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mardi, 16 janvier 2018

Soisy-sous-Montmorency (95) : Karim condamné pour actes de cruauté sur son chien crie au complot

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

Par  le 16/01/2018
 

« Typhon », le border collie de Karim, est depuis les faits entre les mains de la SPA. Son chien a été confié à la société protectrice des animaux après l’ouverture de la procédure pour acte de cruauté envers un animal qui a conduit le quadragénaire devant le tribunal, ce lundi après-midi, à Pontoise. Il a été condamné à 6 mois de prison avec sursis. Le tribunal lui interdit de posséder un animal pendant 5 ans. Il devra en outre indemniser la SPA et la fondation Brigitte Bardot qui se sont constituées parties-civiles à hauteur de 800 € chacune.

L’enquête avait alors permis de recueillir une série de témoignages décrivant des violences répétées à l’encontre de son animal. Il est alors question d’un maître qui délivre des coups de poing et des coups de pied à son chien, l’arrache du sol avec sa laisse qui se termine, non par un collier, mais par un nœud coulant. Un témoin assure l’avoir vu étrangler l’animal dans ses bras. Un chien à qui il manque également trois canines sur quatre. […]

« Les éléments recueillis ne sont pas le fait de 3 ou 4 voisins avec lesquels le prévenu serait en conflit » souligne la procureur. « Je compte 9 témoins qui attestent de sévices et d’acte de cruauté, dont un policier municipal et des commerçants qui n’ont pas de lien avec le prévenu. » Elle conteste par avance la thèse du complot avancée par Karim sur fond de conflit de voisinage. « Ce serait un complot bien organisé… »

Karim est un homme fragile, sans travail, qui vit de l’allocation adulte handicapé et qui éclate en sanglots à la barre du tribunal. Il explique être suivi par un psychiatre et un psychologue. Son avocate a plaidé la relaxe en remettant en cause les témoignages souvent indirects selon elle, émanant tous des gens promenant leurs chiens dans le quartier, qui se connaissent et sont liés dans des associations. Des gens dont Karim se tient à l’écart. « Il n’y a pas d’éléments matériel dans ce dossier », a-t-elle conclut.

 

Le Parisien via fdesouche

L’illégitimité de la république en France

Publié par Guy Jovelin le 16 janvbier 2018

par   15 janvier 2018 

 L’illégitimité de la république en France

 
 

 

Bourrage de crâne : « des collégiens dans la peau de migrants pour comprendre ce qu’ils traversent »

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

Publié le 15 janvier 2018 Auteur par admin4

La gauche (au sens large) ne s’embarrasse pas de discrétion pour bourrer le crâne des enfants en jouant sur l’émotion, la mise en scène, et surtout les omissions voire le mensonge.

"Atelier migrants avec une classe de 4ème de l'externat du Bon accueil"

« Atelier migrants avec une classe de 4ème de l’externat du Bon accueil » – DR

« Trente collégiens tentant de réaliser le parcours des migrants : c’est l’aventure un peu folle qu’ont vécue des collégiens de l’externat Bon-Accueil à Toulon.

Un jeu de rôle pour mieux comprendre la condition des ces hommes et femmes, créé par les étudiants du master 2 Migrations et droit des étrangers à la faculté de droit de Toulon.

« En 2016, on faisait souvent des soirées jeux de société avec les camarades du M2 droit des étrangers, mais aucun jeu sur les migrants n’existait… », souffle Pierre-Jean Allard, un des créateurs du jeu de rôle.

Qu’à cela ne tienne. Pierre-Jean et ses collègues décident de créer leur jeu de toutes pièces. Et quand ce religieux salésien de 31 ans, en communauté à Bon-Accueil, reçoit en janvier 2017 une demande du mouvement des jeunes salésiens pour organiser un week-end dans l’établissement, il n’hésite pas. « Je propose les migrations, en lien avec Abraham, et on organise un grand jeu de rôle nocturne! »

En mars 2017, le jeu est testé par une classe de 4e de Bon-Accueil. Les 15 février et 15 mars, deux nouvelles séances sont prévues. Le mouvement semble lancé… »

 

Source  Var Matin

RIP, Dolores O'Riordan, la chanteuse des Cranberries

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

DTnXCyKX0AEW1IEDolores O'Riordan, la chanteuse des Cranberries, vient de nous quitter à l'âge de 46 ans. Elle était opposée à l’avortement et déclarait en 1995 :

« Je ne suis pas en mesure de juger d’autres femmes, vous savez ? Mais j’ai envie de dire Idiote, pourquoi t’es-tu retrouvée enceinte ? C’est mauvais pour les femmes de traverser cette procédure et d’avoir un être vivant aspiré de son corps. Cela rabaisse la femme, même si certaines disent Oh cela ne me dérange pas de me faire avorter. Chaque fois qu’une femme avorte, elle broie son amour-propre un peu plus encore. »

The Icicle Melts, la chanson engagée pro vie des Cranberries :  

« Il y a une place pour le bébé qui est mort (...) Comment as-tu pu blesser l'enfant ? Maintenant est-ce que cet acte te satisfait (...) »

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

JE NE SUIS NI CATHERINE MILLET, NI CAROLINE DE HAAS. J’AI LE DROIT ?

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

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 Gabrielle Cluzel cliquez ici

« La semaine où “Me Too” et la “liberté d’importuner” se sont écharpés », titrait, lundi matin, Madame Figaro pour résumer le pugilat de gynécée des jours passés.

Et il faudrait donc que toute femme choisisse son camp ? Catherine Millet ou Caroline De Haas ? Caroline De Haas ou Catherine Millet ? Merci bien, mais ça ne fait pas rêver. Permettez que je tire ma révérence, ciao, salut, je retourne au pays des femmes ordinaires, celles de la vraie vie, avec de vrais soucis, celles qui ne se demandent pas, toute la sainte journée, avec des postures de vestale, si elles aiment être un peu, beaucoup, pas du tout importunées, et si frôler n’est pas frotter.

Mesdames, ôtez-moi un doute : vous ai-je jamais élues, cooptées, désignées, déléguées, missionnées, pressenties pour me représenter ? Alors, de quel droit prétendriez-vous parler en mon nom ? Comme le dit Élisabeth Lévy, il n’y a pas de « parti unique des femmes », et je revendique le droit d’avoir une pensée propre, dont l’alpha ne serait pas mon ovaire gauche et l’oméga mon ovaire droit.

Dans Le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir dénonçait l’essentialisation de la femme, et s’indignait que l’on réduise celle-ci à ses organes génitaux. Comme on peut voir, son combat a porté ses fruits : à quoi la philosophe féministe Olivia Gazalé, dans son livre Le Mythe de la virilité, réduit-elle la femme, décrite en tant que « pénétrée » (sic), opprimée par les « pénétrants » (re-sic) ? Et à quoi le hashtag #BalanceTonPorcréduit-il les hommes ? Pas à leur cerveau, si ?

Évidemment, dans ce contexte, l’autre parti, celui des cent signataires, nous paraît sympathique, ne serait-ce – après la volée de bois vert que ces dames viennent de ramasser – que par solidarité entre taulards face à un maton commun.

Mais la vérité force à dire que, comme dans tout divorce – car c’est bien une tempête dans le verre d’eau de l’entre-soi parisien qui a eu lieu -, les torts sont partagés.

Si le #BalanceTonPorc rencontre un certain écho auprès des jeunes femmes, c’est bien que celles-ci perçoivent un climat d’agressivité sexuelle qui n’existait pas avant, né de la jonction de deux phénomènes :

Celui de la libération sexuelle portée par la génération Mai 68 – peu ou prou celle des signataires – qui a dérégulé les relations hommes-femmes, écrasant les étapes intermédiaires, promouvant dans le cinéma, la littérature, la presse, la pub et jusque dans l’éducation sexuelle dispensée à l’école un « amour libre » très entreprenant, assorti d’un vocabulaire plus que direct, tellement obnubilée par son interdit d’interdire que, même face à la pornographie, elle n’a rien trouvé à redire. Il suffit, pour s’en convaincre, de faire un test simple. Demandez donc à vos grands-mères si l’une d’elles, jadis, s’est entendu dire dans la cour de récréation : « Eh, meuf, t’es qu’une salope ! (ou une p…) », lot commun, aujourd’hui, des collégiennes.

Celui de l’arrivée massive, en Occident, d’une population qui, culturellement, ne porte pas le même regard sur la femme, avec cette fâcheuse propension à jauger, avec son curseur propre, la vertu d’une femme à sa façon de se vêtir.

À quel moment ces deux points cumulés, qui sont une évidence pour madame Tout-le-Monde même si elle n’a pas toujours les mots pour le dire, ont-ils été évoqués par l’un ou l’autre camp ? Quelle solution espère-t-on trouver si l’on n’a pas posé les hypothèses ? Quel débouché concret pourrait avoir ce dialogue de sourdes et d’aveugles patentées ?

Un jour prochain, la femme ordinaire, exaspérée d’être prise en main comme une éternelle fillette par des représentantes autoproclamées, se lèvera enfin. Non pour revenir à l’âge d’or d’une autre époque – qui n’existait pas, sinon Mai 68 ne serait pas arrivé -, mais pour rendre justice à une altérité bien comprise et, sur un terrain ainsi apaisé, retrouver le chemin du respect réciproque. Nombreuses, d’ailleurs, sont celles qui le vivent déjà. Mais ce ne sont pas elles, penses-tu, que l’on fait témoigner.

 

Source : synthesenationale