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samedi, 13 janvier 2018

Sur sa page facebook, l’assistante parlementaire du député LREM Saïd Ahamada célèbre les massacres de la Toussaint Rouge et le début de la guerre d’Algérie

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018

 

Rachida Tir est l’assistante parlementaire du député des Bouches-du-Rhone Saïd AHAMADA

Voici ce qu’elle a posté le 1er novembre 2017 :

 

Traduction :

1er novembre 1954
63e anniversaire du début de la révolution


Rappel Historique

Divisés en plusieurs partis, dont le MTLD de Messali Hadj et l’UDMA de Ferhat Abbas, ils forment au printemps 1954 un Comité révolutionnaire d’union et d’action (CRUA). Celui-ci choisit la date du 1er novembre pour déclencher l’insurrection. Une trentaine d’attentats plus ou moins désordonnés ont lieu en ce jour de la Toussaint : récoltes incendiées, gendarmerie bombardée…

On compte au total dix morts (*). Les deux premières victimes, assassinées la veille de la Toussaint, sont deux Français d’Algérie : un chauffeur de taxi de confession juive, Georges-Samuel Azoulay et Laurent François, libéré depuis 6 mois du service militaire. Les autres victimes sont l’agent forestier François Braun, l’agent de police Haroun Ahmed Ben Amar et quatre appelés : le soldat Pierre Audat et le brigadier-chef Eugène Cochet, tués en pleine nuit dans le poste de Batna, dans le massif des Aurès, ainsi qu’André Marquet et le lieutenant Darneaud. Sont également tués le caïd Ben Hadj Sadok et Guy Monnerot, qui voyageaient ensemble.

L’instituteur Guy Monnerot et sa femmeLa mort de ce dernier émeut plus particulièrement l’opinion. Ce jeune instituteur est venu de la métropole avec son épouse pour instruire les enfants du bled. Leur autocar est attaqué dans les gorges de Tighanimine. Ils sont extraits du véhicule ainsi que les autres passagers et touchés par une rafale de mitrailleuse destinée au caïd Hadj Sadok.

Guy Monnerot succombe sur le champ mais sa femme Jeanine survivra à ses blessures. Les meurtriers des deux Français auraient enfreint l’ordre de ne tuer que le caïd, membre de l’élite musulmane francophile. Ils auraient été plus tard sanctionnés par leurs chefs.

 

Source : fdesouche

Bande dessinée : la réédition des Aventures de Bamboula provoque une vague d’indignation

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018

Par  le 12/01/2018

Les éditions de Varly ont décidé de rééditer Les Aventures de Bamboula, sans anticiper la polémique qui en a découlé. Jugée raciste, la parution du recueil va peut-être être annulée.

En début de semaine, Manix et H&M étaient critiquées à cause de publicités jugées racistes. Ces deux polémiques ont montré pour beaucoup le racisme systémique à l’œuvre dans notre société.

Preuve supplémentaire s’il en fallait, ce 8 janvier, le site ActuaLitté a épinglé les éditions de Varly, spécialisées dans la réédition d’anciens albums, qui ont jugé intéressant de faire redécouvrir au public Les Aventures de Bamboula, dans un recueil rassemblant quatre histoires.

C’est le 1er février prochain que ce personnage créé en 1951 doit trouver une nouvelle vie, alors que ses albums n’avaient pas connu beaucoup de succès à leur sortie. Dessinée par Marcel Turlin, dit « Mat » (1895-1982), la bande dessinée voulait « prendre à contresens les idées de son époque », selon son nouvel éditeur, Georges Fernandes.

« Il est le petit garçon que tous les parents rêvent d’avoir »

La description du premier tome qu’il fait sur Amazon défend son choix éditorial. Celle-ci dépeint l’illustrateur comme « un homme de cœur » : « Il aimait faire rire les enfants et il détestait l’injustice. Il souhaitait la fraternité entre les hommes… »

Georges Fernandes reconnaît bien le racisme du nom de l’album et de son héros, puisqu’il rappelle que le terme de « Bamboula » est une « insulte en France ». Mais il défend un personnage différent des clichés racistes.  (…)

 

Calais : des migrants installent un barrage de blocs de béton sur la rocade

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018

Par  le 13/01/2018 
 

Un barrage de blocs de bétons a été installé la nuit dernière par les migrants sur la rocade menant au port de Calais, a-t-on appris auprès de la préfecture, alors qu’Emmanuel Macron est attendu mardi à Calais.

Ces blocs, qui seraient des petits blocs utilisés pour empêcher les véhicules de monter sur les trottoirs, ont été rapidement dégagés par la police et la direction interdépartementale des routes vers 4h00, sur cette voie où des travaux d’éclairage sont en cours, selon la même source. Il n’y a pas eu de blessé ni d’interpellation, et le petit groupe de migrants a pris la fuite par la voie ferrée. Il s’agit du premier barrage depuis le début de l’année. 

L’installation de barrages artisanaux, faits de troncs d’arbres, de branchages voire de plaques d’égouts, principalement la nuit, par des migrants pour ralentir des camions en partance pour l’Angleterre et tenter de se cacher à l’intérieur, sont réguliers dans le Calaisis.

En juin, le conducteur d’une camionnette est mort dans un accident provoqué par un barrage de migrants sur l’autoroute A16. Les autorités ont compté six barrages en décembre, 16 en novembre et une dizaine en octobre.

Le Figaro via fdesouche

5 kg de pâte, 7 kg de poudre d’amande mais pas de fève pour la galette des rois de l’Élysée

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018

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Emmanuel Macron rentré de son périple de la Chine à l’Italie, la cérémonie de la galette des rois à l’Elysée va donc se tenir ce vendredi après-midi à l’Élysée. Le boulanger Joël Picquenard a conservé la même recette que pour sa boulangerie mais les proportions ont été multipliées par 40: 5 kg de pâte et 7 kg de poudre d’amande. Autre différence: cette galette républicaine ne contient volontairement pas de fève…

 

 

Source : ndf

La France paie des retraités algériens de 117 ans, et Macron s’en prend aux Français !

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018 

En juillet 2010, il y a déjà sept ans, Mme Ruellan Rolande, présidente de la 6e chambre de la Cour des Comptes, soulevait ce problème.

Elle s’étonnait, devant les députés de l’Assemblée Nationale, de l’étonnante longévité des ressortissants algériens bénéficiant d’une retraite française en Algérie.

Il s’agissait d’un dossier sulfureux et, comme bien d’autres, il fut classé sans suite.

Dans son rapport du 20 septembre 2017, la Cour des Comptes révèle que plus de 53.000 bénéficiaires inconnus perçoivent une retraite française alors qu’ils vivent dans un pays étranger et qui soit n’y ont aucun droit, soit ils sont morts !

Ce document donne l’exemple d’un faux bénéficiaire en Algérie, âgé de 117 ans (il serait donc un des doyens de l’humanité sans que nous le sachions !)

Selon ce même rapport, près de 200 millions d’euros seraient ainsi fraudés chaque année sur les 6,5 milliards de retraites versés en Algérie, au Maroc, au Portugal, en Italie, en Espagne, etc.

Comment cette fraude est-elle possible ? On peut se poser la question ?

Personnellement je perçois ma retraite française alors que je vis en Espagne et il y a une semaine je me suis trouvé devant l’obligation de réclamer un « certificat de vie » chez un notaire, signé en sa présence puis expédié à la CARSAT. Sans ce certificat ma retraite aurait été bloquée quelques mois. Cela s’est déjà produit l’an dernier ! Il me serait donc impossible de frauder.

Pourquoi ce qui est impossible en Espagne ne le serait-il pas au Maghreb ?

La réponse est évidente : Il n’y a aucun contrôle sérieux de l’identité des bénéficiaires de la retraite française dans les pays d’Afrique du Nord. Aucune coordination entre les différents services. Ils font preuve d’un laxisme déplorable ou, peut-être, reçoivent-ils des ordres de fermer les yeux, afin que ces « retraités » bidons restent en Algérie, ce qui, probablement, coûterait moins cher que de les renvoyer chez eux ?

Et les fraudeurs perçoivent toujours leurs retraites sans y avoir aucun droit.

A l’heure où le gouvernement estime que les retraités français sont « trop riches » et qu’il faut les taxer par une augmentation de la CSG de 1,7%, au-dessus de 1200 euros/mois, ne serait-il pas souhaitable, pour ne pas dire impératif, de mettre fin à ce scandale ?

Mme Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, ne devrait-elle pas prendre quelques heures pour stopper immédiatement ce vol manifeste de nos cotisations ?

Je vous promets de vous en reparler, ici-même, dans dix ans, en 2028, après le nouveau rapport de la Cour des comptes car, probablement, nous en serons au même point !

Et notre retraité algérien n’aura que 127 ans !

Manuel Gomez

(Source : Contribuables Associés)

 

Source : ripostelaique