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dimanche, 17 février 2019

Perpignan (66): Jugé pour s’être soustrait à une obligation de quitter le territoire, un Algérien est relaxé après un débat surréaliste

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2019

 
 

Tribunal de Perpignan : simule-t-il pour tromper la justice ou est-il vraiment fou ?

Bilal se retrouve devant le tribunal correctionnel car il s’est soustrait à une mesure l’obligeant à quitter la France.

[…]

– «  D’où venez-vous ?  » lui demande le juge ?
– « Je suis arrivé et j’ai été arrêté ».
– « Comment s’est déroulé votre parcours ? »
– «  Je suis arrivé et j’ai été arrêté ».
– « Vos projets ? »
– « Je voulais descendre au prochain arrêt ».
– « Où êtes-vous né ? »
– « Je voulais descendre au prochain arrêt ».

Le président finit par abandonner. Ce qui n’est pas le cas du procureur : « Rien à voir avec une pathologie. C’est une stratégie d’évitement, une technique pour bloquer la procédure. Il donne une nationalité fantaisiste car on ne peut le renvoyer dans un pays qui ne le reconnaît pas !

[…]

Le tribunal ne peut que s’incliner. Le prévenu est relaxé. Mais que va-t-il devenir s’il ne simulait pas…

L’Indépendant via fdesouche

vendredi, 25 janvier 2019

Perpignan (66) : mécontent de ne pas avoir obtenu l’asile, Ali détruit la voiture de l’association d’aide aux migrants qui l’héberge

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Par  le 24/01/2019

 

Ali, tout juste 20 ans, a débarqué du Koweït pour demander l’asile en France. Il est logé par une association d’aide aux migrants, c’est cette même organisation qui l’appuie dans ses démarches administratives.

Jeudi, le courrier qu’il attend depuis si longtemps tombe enfin dans la boîte aux lettres, mais la nouvelle n’est pas celle espérée : sa demande d’asile politique est rejetée.

Ali entre aussitôt dans une colère noire. Il se met à littéralement démolir la voiture de l’association. Il faudra l’intervention des gendarmes pour réussir à le calmer, non sans qu’il invective encore et encore la directrice de l’organisation et les militaires.

«  Vous aviez consommé pas mal d’alcool et de cannabis, non ? s’inquiète le président. Mais, au fait, comment avez-vous pu vous les offrir ?  »

«  Avec l’allocation versée aux demandeurs d’asile !  »

«  Il a surtout expliqué qu’il avait été prétendument mal accueilli et mal logé, fait remarquer le procureur, et comment rembourser ce véhicule qui offrait à tous la possibilité d’aller effectuer des démarches ?  »

 

L’Independant via fdesouche

mardi, 16 octobre 2018

A Perpignan, une cité entière encerclée par les forces de l’ordre

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2018

Par  le 15/10/2018

 

Spectaculaire opération de police ce vendredi soir à la Résidence les Oiseaux dans le quartier du Moyen Vernet à Perpignan. Plus d’une centaine de policiers et gendarmes, appuyés par un hélicoptère, ont entièrement bouclé le quartier, multipliant les interpellations et les perquisitions. Objectif : rétablir l’ordre et mettre un terme au trafic et à l’insécurité générée par les dealers depuis des mois.

Plusieurs dealers présumés ont tenté de prendre la fuite, mais le dispositif ne leur a laissé aucune chance : ils ont été interpellés et placés en garde à vue.

Les différentes routes entourant la cité ont été quadrillées, et tous les véhicules contrôlés. La police a également procédé à des perquisitions et des fouilles dans de nombreuses caves de la cité.

Le procureur de la République Jean-Jacques Fagni s’est rendu sur place ainsi que l’adjointe en charge de la sécurité à la mairie de Perpignan Chantal Bruzy, qui a confirmé que cette vaste intervention policière était préparée de longue date: « C’est une opération faite pour marquer les esprits et bien faire comprendre qu’il n’y aura pas de zone de non-droit à Perpignan« .

francebleu via fdesouche

lundi, 21 mai 2018

Perpignan (66) : trafic de drogue, menaces de mort, agressions, une bande de mineurs règne en maître dans un immeuble et impose la terreur aux habitants

Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2018

Par  le 21/05/2018 

Le trafic de drogue continue de se propager dans le lotissement du Vernet, faisant fuir les gens du quartier.

Depuis deux ans qu’ils ont envahi la résidence Les Oiseaux à Perpignan, ce groupe de mineurs règne en maître sur l’immeuble, imposant la terreur comme leur impitoyable loi. Celle d’un gang organisé dans le trafic de drogues qui sème colère et désarroi. L’enfer ici consume tous les espoirs, toutes les énergies.

Ayant commencé par dévaster un appartement après l’autre, les délinquants se sont désormais emparés du bâtiment entier. Quinze logements désertés par leurs occupants. À l’exception des deux derniers habitants, terrifiés mais financièrement engouffrés « On vit dans un tas d’immondices, pire que des taudis. Ils ont tout saccagé pour investir les lieux, c’est insoutenable », « Pour un rien ils nous menacent de mort. Il y a quelques mois, ils ont tabassé un gars »
« C’est hallucinant. Le monde entier semble impuissant face à ces jeunes. Même la police qui intervient tous les jours ne réussit pas à les déstabiliser », dénoncent unanimes les riverains, commerçants et professionnels du secteur

(…) L’Indépendant via fdesouche

mardi, 10 avril 2018

Perpignan : une femme de 61 ans condamnée pour avoir agressé des femmes voilées devant l’école

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

Par  le 10/04/2018

 

Une habitante du quartier Saint-Jacques à Perpignan a été condamnée ce lundi par le tribunal correctionnel de Perpignan pour violences et injures à caractère racial sur des femmes voilées devant l’école de leurs enfants.

Une femme de 61 ans a été jugée par le tribunal correctionnel de Perpignan ce lundi pour avoir agressé, en septembre et octobre 2017, des femmes voilées qui accompagnaient leurs jeunes enfants à l’école maternelle et primaire Romain-Rolland dans le quartier Saint-Jacques.

Insultes, bousculades… la prévenue a nié les faits de violences mais a livré à l’audience sa défiance à l’égard de la religion musulmane.

Elle a été condamnée à 4 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve, dont l’obligation de soins et l’interdiction d’approcher l’établissement scolaire.