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vendredi, 20 juin 2014

L'UKIP forme un groupe au Parlement européen grâce à une ex-FN

Publié par Guy Jovelin

L'UKIP forme un groupe au Parlement européen grâce à une ex-FN

Le Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (UKIP) est parvenu mercredi à former un groupe au Parlement européen grâce au ralliement de la députée française Joëlle Bergeron, qui a rompu avec le Front national. Lire la suite

jeudi, 19 juin 2014

« L’antichristianisme juif » : le nouveau livre choc de Martin Peltier

Publié par Guy Jovelin

Martin Peltier – écrivain et chroniqueur à Rivarol – signe un nouvel ouvrage qui ne manquera pas de faire parler de lui !

Écrit pour remettre les pendules à l’heure et sous-titré « l’enseignement de la haine », il rappelle qu’il existe un « antichristianisme juif » et ce en quoi il consiste.

350 pages. 26 €. Editions DIE. On peut l’acheter sur internet pour l’instant exclusivement ici.

4e de couverture :

« On parle fréquemment d’antisémitisme chrétien. Un historien juif français, Jules Isaac (celui de Mallet et Isaac), a répandu la thèse que l’Eglise aurait dispensé un « enseignement du mépris » du peuple juif. Un évêque frança is, Mgr de Berranger, a déclaré que ce serait « le terreau » sur lequel aurait poussé la Shoah.


Aucune source sérieuse n’étaie ces allégations fantaisistes.
On constate à l’inverse que la tradition rabbinique du Talmud a distillé un enseignement de la haine du Christ et des chrétiens : depuis deux mille ans, l’antichristianisme juif a pris les formes les plus diverses, du blasphème à la lapidation, du bûcher à la révolution.
330 pages bourrées de faits ét ablis, de références solides, pour recomposer une perspective historique raisonnable. Et en finir avec les fantasmes.
Historien, essayiste, romancier, journaliste, Martin Peltier n’a plus l’âge de prendre les censeurs au sérieux. Les sujets qui fâchent l’amusent, à condition de les examiner sérieusement. Il est attaché à la vieille maxime : « Si j’ai tort, qu’on me le prouve, si j’ai raison, qu’on me l’accorde ». »

Source : http://www.contre-info.com/#

Le CSA reproche à un chroniqueur de RTL d’évoquer les bandes ethniques qui pillent la France

 Publié par Guy Jovelin

 
L’apologie des drogues, des perversions sexuelles de toute sorte, la glorification de l’argent-roi, la vulgarité omniprésente comme la violence et la bassesse n’émeuvent jamais le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). La simple évocation par un chroniqueur de RTL, Éric Zemmour, des «bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d’Africains qui dévalisent, violentent ou dépouillent » a suffi a conduire le CSA à une intervention officielle.

Sommé par l’association communautariste africaine du CRAN d’agir, le CSA a « mis fermement en garde » la station, prétendant que ces propos étaient « de nature à encourager des comportements discriminatoires vis-à-vis des populations expressément désignées, et de pouvoir inciter à la haine ou à la violence à l’encontre de celles-ci » – auquel cas la justice aurait condamné ses auteurs, ce qui n’a pas été le cas.

Le chroniqueur avait rappelé (vidéo ici) que « seules les sociétés homogènes comme le Japon, ayant refusé de longue date l’immigration de masse, et protégées par des barrières naturelles […] échappent à cette violence de la rue ».

Source

mercredi, 18 juin 2014

L’appel du 18 juin ou l’histoire d’une imposture

Publié par Guy Jovelin

 

Le texte ci-dessous, de 2010, n’a rien perdu de sa valeur.

« Le 18 Juin 2010 va être célébré le 70ème anniversaire du célèbre appel de Londres de Charles de Gaulle. Or la version officielle, qui va être lue à la BBC, est un faux, comme le démontre le général d’aviation Le Groignec, compagnon de Saint-Exupéry, dans son livre paru en 2004 Philippiques contre les Mémoires gaulliens (Nouvelles Editions latines).

Le texte prétendu être celui de l’appel du 18 Juin commence par cette phrase : « Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude. Cependant rien n’est perdu …. »

Or, historiquement, Charles De Gaulle n’a pu prononcer cette phrase insultante pour le Maréchal Pétain et le général Weygand pour les deux raisons suivantes :

1° A cette date du 18 juin 1940, ces « gouvernants de rencontre » n’avaient pu capituler, car non seulement l’armistice n’était pas signé, mais les plénipotentiaires français n’avaient pu encore rejoindre les lignes allemandes étant donné les difficultés des communications. Cet armistice ne sera signé que le 22 juin avec l’Allemagne, et le 24 juin avec l’Italie. Par ailleurs on ne peut confondre armistice et capitulation. L’armistice est un acte politique, une suspension d’armes où le vaincu peut négocier certaines conditions, c’est le contraire d’une capitulation où le vaincu doit se soumettre sans condition au vainqueur, ce à quoi De Gaulle a consenti le 19 mars 1962 en capitulant devant le FLN, ennemi vaincu sur le terrain, pour se débarrasser du « boulet algérien ». En demandant un armistice, la France demande et obtient, le 22 juin 1940, que ni la marine, ni l’Afrique française, ne soit livrées à l’ennemi, qu’un tiers du pays reste en zone libre, et que Lyon et Clermont Ferrant soient évacués par l’armée allemande. En cas de capitulation il y aurait eu deux millions de prisonniers de plus, et tout le territoire aurait été occupé : les Allemands, en effet, avaient atteint Valence et se trouvaient à une étape de Marseille lorsque l’armistice a été signé.

2° Devant l’échec total de cet « appel du 18 Juin » auquel n’avait répondu aucun chef militaire de l’armée, de la marine ou de l’aviation, notamment aucun officier de la division que Charles De Gaulle commandait devant Arras en mai 1940 (suprême affront !) aucun homme politique, aucun diplomate français accrédité à Londres ou dans une autre capitale étrangère , aucun gouverneur ou responsable des colonies de l’Afrique française, aucun ministre résidant dans les pays sous protectorat ou sous mandat, Charles De Gaulle va s’affoler, car il se trouve désormais à Londres complètement isolé, en rupture de ban, sans mission officielle. En effet, la guerre continue et le gouvernement français le somme de rentrer en France, sous peine d’être jugé comme déserteur. Alors de Gaulle écrit au général Weygand la lettre suivante à la date du 20 juin 1940 :

« Londres le 20 Juin 1940 Mon Général, J’ai reçu votre ordre de rentrer en France. Je me suis donc tout de suite enquis du moyen de le faire car je n’ai, bien entendu, aucune autre résolution que de servir en combattant... » MEMOIRES DE GUERRE Charles de Gaulle- Edition PLON 1954 tome I – page 269)

Depuis 1958, cette lettre est dans les livres scolaires, car incompatible avec la légende, avec l’Histoire de France revue et corrigée par la falsification gaulliste, en vigueur encore aujourd’hui.

La suite reste entourée de mystère. Car de Gaulle ne dispose à cette date d’aucun moyen de transport pour rejoindre Bordeaux où siège le gouvernement français. Il est probable que Churchill, qui venait de rompre avec la France, refusa de lui donner un avion pour que de Gaulle rentre en France. La dissidence de la « France Libre » est donc née sous la contrainte de l’Angleterre, vérité que s’efforce de masquer l’imposture de la version officielle actuelle. Si de Gaulle avait pu rejoindre Bordeaux, comme il en avait manifesté l’intention le 20 Juin 1940, il n’y aurait probablement jamais eu ni de saga, ni de fabulation gaulliste. En effet, quand un officier français écrit une telle lettre pleine de déférence et d’esprit de discipline à son supérieur hiérarchique le 20 juin 1940, il ne peut être le même que celui qui aurait déclaré le 18 juin, deux jours avant, au micro de Londres, parlant du même supérieur, que ce dernier appartenait à « un gouvernement de rencontre qui a capitulé, cédant à la panique, oubliant l’honneur, livrant le pays à la servitude ».

C’est pourtant ce faux, fabriqué après coup, qui est répandu dans tous les livres scolaires depuis 1958, qui est inscrit dans le marbre au 4 Carlton Garden à Londres, et que nous allons entendre dire et répéter des milliers de fois lors de la célébration officielle du mythe de l’Appel du 18 Juin 1940, pour continuer à entretenir le mensonge de la légende gaullienne de l’homme providentiel. »

Jean-Marie AVELIN, Alain ALGUDO et Geneviève de TERNANT
Président, Vice-présidents et l’équipe de Veritas

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Damien Hirst : un artiste dégénéré contre la Nature

Publié par Guy Jovelin

Damien Hirst est l’artiste dégénéré le plus riche de Grande-Bretagne ; sa fortune était estimée à la fin des années 2000 à 270 millions d’euros. Sa carrière a été rendue possible grâce au soutien financier de l’affairiste apatride Charles Saatchi, qui était le mécène du groupe de Damien Hirst, les Jeunes artistes britanniques (YAB, Young British Artist) dans les années 1990.

Charles Saatchi finança le premier projet de Damien Hirst : un requin exposé dans du formol. Un investissement rentable : l’« œuvre » fut vendue plus de 60.000 euros. L’artiste détraqué se spécialisa alors dans les horreurs à base d’animaux morts. Ce malade mental, né d’une mère voleuse et d’un père qui abandonna rapidement sa famille, est parvenu au sommet de l’abomination en exposant une vache pendue et étripée dans une galerie.

Mêlé à toutes les formes de décadence, il a également contribué à un album de musique, dont l’une des chansons phares s’intitule Jerusalem. Elle a été enregistrée avec les voix du Chœur londonien des Hommes pédérastes (London Gay Men’s Chorus). Il a été mis en cause et parfois confondu dans de nombreuses affaires de plagiat.

Il est aussi l’auteur d’un Veau d’or dont il est un fervent disciple et dont il contribue ardemment à diffuser le culte.

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