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mercredi, 11 juin 2014

SNCF: journée noire pour les usagers en raison d'une grève des cheminots

 Publié par Guy Jovelin

 
 
SNCF: journée noire pour les usagers en raison d'une grève des cheminots

"Le nombre de grévistes sera important, notamment chez les contrôleurs et conducteurs", dont 55% se sont déclarés prêts à faire grève, a prévenu la direction de la SNCF. Lire la suite

L'invasion de l'Europe par l'Italie en chiffres

Publié par Guy Jovelin

 

En 2012, 13.267 clandestins ont débarqué en Italie.

En 2013, 42.925 clandestins ont débarqué en Italie (+223 %).

Après moins de six mois en 2014, 43.613 clandestins ont débarqué en Italie.

Les différents gouvernements italiens de ces 20 dernières années (Berlusconi, Ligue du nord, centre et gauche réunis) ont régularisé plus d’un million de clandestins et ont fini par supprimer le délit d’immigration illégale, créant un immense appel d’air.

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mardi, 10 juin 2014

Taubira et ses 22 chauffeurs

Publié par Guy Jovelin

 

Officiellement, seuls les ministres ont « droit » à un chauffeur permanent. Ceux-ci devant se relayer, la logique voudrait qu’ils soient donc deux par ministère. Les collaborateurs de cabinet peuvent disposer d’un chauffeur pour certaines missions. Cela explique que le ministère de l’Éducation nationale dispose de 4 chauffeurs.

Le ministère des Affaires étrangères en compte 12, trois fois plus ; celui de l’écologie en totalise pas moins de 18. Il n’est pas battu que par le ministère de la Justice de Christiane Taubira, où sont appointés 22 chauffeurs et entretenus 18 véhicules pour seulement 17 membres dans tout le cabinet.

Cette situation scandaleuse a été révélée par le député René Dosière, qui rappelle que la gestion des cabinets est totalement opaque et qu’il n’existe aucun contrôle sur l’usage des fonds. Il estime le coût d’un cabinet ministériel à 17 millions d’euros par an, soit 272 millions d’euros pour les 16 cabinets du gouvernement Valls. L’équivalent du salaire annuel de plus de 20;000 salariés au SMIC.

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L’invasion par les « études » : explosion de l’accueil d’étudiants du Tiers-monde

Publié par Guy Jovelin

La France est devenue le 3e pays d’accueil d’étudiants étrangers, après les États-Unis et le Royaume-Uni. Si ces deux derniers pays profitent largement de l’afflux d’étudiants blancs, ce sont en France très majoritairement des étudiants du tiers-monde qui viennent occuper les bancs des universités. La sous-ministre Geneviève Fioraso s’en est félicitée dans un communiqué, se réjouissant que des « réformes fortes [aient] été engagées pour améliorer l’accueil des étudiants étrangers, et attirer davantage d’étudiants notamment des pays émergents [sic] ».

Au total, 271.399 étudiants étrangers sont venus s’installer en France en 2012, dont nombre d’entre eux ne finiront pas leurs études et ne repartiront pas chez eux. Ce chiffre est en hausse de 1,2 % rapport à 2011, et de 49 % sur cinq ans.

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lundi, 09 juin 2014

Elizabeth II : plus qu’une reine, le symbole d’une nation… (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

L’Angleterre, comme la France et le reste du Vieux continent, connaît actuellement quelques problèmes de repères et d’identité, tel que constaté lors des dernières élections européennes. Les résultats « historiques » – pour une fois que ce vocable si dévoyé a un sens – du Front national en nos contrées, mais également ceux du mouvement souverainiste UKIP de l’autre côté de la Manche.

Devenue première force politique du pays, le mouvement mené par Nigel Farage vient de bousculer le traditionnel bipartisme – ou tripartisme en comptant large, pour peu qu’on y ajoute les libéraux-démocrates. Bref, là-bas aussi, il s’agit d’un tremblement de terre politique. Mais, au contraire d’ici, une personne continue d’incarner l’unité du royaume éponyme : la reine Elizabeth.

Certes, l’époque est au progressisme béat, au grand bouleversement permanent ; il n’empêche qu’une autre permanence demeure, celle de la monarchie britannique. Mieux, alors que sa cousine espagnole donne de sérieux signes de faiblesse avec l’abdication précipitée du roi Juan Carlos, sur fonds de maladresses répétées et de scandales dus à un gendre indélicat, la couronne d’Angleterre persiste à se tenir droit debout.La personnalité de cette reine n’y est pas pour rien.

Déjà, sa mère, la fameuse « Queen Mom », força l’admiration du peuple durant la Seconde guerre mondiale, refusant d’aller se réfugier à la campagne en plein Blitz londonien : « La place du roi est auprès de son peuple ; celle de la reine auprès de son époux et celle de nos enfants auprès de leur mère. »

Une certaine classe anglaise. D’ailleurs, lorsqu’elle venait soulager les souffrances des bombardés de la nuit, « Queen Mom » refusait, à la consternation des services de sécurité, de porter un casque. « Eh puis quoi encore ? Une reine casquée ? Ça signifierait que la reine a peur… Inconcevable ! Sans compter que ça ruinerait ma mise en plis… » Au passage, l’actuelle reine s’engageait discrètement dans les rangs des infirmières militaires. La classe, on vous dit.

Classe dont la reine Elizabeth fit encore preuve lors de la mort de la princesse Diana, refusant de donner le chagrin familial en pâture aux tabloïds ; ce qui donna d’ailleurs lieu à un film magnifique, The Queen, avec une Helen Mirren hallucinante de vérité, ode à la monarchie pourtant signée par le très républicain Stephen Frears qui avoua publiquement avoir été littéralement bluffé par cette reine qu’il entendait à l’origine brocarder.

En France, rien de tout cela. En décapitant Louis XVI, la France s’est aussi un peu coupé la tête. Et malgré les tentatives de restauration monarcho-républicaine de la Cinquième république, la tentative d’incarner notre vieille nation en une Marianne de circonstance ; une certaine forme de vide se fait toujours sentir.

Heureusement qu’en guise de lot de consolation, à défaut de roi, nous reste au moins le bouffon d’icelui : Triboulet 1er, plus connu sous le nom de François Hollande.

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