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vendredi, 05 août 2016

L’Union européenne souhaite étendre le regroupement familial aux frères et sœurs

Publié par Guy Jovelin le 05 août 2016

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Alors que l’Europe est déjà submergée par une vague migratoire incessante, un projet de l’Union européenne prévoit que la notion de membres d’une famille soit élargie de façon à étendre la notion de regroupement familial aux frères et sœurs des immigrés autorisés à rester sur notre continent.

Dans la règlementation actuelle, la notion de regroupement familial est limitée aux époux et aux enfants mineurs.

Mais ce n’est pas encore assez pour les autorités de l’UE acquises au grand remplacement.

M. Schuster, chef des chrétiens-démocrates au sein de la commission des Affaires intérieures du Bundestag, a néanmoins mis en garde : « le simple fait de réfléchir à faciliter le regroupement familial et de l’élargir aux familles étendues est inopportun » car les conséquences n’en seraient « pas encore prévisibles – en tout cas cela pourrait provoquer un nouvel appel d’air « .

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 13 mai 2016

L’UE a-t-elle besoin de la Turquie?

Publié par Guy Jovelin le 13 mai 2016

Rédigé par Bernard Dupont le 12 mai 2016.

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Le président turc Recep Tayyip Erdogan ne cesse pas de jouer avec l’Europe dans un drôle de jeu sans règle. Six milliards d’euros, un accord contradictoire sur les migrants, un régime sans visas…sans doute, Ankara l’a remporté. Il est évident que le leadeur turc profite bien des faiblesses de l’Union européenne pour servir ses intérêts.

«L’Union européenne a plus besoin de la Turquie» que l’inverse, a déclaré le chef d’Etat turc lors d’un discours à Ankara, dénonçant un rapport juste du Parlement européen selon lequel la Turquie est loin d’être un pays qui tient aux valeurs démocratiques.(1)

Mais qu’est-ce que donc Ankara peut «offrir» à l’Europe? Serait-ce un flux infini de migrants et de terroristes ou l’islamisation totale du peuple européen (à vrai dire, ces défis sont déjà lancés)? Evidemment, il ne s’agit guère de la sécurité au sein de l’Europe. D’ailleurs, les réfugiés, étant un nœud gordien dans les relations turco-européennes, ne jouissent pas de sécurité non plus car Erdogan «le Grand» a trouvé une bonne solution – tuer ceux qui traversent la frontière.(2)

Des actes terroristes parisiens, des exploisions à Bruxelles…Combien de massacres verrons-nous encore avant que les dirigeants de l’EU assument la responsabilité de leurs erreurs? En fait, plus ces hommes politiques cèdent à la Turquie moins crédibles ils paraîssent ce qui entraîne la défiance croissante à l’égard de l’Association en tant qu’ institut international. De surcroît, l’UE vaccille déjà au bord de son effondrement.

Le résultat du réferendum néerlandais et un réferendum britannique à venir signalent l’indignation grandissante du peuple. l’UE est inapte de mener la politique raisonable visant à défendre les citoyens européens, elle ne satisfait qu’ un appétit du groupe dirigeant occidental. L’Europe est affaiblie, et il est peu probable qu’ Erdogan soit si louche ou aveugle qu’il ne le voit du tout.

Pourquoi donc il est si avide de devenir membre du système pourri? Certes, il espère encourager l’ effondrement du dedans afin d’éliminer un obstacle en voie de la fondation de son propre empire pour avoir la possibilité d’ imposer ses conditions aux grandes puissances dont Erdogan, prétendant être un nouveau Grand Turc, rêve avec ardeur.

Ainsi, est-ce que l’EU a tellement besoin de la Turquie qu’ elle est prête à faire des sacrifices ou jouer un rôle de kamikaze? A mon avis, la réponse est claire. Et dans le cas où l’Europe ne change pas de cap, la France devrait penser à quitter ce navire avant le naufrage.

 

Source : 24heuresactu.com

samedi, 23 avril 2016

Turquie : Bruxelles cède

Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2016

Le 19 avril, le premier ministre turc, Ahmet Davutoglu, a déclaré qu’Ankara cesserait de remplir ses obligations envers l’Union européenne concernant les « migrants » si cette dernière n’exemptait pas les Turcs de visas pour pénétrer librement dans l’espace européen. Dès le lendemain, la commission Junker a cédé et a programmé pour le 4 mai la mise en œuvre de cette disposition. Aussitôt demandé, aussitôt exécuté ! Ankara invoque l’accord signé à Bruxelles à la mi-mars entre la Turquie et l’Union européenne prévoyant, entre autres, cette exemption de visas, les Turcs s’engageant à conserver momentanément les « réfugiés » sur son territoire et à accepter le retour de ceux qui sont déjà arrivés en Grèce. Et ce, contre paiement de 75 milliards pour leurs frais. Or, pour l’instant, seuls 750 « migrants » ont été transportés à bord de deux ferries du port de Mytilène sur l’île de Lesbos vers la Turquie. En revanche, Erdogan, est prêt à envoyer en Europe 25 000 « réfugiés » syriens en Europe après avoir vérifié qu’ils sont éligibles à la générosité européenne.

Les autorités turques avaient exigé le 18 mars que le projet d’exemption soit déposé avant fin avril, d’où l’ultimatum à la Commission, laquelle avait accepté cette date butoir en espérant sans doute qu’Ankara ne serait pas à cheval sur le calendrier. D’ailleurs, elle avait tout accepté ! Notamment que les négociations pour l’intégration de la Turquie reprennent alors que la plupart des pays membres y sont hostiles, d’où l’arrêt du processus en 2011, car le pays ne satisfaisait pas aux conditions d’intégration, malgré les 4,8 milliards d’euros reçus de l’Union européenne (685 millions d’euros par an) pour faciliter son adaptation aux critères européens. Mais les dirigeants turcs, eux, considèrent que l’entrée dans l’Union est quasiment acquise, le premier ministre n’a-t-il pas déclaré mardi devant le Conseil de l’Europe que son pays est « partie inséparable de l’Europe » ? Une nation de 70 millions d’habitants dont 96 % sont musulmans serait donc européenne ! Si telle est aussi leur conviction, que Merkel et Hollande informent leurs ressortissants de cette nouvelle.

La Turquie ne satisfait toujours pas aux critères posés par l’Union – elle n’en honore que 35 sur 72 – elle s’en est même éloignée sur le respect des droits de l’homme et ne reconnaît pas Chypre, pays membre de l’Union ! Mais nécessité fait loi pour Bruxelles. L’accord irresponsable du 18 mars a été pris dans la panique devant l’afflux massif des « réfugiés » invités par Mme Merkel, celle-là n’a vu de salut qu’en Ankara qui a évidemment profité de cet avantage pour faire monter les enchères et ses exigences. La Commission, prise à la gorge par sa propre inconscience, va évidemment céder, ne disposant pas de plan B pour arrêter l’invasion des « migrants ». Ou, plutôt, il n’y en a qu’un qui aurait empêché le recours à la Turquie : la fermeture des frontières et la dénonciation des accords de Schengen. Mais c’est ce à quoi les obstinés de l’utopie européiste ne se résoudront jamais, c’est aux peuples de les y contraindre.

Par Guy Rouvrais

 

Source : present

 

mardi, 08 mars 2016

L’arme migratoire : un bon moyen pour la Turquie de faire casquer l’UE

Publié par Guy Jovelin le 8 mars 2016

7 mars 2016 par Pierrot 

L’accord qui se profile entre les technocrates de l’UE et la Turquie est une catastrophe. En plus des milliards d’euros dépensés par les européens (qui ne serviront à rien), les turcs exigent la libéralisation des visas de ressortissants turcs vers l’UE ! Pour terminer, la Turquie accepte que les pays européens renvoient des clandestins, uniquement si en échange, l’UE en accueille d’autres ! 1 pour 1 ! C’est une véritable mascarade…

La Turquie a demandé à l’Union européenne trois milliards d’euros d’aide supplémentaire « d’ici 2018 », promettant en échange d’augmenter drastiquement sa coopération dans la crise migratoire pour tarir les flux de migrants, a déclaré le président du Parlement européen Martin Schulz lundi.

« Cet argent additionnel va demander des procédures budgétaires additionnelles. Le Parlement européen est prêt a accélérer les procédures », a déclaré M. Schulz en marge d’un sommet UE-Turquie à Bruxelles, où Ankara s’est montré prête à accepter des retours massifs de migrants, y compris de réfugiés syriens.

La Turquie a proposé de reprendre sur son sol des personnes que l’UE lui renverrait, si l’Europe s’engage parallèlement à accueillir le même nombre de réfugiés syriens provenant directement de Turquie, selon un principe de « un pour un ».
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dimanche, 31 janvier 2016

La Turquie tente de racketter un peu plus les pays de l’UE

 

Ankara et l’UE avaient signé fin novembre un « plan d’action » qui prévoyait une aide européenne de 3 milliards d’euros aux autorités turques. Ces dernières réclameraient toutefois deux milliards supplémentaires.

 

Ankara aurait également des soucis avec les conditions assorties à l’injection des fonds. « Le gouvernement turc est contrarié par le fait que l’argent sera transmis progressivement et après des contrôles stricts sur l’usage qui en sera fait », a ajouté le diplomate.

La Turquie demande désormais une aide européenne de cinq milliards d’euros pour mieux contrôler ses frontières avec l’UE et maintenir les migrants, notamment les réfugiés syriens, sur son sol, a indiqué un haut diplomate européen au quotidien Die Welt.

 

Source : http://www.contre-info.com/