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mercredi, 13 juin 2018

Vers la légalisation de la drogue

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Auteur Rouxel Jean

drogue,esther benbassa,légalisationComme chacun sait, la situation de la France est tellement mirobolante que nous pouvons sans difficulté majeure l’aggraver encore un peu.

Eh bien, rassurez-vous, bonnes gens, nos excellents parlementaires y pensent pour nous !

Figurez-vous qu’une dénommée Esther Benbassa, sénatrice écologiste et d’ultra-gauche de son état, organisait lundi un colloque au sénat pour réclamer la dépénalisation du cannabis.

Le titre de ce colloque était faussement interrogatif : « Légalisation du cannabis : l’Europe est-elle condamnée à l’impasse ? » Comme si le sujet du cannabis avait quoi que ce soit à voir avec l’Europe. Comme si empêcher des jeunes de se détruire était une « impasse » !

Comme toujours avec le rouleau compresseur gauchiste, la revendication politique était appuyée par un sondage.

De façon tout à fait symptomatique, si vous alliez lundi sur le site d’Ipsos pour télécharger l’étude sur le cannabis, vous ne tombiez pas sur ce sondage, mais sur ce titre : « Les conducteurs européens conscients que l’inattention tue, mais incapables de renoncer aux distracteurs au volant. »

Le gouvernement va nous enquiquiner bientôt avec la limitation de la vitesse à 80 km/h, sans aucun profit pour la sécurité routière. Mais il pourrait légaliser le cannabis !

Cependant, l’étude elle-même vaut son pesant de cacahouètes. Alors que tous les médias ne bruissaient que de l’écrasante majorité des Français favorables à la légalisation du cannabis, le chiffre donné par Ipsos est de 50 % !

Mais le plus amusant, si j’ose dire, ce sont les motivations. Selon ce sondage (qui, d’ailleurs, mélangeait tout, en évoquant aussi le cannabis thérapeutique, déjà partiellement autorisé), 52 % des Français estiment que la vente de cannabis sous contrôle de l’État serait efficace pour lutter contre les trafics.

La meilleure preuve que cet argument ne tient pas la route est le cas des Pays-Bas, où les drogues prétendument douces sont tolérées (mais d’ailleurs non légalisées).

Eh bien, une bonne part de l’héroïne consommée en Europe est produite aux Pays-Bas. Tout simplement, parce que les drogues « douces » peuvent être un pas vers les « dures ».

Bien loin de l’image « récréative » du cannabis complaisamment colportée par les médias, Mme Benbassa se fait donc la complice des mafias. Elle se fait la complice des destructeurs de notre jeunesse. Elle se fait aussi la complice des nouvelles atteintes aux libertés publiques que la consommation du cannabis entraînera. Les libertaires sont décidément les pires ennemis des vraies libertés.

 

Source : les4verites

mardi, 05 juin 2018

Drogue introduite en prison : une élue FN d'Albi interpellée à la maison d'arrêt de Rodez

Publié par Guy Jovelin le 05 juin 2018

Par Fabrice Valery

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L'élue albigeoise Glawdys Ramadji a été interpellée et entendue après la découverte de drogue sur son compagnon suite à une visite qu'elle a fait au parloir à Rodez. En 2017, elle avait déjà été l'objet d'une enquête et avait reconnu avoir introduit un téléphone portable en prison. 

Par Fabrice Valery 

L'élue municipale FN d'Albi, Glawdys Ramadji a été interpellée il y a une dizaine de jours à la sortie de la maison d'arrêt de Druelle à Rodez, à la suite d'un parloir prolongé avec son compagnon Dylan B. A l'issue du parloir, la fouille sur le détenu a conduit à la découverte de plusieurs barrettes de résine de cannabis. Elle a ensuite été entendue par les gendarmes à Rodez. 

Glawdys Ramadji est ressortie libre de cette audition mais selon nos informations la procédure n'est pas close et l'élue devrait avoir un nouveau "rendez-vous" avec les enquêteurs dans les jours qui viennent. 

Jointe par France 3, Glawdys Ramadji s'est refusée à parler de cette affaire, renvoyant les journalistes vers son avocat.

Contacté par France 3, Maître Philippe Pressecq, a reconnu que sa cliente avait bien été entendue par les gendarmes, selon lui, "pour vérification" car elle avait eu un parloir avec Dylan B. juste avant la découverte de la drogue dans la cellule. Elle a indiqué qu'elle n'était "en rien responsable de ce qui se passe dans les cellules de la maison d'arrêt" de Druelle, près de Rodez. 

Une source pénitentiaire indique cependant que la fouille du prisonnier a eu lieu juste après ce parloir prolongé et que la transmission de stupéfiant n'a pu se faire que pendant cet entrevue.

Déjà en 2017

L'élue avait déjà été mise en cause en 2017, après la découverte d'un téléphone portable dans la cellule de son compagnon. Elle avait reconnu auprès de France 3 avoir elle-même introduit le téléphone dans la prison lors d'un parloir. Une procédure avait également ouverte à cette époque pour introduction de stupéfiants en milieu carcéral. Elle avait été placée en garde à vue. Procédure qui n'est pas terminée. 

A la suite de la publication par France 3 de cette information, l'élue et son avocat avaient poursuivis en justice 18 médias dont France 3. Une procédure annulée par la justice

Ex-championne de boxe thaï, Glawdys Ramadji a été élue conseillère municipale à Albi en 2014 sur la liste FN conduite par Frédéric Cabrolier. Elle est également impliquée dans une bagarre avec un groupe de jeunes en mai 2017 dans le quartier de Lapanouse à Albi, chacun accusant l'autre de l'avoir agressé. 
 
Source : france3-regions.francetvinfo

lundi, 21 mai 2018

Perpignan (66) : trafic de drogue, menaces de mort, agressions, une bande de mineurs règne en maître dans un immeuble et impose la terreur aux habitants

Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2018

Par  le 21/05/2018 

Le trafic de drogue continue de se propager dans le lotissement du Vernet, faisant fuir les gens du quartier.

Depuis deux ans qu’ils ont envahi la résidence Les Oiseaux à Perpignan, ce groupe de mineurs règne en maître sur l’immeuble, imposant la terreur comme leur impitoyable loi. Celle d’un gang organisé dans le trafic de drogues qui sème colère et désarroi. L’enfer ici consume tous les espoirs, toutes les énergies.

Ayant commencé par dévaster un appartement après l’autre, les délinquants se sont désormais emparés du bâtiment entier. Quinze logements désertés par leurs occupants. À l’exception des deux derniers habitants, terrifiés mais financièrement engouffrés « On vit dans un tas d’immondices, pire que des taudis. Ils ont tout saccagé pour investir les lieux, c’est insoutenable », « Pour un rien ils nous menacent de mort. Il y a quelques mois, ils ont tabassé un gars »
« C’est hallucinant. Le monde entier semble impuissant face à ces jeunes. Même la police qui intervient tous les jours ne réussit pas à les déstabiliser », dénoncent unanimes les riverains, commerçants et professionnels du secteur

(…) L’Indépendant via fdesouche

mercredi, 11 octobre 2017

700 kilos saisis et des barons de la drogue arrêtés : un énorme trafic démantelé à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2017

700 kilos de drogue, des voitures de luxe, des armes, un pactole et 11 individus arrêtés… C'est le bilan d'un énorme trafic de drogue, démantelé en octobre 2017, près de Toulouse.

 

Après des mois d’enquête, un vaste trafic international de drogue a été démantelé ces derniers jours au sud de Toulouse (©Gendarmerie nationale)

C’est un énorme coup de filet que vient de réaliser la gendarmerie nationale, aux portes de Toulouse. Après plusieurs mois d’enquête et d’investigations, agissant sur Commission rogatoire de Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Bordeaux, les militaires de la Section de recherches de Toulouse, appuyés par les unités de la Région de gendarmerie d’Occitanie, ont interpellé pas moins de 11 individus. Des barons de la drogue qui sont déjà, pour la plupart d’entre eux, derrière les barreaux… Ils seraient tous impliqués dans un gigantesque trafic, en provenance du Maroc, par l’intermédiaire de deux convoyeurs autonomes. La gendarmerie de la Haute-Garonne assure :

Il s’agit d’un trafic international de stupéfiants, alimentant entre autre la ville de Toulouse et ses environs.

LIRE AUSSI : Toulouse. 25 000 euros par jour, 60 kg de cannabis saisis : un réseau de trafic de drogues démantelé

Avec l’intervention du GIGN et d’un hélicoptère

L’opération a été rondement menée par les forces de l’ordre ces derniers jours, en deux temps.

D’abord, jeudi 5 octobre 2017, un premier convoi de véhicules a été intercepté à Portet-sur-Garonne (Haute-Garonne), au sud de Toulouse, avec l’intervention de l’antenne du GIGN de Toulouse, mais aussi du Groupe d’observation et de surveillance (GOS) et de la Section aérienne de Toulouse, qui avait déployé un hélicoptère.

Deux jours plus tard, samedi 7 octobre 2017, rebelote : un deuxième convoi a été intercepté par les enquêteurs à Cugnaux (Haute-Garonne), toujours au sud-ouest de la Ville rose.

Lors de ces deux arrestations, quelques barons du milieu de la drogue sont tombés. Notamment le patron du trafic et son bras droit. Deux hommes qui jouissaient d’un sacré train de vie dans la banlieue de Toulouse.

LIRE AUSSI : Toulouse. Le gardien de prison fournissait les détenus en drogue et téléphones portables

Un énorme bilan à la clé

Après des mois d’enquête, un vaste trafic international de drogue qui a été démantelé ces derniers jours au sud de Toulouse, des caïds ont été arrêtés (©Gendarmerie nationale)

À l’arrivée, le bilan de cette opération judiciaire est colossal : les 11 individus qui ont été interpellés, ont tous été mis en examen. Six d’entre eux ont d’ores et déjà été placés en détention provisoire et « d’autres déférements sont en cours », indique une source proche du dossier.

Dans le même temps, quelque 654 kilos de résine de cannabis et 43 kilos d’herbe de cannabis ont été saisis à bord des véhicules, mais également 45 000 euros en numéraire, 10 véhicules de luxe, ainsi que des armes de poing et un fusil.

 

Source : actu.fr/occitanie/toulouse

mardi, 28 février 2017

Toulouse (31) : recruté à 13 ans pour faire le «chouf» dans la cité

Publié par Guy Jovelin le 28 février 2017

Par le 27/02/2017 

Entre les enquêtes judiciaires de longue haleine et les prises de drogue réalisées en flag, les différentes unités d’intervention luttent sans répit contre les trafics de produit stupéfiant, à Toulouse et dans ses cités. [...]

Source : fdesouche

Lire la suite sur : La Dépêche