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dimanche, 09 avril 2017

Les revirements politiques de Donald Trump

Publié par Guy Jovelin le 09 avril 2017

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Publié le | Le Point.fr

VIDÉO. Comme le montre l'intervention de Donald Trump en Syrie, le président des États-Unis est un homme qui change souvent d'avis.

samedi, 08 avril 2017

AU FIL DES JOURS

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

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Pierre Vial Terre et peuple cliquez ici

Les naïfs qui croyaient que Trump était l’homme capable de casser le Système doivent prendre de l’aspirine. Vilipendé par les tenants du politiquement correct, Trump a compris (ou ses conseillers ont compris pour lui) qu’il tenait une occasion unique de rentrer dans le rang et d’être absous de ses péchés en jouant une carte facile : taper sur le Syrien Bachar El Assad. De Tel Aviv à Paris, Berlin, Londres… et Washington, les hommes et les femmes (n’est-ce pas, Merkel ?) du Système mondialiste sont soulagés : le vilain garçon yankeee reprend son rôle de gendarme du monde et, donc, tout est pardonné, tout est en ordre. On va enfin pouvoir concentrer le tir sur l’empêcheur de mondialiser en rond, Poutine. Car le véritable objectif du mondialisme est là et nulle part ailleurs. Ses créatures pavoisent déjà (les media « français » font assaut de servilité en ce domaine) mais elles vendent peut-être un peu vite la peau de l’ours. Car l’ours, précisément, a de la ressource, c’est un solide… et son coup de patte peut faire mal.

Changement de décor : la population de la Guyane, où les descendants de Gaulois sont bien peu nombreux, réclame des sous. Des sous, des sous, encore des sous, toujours plus de sous… Ces assistés congénitaux pensent pouvoir profiter au maximum de la démission de l’Homme Blanc. La réponse d’un Etat digne de ce nom serait de leur dire : vous êtes des grands garçons et des grandes filles ? Alors maintenant démerdez-vous. On va vous faire un beau cadeau : l’indépendance. Vous ne vivrez plus aux crochets de la France et des Français. Mais, disent certains : « Et la base de lancement d’Ariane ? On ne peut l’abandonner ? ». Mais si, on peut car il y a en Provence un endroit, le plateau d’Albion, qui pourrait devenir une nouvelle base de lancement de fusées. Cela coûterait de l’argent ? Bien sûr. Mais combien coûte la mise sous assistance respiratoire, ad vitam aeternam, des Guyanais ? En fait, sur cette question comme sur beaucoup d’autres, tout est affaire de courage politique. Evidemment, avec les larves que sont nos politiciens…

Parlons-en, d’ailleurs, de ceux-là. Le guignol de l’élection présidentielle n’amuse plus grand monde et le moulin à paroles des candidats tourne à vide. Mais peu importe : il faut bien mériter sa gamelle. Je ne prétends surtout pas jouer les devins mais je sais ne pas prendre le risque de me tromper en annonçant qu’un des principaux résultats de l’élection présidentielle sera la montée croissante d’une méfiance accrue de la population à l’égard d’un système politique qui ne sert qu’à couvrir l’exploitation sans mesure des braves gens. Le temps de la désobéissance civique, de la Sécession, va venir.

 

Source : synthesenationale

LES AMÉRICAINS RESTENT DES AMERICAINS….

Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2017

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Les Américains restent des Américains et nous démontrent ce qu’ils savent faire de « mieux » : bombarder ! Les bombardements ? Ils jalonnent leur histoire, depuis ceux de la flotte espagnole pendant la guerre hispano-américaine de la fin du XIXe siècle, à ceux du jeudi 6 avril en Syrie en passant par l’Allemagne, le Japon et le Vietnam. Il faut dire que dans le cas de l’Empire du Soleil levant tout comme dans celui de l’Allemagne hitlérienne, ces deux Etats l’avaient bien cherché  avec leurs cruelles entreprises impérialistes. Mais était-il nécessaire, que ce soit au Vietnam ou en Normandie, de pénaliser d’innocentes populations civiles, comme récemment encore dans la libération de Mossoul en Irak ? Si, en 1944, une bombe US avait frappé l’immeuble où se cachait ma mère lors du raid contre les objectifs de la gare de La Chapelle et de la TCRP dans le XVIIIe arrondissement de Paris, l’auteur de ces lignes ne serait pas là !

Une opération de politique intérieure avant tout

Donald Trump est en difficulté. Quelques semaines après son installation à la Maison Blanche, sa politique patine : il se heurtes aux empêcheurs de gouverner en rond qui polluent l’application de son programme, que ce soit en matière de réforme de la politique de la santé (« Obamacare »), de tri aux frontières des voyageurs musulmans ou de nominations diverses et variées dans son cabinet comme à la Cour suprême, nécessitant l’approbation d’un Sénat théoriquement acquis à un Président républicain. Pour son image, Il était urgent que le Donald donne du bec ! Je n’irai pas jusqu’à dire que le bombardement des villageois de la province d’Idlib avec des projectiles chimiques était une aubaine, mais le Président qui avait montré ses muscles, malgré son inclination à un arrangement avec Moscou, ne pouvait plus faire machine arrière. Avait-on pourtant la certitude absolue que c’est bien l’aviation de Bachar Al Assad qui a commis ce crime de guerre ? (80 personnes dont des enfants gazés avec du chlore ou du sarin). Le Président syrien s’est-il « tiré une balle dans le pied » ou bien, si réellement son aviation est coupable de ce raid meurtrier, a-t-il voulu forcer la main à Moscou, obliger les Russes et ses alliés iraniens à être solidaires quoiqu’il en coûte? C’est que les temps ont changé. L’époque où les « Grands », USA comme URSS, se débarrassaient de potentats « gênants » - Trujillo ou Diem pour les premiers, Présidents afghans pour les seconds – est finie. Même si Vladimir Poutine trouve le despote syrien bien encombrant, il faut faire avec.

Ajouter la guerre à la guerre

Ce sont 59 missiles de croisières « Tomahawk » tirés depuis deux destroyers de l’US Navy naviguant au large des côtes libano-syriennes, qui ont frappé la base aérienne de Shayrat dans la province d’Homs, détruisant quelques avions au sol, des infrastructures, et tuant tout de même quelques civils et militaires. Un investissement maximum pour un rendement minimum, car cette action ne fait qu’ajouter la guerre à la guerre, sans stopper pour autant les velléités guerrières du Président syrien qui, morceau par morceau, est en passe de reconquérir sur son pays contre Dae’ch. Si Washington avait REELLEMENT voulu punir et arrêter Assad, son aviation pouvait bombarder, alors, le complexe présidentiel qui s’étire sur 31 000 m2 du plateau de Mezzah à l’ouest de Damas, avec sa caserne de la garde présidentielle, la résidence et l’hôpital. Un ensemble d’immeubles modernes aux lignes carrées dressé selon les plans d’un architecte japonais, avec un glacis où tout attaque terrestre par surprise est impossible. Alors, à défaut de vouloir VRAIMENT exfiltrer Assad, il faut négocier avec lui, comme les Russes, pour leur part, tentent de l’obliger à discuter avec les rebelles.

Une indignation sélective ?

Les images poignantes d’enfants morts ou agonisant sous les effets mortels d’armes chimiques ne peuvent laisser indifférent. Mais, si certains cas sont portés à la connaissance du monde par des télévisions dont c’est le métier, curieusement, d’autres crimes de guerre sont passés sous silence. Qui parle du conflit yéménite où les partisans chiites de l’ancien Président affrontent une coalition emmenée par l’Arabie Saoudite dont l’aviation, elle aussi, massacre en toute impunité ? N’y a-t-il pointlà, de caméras pour saisir de leur objectif les mêmes horreurs ? Y aurait-il ici des bombes « sales » et là des bombes « propres » ? Les victimes sont les mêmes, bien souvent des femmes, des hommes, des enfants qui n’ont rien demandé, ballotés qu’ils sont entre des belligérants qui n’ont que faire d’eux. Les Occidentaux sont solidaires des Etats-Unis. Les Russes défendent, peut-être à contrecœur, leur « poulain » alaouite, comme l’Amérique « protège » les Wahhabites et leur pétrole. Le fait d’armes américain ne change rien à la donne sur le terrain. La Syrie compte ses morts, se dépeuple et des millions de ses citoyens, prisonniers des rebelles ou réfugiés dans les zones gouvernementales, tournent en rond, sans espoir. Il faut prendre le taureau par les cornes, une bonne fois pour toutes. Si Bachar est le problème – lui comme son père, le défunt général Hafez-Al-Assad ne sont pas exempts de crimes – il ne saurait y avoir de solution SANS le parti Baas. Il ne saurait y avoir de solution SANS la reconnaissance d’une légitime autonomie de la minorité kurde, n’en déplaise aux Turcs, il ne saurait y avoir de solution tant que Dae’ch ne sera pas totalement et définitivement éradiqué. Au lieu de s’invectiver, de s’affronter aux Nations-Unies, Russes et Occidentaux devraient convenir d’une feuille de route commune, agir ENSEMBLE pour chasser les islamistes – pas uniquement ceux, d’ailleurs, qui se réclament de l’E-I – et créer les conditions d’un dialogue constitutionnel, période transitoire permettant de recenser TOUS les Syriens en vue d’une consultation électorale libre et internationalement contrôlée. Et là, le peuple syrien pourra dire s’il veut de Bachar comme Président. Tout le reste n’est que tragique littérature.

 

Source :synthesenationale

vendredi, 06 janvier 2017

OBAMA, MAUVAIS PERDANT, TENTE DE SAVONNER LA PLANCHE DE SON SUCCESSEUR !

Publié par Guy Jovelin le 06 janvier 2017

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La fin de l’année 2016 nous a apporté quelques satisfactions, à nous autres Français, avec l’élimination de Sarkozy et de Juppé, ainsi que le renoncement de François Hollande. Elle a été assombrie par le drame de Berlin, sorte de répétition de notre 14 juillet niçois, conséquence de la folle politique d’Angela Merkel, et par le décès de célébrités inoubliables, chacune au firmament de leur art, comme les actrices Michèle Morgan et Claude Gensac, ou l’académicien Michel Déon, le dernier des « Hussards ». Nous aurons également une pensée pour nos amis russes qui ont perdu l’essentiel de leur plus célèbre chorale dans un crash aérien en Mer Noire. Mais la politique a repris ses droits et, tandis que la misérable comédie des primaires socialistes encombre nos écrans de télévision et colonise les ondes, la géopolitique subit les effets d’une nouvelle tectonique des plaques qui semble redistribuer les cartes.

La Turquie change-t-elle de camp ?

Longtemps l’alliée la plus sûre et la plus fidèle de l’OTAN, la Turquie vient d’effectuer un virage à 180 degrés de sa politique étrangère. A deux doigts de s’affronter avec la Russie après que son aviation ait abattu un appareil russe dans le ciel turco-syrien, Recep Tayyip Erdogan vient de parrainer avec Moscou un accord de cesser le feu en Syrie ! Pragmatique, réaliste, le Président turc s’est rendu compte que l’objectif qui consistait à renverser Bachar Al Assad en soutenant les guérillas islamistes, était impossible à atteindre. D’autre part, la menace kurde est trop présente dans l’esprit des dirigeants d’Ankara pour accepter d’être pris en tenaille entre un PKK très actif dans l’Est anatolien et un PYD syrien, sécessionniste, sur toute sa frontière sud. Ça tombe bien, Damas ne veut pas entendre parler non plus de séparatisme kurde, ces Kurdes – « cocus » de l’histoire, nation sans Etat - soutenus par l’Occident… Le prix à payer de cette réévaluation de la diplomatie est lourd : les attentats se succèdent, tous plus meurtriers les uns que les autres. Le dernier en date commis lors de la Saint-Sylvestre - des dizaines de morts dans une boite de nuit d’Istanbul, sorte d’opération « Bataclan bis » - est-il comme une piqûre de rappel après l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie fin décembre ? Etrange….Etrange aussi ce putsch raté qui visait le Chef de l’Etat turc, lequel dit-on, n’aurait dû son salut qu’aux informations données par les services secrets russes : à un quart d’heure près, il devait être arrêté ou exécuté dans sa résidence sur les bords de la Mer Noire, avant que son avion ne l’emporte vers la capitale, escorté par des F-16 de l’armée de l’air, cette même arme qui attaquait au même moment le Parlement d’Ankara ! Tout n’a pas encore été dit sur ce mystérieux « golpe » qui aurait été ourdi, à en croire certains officiels turcs, par la CIA. Mais il est vrai que l’on ne prête qu’aux riches ! Une explication plausible en tout cas à défaut d’être vraie, au rapprochement des présidents Poutine et Erdogan.

A quelques jours de son effacement, OBAMA lâche son venin

Faute de peser sur les évènements, le Président sortant à Washington tente de savonner copieusement la planche de son successeur. C’est, tout d’abord, l’invraisemblable accusation contre la Fédération de Russie d’avoir manipulé l’élection présidentielle pour favoriser Donald Trump, dont on connait par ailleurs les idées à propos de la politique russe. C’est ensuite, l’expulsion de 35 diplomates vers Moscou en représailles d’une supposée cyber attaque, piège dans lequel Poutine ne tombe pas, sachant très bien que la situation sera rétablie le 20 janvier : « Nous n’allons pas tomber au niveau d’une diplomatie irresponsable », déclarait le Président russe. Pour sa part, le successeur d’Obama se fendait d’un tweet où il saluait la « belle réaction de Poutine ». «  J’ai toujours su qu’il est très intelligent », ajoutait-il. Comme si cela ne suffisait pas, à l’ultime terme de son mandat, le Président américain par l’intermédiaire de son secrétaire d’Etat John Kerry, se lançait dans une féroce – mais à notre humble avis, justifiée – critique de la politique israélienne de colonisation : « Si le choix est celui d’un seul Etat, Israël peut être juif OU démocratique, mais pas les deux ». Comme pour appuyer sa démonstration, son délégué aux Nations Unies laissait filer, par son abstention, le vote de la résolution 2334, texte condamnant les implantations juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, partie de la ville prévue pour accueillir les institutions d’une éventuelles Palestine indépendante (1) dans le cadre d’une solution « à deux Etats ». Si Benyamin Nentanyahou, Premier ministre israélien, accusait mal le coup, le futur locataire de la Maison Blanche y voyait une pierre lancée dans son jardin, lui qui veut transférer l’ambassade des Etats-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, justement. (Mesure qui, soit-dit en passant, ne manquera pas de mettre le feu à la rue arabe…). Et même si l’Etat hébreu a besoin de l’aide militaire américaine, ses premiers avions furtifs F-35 – indétectables - viennent d’être livrés, il ne se prive pas de dialoguer avec les russes dont il s’est rapproché, ayant besoin de leurs garanties face à un Hezbollah « iranisé » sur leur frontière nord et sur le plateau du Golan, qu’Assad voudrait bien récupérer. On voit ici, une fois de plus, que « l’Orient compliqué » nous joue sa partition, qui n’est pas une petite musique de guinguette ! Et c’est sur ce fond de décor diplomatique que le « grand » François Hollande s’apprête à accueillir à Paris le 15 janvier, pas moins de 70 gouvernements, sauf le principal, celui d’Israël, pour parler du…Proche-Orient ! Totalement surréaliste, alors que Moscou comme la future administration américaine, sont partisans de négociations bilatérales, plutôt que d’une approche multilatérale. En tout cas, c’est au Kazakhstan, ex République soviétique, dans sa capitale Astana, que se dérouleront les prochaines conversations relatives à la situation syrienne, mais sans les Occidentaux. On voit se dessiner ici un complexe enchevêtrement d’alliances contre nature, qui fait la saveur de la géopolitique. Et la France hélas, avec ses petits poings, n’a pour l’instant aucun rôle à y jouer. Tournons vite la page de 2016 !

(1) A noter tout de même, qu’un « plan de partage » de la Palestine a déjà été voté aux Nations unies à la majorité de ses membres en… 1947 

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Source : synthesenationale

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vendredi, 11 novembre 2016

Marine le Pen, n'a pas la trempe de Trump, elle vous trompe...

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2016 

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