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mercredi, 25 juin 2014

Match de l’Algérie : « élites » contre réalité, à nouveau.

Publié par Guy Jovelin
 
Match de l’Algérie : « élites » contre réalité, à nouveau.

mardi, 24 juin 2014

Des malades étrangers s'organisent pour se faire soigner gratuitement en France

Publié par Guy Jovelin

Des malades étrangers s'organisent pour se faire soigner gratuitement en France

La ministre de la Santé a reconnu début juin que ces cas de fraudes faisaient gonfler le nombre de bénéficiaires à l'aide médicale de l'Etat, faisant exploser le budget alloué à cette prestation. Lire la suite

Algerie – Corée du Sud : le tour de France des festivités en vidéo

Publié par Guy Jovelin

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lundi, 23 juin 2014

Bonnets Rouges : retour sur un désastre prévu et prévisible (par Boris Le Lay)


 

Publié par Guy Jovelin

 

Le mouvement des Bonnets Rouges, créé par des paysans et des nationalistes de Cornouaille et du Léon, dirigés par des gauchistes, a fini à Nantes mené par une femelle sur un char de sodomites financé par la CGT. Conclusion logique s’il en est.

Le collectif de Carhaix, dit des “Bonnets Rouges”, n’est plus que l’ombre de lui-même.  L’échec de la mobilisation autour des préfectures et sous-préfectures la semaine dernière a démontré l’énorme erreur commise par les éléments anti-nationalistes et anti-identitaires du collectif. Avec un nom qui revient : Jean-Pierre Le Mat.

Socialisme et antiracisme à tous les étages

Tout a commencé en novembre 2013 à Quimper. Et tout y a fini le même jour. Une seule chose expliquait l’échec à venir : les nombreuses bannières bretonnes et la masse impressionnante des bonnets rouges étaient couvertes par les chants de… Manu Chao, une épave droguée adepte d’un anarchisme folklorique nappé de tiers-mondisme et de promotion de l’immigration.

Qu’un rassemblement populaire composé, quoiqu’en dira ensuite la bande de Carhaix, d’électeurs de droite et d’extrême droite mais aussi d’abstentionnistes, soit formellement organisé comme un happening gauchiste signifiait la fin du mouvement. Ses premiers organisateurs n’étant que des cancres gauchistes, cela ne pouvait finir autrement. Les chiens ne font pas des chats.

Christian Troadec se paya le luxe de signifier à l’envi qu’il “combattait le Front National”, c’est-à-dire l’électorat anti-immigration qui vote de plus en plus pour cette organisation française. Au lendemain des élections européennes, si Troadec avait eu du succès dans les communes rurales du Finistère, il ne pouvait ignorer que le grand vainqueur était le FN, nouveau venu sur la scène politique bretonne. Et ceci sans militants ni organisation. Finis donc les mantras socialistes sur la “Bretagne ouverte sur le monde” et autres “Bretagne terre d’immigration”, sans parler des “Les Bretons ne sont pas racistes, ils ne votent pas FN”. Lire la suite

dimanche, 22 juin 2014

Le 22 juin 1929, le Vatican « s’arrangeait » avec le gouvernement mexicain.

Publié par Guy Jovelin

Et signait des « accords de paix » – ce qui fut vécu par de nombreux catholiques comme une trahison – aux conséquences sanglantes.
Il demandait aux Indiens catholiques, qui s’étaient légitimement révoltés face au gouvernement socialiste et franc-maçon virulemment antichrétien, de déposer les armes sous peine d’excommunication !

Le 1er décembre 1924, le président mexicain avait privé de droits civiques les catholiques (laïcs et prêtres) sous prétexte qu’ils obéissaient à un souverain étranger, le pape ! Il avait expulsé le nonce, l’ambassadeur du Vatican, ainsi que tous les ecclésiastiques étrangers. Il avait interdit les congrégations enseignantes et fermé pas moins de 20.000 églises !

 Le clergé se rebiffa et suspendit le 31 juillet 1926 l’administration des sacrements dans tout le pays pour une durée de trois ans. Les paysans indiens du Jalisco se soulevèrent contre les autorités de la capitale au cri de «¡ Viva Cristo Rey !» (Vive le Christ-Roi !), dans un parallèle frappant avec le soulèvement des Vendéens en 1793, en lutte contre les Républicains. Ils furent appelés les Cristeros.

Avec 50.000 combattants, ils constituèrent la plus importante rébellion qu’ait jamais connue le pays et parvinrent à conquérir la moitié des 30 États de la Fédération.
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