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mardi, 12 juin 2018

Légion étrangère

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

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Ysabelle Meï Lu Saura

Mon fils de 12 ans est revenu avec le devoir suivant, donné à toute la classe :

" Trouvez une photo de migrants. Vous la présenterez et vous direz pourquoi elle vous a particulièrement ému. »

Je l’ai un peu aidé…

Il est retourné en cours avec une photo d’un défilé de la Légion Étrangère et les commentaires suivants :

« 180 nationalités différentes dans la Légion, tous immigrés et ce qui m’a ému, c’est qu’ils sont venus pour servir la France et non pour foutre la merde.

Et aussi qu’'entre eux ils ont une vraie solidarité, quelle que soit la race, la religion ou la nationalité. Un exemple d’intégration réussie ! »

mardi, 16 janvier 2018

Les voyous n’ont plus peur du gendarme, ni du flic, et ils ont raison

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

On  ne peut espérer se faire respecter que si l’on est craint ! Or, vous n’êtes plus craint.

Le peur du gendarme, du policier, du « flic », n’existe plus puisqu’il n’y a plus aucune raison d’en avoir peur !

Il est injurié, caillassé, tabassé, matraqué, roué de coups, enflammé dans son véhicule, etc. et il ne se défend pas, il ne réagit pas, il se laisse faire ! Comment dans de telles conditions peut-il espérer être respecté, être craint ?

La légitime défense n’existe plus pour lui, elle ne lui est plus applicable, ni même permise !

Il n’a plus le droit ni de défendre sa vie, ni celle de ses proches, de ses collègues !

Par peur de la sanction, par peur de la médiatisation, par peur de l’incompréhension !

Quelques exemples récents et significatifs : Viry-Châtillon : des voyous, des criminels, incendient volontairement, à l’aide de cocktails Molotov, des véhicules de police dans le but de « brûler » les policiers qui sont à l’intérieur.

Attaqués, menacés de mort, se sont-ils défendus ? Non. Ils avaient des armes et n’auraient pas dû hésiter une seule seconde à tirer. En l’air d’abord puis sur ceux qui auraient poursuivi leur agression. Au moins pour défendre la vie de leurs collègues, si la leur importe peu, selon eux !

Le soir de la Saint-Sylvestre 2017, à Champigny-sur-Marne, cette charmante cité où nous allions nous baigner en famille, et en toute sérénité, dans les piscines il y a encore une cinquantaine d’années, une jeune femme policière est projetée à terre par une horde sauvage, déchaînée, qui la roue de coups de pieds, qui vise son visage, qui voudrait la voir ensanglantée. Elle hurle de peur et de souffrance. Cette jeune policière est le chauffeur du véhicule de police et conduit son supérieur, le capitaine de permanence, chef du service de sécurité publique de Chennevières-sur-Marne. Il est là, présent, pris à parti également. Il est armé. Il attendait quoi pour tirer dans le tas, pour dégager et sauver sa jeune collègue, pour défendre sa propre vie ? On se le demande ?

Quel serait son terrible remords si sa jeune collègue avait succombée à cette agression sauvage ?

Des cambrioleurs armés attaquent la bijouterie du « Ritz ». Deux s’enfuient à moto. On voit un policier tenter de les stopper, sans succès, au risque même d’être projeté au sol. Il est armé. Son droit, son devoir, n’était-il pas de sortir son arme et de tirer sur la moto des fugitifs ?

Des exemples ? Je pourrai en citer des dizaines, hélas ! Il ne se passe pas une semaine sans que nos forces de l’ordre ne subissent les agressions des délinquants, des casseurs, des criminels.

Autre exemple plus tragique, celui de « ce jeune pacifiste », parait-il, qui à deux heures du matin se trouvait, par hasard, au milieu de ceux qui lançaient des cocktails Molotov et des pavés sur les gendarmes. L’éclatement d’une grenade a mis fin à ses jours. Il est bien évident que le gendarme qui a lancé cette grenade ne le visait pas particulièrement. Est-ce que l’on vise quelqu’un lorsque l’on lance une grenade ? Il s’est trouvé là, au mauvais endroit, au mauvais moment, il a pris un risque et il en a payé le prix fort !

Si les forces de l’ordre avaient été plus fermes, plus agressives, les jours précédents afin de dégager la zone, cet accident ne se serait peut-être pas produit. Mais il y avait les ordres !

Dans la prison de Venin-le-Vieil, un terroriste, connu pour sa dangerosité, se jette sur trois surveillants et les blesse à l’aide d’un ciseau. Aucun des trois n’a eu la possibilité de réagir et d’assommer ou abattre cet assassin ? Ils étaient trois tout de même !

Les forces de l’ordre, la police, ne seront de nouveau respectés en France que si elles se font respecter. Elles doivent imposer leurs lois, face à ceux qui les bafouent quotidiennement.

La police n’est plus maîtresse du terrain, elle n’y a plus tous les droits, elle ne peut que reculer, se protéger, recevoir et ne pas répliquer.

Ce dernier week-end, à Crosne (Essonne), l’exemple contraire : la police ne s’est pas laissé impressionner par la réaction brutale et dangereuse d’un groupe de rappeurs qui, volontairement, a tamponné leur véhicule pour tenter de s’échapper. Les policiers n’ont pas hésité à tirer à quatre reprises dans les pneus de la voiture et les rappeurs ont été appréhendés. Ces policiers, ils peuvent en être persuadés, seront respectés à l’avenir dans leur cité de Crosne !

Voilà l’exemple à suivre si l’on veut inspirer le respect, si on le réclame, sans quelquefois vraiment le mériter !

Nous sommes en guerre, parait-il, alors il est urgent que la peur change de camp. Il ne suffit pas de faire « promener des patrouilles » de militaires, de faire circuler des véhicules de police, loin des zones « interdites » aux forces de l’ordre. Il faut investir, nettoyer, expulser les étrangers dès leur arrestation et avant même leur condamnation.

Il ne doit plus exister des « zones de non-droits » sur te territoire de la république.

Il est des pays plus dangereux que la France (est-ce certain ?), les Etats-Unis par exemple, où la police et les forces de l’ordre, quand elles sont nécessaires, imposent le droit, la loi, sans état d’âme.

Si les forces de l’ordre ne sont pas suffisantes, ou à la hauteur, pour ce genre d’opérations alors les « Paras », la « Légion », cette armée qui a su gagner la « Bataille d’Alger » dans les années 57/58, sauront gagner la « Bataille de France », si on lui en donne l’ordre et les moyens !

Ce qui ne se fera pas, ni aujourd’hui, ni demain. Nos gouvernants ne sont-ils pas élus pour faire respecter les droits de ceux qui n’en n’ont aucun et bafouer les droits de ceux qui n’en n’ont plus !

Gérard Collomb, notre sinistre ministre de l’Intérieur, ne s’est-il pas montré particulièrement satisfait puisque les fêtes de fin d’année ont été parfaitement calmes : seulement 8 policiers et 3 militaires blessés, 1031 véhicules incendiés et 510 arrestations… à peine un peu plus que l’an dernier. Bravo !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

lundi, 14 novembre 2016

Millau : la cérémonie officielle du 11 novembre perturbée

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2016

EVA TISSOT

 Millau : la cérémonie officielle du 11 novembre perturbée

Le moment de recueillement devant le monument aux morts avait été respecté au cours de la matinée.
 
Le défilé de la Légion, initialement prévu après la commémoration, ce vendredi 11 novembre, a été annulé.

La cérémonie officielle en souvenir de l'Armistice de 1918, qui se déroulait vendredi matin autour du monument aux morts érigé dans le parc de la Victoire, ne s'est pas terminée selon le programme initial. Malgré ce que laissaient penser les barrières, barrages et rues bloquées entre la place du Mandarous et une grande partie du boulevard de la République, le défilé de la 13e Demi-brigade de la Légion étrangère, qui devait clôturer la cérémonie officielle, n'a pas eu lieu. La mairie avait été avertie dès jeudi soir de cette annulation ordonnée par l'état-major de l'armée, mais elle avait maintenu le dispositif de sécurité "au cas où il y ait un changement de programme". 

"Nous avons fait reculer l'armée pour treize individus !"

Si l'état-major de l'armée de terre a pris une telle décision de dernière minute, c'est parce qu'il a eu vent, sur les réseaux sociaux, d'un appel lancé par des militants qui se présentent comme antimilitaristes. "Des motifs d'ordre public nous ont conduits à penser que le défilé militaire ne pourrait pas se dérouler dans le respect dû à notre armée", a déclaré à Midi Libre la préfecture au cours de la journée de vendredi.

La cérémonie officielle, menée par le premier adjoint Claude Assier, s'était déroulée dans un grand respect du protocole, réchauffé de temps à autre par quelques rayons de soleil. La commémoration a été rythmée par les déplacements des troupes, les remises de décorations, la lecture de poèmes par les élèves du collège Jeanne-d'Arc, le dépôt de gerbes, ou encore le ravivage de la flamme du souvenir par des élèves du collège Marcel-Aymard et du CMJS, avant une minute de silence et La Marseillaise.

Un "Vive la Légion" à la fin des discours

En fin de cérémonie, Christophe Saint-Pierre a pris la parole pour annoncer le changement de programme. À la suite de ces quelques mots, l'assemblée s'est dispersée dans une certaine confusion. Chacun y allant de son commentaire...

Le cortège s'est ensuite dirigé vers la mairie pour clôturer les honneurs. Sur le boulevard de la République, des spectateurs attendaient encore le défilé. Sur le parvis de la mairie, ou L'Élan millavois et L'Harmonie du Sud-Aveyron ont joué une aubade, le maire de Millau a pris la parole. "Je m'excuse de cette annulation auprès de la population, des anciens combattants et de vos hommes, mon colonel", a commencé le premier édile.

"Je suis un fervent défenseur de la liberté d'expression, mais manifester un jour comme celui-ci, alors que nous commémorons un grand moment de notre Histoire... Il y a un temps pour chaque chose. Je suis très en colère, nous avons fait reculer l'armée pour treize individus. C'est une minorité qui prend en otage une majorité, qui elle est favorable à la venue de la Légion. Il va falloir que les politiques réfléchissent." Les discours se sont terminés sur un timide, mais franc, "Vive la Légion !", venant du public rassemblé devant les grilles de la mairie.

 

Source : midilibre

samedi, 30 avril 2016

30 avril 1863 La Légion résiste à Camerone

Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2016

Le 30 avril 1863, dans le village de Camerone, au Mexique, soixante-trois légionnaires français, sous les ordres du capitaine Jean Danjou, résistent à une armée mexicaine de plus de deux mille hommes.

Un exploit propre à adoucir l'amertume d'une guerre absurde engagée contre le Mexique par Napoléon III.

Joseph Savès
La bataille de Camerone

La guerre du Mexique

Deux ans plus tôt, en 1861, la France, l'Angleterre et l'Espagne sont intervenues avec avec quelques troupes pour obliger le président mexicain Juarez à honorer les dettes de son pays.

En 1862, tandis que les Anglais et les Espagnols se retirent, l'empereur français Napoléon III forme le projet de renverser le président mexicain et de transformer le Mexique en un empire latin et catholique. Mais les Français se heurtent à la résistance farouche et inattendue des Mexicains qui prennent le parti de Juarez.

Une première armée de 7.000 hommes est repoussée devant Puebla, une ville fortifiée sur la route de Mexico. Il faut envoyer en catastrophe 28.000 hommes en renfort, sous le commandement du général Forey, pour enfin avoir raison de la résistance de la ville.

Sacrifice 

C'est pendant le siège de Puebla que se produit le drame de Camerone.

Une compagnie de la Légion étrangère,  aux ordres du capitaine Jean Danjou (35 ans), est chargée de protéger  un convoi de ravitaillement de l'armée française quand elle voit surgir des cavaliers juaristes. Après avoir repoussé une première charge, le capitaine se réfugie dans le village abandonné de Camerone (Camaron pour les Mexicains), dans l'État de Veracruz.

Il se barricade avec ses hommes dans la cour de l'auberge, fermée par de hauts murs, avec l'objectif de retenir assez longtemps l'ennemi pour que le convoi puisse s'éloigner.

Légionnaires au Mexique, par BenigniSuite à une première démonstration de force des Mexicains - six cent cavaliers et mille quatre cents fantassins -, le colonel Milan, qui les commande, offre la reddition à la Légion étrangère.

Le capitaine refuse et jure de ne jamais se rendre. Ses hommes font de même. Danjou est bientôt tué en inspectant les positions. Le colonel Milan lance enfin un assaut auquel la Légion résiste héroïquement.

L'auberge est incendiée et les huit survivants se retranchent dans un hangar où ils tiennent encore plus d'une heure avant d'être faits prisonniers. Ils acceptent de se rendre à condition de conserver leurs armes et que leurs blessés soient soignés, ce qu'acceptent les Mexicains.

Trois cents Mexicains auront été au total mis hors de combat par les 63 légionnaires mais l'héroïsme de ces derniers n'empêchera pas l'échec final de Napoléon III.

Succès de la résistance mexicaine

Après la prise de Puebla et l'entrée des Français à Mexico, un simulacre d'assemblée nationale octroie la couronne de l'Empire du Mexique à Ferdinand-Maximilien. Mais en avril 1866, Napoléon III doit rapatrier le corps expéditionnaire en catastrophe. Ferdinand-Maximilien est pris et fusillé par les juaristes le 19 juin 1867.

De ce fiasco reste le souvenir de Camerone. La Légion lui doit ses quartiers de noblesse, trente ans après sa création. Depuis 1906, l'anniversaire de ce fait d'armes est commémoré avec faste par la Légion étrangère. Les légionnaires réunis à Aubagne rendent à cette occasion les honneurs à... la main en bois du capitaine Danjou.

 

Source : herodote

dimanche, 20 mars 2016

Larzac : les bobos refusent les légionnaires mais ouvrent leurs bras aux migrants

Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2016

Dans le Larzac certains détestent la Légion !

Ces crétins ne veulent pas que les légionnaires quittent leurs camps ! Ce sont les mêmes qui ne disent rien quand les envahisseurs de Calais quittent leur foutoir pour caillasser des camionneurs ou déchaîner leur violence sur les trottoirs de la ville.
On verra bien si le collectif « Garderem Lo Larzac » à l’origine de cette cabale débile fera de même quand ils verront arriver 1200 immigrés clandestins, nouvelles chances pour leur village qu’ils mettront à sac en moins de temps qu’un béret vert met à se taper une bière.
Heureusement qu’une grande partie de la population s’est dressée devant tant de stupidité (pour rester poli).

On appréciera là aussi les commentaires sous l’article…

 

« Alerte Képi » : l’opération qui enflamme les réseaux sociaux

Le 15 mars à 16h00 | Mis à jour le 15 mars

L’opération « Alerte Képi », « jeu coopératif et participatif », lancée par le collectifGarderem Lo Larzac peine à fédérer ! Et c’est le moins que l’on puisse dire.

Sur Facebook, un communiqué du collectif du Sud-Aveyron plutôt réfractaire à l’arrivée de 1200 légionnaires de la 13e DBLE sur le plateau invite quiconque à signaler leur présence en dehors des limites actuelles du camp.

 

Une initiative fondée sur une promesse érigée en prétexte :« Il nous avait été promis par les défenseurs de l’arrivée de la 13ième DBLE que les légionnaires resteraient confinés dans l’enceinte actuelle du camp militaire du Larzac. Force est de constater que cela n’est déjà plus vrai 2 mois après leur arrivée ! ».  

Il n’en fallait pas plus au collectif pour lancer cette opération qui depuis sa mise en ligne, le 11 mars dernier, suscite de nombreuses réactions, plutôt unanimes, et pour le moins hostiles au collectif. 

En effet, outre l’avalanche de noms d’oiseaux venus accueillir la démarche, les questions demeurent quand au bien fondé de l’opération :

« J’ai du mal à saisir vos arguments contre la venue de la Légion Etrangère. Habitant de l’Est j’ai assisté au démantèlement des différents régiments au grand dam de la population locale. Le lien armée /Nation n’a jamais posé souci. Que craignez vous au fond ? » pose Christophe Marquet.

 

Source : http://resistancerepublicaine.eu/