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vendredi, 29 décembre 2017

ÉCONOMIE : LES FINANCIERS ET LES MÉDIAS CACHENT LES VÉRITÉS ÉCONOMIQUES AUX FRANÇAIS

Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2017

Marc Rousset

bce,dette publique,france,économie

Mathilde Lemoine, chef économiste du groupe Edmond de Rothschild, nous avoue, dans Le Figarodu samedi 23 décembre, « qu’il y a un décalage entre la sphère financière et la réalité économique ». Elle reconnaît que le niveau de la dette privée des ménages et des entreprises, deux fois plus important que celui du PIB, peut devenir insoutenable si les taux remontent brusquement.

La BCE (Banque centrale européenne) se contredit. Elle pratique une politique de taux bas et non conventionnelle d’achat de dettes d’entreprises françaises (29 % du total de ses achats, contre 25 % pour les entreprise allemandes) afin de faciliter leur accès aux marchés financiers, mais elle dérègle les prix du marché des actifs financiers comme dans une économie administrée. Elle émet en même temps des signaux contradictoires en imposant aux grandes banques, par le biais du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), de limiter leurs crédits et leur exposition à la dette de certains grands groupes.

La BCE cherche, aujourd’hui, à tempérer l’appétit des entreprises pour la dette et celui des banques pour le crédit. La BCE cherche donc d’un côté à relancer l’économie par la politique de l’assouplissement quantitatif, mais donne des directives en sens contraire au HCSF.

Alors que la dette publique française a atteint le niveau astronomique de 2.230 milliards d’euros au troisième trimestre 2017, qui serait insoutenable si les taux d’intérêt remontaient, les médias nous rassurent en nous rappelant que le coupon actuel n’est que de 0,7 % en 2017 et ne sera que 1,85 % en 2018 pour les obligations à dix ans. Quid si c’est, demain, 6 % et 15 % après-demain ? On nous rassure faussement en nous disant que les fonds propres des entreprises financières et non financières ont augmenté respectivement de 5,6 % en et 5,3 % en 2017, ce qui ne change rien au problème fondamental de l’insuffisance des capitaux propres.

Les médias économiques évoquent aussi un argument impressionnant pour le néophyte en nous rappelant que, selon l’INSEE, le patrimoine économique national détenu par les ménages, les entreprises et les institutions publiques atteignait 14.023 milliards d’euros en 2016, soit 7,7 fois le produit intérieur net tricolore, et 6,5 fois le niveau d’endettement.
 
Aux États-Unis, même scénario. Le Dow Jones flirte avec 2.500 points et le NASDAQ est proche des 7.000 points. Wall Street s’est adjugé 35 % de hausse en quatorze mois sans raison valable, si ce n’est l’augmentation de la masse monétaire, mais on nous rassure avec la réforme fiscale de Trump qui va propulser les bénéfices par action d’environ 10 %, oubliant qu’elle va augmenter la dette publique des États-Unis. La réalité, c’est que les valeurs américaines se payent en moyenne environ dix-huit fois les bénéfices attendus pour 2018 – du jamais-vu depuis la bulle des années 2000.

De plus, aucun journaliste des médias traditionnels n’ose écrire que les totaux des bilans des quatre grandes banques américaines représentent 44,5 % du PIB des États-Unis et que les totaux des bilans des quatre banques françaises représentent trois fois le PIB de la France. Aucun journaliste français ne nous écrit que l’endettement des banques françaises est encore plus démentiel que celui des États-Unis. Les quatre grandes banques françaises ont des capitaux propres insuffisants, un effet de levier moyen de 25,53, c’est-à-dire 25,53 euros de dettes pour un euro de capital engagé (de 21,92 pour le Crédit agricole à 31,41 pour la Société générale).

L’effet de levier de Lehman Brothers au moment de sa chute, le 15 septembre 2008, était de 31. Celui des banques américaines, aujourd’hui, n’est que de 11,63, une des rares nouvelles rassurantes en provenance des États-Unis. Au royaume des aveugles les borgnes sont rois.

La vérité, c’est que la sphère financière et les médias ne nous parlent que de surchauffe et d’hirondelles qui font le printemps, alors que les clignotants sont au rouge avec une croissance économique artificielle, instable et fragile.

 

Source : synthesenationale

dimanche, 02 juillet 2017

La Chine refuse d’accueillir des migrants afin de sauvegarder son économie, sa sécurité, son homogénéité ethnique et religieuse.

Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2017

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Lors de la Journée Mondiale des Réfugiés, qui se déroule tous les ans le 20 juin, l'ONU a publié une vidéo intitulée «Nous sommes solidaires avec les réfugiés» sur son compte officiel Sina Weibo, appelant le public chinois à accorder plus d'attention à cette question.

Le public chinois soutient généralement que la Chine ne peut pas accepter un grand nombre de réfugiés actuellement, bien que beaucoup soient compatissants à l'égard de ces victimes. Les raisons sont complexes (...). C'est lié au développement économique de la Chine, à la population, à la composition ethnique, au mécanisme juridique et à l'histoire.

La priorité pour la Chine demeure le développement. Un afflux excessif de réfugiés aura un impact énorme sur l'ordre social. Si des terroristes infiltrent la Chine via les réfugiés, la sécurité des 1,4 milliard de personnes sera menacée, une crainte qui peut être démontrée par la crise actuelle des réfugiés en Europe. 

Accepter trop de réfugiés peut priver la Chine d'un environnement stable pour le développement.

La Chine exploite son développement pour stimuler l'économie mondiale et offre activement des biens publics à la planète, grâce à des plates-formes telles que l'initiative Belt and Road et la Banque asiatique d'investissement. Si la Chine est plongée dans le chaos, d'autres pays et même le monde en subiront les conséquences.

De plus, la Chine n'a pas encore mis en place un mécanisme pour accepter les réfugiés. Ce problème, couplé avec les différentes religions et différents style de vie, engendrerait des difficultés pour les réfugiés du Moyen-Orient de vivre en Chine à long terme.

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

lundi, 27 mars 2017

Les aberrations monétaires de Marine Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2017

PAR

La patronne du FN affirme que, si elle est élue, les taux d'intérêt ne remonteront pas, en dépit d'une inflation plus élevée et d'une monnaie dévaluée.

 
Marine Le Pen montre ses limites en économie...
Marine Le Pen montre ses limites en économie... © GUILLAUME SOUVANT / AFP/ GUILLAUME SOUVANT
On déconseille fortement aux lycéens qui préparent en ce moment leur bac d'économie de le réviser à partir des théories et des démonstrations monétaires que développe à la télévision Marine Le Pen. Ils risquent de connaître de cruelles désillusions le jour de leur examen et d'écrire d'énormes contresens. Interrogée, jeudi matin sur BFM TV, par Jean-Jacques Bourdin qui lui demandait si un retour au franc ne risquait pas de se traduire par une hausse des taux d'intérêt, la candidate à l'élection présidentielle lui a répondu, avec un air offusqué. « Mais Monsieur Bourdin, pourquoi les taux d'intérêt remonteraient ? Ce que veut un prêteur, c'est qu'on le rembourse. »

samedi, 28 mai 2016

Pour une autre forme de gouvernance et de solutions économiques.

 Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2016

Rédigé par Franck Pech


logo-pdf-vertical.jpgLe fonctionnement de notre économie exige des réponses concrètes et pour ainsi dire pragmatiques dans tous les secteurs d'activité.


Le tout étatisme aboutit à une soviétisation de notre société, le tout libéralisme signifie la loi "du renard dans le poulailler"! 

Hormis le fait que nous dénonçons l'immigration-invasion et l’islamisation de la France, il convient de proposer un modèle économique fiable à la marge de l'étatisme et du libéralisme outrancier!


Le libéralisme à outrance n’est viable que dans une société où règne le plein emploi, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.


L'étatisme de gauche, post-marxiste, n'apporte pas de solution, si ce n est le nivellement par le bas.
Car la multiplication d'emplois conjoncturels (du type emplois jeunes ou autres), n’est qu’une solution ponctuelle, adoptée avec les deniers de l’état et par là même avec l'argent du contribuable, donc le votre!!

Quelle ignominie!! Quel scandale!! Il convient de mettre un terme à un tel mode de fonctionnement et de réfléchir à une autre forme de gouvernance et de solutions économiques, afin de répondre aux aspirations du peuple français.

 

PdF Midi-Pyrénées

vendredi, 13 mars 2015

ÉCONOMIE : LA FRANCE, DROIT DANS LE MUR

Publié par Johanna 

Économie : la France, droit dans le mur
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