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dimanche, 25 juin 2017

La GayPride défile à Paris pour demander la PMA promise par Macron

Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2017

Pour la 40e GayPride appelée dorénavant la Marche des Fiertés parisienne (sic), – parce que dans la nouvelle vague moralisatrice d’aujourd’hui c’est une fierté d’être homo, trans, bi, queer, et une honte d’être un normal hétéro !, les mouvements arc-en-ciel ont un mot d’ordre : réclamer « la légalisation de la PMA, (la Procréation médicalement assistée) pour toutes, sans condition et sans restriction », alors qu’aujourd’hui elle n’est légale que pour les couples hétérosexuels.

Et puisque Emmanuel Macron, au cours de la campagne présidentielle s’est dit « favorable » à son ouverture « aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires », cette demande, qui ne tient aucun compte des droits des enfants à qui l’on refuse un papa ET une maman, sera certainement exaucée sans trop de difficultés. « On demande au gouvernement un calendrier législatif précis », confirme Joël Deumier, président de SOS homophobie. « Les personnes LGBT attendent la PMA depuis 2013. On va mettre le gouvernement face à ses responsabilités et il ne peut pas tourner les talons et dire : ‘finalement non’. Cette majorité doit travailler et agir. » Avec Macron, le monde Lgbt a trouvé chaussure à son pied !

En tout, 88 associations et organisations doivent participer à cette marche revendicatrice (l’affiche au poing levé comme au plus beau temps du communisme assassin en témoigne) sponsorisée entre autres par la Marie de Paris et le Conseil Régional d’Ile de France. Contribuables Franciliens et Parisiens vous savez où va votre argent !

Ce samedi 24 juin, Paris va donc se transformer, à partir de 14h, et jusque tard dans la soirée en un vaste lupanar à ciel ouvert où toutes les déviances et comportements immoraux s’exhibent sans pudeur ni retenu. De la place de la Concorde à l’arrivée prévue vers 17h, place de la République, où se tiendra un grand concert jusque 22 h, le Grand Podium, show festif et militant engagé autour de concerts, dj sets, vidéos, stands-up , avec des artistes queers & gay-friendly, ce quartier sera totalement aux mains de la Gaystapo. Le drapeau arc-en-ciel flottera sur la place de la République !

Familles abstenez-vous aujourd’hui d’aller vous balader avec vos enfants dans ce quartier parisien !

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 16 juin 2017

« Climatocratie L’arnaque du climat tramée à Paris percée à jour – une bonne chose ».

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

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Climatocratie

L'arnaque du climat tramée à Paris percée à jour – une bonne chose.

De Roger Köppel, Editorial, 8 juin 2017

Les Mayas, un peuple indien d'Amérique centrale, disparu au début des temps modernes à cause de la sécheresse persistante due à l'élévation de la température, ont vénéré le dieu Soleil avec assiduité et une grande rigueur. Je ne sais pas comment les Mayas appelaient leur divinité, mais ils lui sacrifièrent des animaux et des humains vivants parce que leurs sorciers leur racontaient que c'était le seul moyen d'apaiser la colère du soleil.

Les pauvres Maya ne savaient pas si leurs sacrifices plairaient à leur dieu, mais ils les pratiquèrent et l'honorèrent jusqu'à leur disparition. Il aurait probablement été plus intelligent d'investir leurs ressources dans une réforme de leurs méthodes de cultures.

Nous voici de retour aujourd'hui à une situation similaire. Le soleil est devenu mauvais et réchauffe l'atmosphère.

Les hommes interrogent leurs sorciers qui leur recommandent, menaçants, de nouveaux sacrifices. Cette fois-ci, pas de sacrifices humains ou d'animaux, mais de l'argent et de la prospérité. Mortification et renoncement s'imposent. Les contemporains ne savent pas non plus si leurs offrandes plairont aux dieux du soleil, mais confiants en leurs sorciers, ils espèrent qu'elles finiront tôt ou tard par porter leurs fruits, dans cent ans peut-être.

La politique climatique, c'est du vaudou, de la religion solaire, de la pensée magique, une sorte de commerce des indulgences qui permet à plus d'un d'en tirer profit. Croire que l'humanité puisse contrôler la température moyenne de la planète par une action concertée au cours de congrès et de conférences est si fou que cela en devient presque fascinant. Ces mêmes personnes, qui tentent en vain depuis des décennies de juguler la dette publique, sont légion devant les micros quand ils ont la possibilité de raconter aux gens à l'extérieur comment limiter la présumée hausse mondiale de la température avec leurs concepts. Ils ont enfin une frontière qu'ils sont capables de contrôler.

L'accord sur le climat de Paris, pour autant que je puisse en saisir la portée, est une arnaque. Il a été «vendu» par ses initiateurs comme l'ultime tentative pour sauver la planète. Ce qui serait décidé à Paris aurait une importance capitale pour l'humanité, exultaient les journaux. Ce serait un acte politique majeur: l'ébauche de la solution d'un problème central, auquel chaque citoyen de cette planète aurait un intérêt tout particulier. Et où est l'arnaque? Elle réside dans le fait que les promoteurs de «Paris» ont bricolé leur accord de manière à interdire à tout jamais tout vote à son propos dans un pays. Le salut de l'humanité serait décidé en se passant de son avis.

Bien entendu, il y avait des excuses. On disait que l'accord ne serait pas passé s'il avait été libellé comme un traité officiel accompagné de sanctions. Toutes les mesures seraient volontaires, faute de quoi il aurait fallu présenter l'accord aux parlements. Il valait mieux l'éviter. Les sauveurs du climat autour du président américain Barack Obama ont trouvé le climat trop important pour le laisser entre les mains de la démocratie.

Pourquoi donc? Si le contrôle du climat était si important, il magnétiserait politiquement les foules. Pourquoi soustraire à l'opinion ce qui doit de toute urgence intéresser les gens et, si c'est exact, qui les intéressera? Ce comportement étrange n'autorise que deux interprétations. Soit ces personnalités politiques ne croient pas à leur politique climatique, soit ce ne sont pas des démocrates, mais des dictateurs, plus précisément des climatocrates qui veulent imposer d'en haut aux citoyens, sans les consulter démocratiquement, leurs vues comme jadis les communistes ou d'autres tenants de systèmes totalitaires. Les deux théories sont probablement justes.

On entend maintenant souvent dire que l'accord sur le climat de Paris était anodin puisqu'il ne liait pas ses signataires, qu'il avait plutôt un caractère symbolique et qu'il fallait plus voir en lui un signal qu'une politique concrète. Ajouter foi à ces arguments, c’est se faire piéger par les climatocrates. Cet accord est dangereux parce qu'il est quelque part en suspens dans un vide démocratique entre responsabilité morale et juridique, au-dessus de l'État de droit. C'est un non-traité, qui veut faire passer en force des changements de comportement et des mesures politiques, mais, bien sûr, sans que les citoyens aient leur mot à dire.

Et pas si anodin que cela. En Suisse, par exemple, l'accord «non contraignant» sur le climat de Paris sert déjà fort bien à justifier de façon très contraignante une stratégie énergétique qui coûtera jusqu'en 2050 quelque 200 milliards de francs suisses et bouleversera l'approvisionnement énergétique – en intervenant massivement sur la vie privée. Les sauveurs du climat contournent ainsi la démocratie: ils créent durant leurs conférences internationales un pseudo-droit qu'ils utilisent à la maison comme moyen de pression pour faire passer les lois souhaitées.

Le retrait de Trump de ce non-traité, qui de fait en est un, est un acte d'honnêteté. La montée de la haine mondiale à laquelle il est depuis lors confronté ne fait que prouver à quel point la religion climatique anti-démocratique s'est répandue dans les rédactions et les partis. De puissants groupes d'intérêt craignent déjà pour leur argent et leur influence que leur apportera l'accord sur le climat, il est vrai, tellement non contraignant.

Le comble de l'hypocrisie consiste maintenant à reprocher à Trump d'en être sorti, alors qu'un non-respect tacite de l'accord eût été possible et aurait suffi. Toute la malhonnêteté de cette arnaque du climat tramée à Paris est percée à jour avec de tels conseils: l'enjeu n'est pas le climat, mais le maintien de la façade d'une communauté mondiale d'idées qui remplit ses propres poches et celles de ses bénéficiaires dans le monde des affaires, de la recherche et de la société. Les masques tombent. L'arnaque est dévoilée. En Suisse, la présidente de la Confédération, Doris Leuthard, constitue la figure de proue rayonnante de cette douteuse climatocratie, ennemie de la démocratie et de la prospérité, sous les applaudissements intarissables des médias.

Je ne suis certainement pas contre la protection de l'environnement et les énergies propres, mais je suis contre le fait d'organiser une sorte d'environnementalisme dans notre dos avec des accords mensongers «non contraignants» qui finissent par établir un système de prébendes, de réglementations et de privilèges que les gens doivent payer sans jamais avoir été amenés à donner leur avis. Grâce à Trump, tout le monde finit par en parler. Une bonne chose.

Lien vers l'article  et la Weltwoche, ici

 

Source : lesobservateurs

jeudi, 15 juin 2017

Paris : le camp de clandestins de la Chapelle touché par une épidémie de gale

Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2017

14 juin 2017 par Pierrot

Capture-5.jpgL’association Médecins sans frontières tire la sonnette d’alarme. Plus d’une centaine de cas de gale ont été recensés à proximité du centre d’accueil des réfugiés situé au nord de la capitale, et ce malgré les efforts des professionnels de santé.

Dans les rues de Paris, la gale prolifère dangereusement au point d’inquiéter les associations humanitaires. Selon Bruno Morel, directeur général d’Emmaüs Solidarité, 157 personnes auraient été diagnostiquées depuis novembre 2016 par le service de santé du centre d’accueil de migrants de la porte de la Chapelle (XVIIIe arrondissement), situé au nord de la capitale. De son côté, l’organisation non gouvernementale (ONG) Médecins sans frontières a dénombré près de 164 autres cas parmi les milliers de réfugiés qui dorment dans la rue dans des conditions d’hygiène déplorables.

Source : contre-info

lundi, 12 juin 2017

« On s’habitue à cacher nos formes, à baisser la tête » : Des femmes harcelées à La Chapelle témoignent

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2017

Par le 11/06/2017 

Une question passionnée. Depuis la parution d’un article du Parisien sur le harcèlement des femmes dans le quartier de la Chapelle, une chape de plomb s’est levée dans ce coin du nord-est de Paris. Dans cet article, publié le 18 mai, certaines femmes assurent qu’elles ne peuvent plus sortir seules dans les rues, « porter une jupe ou un pantalon trop près du corps » sans se faire insulter et agresser.

Deux associations du quartier, SOS La Chapelle et Demain La Chapelle, ont lancé une pétition pour dénoncer la situation de ces femmes, qu’elles décrivent comme « une espèce en voie de disparition au cœur de Paris ». Le 6 juin, la pétition totalisait près de 20 000 soutiens.

Depuis, dans les cafés, les commerces, à la sortie des écoles, sur les panneaux d’affichage, les appels à résister à une description « caricaturale » du quartier font face aux louanges d’une « vérité » que l’article aurait « enfin » exprimée.

Mais le constat est unanime : le quartier de la Chapelle n’est pas comme les autres. De la place centrale saturée et surplombée par le métro aérien à la halle Pajol récemment inaugurée, un condensé de cultures et de misère s’entrecroise. Franceinfo a passé une semaine dans ce quartier de Paris pour rencontrer ceux qui le font vivre. Voici leurs témoignages.

(…) Lucie est lasse de voir la parole des femmes remise en question. Depuis son installation dans le quartier, il y a deux ans, cette chargée de communication ne compte plus le nombre de fois où elle s’est fait insulter ou siffler. « Ça va de l’interpellation – ‘eh coquine’, ‘t’es charmante’ – à l’insulte – ‘baisse les yeux salope’, raconte-t-elle. Au début, je répondais, je leur disais ‘ta gueule’, ‘espèce de connard’, mais en fait, ça ne servait à rien. Le lendemain, un autre recommençait. » Il y a aussi les gestes, les regards, les souffles dans le cou ou les murmures qu’elle seule peut entendre. « Les hommes ne crient pas quand ils agressent. Ils font bien en sorte que seule la femme visée puisse entendre, c’est très pervers. Je me suis sentie sale plusieurs fois », décrit-elle. (…)

(…) Habitante d’un immeuble donnant sur la place de la Chapelle, Laurence prend sur elle, mais sa voix douce tremble entre deux phrases. « On ne peut pas prendre plaisir à se promener ici quand on est une femme. Depuis près de deux ans, notre immeuble est le territoire de bandes de trafiquants. Chaque jour, à partir de 16 heures, des gamins forcent la porte d’entrée et s’installent dans le hall pour dealer. Ils nous menacent, ils fument du shit, ils nous défient. »

« On nous traite de fachos, de racistes, mais on est juste impuissants. » Sur la porte de son immeuble, Laurence a d’ailleurs collé un texte où elle dénonce « ces habitudes ». « On s’habitue à cacher nos formes, à baisser la tête, surtout quand on rentre tard, et puis… tout le temps en fait. » « Le problème, ici, c’est une surpopulation d’hommes et de trafiquants. Quelle femme s’y sentirait bien ? » (…)

(…) FranceInfo

 

Source : fdesouche

vendredi, 28 avril 2017

Paris : les « cadenas d’amour » vendus aux enchères au profit d’associations d’aide aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2017

Par le 27/04/2017  

Plusieurs centaines de kilos de « cadenas d’amour », ces cadenas gages de fidélité que les touristes accrochent aux grilles des ponts et que la Ville de Paris enlève, seront vendus aux enchères le 13 mai en faveur d’associations d’aide aux migrants. 45 tonnes de métal avaient ainsi été enlevées lors du nettoyage du Pont des Arts.

Quinze grilles portant des centaines de cadenas, pesant jusqu’à 500 kg, et 150 grappes de cadenas de tailles diverses, seront proposées à la vente. Les bénéfices iront à trois associations mobilisées dans l’accueil et l’accompagnement des réfugiés accueillis par la Ville : Solipam, l’Armée du Salut et Emmaüs Solidarité.

Cette « vente au profit des associations qui accompagnent les réfugiés, c’est notre façon de respecter le geste de tous ceux qui ont choisi de venir célébrer leur amour dans une ville ouverte et généreuse« , a assuré Bruno Julliard, premier adjoint de la maire PS de Paris Anne Hidalgo. […]


Source : fdesouche via  Le Nouvel Obs