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dimanche, 25 novembre 2018

« La Cour de justice de l’UE renforce le droit des réfugiés aux prestations sociales »

Publié par Guy Jovelin la 25 novembre 2018

Par  le 24/11/2018

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Les réfugiés statutaires ne doivent pas percevoir moins de prestations sociales que les citoyens du pays d’accueil. Et cela indépendamment du fait que le réfugié ne possède qu’un droit de séjour temporaire. C’est ce qu’a décidé mercredi [21 novembreà Luxembourg la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE). Elle avait à se prononcer sur une affaire concernant l’Autriche. Mais le jugement est contraignant pour tous les États de l’UE. (AZ: C-713/17)

Il s’agissait concrètement d’un Afghan venu avec sa famille en Autriche et qui avait obtenu en 2016 le statut de réfugié. Obtention accompagnée d’un droit de séjour pour trois ans. Cet homme percevait des prestations sociales, mais, conformément à une réglementation autrichienne, elles étaient inférieures à celles perçues par les réfugiés dont le droit de séjour n’était pas limité. Ces derniers perçoivent les mêmes prestations sociales que les Autrichiens.

La question était de savoir si cette différence de traitement était compatible avec ce qu’on appelle la « Directive relative aux conditions requises », un loi de l’UE datant de 2011 pour la protection des réfugiés. Les juges de la CJUE ont donc estimé que la loi était sur ce point sans équivoque : les réfugiés statutaires ont, dans un pays de l’UE, droit à des prestations sociales d’un même niveau que les citoyens du pays, et cela indépendamment d’une éventuelle limitation de leur séjour. […]

Si le droit national s’y oppose, c’est le droit de l’UE qui prévaut, a estimé le tribunal. Les prestations sociales pour ceux qui ne bénéficient que de la protection subsidiare sont une autre question, elles peuvent être plus basses, ont précisé dans le même temps les juges. La justice autrichienne doit maintenant régler ce cas concret sur la base du jugement européen. […]

(Traduction Fdesouche)

Frankfurter Allgemeine Zeitung via fdesouche

vendredi, 24 août 2018

Jean-Claude Juncker, une épave humaine à la tête de l’Union européenne ?

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2018

Jean-Claude Juncker : une épave humaine à la tête de l’Union européenne ?

Jean-Claude Juncker, une épave humaine à la tête de l’Union européenne ?

Par Julien Dir, contributeur pour Breizh-Info ♦  Article initialement paru le 15 juillet dernier« Titubant au sommet de l’Otan, Jean-Claude Juncker souffre d’une sciatique » affirme sans rire une chaine du service public ce 12 juillet, évoquant le comportement physique pour le moins instable du président de la Commission européenne en marge du sommet de l’OTAN. Une explication reprise en boucle dans toute la presse mainstream, comme si les images de Jean-Claude Juncker titubant et souriant, soutenu par des gardes du corps, pouvaient tromper qui que ce soit.

Par Julien Dir, contributeur pour Breizh-Info ♦  Article initialement paru le 15 juillet dernier« Titubant au sommet de l’Otan, Jean-Claude Juncker souffre d’une sciatique » affirme sans rire une chaine du service public ce 12 juillet, évoquant le comportement physique pour le moins instable du président de la Commission européenne en marge du sommet de l’OTAN. Une explication reprise en boucle dans toute la presse mainstream, comme si les images de Jean-Claude Juncker titubant et souriant, soutenu par des gardes du corps, pouvaient tromper qui que ce soit.

Selon un spécialiste qui a vu la vidéo « la totale absence d’expression faciale douloureuse, les mouvements insécures des bras (0’02 à 0’08), la statique instable (0’12 à 0’15), les mouvements des genoux à la montée et à la descente de l’escalier, la mobilité des jambes, et le déséquilibre arrière répété (0’48, 1’27, 1’48) ne plaident évidemment pas en faveur d’une sciatalgie ! En cas d’éventuelles violentes douleurs, un traitement très abusif aux opiacées pourrait expliquer une part de l’instabilité, mais dans ce dernier cas, le tenir par les mains ne suffirait pas à le maintenir debout, la pâleur serait beaucoup plus accentuée, les expressions faciales plus figées, une raideur de jambe évidente, et les mouvements oculaires ou ambulatoires encore plus lents. Les images plaident donc le plus sûrement en faveur d’une cuite... »

Ce n’est malheureusement pas la première fois que celui qui, à la tête de l’Europe, donne en permanence des leçons de morale, apparait en état apparent d’ébriété lors de manifestations publiques – toujours en invoquant une prétendue sciatique. Il y a deux ans, et encore fin juin 2018, il avait déjà été surpris dans cet état. Les images parlent d’elles mêmes.

Ainsi donc, aux frais des contribuables européens, Jean-Claude Juncker prendrait des cuites tout en continuant à diriger l’Europe alors qu’il devrait être hospitalisé d’urgence pour une longue cure de désintoxication.

N’importe quel salarié arrivant très alcoolisé sur son lieu de travail serait licencié pour faute grave. Pour qui donc se prennent ces oligarques qui, en se comportant ainsi, déshonorent leur fonction ?

Tout comme Eltsine en son temps représentait une Russie à la ramasse, prête à sombrer dans les poubelles de l’histoire avant l’arrivée de Vladimir Poutine, Jean-Claude Juncker représente une Union européenne qui perd totalement la tête, qui titube, qui s’effondre…

« Celui qui doit tomber, il ne faut pas le retenir, il faut encore le pousser. » Nietzsche.

Julien Dir
24/08/2018

Source : Breizh-Info

Crédit photo : Kremlin.ru [CC BY 4.0], via Wikimedia Commons

mardi, 26 juin 2018

Rapport sur la situation et les tendances du terrorisme dans l’Union Européenne en 2017 (TE-SAT 2018)

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

Par  le 25/06/2018

Cette édition 2018 du TE-SAT annuel donne un aperçu de la nature et de l’ampleur du terrorisme auquel l’UE a fait face en 2017. Bien que la majorité des États membres aient indiqué qu’ils n’avaient pas connu d’attaques terroristes au cours de cette période, la souffrance humaine et les menaces d’attaques restent élevées. Dans ce rapport, vous ne trouverez pas seulement des informations sur le nombre des attentats terroristes qui ont eu lieu en 2017, mais aussi le nombre d’arrestations et de condamnations pour crimes terroristes. Un bref aperçu de la situation terroriste en dehors de l’UE est également inclus.

En 2017, 68 victimes ont perdu la vie à la suite d’attentats terroristes dans l’Union européenne (UE) – une raison suffisante pour qu’Europol ne réduise pas ses efforts de lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes. Même si le nombre de victimes a diminué l’année dernière, le nombre d’attaques sur le sol européen n’a pas diminué, le nombre d’attaques inspirées par les djihadistes a plus que doublé.

PRINCIPALES TENDANCES

Neuf États membres de l’UE ont signalé un total de 205 attentats terroristes déjoués, ratés ou aboutis en 2017 (2016: 142). Cela représente une augmentation de 45% par rapport à 2016 et un changement par rapport à une tendance à la baisse amorcée en 2014. Ces attaques ont fait 68 victimes et 844 blessés. Presque toutes les victimes (62) sont le résultat d’attaques terroristes djihadistes. Le nombre d’attentats terroristes djihadistes est passé de 13 en 2016 à 33 en 2017.

Dans l’ensemble, les attaques ethno-nationalistes et séparatistes représentaient la plus grande proportion (137) des attaques. Plus de la moitié d’entre elles (88) concernaient des incidents liés à la sécurité en Irlande du Nord.

Le nombre d’attaques perpétrées par des groupes terroristes et des individus de gauche ou anarchistes a légèrement diminué en 2017 (24).

Cinq attentats terroristes déjoués, ratés ou achevés (2016: 1) attribués à des extrémistes de droite ont été signalés en 2017, ce qui a conduit à l’arrestation de 20 suspects (2016: 12).

975 personnes ont été arrêtées dans l’UE pour des infractions liées au terrorisme (2016: 1 002). La plupart de ces arrestations étaient liées au terrorisme djihadiste, car ces personnes étaient soupçonnées de participer aux activités d’un groupe terroriste, planifier et préparer des attaques, faciliter la diffusion de la propagande, le recrutement et le financement du terrorisme.

Plus de détails mis en évidence sur les récentes attaques des terroristes djihadistes :

  • La préférence pour attaquer des personnes, plutôt que d’autres cibles, pour provoquer une réaction émotionnelle dans le grand public (Paris, mai 2018, Barcelone, août 2017)
  • Attaques contre des symboles d’autorité (Liège, mai 2018, Trèbes, mars 2018)
  • Attaques contre des symboles  de vie à l’occidentale (Manchester, mai 2017).
  • De nouvelles attaques dans l’UE par des terroristes djihadistes suivant l’une de ces tendances, ou une combinaison de celles-ci, sont très probables.
  • Avec l’augmentation des attaques djihadistes, leur préparation et leur exécution sont devenues moins sophistiquées.
  • Les terroristes djihadistes sont souvent considérés comme des acteurs solitaires, se préparant seuls ou encouragés par des amis et des parents.
  • Cependant, la propagande en ligne et la mise en réseau via les médias sociaux restent des moyens essentiels de recruter, de radicaliser et de récolter des fonds. La connaissance souvent rudimentaire de l’Islam rend les attaquants potentiels vulnérables à la manipulation.
  • Les récentes attaques djihadistes ont été commises principalement par des terroristes locaux, radicalisés sans avoir voyagé pour rejoindre un groupe terroriste à l’étranger. Parmi la grande variété d’assaillants, certains étaient connus de la police, mais pas pour des activités terroristes, et la plupart n’avaient aucun lien direct avec une organisation djihadiste.
  • La dégradation des structures organisationnelles dites de l’État islamique (EI) n’implique pas une réduction de la menace du terrorisme djihadiste. Les activités terroristes dans l’UE commandées, guidées ou inspirées par l’EI, Al-Qaïda ou d’autres organisations djihadistes restent une possibilité réelle.

Europol via fdesouche

dimanche, 24 juin 2018

Macron veut des sanctions financières contre les pays de l’UE qui refusent d’accueillir des migrants

Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2018

Par  le 23/06/2018

(…) Le président Macron s’est prononcé en faveur de sanctions financières envers les pays de l’Union européenne qui refuseraient d’accueillir des migrants. «On ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires».

(…) Le Figaro via fdesouche

jeudi, 21 juin 2018

Macron repart en croisade contre les peuples de l’UE

Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 20 juin 2018 

Macron et Merkel unis dans la destruction de l'Europe

Alors qu’une majorité de pays européens a clairement fait comprendre son hostilité à une vague migratoire qui ne cesse guère, le président français continue de faire la sourde oreille. Bien muet dans l’affaire de l’Aquarius jusqu’à son dénouement, Macron sait pertinemment que la politique pro-migrant qu’il mène exaspère les Français. Une politique semblable à l’Allemagne où le nouveau ministre de l’Intérieur a la dignité de s’opposer à la folie de Merkel. Critiqués et esseulés, Macron et Merkel se serrent les coudent et partent en croisade pour une Europe plus libérale encore. Ecœurant !  

Vite ! Il faut trouver un nouveau moteur à la sacro-sainte « construction européenne ». Les tensions et le rejet légitime suscités par la politique pro-immigrationniste sont devenus si forts en Europe que les deux principaux « moteurs européens » ont dû changer de partition dans la précipitation. Les Européens ne veulent pas des Syriens et des Africains ? Ils les auront quand même avec une nouvelle monstruosité en prime. Son nom ? Un budget pour la zone euro. L’hydre européenne est décidément increvable avec des promoteurs aussi acharnés qu’une chancelière en bout de course et le dernier né du capitalisme bancaire.

Les Européens méprisés par l’axe Berlin-Paris  

Se croyant toujours auréolé (ou faisant mine d’y croire) de son succès en mai 2017, Macron impose aux Français une politique dont ils ne veulent pas. Il en est conscient et c’est pourquoi il a commencé à fustiger l’Italie au sujet de l’Aquarius qu’au moment où il était certain que le bateau rejoindrait l’Espagne. Faux gentil, et vrai méchant, Macron ne veut pas fermer les frontières, mais ne peut pas dire qu’il les laisse grande ouverte… Merkel, elle, n’a pas pris de gants depuis 2014 et a fait savoir aux dizaines de millions de pauvres qui peuplent l’Afrique et le Moyen-Orient que l’Allemagne les accueillera pour en faire des salariés à très bas prix. Mais la révolte gronde finalement outre-Rhin où les violences, le communautarisme et le djihadisme commencent à peser lourd sur les Allemands.

86 % d’entre eux sont favorables à l’expulsion de tous les migrants qui n’ont rien à faire en Allemagne. Merkel est seule contre le peuple allemand et contre son ministre de l’Intérieur qui a appelé à la fin du cirque. Pour s’accrocher au pouvoir, la mère Merkel a dû s’allier avec la CSU qui ne veut plus des ces millions de « chances pour l’Allemagne ». Isolée et au bord du précipice, Merkel se cherche des alliés et vient frapper à la porte de Macron… Il y avait une seule adresse à éviter pour le futur des Européens, et Merkel s’y est précipitée…

Les deux compères se sont retrouvés non loin de Berlin pour décider du sort de l’Europe. Rien ne doit changer. Les nouveaux migrants sont invités à venir rejoindre les cohortes de bouches inutiles et futurs haineux de la France et de l’Europe. Seule garantie laissée aux autres membres de l’UE qui ne font pas de délire pro-migrants : certains migrants seront peut-être amenés sur des « plateformes régionales de débarquement » situées en dehors de l’UE. Une infime partie des migrants sera donc triée ainsi tandis que les ONG et passeurs continueront de déverser le gros des troupes directement en Grèce, Italie et Espagne.

Jamais à court d’idées allant à l’encontre de l’intérêt de leur population, ils décident de concentrer officiellement leurs efforts sur une intégration plus forte au sein de l’UE. Les Allemands n’ont pas voulu des bêtises de Macron, mais dos au mur Merkel a finalement accepté l’idée d’un budget pour la zone euro. Dernière pièce de l’effacement de la souveraineté française, le budget européen consacrera la toute puissance de Bruxelles. La France ne sera plus qu’une région du monstre européen et devra reverser tous ses revenus dans l’espoir d’en récupérer une petite partie. La soumission absolue.

Les Européens ne veulent plus d’immigration. On leur en redonne. Les Européens ne veulent plus de cette Europe qui méprise les Etats et les aspirations de leurs peuples. On les oblige à abandonner le peu de souveraineté qu’il leur restait. Il est temps que les pays sérieux comme l’Italie, l’Autriche, la Pologne et la Hongrie (pour ne citer qu’eux) fassent comprendre à Macron et Merkel que leur toute-puissance ne vaut que si on veut bien croire aux effets de la poudre de perlimpinpin.

 

Source : 24heuresactu