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jeudi, 07 juin 2018

Mai 68 : la fin du mythe

Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2018 

 

Cinquante ans, ça se fête, pourtant, il est aisé de constater que cet anniversaire, de la révolte des étudiants de mai 68, n’a pas donné lieu à de grandes festivités, à part quelques rappels inévitables dans les médias. Ce sont surtout les opposants qui s’en souviennent. Mais au fait, fêter quoi ? Si cette révolte, conduite par des fils de notables et des petits-bourgeois immatures, deviendra dans l’imaginaire d’une toute une jeunesse en mal-être, “La Révolution de mai 68 “, et qu’elle sera, ensuite, fantasmée par tous les bobos, d’ici et d’ailleurs, à l’origine, elle n’a séduit que peu de monde. Et, jamais, la majorité silencieuse. Qui n’a fait que subir ! Ce n’est qu’un peu plus tard, en gangrenant la plupart des politiciens de gauche et de la droite molle, que cette révolte va consacrer une idéologie libertaire qui se résume en deux slogans emblématiques : “il est interdit d’interdire” et “jouissez sans entraves”. Quel programme ! Pas étonnant, que de jeunes fauves pleins d’appétence fussent enthousiasmés par cette vitrine alléchante, avec ses slogans, claquants et vibrants comme des couperets : ils vont s’offrir une grande libération sexuelle débridée. Là où ça va se compliquer – Freud étant passé par là – c’est quand nos apprentis sorciers eurent l’idée saugrenue d’investir leur défoulement d’une véritable politique idéologique, pour l’appliquer à tous les rouages de l’État. Et ils réussirent, en désintégrant et en pervertissant toutes les valeurs qui fondent une société, normalement constituée.

On sait que le passage à l’âge adulte ne se fait pas sans extravagances, ni anicroches, mais, justement, avec le recul, on voudrait comprendre comment ce projet infantile de transmutation a pu aller au-delà du concevable et de toute logique politique rationnelle. Et nous fabriquer une société, à tel point invertie, où tout discernement est totalement impossible. D’une permissivité complètement ingérable, autant par ses lois que par ses mœurs, nous payons aujourd’hui le prix fort de toutes les sottises des enfants de mai 68. En déconstruisant la société de leurs parents, mais surtout en se regardant le nombril et d’abord leur propre intérêt, ils ont ouvert la porte au capitalisme mondialisé et au libéralisme… qu’ils disaient combattre – quelle foutaise ! Ils voulaient Lénine ou Mao, ils ont eu Mitterrand et, soudain, toute la gauche caviar est devenue ministrable. Ils voulaient abattre le religieux, ils ont eu l’islamisme et le voile partout, même à l’UNEF, syndicat soixante-huitard s’il en est. Ils voulaient que toute la classe ouvrière puisse aller à l’université, il n’y a jamais eu si peu d’enfants d’ouvriers dans les facultés. Échecs, partout ! Par contre, ils ont réussi à imposer leur idéologie mortifère dans toutes les institutions et les organismes d’État, les médias et la plupart des cerveaux pensants de notre pays, et même au-delà. Et, ils se sont érigés en petits commissaires de la pensée en corsetant la liberté d’expression et en investissant une pléiade d’associations “humanitaires” qui, dorénavant, contrôlent la plus simple expression malencontreuse qui peut vous envoyer en prison pour peu que cela ne convienne pas. Dans la foulée, ils ont établi les lois Gayssot, qui empêchent les historiens de faire correctement leurs recherches. La liberté est devenue un leurre et la terreur intellectuelle s’est institutionnalisée. Pourtant, le mythe de la révolution gauchiste semble s’éloigner à tout jamais. Mais l’interrogation sur sa conquête idéologique va encore perdurer longtemps.

Pour l’instant, quel aspect positif peut-on retenir de ces cinquante années de bêtises et de perversions ? Aucun ! Ou plutôt si, en cherchant bien, on peut en trouver un, un petit rien : les héritiers de mai 68, nouveaux bobos un peu écolos, en reprenant à leur compte un des slogans de mai 68, entre autres célèbres, “sous les pavés, la plage”, fleurissent les rues et les trottoirs où ils habitent… Peut-être par ce geste, s’exercent-ils à honorer, bientôt, la tombe d’une idéologie qui les formate encore ? Défunte, mais pas encore enterrée.

 

Source : ndf

mercredi, 29 mars 2017

Paris : « La mixité sociale oui… mais pas dans le collège de mes enfants ! »

Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2017

Par le 28/03/2017

La décision de la mairie de Paris de rassembler les secteurs de deux collèges, à quelques centaines de mètres l’un de l’autre, n’est pas comprise par certains parents.

(Rediff) : Extrait d’un reportage datant de mai 2011, consacré au contournement de la carte scolaire par certains parents:

(Merci à C’)

 

Source : fdesouche

vendredi, 02 décembre 2016

Paris 18ème : les bobos sont dérangés par l’africanisation du commerce

Publié par Guy Jovelin le 02 décembre 2016

1 décembre 2016 par Pierrot

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Vu sur BFM : Plusieurs fois par semaine les vendeurs à la sauvette s’installent massivement dans le quartier de Barbès à Paris, obstruant les trottoirs et les accès au métro. Face à l’exaspération des riverains et commerçants, les maires des arrondissements concernés ont décidé d’écrire au préfet pour réclamer des mesures.

dimanche, 20 mars 2016

Larzac : les bobos refusent les légionnaires mais ouvrent leurs bras aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2016

Dans le Larzac certains détestent la Légion !

Ces crétins ne veulent pas que les légionnaires quittent leurs camps ! Ce sont les mêmes qui ne disent rien quand les envahisseurs de Calais quittent leur foutoir pour caillasser des camionneurs ou déchaîner leur violence sur les trottoirs de la ville.
On verra bien si le collectif « Garderem Lo Larzac » à l’origine de cette cabale débile fera de même quand ils verront arriver 1200 immigrés clandestins, nouvelles chances pour leur village qu’ils mettront à sac en moins de temps qu’un béret vert met à se taper une bière.
Heureusement qu’une grande partie de la population s’est dressée devant tant de stupidité (pour rester poli).

On appréciera là aussi les commentaires sous l’article…

 

« Alerte Képi » : l’opération qui enflamme les réseaux sociaux

Le 15 mars à 16h00 | Mis à jour le 15 mars

L’opération « Alerte Képi », « jeu coopératif et participatif », lancée par le collectifGarderem Lo Larzac peine à fédérer ! Et c’est le moins que l’on puisse dire.

Sur Facebook, un communiqué du collectif du Sud-Aveyron plutôt réfractaire à l’arrivée de 1200 légionnaires de la 13e DBLE sur le plateau invite quiconque à signaler leur présence en dehors des limites actuelles du camp.

 

Une initiative fondée sur une promesse érigée en prétexte :« Il nous avait été promis par les défenseurs de l’arrivée de la 13ième DBLE que les légionnaires resteraient confinés dans l’enceinte actuelle du camp militaire du Larzac. Force est de constater que cela n’est déjà plus vrai 2 mois après leur arrivée ! ».  

Il n’en fallait pas plus au collectif pour lancer cette opération qui depuis sa mise en ligne, le 11 mars dernier, suscite de nombreuses réactions, plutôt unanimes, et pour le moins hostiles au collectif. 

En effet, outre l’avalanche de noms d’oiseaux venus accueillir la démarche, les questions demeurent quand au bien fondé de l’opération :

« J’ai du mal à saisir vos arguments contre la venue de la Légion Etrangère. Habitant de l’Est j’ai assisté au démantèlement des différents régiments au grand dam de la population locale. Le lien armée /Nation n’a jamais posé souci. Que craignez vous au fond ? » pose Christophe Marquet.

 

Source : http://resistancerepublicaine.eu/

lundi, 16 novembre 2015

LES « BOBOS » DE LA COMPASSION

CoupablesLes « Bobos » de la compassion

Aujourd’hui, à midi, et partout en France, était observée une minute de silence à la mémoire des victimes des attentats du 13 novembre. Dans ma commune du Barcarès, dans les Pyrénées-Orientales, le maire avait appelé à un rassemblement solidaire et à se recueillir à l’heure dite, devant la Mairie. A titre personnel, je n’ai pas participé à cette mascarade publique de la compassion.

La compassion que je porte aux victimes et à leurs familles, je n’ai pas besoin de la mettre en scène. Elle est sincère, je la ressens au plus profond de moi, mais je n’ai aucune envie d’apporter un quelconque crédit ou d’obéir au gros mou, à ses ministres, aux préfets et aux maires, collabos conscients ou inconscients de l’envahisseur, coupables d’avoir fait  entrer le loup dans la bergerie et qui s’apitoient ensuite sur le sort des brebis égorgées…….
Pas envie d’obéir à ces minables réunis comme ils l’étaient en 1990 dans le « coup monté » de Carpentras ou contre la présence de Jean-Marie Le Pen en 2002 au 2ème tour de la présidentielle. 

Je n’étais pas «Charlie», je ne suis pas devenu «Paris». Sur ma page Facebook, je suis resté tel quel. Je n’ai pas affublé mon avatar du drapeau tricolore, comme l’ont fait les « bobos » ainsi que certains de mes amis. Que ces derniers se rassurent, je ne leur en veux pas.
Seulement voilà : Les terroristes Salah Abdelsam, Brahim Abdelsam, Ismaël Omar Mostefaïe, Samy Animour, etc…… étaient, paraît-il, français, au même titre que moi. Devrais-je donc, moi aussi, être fier d’être français…au même titre qu’eux ? Des fois je me demande si, l’occasion m’en étant donnée, je ne préfèrerais pas devenir Patagon.

Nous sommes en guerre contre un ennemi de l’intérieur que nous avons nourri, logé au sein de notre république. Mais alors puisque nos dirigeants ont décrété l’État de Guerre, battons-nous !
Qu’ils nous autorisent, nous les citoyens lambda, à nous armer pour nous défendre notre famille, nos biens et notre vie.
Oh bien sûr pas tous les citoyens, faut pas trop demander, sûrement pas tous ces «bobos» qui cherchent à apparaître à la télé, qui font la guerre avec des bougies, qui clament  haut et fort qu’ils n’ont pas peur …..et qui détalent au moindre bruit de pétards.

Certains répondront la Guerre, « c’est le travail de l’armée, ce n’est pas le vôtre ». Oui, mais alors quelle armée ? Celle qui n’existe plus parce que détruite par les gouvernements successifs de droite comme de gauche ? L’armée dirigée par tous ces officiers francs-maçons plus attachés à leurs prébendes et à leurs privilèges qu’à se rebeller contre des dirigeants traîtres à leur pays ?

Bref, la France a besoin de « Couilles ». Certains pensent que c’est peut-être une femme qui les portera. Malheureusement je n’y crois pas trop.

Jean-Pierre Atoch
Parti de la France 66