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mardi, 19 juin 2018

Aquarius : de la crise politique aux contre-feux de l’Union européenne.

Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2018

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La décision du nouveau ministre de l’intérieur italien, Matteo Salvini, par ailleurs leader de la Lega, d'interdire l’entrée sur le sol italien de six cent trente migrants embarqués sur le chalutier Aquarius, comme de tous ceux qui suivront la même route, présente deux mérites.

Celui d’épargner à l'Italie un surplus de population étrangère.

Celui de mettre en évidence les contradictions et l’incohérence des positions de l’Union européenne, incapable de faire face à l’ampleur du phénomène migratoire. Une Union crépusculaire en voie de décomposition avancée pétrifiée face au réveil de ses peuples qu'elle croyait avoir définitivement placés en état de narcose.

Il serait pourtant hâtif et périlleux de se réjouir trop tôt.

La mise en place d'une ligne de force Rome/Vienne/Munich (que le président de la CSU bavaroise Horst Seehofer, ministre fédéral allemand de l'Intérieur, vient d'appeler de ses vœux à l'unisson avec son collègue Salvini, fragilisant ainsi un peu plus la Chancelière Merkel empêtrée dans sa coalition), ajoutée à la fermeté de la Hongrie, de la Slovénie et de la Pologne pour n'évoquer que ces trois nations courageuses, va bien sûr dans le bon sens et porte en elle-même des signes d’espérance.

Autre lueur dans le ciel enténébré de notre vieux continent, la perspective de la Présidence du Conseil européen par l'Autriche à partir du 1er juillet prochain. Le chancelier Sébastian Kurz, allié de la droite nationale autrichienne FPÖ, a annoncé sa volonté de placer la lutte contre l’immigration au centre de sa présidence et d'en faire le thème majeur de son exercice.

Mais le Système, même fragilisé, sait développer ses propres défenses immunitaires.

Saisis dans un premier temps de panique devant la transgression italienne, les dirigeants européens « conformes » se sont vite repris et ont allumé les contre-feux en temporisant et en tentant d’enfoncer les premiers coins dans les interstices de la très hétéroclite coalition italienne.

Plusieurs éléments montrent le relatif succès de ces manœuvres :

  • La non-annulation de la visite en France du Président du Conseil italien Guiseppe Conte, malgré les déclarations insultantes faites par le Président de la République avant que celui-ci ne rétrograde sur le fond et sur la forme. Certes, lors de la conférence de presse commune des deux dirigeants, la tension était palpable. Mais le tutoiement de rigueur, les effleurements tactiles, les sourires de connivence et la recherche évidente de consensus montraient que Guiseppe Conte était bel et bien en stage d’intégration accélérée au sein de la grande famille de l’Établissement européen.
  • L’arrivée discrète dans le port de Catane en Sicile d'un navire de la marine italienne, le Diciotto avec 930 migrants à bord, pour la plupart érythréens, récupérés au large des côtes italiennes le lendemain du jour où le gouvernement refusait d'accueillir l’Aquarius dessine les limites du volontarisme populiste lorsqu'il ne s’appuie pas sur une pensée et une vision homogènes… Ce qui, sans surinterpréter les faits, pourrait laisser penser que, au-delà des symboles et des mouvements de bras, la « bisounours politique » n'a rien perdu de sa puissance et qu’une partie de la coalition italienne "anti Système" au pouvoir sait adresser a qui de droit les signaux de bon vouloir qu’elle croit nécessaire à sa survie.
  • Le caractère hétéroclite de l’alliance gouvernementale italienne qui porte en germes les conditions de son éclatement, commence à être exacerbé par les instances européennes afin de mettre un terme le plus rapidement possible à ce que l’union considère comme une anomalie. Les propos méprisants de Macron à l’encontre de Salvini (« je ne discute pas avec un ministre de l’intérieur. Seulement avec les Présidents de la République ou du conseil ») sont un avant-goût de la tactique de déstabilisation dont vont user les gouvernants dans les prochains mois, en particulier lors du Conseil européen qui se tiendra à la fin du mois de juin. Conte, pourquoi pas ? Di Maio (M5S), peut être. Salvini, jamais !

À l’ordre du jour de ce Conseil en plus du renforcement mille fois annoncé de l'agence fantôme Frontex censée veiller au contrôle des frontières extérieures de l'Europe, la refonte (mot passe-partout fort prisé par le Président de la République qui l'avait déjà utilisé, ces dernières semaines, à propos de l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien, et de l’Organisation Mondiale du Commerce) des accords de Dublin. Ces accords interdisent en principe à un migrant débouté du droit d'asile dans le pays de première arrivée de faire une nouvelle demande dans un autre pays où, par la magie de Schengen, il a tout loisir de se rendre. Rappelons que si l’Italie à du recueillir plus de 500 000 migrants sur ses côtes méditerranéennes, beaucoup d'entre eux ne sont pas restés et ont choisi d'autres États pour destination finale. Ce sera le cas pour une grande partie des passagers de L’Aquarius que La France a d’ores et déjà décidé d'accueillir sur son sol après leur débarquement à Valence en Espagne où les autorités locales avaient déployé une banderole "Bienvenue chez vous".

La France, grâce à sa réputation de générosité sociale et administrative est la première des destinations, avec 262 000 titres de séjour accordés en 2017 (l’équivalent de la population de Bordeaux), 40 000 statuts de réfugiés consentis la même année par l'Office de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA), sans parler des clandestins et des bénéficiaires du regroupement familial. Le tout-venant s’ajouter à des décennies d'immigration massive conduisant mécaniquement par les biais conjugués de la naturalisation et surtout de l'agrégation démographique servie par un code de la nationalité aberrant à ce grand remplacement que les tartuffes ne sauraient voir.

La réforme de Dublin d’ores et déjà demandée à cor et à cri par Emmanuel Macron, en étendant à l'infini, la possibilité de demande d'asile aux Pays de deuxième, troisième, quatrième destination aura pour conséquence, tout en diluant les effets – ce qui est le but recherché afin de permettre à l’Italie de souffler et de revenir sur le juste chemin de l’alignement – de faire peser la pression migratoire d'un poids encore plus lourd sur les autres nations européennes.

Rien, en revanche, ce qui n'étonnera, à vrai dire personne, au programme de ce sommet sur un début de commencement d'entame d'une action, si nécessaire militarisée, contre les passeurs, et judiciaire contre les ONG qui s’en font les complices. Rien non plus sur le raccompagnement immédiat et automatique des rescapés de la noyade vers le pays de départ, mesures que le bon sens et la simple compréhension des intérêts vitaux de notre continent devraient suffire à imposer si l'aveuglement et l’idéologie dominante n'en interdisaient pas l'usage.

La force du Système réside dans son aptitude à organiser, dans et par l'unité de ses composantes, sa propre survie. Tant que les droites nationales ne lui opposeront pas une unité plus forte et plus volontaire, l’Union saura se défendre et se pérenniser.

Face à la déferlante migratoire, la solution ne peut être pourtant qu’européenne.

Un devoir nous est exigé. Celui d'organiser à partir de nos Nations libres et souveraines l'unité politique européenne. Cette unité ne se fera que dans la clarté des projets, la volonté de résistance et le choix de la rupture des chaînes qui entravent les peuples de notre espace continental. Elle échouera tant qu’elle cherchera la base de sa réalisation dans la recherche de coalitions hétérogènes et contradictoires. Elle réussira par la victoire des droites nationales portées par une même vision de l’histoire et de notre appartenance civilisationnelle.

 

Jean-François Touzé (Parti de la France cliquez ici)

jeudi, 07 juin 2018

La croissance démographique de l’UE s’explique entièrement par l’immigration !

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

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Le grand remplacement par l’arrivée massive d’immigrés ? Cette fois, on ne pourra pas dire que cette affirmation est une fake news propagées par l’extrême droite. Non, c’est un journal tout ce qu’il y a de bien vu par le système, à savoir Libération, qui le confirme :

Question posée par Martin Issou le 26/05/2018

Bonjour, votre question a été raccourcie. La voici dans son intégralité : «Est-il vrai comme l’affirme le blog d’extrême droite Fdesouche que de nos jours en Europe l’intégralité de la croissance démographique est due à l’immigration ?»

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Vous faites allusion à un article publié sur le blog FDesouches titré : «Europe : la totalité de la croissance démographique est désormais due à l’immigration».

Cet article s’appuie sur un article publié sur Vatican News, reprenant un «rapport sur l’évolution de la famille en Europe», réalisé par l’Institut de politique familiale.

On retrouve, page 8 de ce rapport, la phrase citée par Vatican News et reprise par FDesouche : «dans les années 2015 et 2016, la totalité de la croissance démographique européenne est due à l’immigration puisque la croissance naturelle a été négative.»

Concernant l’année 2015, on lit dans un bilan de 2016 : «en 2015, le nombre de décès a dépassé le nombre de naissances vivantes dans l’UE-28 (pour la première fois depuis le début des séries chronologiques en 1961), entraînant la diminution naturelle de la population mentionnée ci-dessus. Par conséquent, l’augmentation de la population enregistrée en 2015 dans l’UE-28 a pu être entièrement attribuée au solde migratoire corrigé. En 2015, le solde migratoire corrigé représentait une augmentation de 1,9 million de personnes».

Même chose pour 2016, selon un communiqué d’Eurostat daté du 10 juillet 2017 : «Au 1er janvier 2017, la population de l’Union européenne (UE) était estimée à 511,8 millions de résidents, contre 510,3 millions au 1 er janvier 2016. Au cours de l’année 2016, autant de naissances que de décès ont été enregistrés dans l’UE (5,1 millions), ce qui signifie que la variation naturelle de la population de l ‘UE a été neutre. La variation démographique (positive, avec 1,5 million d’habitants supplémentaires) est donc due à l’apport du solde migratoire».

Il est donc exact de dire que sur les années 2015 et 2016, la croissance démographique de l’ensemble de l’UE s’explique entièrement par le solde migratoire. (…)

www.liberation.fr

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 24 mai 2018

Vive l'Italie ?

  Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2018 

 

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Giuseppe Conte, le nouveau chef du gouvernement italien antisystème

cinq étoiles,italie,la ligue,ueLes fonctionnaires de Bruxelles, la structure de l'U.E., ses commissaires et ses parlementaires, ses conseils des ministres, ses sommets des Chefs d’Etats, ses techniciens, ses idéologues et ses négociateurs, ont cru que l'on pouvait infliger aux vieux peuples historiques, aux nations constituées de longue main, aux Etats membres, les pires avanies sans que rien ne se passe. 

Ils ont cru que ces entités dites du passé, de l'Histoire, de l'ancien monde, resteraient sans voix, ne regimberaient pas. Ils ont pensé que les peuples molestés accepteraient sans mot dire d'être envahis de migrants et de produits chinois ou autres. 

Exposée de plein fouet à ces fléaux, dans l'inconscience et le laxisme le plus général, ils ont eu l'Italie de la Ligue et de Cinq Etoiles. Elle fait trembler tout l'édifice, fragile comme ce qui est artificiel. 

Que la Grande Bretagne ait quitté l'U.E. était un coup dur. On a poussé les hauts cris, lancé des anathèmes, brandi des menaces. Mais l'on savait bien que l'Angleterre, arrivée tardivement, n'avait jamais été vraiment tout à fait à l'intérieur de l'Union. Un pied dedans, un pied dehors, telle était sa réalité. La Livre sterling, la reine, le Commonwealth, le grand large, un lot de substantielles dérogations aux règles communes, la tenaient dans cette position de pays membre très spécial de l'Union. Son départ fut douloureux, mais pas vraiment surprenant. 

Que les pays d'Europe Centrale, derniers venus de l'Union, aient assez vite fait entendre leur différence et bientôt leur opposition, devenue ultimement une fronde identitaire, on pouvait encore se rassurer. Ils sortaient du communisme et confinaient à l'arriération. On pouvait encore, façon d'en sortir indemnes, mettre leurs réactions sur le compte de ces deux malheurs, effets d’un temps révolu … 

Mais l’Italie ! L’Italie du traité de Rome, de De Gasperi, l’un des plus éminents pères fondateurs de l’Europe ! L’Italie de la toute puissante démocratie chrétienne d’après-guerre, d’Aldo Moro, Fanfani, Andreotti ! L’Italie de Montini, l’Italie des papes ! Tous grands européens, mondialistes, immigrationnistes convaincus, comme l’est le pape François, lui-même italo-argentin ! L’Italie, qui plus est troisième puissance économique de l’U.E., balayant tout cela, se dotant d’un gouvernement antisystème ! L’affaire, cette fois-ci est, comme le dit le langage diplomatique, de la plus haute importance. 

Avec ses qualités et ses défauts, l’Italie est éminemment européenne et le restera. Mais elle vient de rejeter à grand bruit l’Europe de Bruxelles. 

 

Source : lafautearousseau

mercredi, 25 avril 2018

A Washington Macron s’est couché devant Trump – Vidéo

Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2018

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Trump a littéralement fait crouler Macron sous les flatteries, disant à plusieurs reprises que Macron était le meilleur président de France de tous les temps: « Vous avez là avec Macron le meilleur président de tous les temps. » Évidemment du point-de-vue du président américain, Macron est un très bon sous-président puisqu’il s’est couché devant lui. Le président français s’était rendu aux USA se faisant fort de défendre la position de l’UE sur l’accord nucléaire avec l’Iran, c’est-à-dire de ne surtout pas l’abroger.  Cet accord que Trump, très remonté depuis sa campagne électorale, s’apprête à déchirer.  Or lors de la conférence de presse commune (voir ci-dessous) il s’est avéré que les deux présidents s’étaient finalement entendu, de l’aveu de Macron et de Trump, sur… la rupture de l’accord. Vous avez bien lu: il n’y a pas eu de statu quo, pas de constat de mésentente, NON! pas du tout, mais  la plus belle reculade diplomatique qui ait été donnée à voir en un temps si réduit. Une reculade complète de Macron qui s’est avoué en faveur de la rupture de cet accord, précisant que les points-de-vue s’étaient rapprochés… Certes, ils se sont rapprochés et même rejoints, mais c’est Macron qui a tout cédé!

Cela avait commencé lors de la brève intervention qu’Emmanuel Macron a faite sur sur la porte du Bureau Oval, devant la presse. Intervention où, suite à la question d’un journaliste il a répondu avec culot et fermeté, brûlant la politesse à Donald Trump, qu’il était absolument et définitivement  opposé  à la rupture de l’accord nucléaire avec l’Iran. Il n’avait pas plutôt fermé la bouche que Donald Trump l’a mis KO debout; un Donald Trump furibond qui a dit avec force adjectifs colorés toute sa haine de cet accord infâme qui avait coûté des sommes fabuleuses aux USA. Macron à ses côtés n’en menait visiblement pas large. Il semble que durant l’heure et demi de discussion qui s’en est suivie, Macron se le soit tenu pour dit. Lors de la conférence de sortie de discussion, Macron avait complètement oublié qu’il était venu pour convaincre Donald Trump, au nom de l’UE dont il se targue d’être le représentant, de ne pas toucher à cet accord. Il l’avait tellement oublié qu’à la question d’un journaliste français qui lui demandait s’il avait cédé aux instances de Trump il s’est justifié en arguant du fait qu’une discussion était destinée à rapprocher les points-de-vue puisque Donald Trump avait fait la concession de rompre l’accord mais avec le projet d’en faire un autre qui inclurait le Yémen et la Syrie…

D’une part : quel rapport y a-t-il entre la situation au Yémen qui se fait bombarder par l’aviation saoudienne et la Syrie maintenant quasiment complètement libérée, et le nucléaire ?

D’autre part: quand on sait combien l’accord existant a coûté en diplomatie pour aboutir, un éventuel autre accord élargi ne sera certes pas conclu durant la présidence de Trump ni celle de Macron et entre-temps le Moyen-Orient risque fort d’être à nouveau plongé dans un chaos encore pire que celui qui règne actuellement, si toutefois ce chaos ne s’étend pas au monde entier. L’Iran ayant promis en cas de rupture de reprendre ses recherches nucléaires.

Enfin, Cet additif d’élargissement d’un très éventuel accord nucléaire au Yément et à la Syrie n’est de toute évidence qu’un os que Trump a donné à ronger à son toutou pour qu’il ne perdre pas tout-à-fait la face. Quant à un rappel de retour aux règles de l’OMC dont Trump se moque éperdument, il n’y a pas eu la moindre concession américaine, et pour ce qui concerne l’accord de Paris sur le climat, il n’en a même pas été question.

Mais Jupiter peut  rouler les mécaniques, Trump l’a caressé, embrassé, cajolé et l’a intronisé meilleur président de France de tous les temps avec un paternalisme dégoulinant.

Les prétentions européistes de M. Macron sont mal parties

La leçon a tirer de cela c’est qu’Emmanuel Macron qui voulait s’affirmer en chef de file de l’Union européenne au cours de ce voyage, a d’énormes progrès à faire s’il veut être crédible. Et ainsi, peut-être que Donald Trump, indirectement, a donné sa pierre contre les prétentions fédéralistes de l’UE dont Macron se voudrait le chef.

Inutile de dénoncer les fanfaronnades des deux présidents à propos de leur attaque contre la Syrie et autres mensonges habituels afférant à leur rôle au Moyen-Orient. Tout cela est dans la vidéo.

 

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 22 avril 2018

L’UE va accueillir au moins 50 000 migrants principalement d’Afrique du Nord d’ici l’automne 2019.

Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2018

 

immigration

L'Allemagne s'apprête à accueillir 10.000 réfugiés supplémentaires venus d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, dans le cadre d'un programme de l'Union européenne.

Le gouvernement allemand s'est accordé sur ce plan plus tôt cette semaine, a indiqué jeudi à la presse le commissaire européen aux Migrations et Affaires intérieures, Dimitris Avramopoulos.

Le programme annoncé l'été dernier vise à mettre en place une route directe et sûre vers l'Europe pour les demandeurs d'asile. D'ici l'automne 2019, au moins 50.000 personnes, principalement originaires d'Afrique du Nord, devraient trouver un nouveau foyer dans l'Union européenne. Celle-ci a dédié 500 millions d'euros à ce programme.

Dimitris Avramopoulos a par ailleurs exhorté l'Allemagne à retirer ses contrôles aux frontières, introduits lors de la crise de l'asile, qui avait vu 890.000 personnes demander l'asile dans le pays en 2015. "Nous devons revenir rapidement au fonctionnement normal du système Schengen", a déclaré le commissaire.

L'Allemagne avait précédemment annoncé ses intentions d'étendre ses contrôles à sa frontière avec l'Autriche au-delà du mois de mai.

Source: rtbf.be via lesobservateurs