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vendredi, 13 octobre 2017

Macron : libéral-mondialiste

 

En fait, Macron c'est Giscard . Libéral-mondialiste en économie et libéral décadent pour tout le reste. De la gauche dans un bas de soie...

La BCE nous annonce des faillites bancaires

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2017

Un Krach Boursier Annonciateur De R Cession

 

Mis à part l’erreur grotesque de Macron dans la fusion Alstom/Siemens, tout va toujours très bien en matière économique selon les médias… Cependant, une dépêche du 27 septembre de l’agence Reuters, retransmise par l’AGEFI (Agence économique et financière), nous informe « que le secteur bancaire européen est surdimensionné et pourrait avoir besoin d’une cure d’amaigrissement, probablement à travers des fusions ou des fermetures ».

La BCE nous annonce des faillites bancaires

Marc Rousset, économiste, ancien haut dirigeant d’entreprise

♦ Ça va « barder » dans le secteur bancaire…


Ces propos ont été tenus par Madame Danièle Nouy, qui n’est autre que la responsable de la supervision bancaire au sein de la Banque centrale européenne. Et d’ajouter : « Au final, il semblerait que le secteur bancaire européen soit devenu trop gros. Et nous pouvons en voir au moins l’une des conséquences : de nombreuses banques dans la zone euro ne gagnent pas leurs coûts du capital. Il semble que beaucoup trop de banques se font concurrence pour attirer des clients. Il y a de bonnes chances que la taille du secteur bancaire doive en effet diminuer. » Propos de vérité mais propos lénifiants de haut fonctionnaire européen qu’il importe de traduire aux Européens : ça va « barder » dans le secteur bancaire, des faillites sont à venir.

Il suffit de voir la vérité en face et d’écouter son bon sens : pourquoi la directive BRDD de l’Union européenne qui permet de chypriser et de ponctionner les comptes des clients ? Pourquoi la loi Sapin 2, qui permet de bloquer les comptes de l’assurance-vie s’il n’y a pas des dangers imminents ou des risques d’incendie un de ces jours prochains à la demeure ?

Les premiers feux annonciateurs se sont, en fait, déjà subrepticement déclarés : la Deutsche Bank qui a été sauvée par des fonds d’investissement des pays du Golfe, des rumeurs de rachat de la Commerzbank par la BNP, le rachat de deux banques vénitiennes par Intesa Sanpaolo avec 4.000 suppressions d’emplois et 17 milliards d’euros d’engagements pour l’État italien, le sauvetage de Monte Paschi avec sa perte abyssale de trois milliards d’euros, les 350 milliards d’euros de créances douteuses dans les actifs des banques italiennes.

En Espagne, Banco Popular avait renforcé à trois reprises son capital pour cinq milliards d’euros et cela n’a pas empêché son sauvetage en hâte par Banco Santander. Et voilà que maintenant, nonobstant les problèmes en Catalogne qui augmentent les risques économiques, bancaires et financiers, on parle de Liberbank comme d’une nouvelle banque en difficulté ! Or, Liberbank, créée en 2011, n’est rien d’autre que le mariage forcé de trois « cajas » (banques d’épargne) : Cajastur, Caja de Extremadura, Caja Cantabria. Le titre, qui valait encore 1,7 euro à fin août, ne vaut plus aujourd’hui que quelques centimes.

Quant à la Grèce, pays en faillite qui ne tient que par des prêts nouveaux européens, son système bancaire détient des titres de la dette souveraine grecque, ce qui fait que les banques grecques seraient immédiatement en faillite si l’État grec devenait insolvable.

Le comble, c’est le Crédit agricole, qui a fait une expérience catastrophique en Grèce et a essuyé de très lourdes pertes pour se retirer à tout prix de ce pays. Attiré par l’appât du gain, il recommence la même erreur en Italie ! Il vient d’acheter, le 29 septembre 2017, trois caisses d’épargne italiennes pour 130 millions d’euros après que le Fonds interbancaire de garantie des dépôts italiens a décidé de prendre à sa charge trois milliards d’euros de créances douteuses.

C’est Napoléon qui disait : « L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

Marc Rousset
9/10/2017

Source : Boulevard Voltaire.fr

Des origines philosophiques de la démocratie à la fin de la démocratie

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2017

Ecrit parLéo Kersauzie

 

 
Des origines philosophiques de la démocratie à la fin de la démocratie, le chemin est-il si long ? La démocratie est l’organe politique, vecteur de la révolution et ceci à travers le monde.
Interventions, filmées lors des Journées de Chiré, de Christophe BUFFIN DE CHOSAL, historien et universitaire belge, correspondant de presse et auteur du livre « La fin de la démocratie », et de Maxence HECQUARD, diplômé d’une maîtrise de droit de l’université d’ASSAS et d’un DEA de philosophie à la Sorbonne, auteur du livre « Les fondements philosophiques de la démocratie moderne ».
 

jeudi, 12 octobre 2017

Nucléaire : pour EDF, Greenpeace a joué avec la vie de ses militants

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Nucléaire : pour EDF, Greenpeace a joué avec la vie de ses militants

Huit militants de Greenpeace ont été interpellés jeudi matin.@ SEBASTIEN BOZON / AFP

Les militants de Greenpeace ont investi jeudi le site d'une centrale nucléaire en Moselle. "Irresponsable", aux yeux d'EDF.

Les militants de Greenpeace, interpellés jeudi matin sur le site de la centrale nucléaire de Cattenom, sont des "irresponsables" car ils ont joué avec leur vie pour "une opération de communication", a dénoncé Olivier Lamarre, directeur adjoint du parc nucléaire d'EDF. "Ils ont pris des risques", a-t-il déploré lors d'une conférence de presse téléphonique. "Nous ne l'accepterons plus."

"Détectés très tôt". "S'ils avaient été mal intentionnés ou s'il y avait eu doute, les choses se seraient passées différemment dans un temps différent", a-t-il expliqué, laissant entendre qu'une intervention radicale des forces de l'ordre est prévue en cas de menace grave. "Je ne voudrais pas avoir un jour à communiquer des choses plus embêtantes", a-t-il averti.

Un peloton de gendarmerie spécialisé est stationné en permanence sur le site de la centrale, a précisé Olivier Lamarre. "Les militants de Greenpeace ont été détectés très tôt et ont été interceptés en moins de huit minutes par les gendarmes qui ont adapté leur intervention au fait que les personnes avaient les mains en l'air et portaient des panneaux Greenpeace", a-t-il souligné.

"Opération de communication". EDF a décidé de se montrer très ferme face à cette nouvelle intrusion de militants de Greenpeace sur un site nucléaire et a porté plainte afin que les intrus soient condamnés. "Ils ont fait prendre des risques pour une opération de communication", a déploré le responsable d'EDF. "Ils risquent plusieurs années de prison et plusieurs dizaines de milliers d'euros d'amende", a-t-il dit.

Tôt jeudi matin, deux jours après une mise en garde sur la sécurité des centrales nucléaires françaises, des militants de Greenpeace ont défié EDF en s'introduisant sur le site de Cattenom afin d'alerter sur le risque autour des piscines de combustible usagé. Mais pour Olivier Lamarre, Greenpeace "n'a rien démontré, sinon que le dispositif de sécurité a fonctionné parfaitement".

 

Source : europe1

Fêter simultanément (les 9 et 10.10. 2017) «Le Che» et La lutte contre la peine de mort ! Aucun problème pour nos médias et la gauche.

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Le che etCuba 17.000 tuésAime tuer

Fêter simultanément (9 et 10.10. 2017) « Le Che » et La lutte contre la peine de mort ! Aucun problème pour nos médias et la gauche.

Les bien-pensants et  la gauche, aidés par une vaste mise en scène des médias , réussissent le tour de force de fêter à un jour d’intervalle  les 50 ans de la mort du révolutionnaire et exécuteur en chef Che Guevara et les 15 ans de la Coalition de la lutte contre la peine .

Le 9 octobre, un nombre impressionnant de médias rappellent en boucle  les 50 ans de la mort  du chef révolutionnaire , poursuivant ainsi l’énorme  mythification du personnage tout en taisant les crimes abominables commis et ordonnés par ce même Che.

Au niveau local genevois, le journal La Tribune de Genève du 7.10.2017 (TdG) abonde dans ce sens  en publiant deux articles : une interview du compagnon de route (mais pas jusqu’à la prise du maquis bolivien) Jean Ziegler (J.Z.) qui répète une admiration inconditionnelle depuis son militantisme communiste jusqu’à nos jours pour le Che  (le Che lui « a sauvé la vie »  et « il ne se passe pas un jour sans que  le plus célèbre des intellectuels suisses  (J.Z. donc) ne pense  au Che ». Le plus célèbre des intellectuels, pour qui en fait ?

On peut aussi rappeler que son ami Régis Debray qui avait lui, en revanche, pris le maquis avec le Che  n’a pas été tué comme beaucoup de ses camarades guérilléros parce qu’il a été exfiltré au bon moment grâce aux liens de sa famille avec le pouvoir français de l’époque qui s’est chargé de le ramener à temps.

Retour à notre média local (TdG). Il n’est jamais question du fait, par exemple, que le Che dit médecin n’a jamais terminé ses études de médecin alors qu’il sera enrôlé comme médecin  par Castro ; ni du fait qu’il  liquidait  d’une balle dans la tête  ceux  qu’il considérait comme des traîtres lorsqu’il opérait dans la Sierra Maestra ; ni que cigare aux lèvres à la Havanne , à la prison de la Cabaña, deux cents condamnations à mort lui sont imputables, lorsqu’il ne les exécutait pas lui-même, etc.

Jean Sévilla , Che Guevara, Sous le mythe, le fanatisme sanguinaire, Valeurs actuelles, 5.10.2017, rappelle plusieurs de ces actions meurtrières du Che. Citation :

« Les exécutions  sont non seulement une nécessité pour le peuple  de Cuba , mais également un devoir  imposé par ce peuple ».

Aucun rappel non plus dans nos médias des nationalisations  du Che à Cuba qui ont ruiné l’économie de l’île, naguère  un des Etats les plus développés d’Amérique latine ; ni du fait qu’il a créé des camps de travaux forcés : « le premier goulag des Caraïbes » (dixit J. Sévilla, open cit.), etc. etc.

Rien non plus de tous ces crimes dans un deuxième article de la TdG  consacré à une interview d’un ex-correspondant de la RTS en Bolivie et auteur d’un livre : « Les derniers jours  de Che Guevara » ;  un titre  qui semble vouloir dire que le Che manquait de moyens  pour réussir sa révolution :  « Che Guevara avait de faibles moyens pour sa révolution ».

La TdG signale enfin une série d’événements, d’hommages  et de célébrations prévus à l’occasion du cinquantenaire  de cette mort du Che. Retenons  un seul de ces événements, celui de l’intervention de Jorge Valero, ambassadeur  du Vénézuela  auprès de l’ONU, cette ONU devant laquelle le Che  a dit en 1964 : « Nous avons fusillé, nous fusillons et nous continuerons à fusiller tant qu’il faudra ».

Autres événements : une semaine "Che Vive"...; une semaine d'animations à Uni-Mail; expositons de photos, etc.

Ainsi vont nos médias, nos journalistes, nos intellectuels , du moins certains, même ceux qui se prétendent neutres, ouverts et pluralistes, et qui bien sûr sont objectifs et ne produisent jamais de « fake news » ; ils réservent cette accusation aux médias qui tentent de dire la réalité toute la réalité.

De ces crimes et « peines de mort »  infligés par le Che il ne sera évidemment pas question non plus lors de la 15e  journée de la Coalition contre la peine de mort.

Nous avons consacré plusieurs articles à ce Che sanguinaire sur LesObservateurs.ch, voir les liens  , ici et iciici,

Uli Windisch, 10 octobre 2017

 

Source : lesobservateurs