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lundi, 05 octobre 2015

Toulouse : un policier blessé lors de l'interpellation de voleurs de voitures

Publié par Guy Jovelin le 5 octobre 2015

Un policier a été blessé dimanche soir à Toulouse lors de l'interpellation deux voleurs avec effraction. Ses jours ne sont pas en danger. Son collègue a tiré dans les pneus pour stopper le véhicule

© France 3

© France 3

Un policier a été blessé dimanche soir lors de l'interpellation de cambrioleurs dans le quartier de Borderouge à Toulouse, a-t-on appris de plusieurs sources policières.

Le policier de la Brigade Anti-Criminalité (BAC) intervenait avec ses collègues rue Amable Benoit de Saint-Ange sur une tentative de vols par effraction. Les deux auteurs présumés, arrivés à bord d'un véhicule volé, un Volkwagen Tiguan, venaient d'en dérober un second, une Fiat 500.

Selon nos informations, c'est avec ce deuxième véhicule que l'un des voleurs a percuté la voiture de la BAC. Un policier a alors tenté de l'extraire du véhicule mais il a repris la route, traînant le policier sur plusieurs mètres. L'un de ses collègues a tiré (une seule fois) dans le pneu avant gauche pour immobiliser le véhicule en fuite.

Un homme de 27 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Le policier a été blessé au dos, au genou et à la cheville gauche. Il a été transporté par les pompiers au CHU de Purpan et a bénéficié d'un arrêt de travail initial de 3 jours. 

Le syndicat Unité SGP Police souligne "le sang froid et le professionnalisme des intervenants et souhaite un prompt rétablissement au policier blessé. Cette tentative d’homicide sur un fonctionnaire de police indigne une nouvelle fois l’ensemble des policiers lesquels oeuvrent jour et nuit pour mettre hors d’état de nuire des individus qui n’ont aucun respect pour la vie humaine ni l’intégrité physique des personnes". Le syndicat demande "la plus grande sévérité à l’encontre des auteurs".
Pour le syndicat Alliance, "cette nouvelle affaire démontre, une fois de plus, la difficulté d'exercer le métier de policier à Toulouse où les forces de l'ordre doivent constamment faire face à des individus déterminés pour qui la vie des policiers ne compte pas"

vendredi, 18 septembre 2015

Le meurtrier d’un policier condamné à 20 ans de réclusion en 2011 vient d’être libéré

 Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2015

Cette décision a suscité un vif émoi auprès des proches et de la famille de la victime, mais également au-delà, auprès de nombreux citoyens considérant, à juste titre, qu'il est ubuesque de remettre en liberté un individu condamné en première instance pour des faits aussi graves.

Reconnu coupable du meurtre d’un fonctionnaire de la police nationale (Aurélien Dancelme, tué d’une balle dans la tête avec son arme de service le 21 février 2009 à La Courneuve), l’homme a été condamné par la cour d’assises de Bobigny en octobre 2011.

L’assassin ayant interjeté appel de la décision, sa période de détention était considérée comme provisoire et, du fait de la lenteur de la justice à fixer la date du nouveau procès, elle a été considérée comme un délai« déraisonnable » » par la chambre de l’instruction, qui a ordonné la libération du meurtrier à la demande de son avocat.

Cette décision a suscité un vif émoi auprès des proches et de la famille de la victime, mais également au-delà, auprès de nombreux citoyens considérant, à juste titre, qu’il est ubuesque de remettre en liberté un individu condamné en première instance pour des faits aussi graves.

Au-delà de la justification procédurale de cette remise en liberté, et quelles que soient les libertés fondamentales derrière lesquelles s’appuie l’avocat du meurtrier pour justifier le bien-fondé de cette mesure, il est scandaleux de considérer qu’un homme ayant abattu un policier de sang-froid puisse retrouver sa liberté d’aller et de venir dans un délai aussi court.

Derrière cette aberration judiciaire, il y a des hommes ou des femmes qui, par erreur ou négligence, ont permis cela. Ces magistrats ne sont pas responsables des actes ou de l’absence d’actes ayant abouti à cette situation. Il n’en rendront aucun compte, leur statut les protégeant de toute poursuite disciplinaire.

Il est plus que temps de responsabiliser les magistrats, dont l’incompétence inacceptable peut conduire une mère de famille à croiser le tueur de son enfant libéré en toute légalité, quatre ans après sa condamnation par une cour d’assises, en particulier lorsque cet enfant était un membre des forces de l’ordre.

Il y a eu le mur des cons. Il devrait y avoir le mur de la honte, où figureraient toutes ces personnes, plus compatissantes pour les auteurs des crimes que pour les victimes.

samedi, 08 novembre 2014

DRAME À VÉNISSIEUX : UN POLICIER SE TUE EN POURSUIVANT DES MAFIEUX DE BANLIEUE. L’ÉCHEC DE LEUR SOCIÉTÉ MULTIRACIALE.

Publié par Guy Jovelin

Lire l'article : http://jeune-nation.com/2014/drame-a-venissieux-un-polici...

Drame à Vénissieux : un policier se tue en poursuivant des mafieux de banlieue. L’échec de leur société multiraciale.