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mercredi, 25 février 2015

TRÈS LÉGÈRES PEINES POUR LES CASSEURS D’EXTRÊME GAUCHE À TOULOUSE ET NANTES, Y COMPRIS LES RÉCIDIVISTES

Publié par Guy Jovelin

Toulouse : venus « casser du flic » ils s’en tirent avec du sursis ou des TIG

 

Samedi dernier, les extrémistes ont à nouveau mené une journée d’émeute dans la ville Rose. De nombreux dégâts matériels ont été constatés : abribus, conteneurs à poubelles, scooter, voitures, vitrines de magasins – 23 ont été détruites – : rien n’a échappé aux casseurs. La police qui arrêtait lors des rassemblements de La Manif pour tous (LMPT) plusieurs centaines de personnes n’a procédé qu’à quinze arrestations à Toulouse.

En septembre 2012, plusieurs dizaines de JN sont arrêtés à Pairs sans avoir commis la moindre dégradation, par simple ordre de Manuel Valls, qui aujourd'hui laissent les rues de Nantes et de Toulouse livrées à la racaille.

En septembre 2012, plusieurs dizaines de JN sont arrêtés à Pairs sans avoir commis la moindre dégradation, par simple ordre de Manuel Valls, qui aujourd’hui laissent les rues de Nantes et de Toulouse livrées à la racaille.

Quatre d’entre eux ont été jugés hier. Ils ont écopé des peines les plus légères possible de la part des juges rouges : deux d’entre eux n’auront à effectuer que des travaux d’intérêt général ; les deux autres ne sont condamnés qu’à deux mois de prison avec sursis. Le procureur avait pourtant noté qu’ils étaient tous venus de loin pour « casser du flic » et qu’il s’agissait « d’actes prévus et prémédités ».

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Quelques mois de prison à Nantes…

Trois des dix casseurs arrêtés samedi lors d’une émeute organisée par l’extrême gauche à Nantes ont été reconnus coupables lors de leur procès en comparution immédiate hier. Comme à Toulouse, les émeutiers ont détruit du mobilier urbain et de nombreux biens privés et publics, des voitures, des vitrines de magasins, et également caillassé les policiers. Les trois extrémistes n’ont écopé que de peines de six mois de prison, assorties de sursis pour trois et quatre mois.

Le premier, âgé de 23 ans, affirme avoir été là « par hasard » ; niant toute implication dans les groupes antifrançais, il a reconnu que « beaucoup de personnes n’étaient là que pour casser ». Cet asocial alcoolique a écopé de six mois ferme dont quatre mois avec suris pour avoir jeté des projectiles sur les forces de l’ordre.

Un individu de 22 ans, pour les mêmes faits, a écopé de la même peine. Il était, lui, « venu à Nantes pour caillasser du policer » selon l’avocat de l’accusation. Tous les deux ont été relâchés et ne feront pas un jour de prison.

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… y compris pour un multirécidiviste, voleur, violent et agresseur sexuel

Le dernier individu à avoir comparu hier possède sans doute le profil le plus abouti du parfait antifa. Ce criminel – il est à noter que, comme tous les autres, les médiats ont protégé son identité, eux qui dévoilaient les noms de personnes relaxées et innocentées après des rassemblements de La Manif pour tous (LMPT) – a été condamné à plusieurs reprises dans le passé, notamment pour vol, pour violences, mais aussi pour agression sexuelle. Son appartenance ethnique n’a pas été précisée non plus.

Pour avoir caillassé les forces de police, il a écopé de six mois de prison, dont trois mois avec sursis. Pour toute défense il a prétendu qu’il pensait manifester « contre l’aéroport [de Notre-Dame-des-Landes], pas contre les policiers ». Il est le seul à avoir fait l’objet d’un mandat de dépôt à l’audience en attendant une probable rapide comparution devant un juge des libertés qui l’élargira.

 

 

Source : http://www.jeune-nation.com/réclamons la dissolution des groupes antifascistes

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lundi, 23 février 2015

Zadistes : voyous et casseurs (par Patrick Crasnier)

Publié par Guy Jovelin 

 

Les commerçants de Toulouse en ont assez, les habitants aussi, car depuis l’automne dernier, les manifestations de ces casseurs ne cessent pas. Le préfet irresponsable les autorise à manifester et la fin est toujours la même : des CRS qui tentent tant bien que mal de défendre les citoyens mais sans faire ce qu’il faut, de peur des « bavures ».

Ce n’est pas à Toulouse qu’il y a une zone à défendre (ZAD) où il n’y a que des CAD (commerces à défendre). Ces voyous inutiles et parasites sont installés dans le Tarn, sur des terrains agricoles où les propriétaires ne peuvent même plus se rendre. Mais c’est bien à Toulouse qu’ils viennent tout casser. Dans les champs, que voulez-vous, ils n’ont rien à faire, ils s’ennuient ferme, et surtout ils n’ont pas de vitrines à démolir.

C’est donc tout à fait officiellement, avec autorisation du préfet c’est-à-dire de l’État, qu’ils viennent le samedi dans la capitale régionale pour se défouler. Ils arrivent armés, bien entendu, et même en temps de Vigipirate « renforcé », personne ne leur dit rien. Essayez d’entrer dans un magasin avec une batte de baseball ou autre objet contendant, vous serez immédiatement refoulé. Là, rien, pas un policier ne bouge :« Ils ont l’ordre de ne rien faire. » Vous pensez, ce sont des « manifestants » qui sont officiellement déclarés comme des « écologistes », des militants du parti anticapitaliste et autres mouvements comme les antifas, protégés par notre gouvernement.

C’est donc devenu habituel, et samedi dernier, les Toulousains ont encore eu la désagréable surprise de constater les dégradations. Les grenades lacrymogènes ne gênent que les promeneurs, les « autres » sont équipés. Aucune réaction de force de la part de la police ou presque : la peur de se retrouver au tribunal, sans doute. Il n’y a pas si longtemps, la masse des Charlie embrassait notre police, la félicitant de son action pour nous protéger. Samedi, à Toulouse, où étaient les Charlie, où étaient ceux qui veulent que notre police nous protège ? Où était le ministre de l’Intérieur si prompt à se déplacer dans tous les cimetières qui ne sont pas catholiques (il paraîtrait que les cimetières catholiques, cela n’existe pas…), si prompt aussi à se déplacer si l’on soupçonne une mauvaise action qui serait de droite ?

La seule réaction fut celle du maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc qui, indigné, a publié un communiqué de presse pour expliquer qu’autoriser ces manifestations était irresponsable et que la ville ne paierait pas les dégradations. L’État s’en fiche. Il paiera, ou fera payer la ville autrement, et continuera à autoriser ces casseurs d’extrême gauche à sévir : c’est son électorat. Aux dernières informations, une dizaine de gugusses auraient été arrêtés. Demain, ils seront dehors, de nouveau dans leur « ZAD » à glander en touchant les aides sociales, tout en crachant sur notre société. Ils ne craignent rien : Taubira veille !

Source

samedi, 21 février 2015

ZAD, violences policières: manifestations tendues à Nantes et Toulouse

 Publié par Guy Jovelin

mardi, 25 novembre 2014

Les casseurs à nouveau en action à Nantes et Toulouse mais aussi Bordeaux et Lille

 

Publié par Guy Jovelin

Moins de 5.000 extrémistes se sont rassemblés à travers la France cet après-midi pour dénoncer les« violences policières » après la mort de Rémi Fraisse, un jeune alcoolique tué lors d’une nuit d’émeute à Sivens. La journée s’est déroulée « sans incident » selon les médias.

La preuve : les deux plus importants rassemblements – illégaux – de Toulouse et Nantes, se sont achevés dans la violence. Aucune autorisation de manifestation n’avait été acceptée après les nombreux crimes et délits commis lors des précédentes éditions. Si contre les nationalistes, dont les manifestations sont interdites a priori alors qu’aucun débordement n’a jamais été déploré, le Système mobilise des centaines de policiers et fait rafler toute personne ressemblant à un patriote – un Français propre sur lui –, les autorités ont cette fois encore laissé les extrémistes se regrouper et participer à une manifestation illégale.

Et comme les semaines passées, les deux manifestations ont rapidement dégénéré : les racailles rouges ont détruit de nombreux biens publics et privés, poubelles, voitures, abribus, sans doute en tant que symboles de « l’oppression fasciste et machiste »… À Nantes, la manifestation illégale s’est achevée devant la préfecture où 1.200 individus se sont heurtés aux forces de l’ordre. Aux jets de bouteilles et d’objets divers ont répondu les canons à eau et les gaz lacrymogènes avant que les casseurs ne donnent toute la mesure de leur « talent ». Les violences des semaines passées avaient conduit certains partis d’extrême gauche, comme Europe-Écologie-Les Verts, à ne pas se joindre à l’appel à manifester pour « reprendre la rue ».

À Toulouse, c’est un scénario globalement similaire qui s’est produit.

Le bilan de la soirée est lourd : plusieurs incendies criminels ont été constatés, du mobilier urbain a été détruit, des commerces ont été attaqués, des biens privés, notamment des voitures, ont été détruits ou dégradés ; plusieurs manifestations interdites ont pu se dérouler durant plusieurs heures sans la moindre réaction des pouvoirs publics. La complicité de Manuel Valls avec les casseurs est plus que jamais évidente. Par ailleurs, trois policiers ont été blessés, deux à Toulouse et un à Nantes.

Le bilan d’autant plus lourd que ces faits se sont produits à plusieurs reprises ces derniers mois et qu’ils ne concernent que quelques centaines de personnes – malgré l’appel à manifester dans plus de 20 villes, moins de 5.000 personnes se sont rassemblées hier. Pour mémoire, le Jour de colère avait rassemblé environ 100.000 personnes – la police du gouvernement d’occupation avait évoqué 17.000 personnes.

Selon les décomptes il y a eu seulement 200 manifestants à Bordeaux, une centaine ou moins à Dijon, Grenoble, Marseille, Paris et Poitiers, une cinquantaine à Gap et Saint-Étienne. À Lille, où la manifestation était illégale, les policiers ont laissé se rassembler plusieurs dizaines de racailles rouges qui ont multiplié les débordements dans le centre-ville, détruisant notamment des abribus.

Seuls quelques casseurs ont été interpellés, 16 à Toulouse, 14 à Nantes, 2 à Lille, pour un total de 38 ; ils devraient être rapidement relâchés par les juges rouges.

Source

mardi, 04 novembre 2014

De Toulouse à Nantes : tous les casseurs d’extrême gauche relâchés

 

Publié par Guy Jovelin

Alors que Manuel Valls et son gouvernement tentent de ménager son extrême gauche sur le plan politique – Ségolène Royal a invité les opposants au barrage de Sivens à une vaste concertation – , la justice fait soudain preuve d’un laxisme extraordinaire. Alors que des Français ont fait plusieurs semaines de prison après leur arrestation arbitraire dans le cadre de la Manif pour tous, durant laquelle il n’y avait eu ni dégât, ni blessé, tous les – rares – casseurs d’extrême gauche arrêtés, qui ont commis d’innombrables crimes et délits ces derniers jours, ont été relâchés.

À Nantes, sur les 21 racailles interpellées samedi, aucune n’a été jugée en comparution immédiate. Sept ont fait l’objet d’un simple rappel à la loi et sept seront – devraient être – convoquées devant un tribunal correctionnel pour divers délits, mais aucun n’a été maintenu en détention avec que les faits retenus « outrages », « port d’armes » et « violences sur policiers » sont plus graves que ceux retenus contre des militants de LMPT qui ont fait plusieurs semaines de prison. Trois mineurs seront convoqués devant un juge pour enfants.

À Toulouse où de nombreux incendies criminels ont été perpétrés et où les violences ont fait plusieurs blessés, quatre extrémistes ont été jugés. Deux racailles qui ont caillassé des policiers ont écopé de six mois de prison, dont quatre avec sursis et quatre mois, dont trois avec sursis ; ils sont repartis libres du tribunal.

Un autre individu qui a reconnu avoir jeté des parpaings sur les policiers a obtenu le renvoi de son procès et devrait obtenir une peine encore plus clémente. Le quatrième individu jugé, qui portait une arme factice, a été relaxé.

Source