonde à l'air doux. "On n'aurait pas dû donner le nom de Radovan à ce bâtiment. Il aurait fallu le garder pour un hôpital. C'était un médecin, un humaniste", renchérit Radoje, un professeur de collège en retraite, endimanché dans sa veste de costume rouge fanée.

Aujourd'hui, le pays est divisé en deux entités non indépendantes: la fédération croato-bosniaque et la République serbe dont les vélléités d'indépendance vont grandissantes. Le président de l'entité serbe remercie régulièrement Radovan Karadzic pour son "oeuvre". "La Republika Srpska est redevable à ceux qui ont eu la vision de la créer, qui ont eu le courage de se mettre à sa tête", déclarera-t-il le soir du référendum, à Pale lors d'un meeting électoral. Le leader bosno-serbe joue avec succès la carte ultra-nationaliste pour faire oublier les affaires de corruption et le chômage endémique qui écrasent le pays. Une domination que les partis nationalistes devraient confirmer ce dimanche.

 

Source : news.sfr

jeudi, 15 septembre 2016

Fête de l’Aïd : Bruxelles présente ses excuses aux musulmans et prévoit des dédommagements

 Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2016

Par le 15/09/2016  

Le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort (PS) a présenté mercredi matin les excuses du gouvernement bruxellois aux personnes qui ont eu à subir les conséquences de l’organisation, à Bruxelles, de l’abattoir temporaire, confiée à un opérateur privé.

Disant avoir constaté avec colère que la société ITC n’avait tenu ses engagements ni envers les fidèles, ni envers la Région bruxelloise, il a annoncé avoir requis les services d’un avocat pour étudier la meilleure façon de dédommager les personnes lésées et d’obtenir réparation auprès de celui-ci.

Selon M. Vervoort, le bilan précis de l’édition 2016 de la fête du sacrifice sera établi dans les prochains jours, en concertation avec toutes les parties impliquées: services régionaux, communes et associations musulmanes. [...]

 

 


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Source : fdesouche