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jeudi, 12 octobre 2017

Adoption LGBT : une petite fille de 18 mois meurt 2 semaines après avoir été adoptée

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

adoption lgbt,mort,violences répétées

L'article n'insiste pas vraiment sur cette adoption par deux hommes :

"Il avait mis entre parenthèses sa carrière de professeur de fitness pour être père au foyer et s'occuper de sa fille adoptive. C'est du moins l'image qu'aimait à donner de lui Matthew Scully-Hicks, Britannique de 31 ans, accusé de violences répétées ayant entrainé la mort de la petite Elsie, 18 mois. Depuis des mois, le père indigne "abusait de la fillette et l'agressait", ainsi que vient de l'établir la cour de Cardiff aujourd'hui chargée de le juger.

Avec son mari Craig, Matthew Scully-Hicks avait entamé les démarches en vue d'une adoption en septembre 2015. Une procédure officiellement reconnue huit mois plus tard. Mais moins de deux semaines après cette bonne nouvelle, la petite Elsie est morte des suites de traumatismes crâniens. L'enfant est décédé à l'hôpital universitaire de Wales, à Cardiff, ainsi que le rapporte le Daily Mail. Ses chances de survie étant nulles, son appareil de respiration artificielle a été débranché.

Après le décès tragique de la fillette, la police a saisi les appareils électroniques qui appartenaient à Matthew Scully-Hicks, notamment son iPad. Sur la tablette, les enquêteurs ont retrouvé des messages troublants, envoyés douze jours à peine après l'arrivée d'Elsie. A un de ses amis, l'accusé écrivait : "Je vis l'enfer avec Elsie ! Les repas et le coucher sont mon pire cauchemar en ce moment. Là, elle hurlait non-stop depuis dix minutes. Elle vient d'arrêter mais je doute que ce soit la dernière fois où je l'entendrai crier ce soir".

Le même jour, le 22 septembre 2015, Scully-Hicks envoyait à son mari Craig, un message où il traitait la petite de "psychopathe". Le lendemain, s'adressant encore à son conjoint, il décrivait l'enfant comme "Satan en grenouillère". Sans antécédents judiciaires, l'accusé s'était marié au Portugal en 2012. La même année, le couple avait décidé de demander l'agrément en vue d'une future adoption.

Interrogés par la police, les voisins du couple se souviennent des hurlements de la petite Elsie, de la musique poussée à plein volume pour couvrir ses cris et des insultes qui fusaient, quand Craig était au travail et que Matthew Scully-Hicks restait seul avec l'enfant "Je l'ai entendu crier : 'Tu vas fermer ta putain de gueule, petite conne !" raconte l'un d'eux.

Deux mois après son arrivée, le bébé s'était cassé la jambe. Une fois encore quand elle était seule avec l'accusé. "Quand son mari est rentré, Matthew Scully-Hicks lui a expliqué qu'elle était tombée dans la cuisine en jouant, qu'elle pleurait et qu'il l'avait prise dans ses bras pour la consoler. Et qu'après ça, elle 'avait l'air d'aller bien'" a expliqué le procureur devant la Cour lors des premiers jours du procès. S'inquiétant de son état, c'est Craig Scully-Hicks qui avait dû insister pour que la fillette soit amenée chez un généraliste. Après la mort d'Elsie, des radios de l'époque ont été réexaminées, montrant que la jambe de l'enfant était fracturée à deux endroits."Il est impossible qu'elle se soit fait ça toute seule avec une simple petite chute" a martelé le procureur

L'un des innombrables "accidents" pour lesquels le père maltraitant trouvait toujours une excuse. De même, un examen post-mortem a établi des traumatismes au niveau de la colonne vertébrale de la petite et de son cerveau qui "tendraient à prouver qu'elle a souffert du syndrome du bébé secoué" selon les spécialistes. Le 25 mai 2016, les mauvais traitements trouvent une issue fatale. L'accusé appelle une ambulance, expliquant que sa fille "est devenue faible et toute molle" quand il la changeait pour la mettre au lit. Quand les secours arrivent, Elsie est en arrêt cardiaque et allongée sur le sol. "Elle a hurlé de douleur et elle a perdu connaissance" leur raconte alors l'accusé qui dit ne rien comprendre. Pour les juges, il apparait désormais clairement quel'enfant a subi depuis son arrivée chez le couple une longue suite de coups et de "agressions" et n'a pas pu survivre à ce dernier épisode qui reste encore à éclaircir totalement. Si tout semble le désigner pour le moment comme auteur de ces violences à répétition, Matthew Scully-Hicks nie en bloc toute responsabilité dans sa mort. Son procès actuellement en cours devrait se clore dans deux semaines."

 Posté le 11 octobre 2017 à 09h51 par Michel Janva

Source : lesalonbeige

"Les résultats de mes CP étaient catastrophiques: j'ai testé un manuel ancien, ça a été radicalement efficace"

Publié par Guy Jovelin le12 octobre 2017

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Un manuel Boscher, référence des années 1950 - ANDRE DURAND / AFP

Il y a des enseignants qui font le pari de l'ancien. Qui exhument des manuels scolaires ancestraux pour redresser le niveau, en baisse selon eux, de leurs élèves. Brigitte Guigui est institutrice depuis les années 1980. En rogne contre ce qu'elle appelle les "pédagogies innovantes", elle a ressorti les manuels Boscher, une vieille méthode alphabétique qu'elle enseigne à ses CP. Les résultats seraient spectaculaires, dit-elle à RMC.fr. 

 

Les voyous bienaimés du monde actuel

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

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Bernard Plouvier

Durant l’entre-deux-guerres, et reprenant l’exemple de quelques littérateurs du XVIIIe siècle, certains romanciers « progressistes » vantaient les charmes de canailles de droit commun en plus de ceux des terroristes de l’action politique. Mais la morale avait ses exigences et dans le cinéma noir d’Hollywood, comme dans les chefs d’œuvre français et italiens des années 1950 et 60, le bon l’emportait (de justesse) et le méchant mourait, parfois avec le sourire.

Mais tout le monde savait que l’on était en pleine fiction. C’était, bien sûr, avant la révolution des mœurs des années 1968-80, où la démagogie, l’inflation, puis le chômage de longue durée ont permis à une tourbe de propagandistes de créer un authentique renversement des valeurs morales. Bon gré, mal gré, nous sommes contraints de survivre dans la société qui en a résulté : niaise, stupide et dépourvue d’équité.

Le type actuellement le plus répandu de ces voyous bénéficiant de l’absurde sympathie des faiseurs d’opinion publique, ce sont les casseurs, vandales, pyromanes des cités de non-droit qui, parfois, s’offrent le luxe de faire goûter leurs débordements aux habitants des quartiers riches. Très vite, les maîtres de la société globalo-mondialiste comprennent le message et inondent d’argent les meneurs.

Depuis les années 1980, un contrôle d’identité entraînant une crise d’hystérie d’un ou de plusieurs immigrés d’Afrique noire ou maghrébine, la tentative d’arrestation d’un honorable délinquant de cette mouvance qui ameute voisins et amis, la mise hors d’état de nuire d’un assassin d’agent des forces de l’ordre entraînent de façon quasi-automatique une fiesta, durant laquelle flambent les poubelles et les voitures, éclatent les vitrines et les abris-bus, sont dévastés des immeubles publics ou privés.

Sont indispensables à la compréhension de l’actuelle dinguerie sociétale les commentaires des hommes, femmes et autres individus inclassables des media consensuels. Le point de départ de l’émeute devient automatiquement une « provocation », mot qui tend à remplacer la classique « bavure » et cette substitution n’est pas anodine. Défendre la société est presque devenu un délit, voire un crime lorsqu’un agent de l’ordre public fait un usage – généralement tardif et à bon escient – d’une arme.

Lors des manifestations de soutien aux émeutiers, une fois terminée la phase active de destructions et de pillages, les « crétins utiles » de l’immigration-invasion, elle-même indispensable à l’entretien d’une forte consommation intérieure, beuglent les ritournelles d’où n’est jamais absent l’adjectif – dépourvu de sens, hors l’Italie des années 1920-1945 – « fasciste »… à prononcer Fâââchiste, comme le font les nouveaux crétins utiles du grand capital.

Car si « Lénine » et « Trotski » eurent leurs idiots utiles, l’économie globale et la mondialisation des vies politique et sous-culturelle – ce qui revient à dire : la Finance cosmopolite et vagabonde – a ses crétins utiles, mais sous faux pavillon. On fait beugler, contre les forces de l’ordre et les trop rares populistes, des éclopés du marxisme, des dinosaures de la lutte des classes, trop stupides pour comprendre qu’ils détruisent les fondements de leur petite vie et de leurs croyances vieillottes.

Les actuels « Antifa », sectaires et violents, sont devenus les plus fidèles soutiens autochtones des politiciens vendus – stricto sensu – à cette fameuse Finance que combattaient les Antifa des années 1930 sq., d’ailleurs aussi stupides et fanatiques que les hordes actuelles, manipulées par de très astucieux démagogues (généralement très fortunés).

C’est d’ailleurs une constante : les populistes, chefs et militants, proviennent de milieux modestes, où les notions de travail, de famille et de patrie sont honorées, tandis que les chefs socialistes, communistes et apparentés – le terme Antifa remplace celui de marxiste, terni par l’effondrement ridicule des sanglantes dictatures de ce bord – proviennent pour l’essentiel de la bourgeoisie riche et volontiers cosmopolite… « Staline », de souche authentiquement prolétarienne, a suffisamment pesté contre ces transfuges de la richesse, qui l’agaçaient au plus haut point, pour qu’on s’en souvienne.

Voyous extra-européens de banlieues et de cités de non-droit, voyous Antifa : autant de délinquants et de rebelles dont les exploits sont vantés par les media globalo-mondialistes et fort peu inquiétés par une Justice plus que jamais prosternée devant le « veau d’or ».

À quand la sympathie affichée envers les tueurs d’allah ? Elle ne saurait tarder, dans le cadre de la diabolisation des mouvements populistes européens, ceux-là mêmes qui représentent l’unique espérance des autochtones à forte conscience éthique.     

 

Source : synthesenationale

MARINE LE PEN SE MOQUE DES ÉLUS FN QUI VONT À LA MESSE : « ALORS LA SECTE ? ON N’A PAS PU S’EMPÊCHER ? »

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Le dimanche 1er octobre se tenait à Poitiers, la « Journée des élus » [du FN]. Avec début des travaux à 10h. Une trentaine de participants sont arrivés un bon quart d’heure en retard. Aussitôt suspectés de s’être d’abord réunis en un autre lieu pour y comploter, ils ont dû faire savoir que non, ils étaient simplement allés… à la messe !


Marine Le Pen se moque des élus FN qui vont à la messe : « Alors la secte ? On n’a pas pu s’empêcher ? »

 Ce qui leur a valu un peu plus tard d’être moqués par Marine Le Pen : « Alors la secte ? On n’a pas pu s’empêcher ? » 

 

 

 

 

 

Source : Minute  via Le Salon Beige 

mercredi, 11 octobre 2017

Sainte Brigitte « témoin » d’un mariage gay

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2017

L’œcuménisme a ses raisons que la raison catholique n’a pas !

Une histoire survenue en Suède à un couple de catholiques italiens est là pour nous rappeler que l’affection que le pape actuel, suivi d’une bonne partie des évêques, prêtres et théologiens contemporains, portent à Martin Luther, a des conséquences terrifiantes pour la vérité de la foi et de la morale. Les fruits malsains de l’hérésie protestante sont multiples : fraterniser avec eux entraîne les catholiques dans un processus de reniement de leur propre doctrine et une acceptation des nouvelles mœurs arc-en-ciel.

La mésaventure arrivée à ces Italiens a eu pour théâtre, Vadstena, au sud-est de Stockholm « rapporte le quotidien italien La Bussola quotidianna,  le mariage entre catholicisme et luthéranisme est présenté comme une bonne relation de voisinage, jusqu’à ce que l’on s’aperçoive que de l’œcuménisme on est passé à l’outrage de la foi catholique à travers une oxymérique occupation des espaces. » 

En visite touristique dans la ville, le couple d’Italiens a tenu à aller prier sur la tombe de saint Brigitte de Suède dans ce qu’il a cru être, à cause de sa décoration, une église catholique. Là, il s’est retrouvé confronté à un « mariage » d’invertis et n’a pas compris ce qui lui arrivait. Le journal italien publie les photographies qu’il a prises le 23 septembre dernier, dans ce lieu des plus significatifs de Suède : l’abbatiale de Vadstena (klosterkyrkan), aujourd’hui luthérienne.

Renseignements pris, ces Italiens choqués ont découvert que ce temple, qui abrite depuis 700 ans les reliques de sainte Brigitte, bien qu’il fut un sanctuaire catholique élevé par la fille de la sainte en honneur de sa mère, est devenu protestant après la RéformeIls ont appris en outre qu’il est régulièrement prêté aux catholiques pour des messes, même en « forme extraordinaire », et des pèlerinages. Et s’ils ont capté que l’occupation des lieux est inter-confessionnelle, ils ont pu apprécier à leur détriment qu’elle est également plurielle dans le domaine des mœurs. Tous les genres y sont permis…

Ainsi, l’église se retrouve un jour à accueillir la messe catholique, et le jour suivant, rendue aux mains des Luthériens, un « mariage » gay ! Mélange des genres des plus scandaleux. Et la dépouille mortelle de sainte Brigitte devient le « témoin » de ce triste spectacle. Offensant normalement pour un catholique. Mais pas en Suède -ni au Vatican d’ailleurs-, où pour ces fameuses « raisons œcuméniques », on accepte tout, même l’outrage à la foi et à la morale catholiques.

Voilà les fruits déraisonnables de l’œcuménisme pratique !

Francesca de Villasmundo  

 

Source : medias-presse.info