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mercredi, 15 août 2018

La tiers-mondisation de la France est en marche

Publié par Guy Jovelin le 15 août 2018

La tiers-mondisation de la France est en marche 

La tiers-mondisation de la France est en marche

 

Par Nicolas Faure, entrepreneur ♦ Deux rappeurs qui se battent dans un aéroport en ravageant un magasin et en retardant des dizaines de vol. La Gare Montparnasse qui ferme durant le week-end le plus chargé de l’année à cause d’un incendie dans un transformateur. Adrien Perez poignardé à mort par deux extra-européens ultra-agressifs alors qu’il tentait de porter secours à un ami. Alexandre Benalla, racaille mal dégrossie, possédant un pouvoir absolument inimaginable. Une femme violée par le conducteur d’une voiture avec laquelle elle effectuait un constat.
L’actualité récente nous le démontre de manière éclatante : la tiers-mondisation de la France est en marche !


Les racailles au pouvoir

Benalla, une racaille avec les pleins pouvoirs

Le pouvoir semble aujourd’hui faire la part belle aux racailles en tous genres.

De manière évidente, l’affaire Benalla en est l’illustration la plus claire. Imaginez qu’Emmanuel Macron a donné à cet homme un pouvoir quasiment sans limite, alors même que celui-ci est incapable d’envoyer une simple lettre de motivation sans faire de très nombreuses fautes basiques comme nous l’apprend Valeurs Actuelles !

C’est donc une racaille au niveau intellectuel moyen qui a obtenu des avantages incroyables de la part du personnage le plus puissant de la nation française ! Pire, une fois en position de force, Alexandre Benalla a continué à agir comme une vulgaire racaille de cité. Il a ainsi laissé libre cours à ses bas instincts violents en agressant des manifestants. Par ailleurs, il n’a pas hésité à rabrouer publiquement des policiers ou des gendarmes largement plus expérimentés et plus valeureux que lui, ce qui a d’ailleurs sans doute provoqué sa chute.

En fait, Alexandre Benalla a été jusqu’au bout le symbole de cette tiers-mondisation rampante et insoutenable de la France. Incapable, odieux, agressif et imbu de lui-même, Alexandre Benalla est l’exemple même de la racaille promue par Emmanuel Macron.

Avec une question lancinante sur toutes les lèvres : comment Macron, qui n’est lui pas précisément un complet imbécile, a pu donner de tels pouvoirs à Benalla ?

Des racailles pour exemples

Mais le pouvoir n’est pas que politique. Il est également culturel. Et, là aussi, la racaille est en pôle position. La musique qui se vend le plus en France, celle qui supplante peu à peu toutes les autres, c’est le rap ! Et le plus célèbre des représentants de cette musique particulièrement appréciée des jeunes français, c’est « Booba », Elie Yaffa de son vrai nom.

Et celui-ci s’est particulièrement illustré récemment en affrontant son rival, lui aussi extra-européen, Kaaris , de son vrai nom Okou Armand Gnakouri. Les deux rappeurs, auparavant amis, se détestaient depuis plusieurs années. Une rivalité qui a trouvé sa conclusion dans un hall de l’aéroport d’Orly. Les images de la bagarre entre les deux rappeurs et leur bande d’amis violents ont fait le tour du web.

Ces deux multi-millionnaires, adulés par les jeunes Français, ont donc décidé de ravager un magasin et de provoquer la fermeture d’une aile entière de l’aéroport pour régler leur différend.

La France en voie avancée de tiers-mondisation

Agressions sordides

Adrien Perez est, comme Marin, un symbole. Celui de cette jeunesse européenne qui peut tomber sous les coups d’une autre jeunesse, extra-européenne celle-là, pour les motifs les plus futiles qui soient. En l’occurrence, Adrien Perez est mort en héros, en portant secours à un ami, violemment agressé par deux frères qui avaient déjà importuné le groupe d’amis à l’intérieur de la boite de nuit dans laquelle ils se trouvaient.
Pour beaucoup de jeunes « de souche », cette scène n’est pas anodine. Elle résonne extrêmement fort avec leurs propres expériences en boite ou en bar de nuit. Il est aujourd’hui banal de voir des équipes de racailles, même dans des lieux encore préservés il y a quelques années.

La tiers-mondisation de la France, c’est avant tout cette multiplication des agressions violentes, des rixes mortelles, des assassinats sauvages, des conflits ethniques. Qu’il s’agisse de l’assassinat d’Adrien Perez ou bien de l’égorgement d’un homme dans un bus parisien, l’actualité ne ment pas : la France sombre peu à peu dans un ensauvagement qui semble n’avoir aucune limite.

Les infrastructures survivront-elles longtemps ?

De même, la France semble irrémédiablement condamnée à voir péricliter ses infrastructures sous la pression – directe ou indirecte – de l’immigration extra-européenne. Qu’il s’agisse des rappels incessants – et vains – à la propreté dans les zones où la racaille prolifère ou bien du coût du maintien de certaines infrastructures handicapés indirectement par les dépenses liées à l’immigration, la tiers-mondisation de la France semble irréversible si rien n’est fait pour l’éviter.

L’exemple de l’incendie du transformateur ayant entraîné la fermeture de la gare Montparnasse pendant plusieurs jours est un exemple de ces problèmes. Comment imaginer qu’une gare accueillant près de 54 millions de voyageurs par an puisse être touchée par un problème, certes important, sans solutions alternatives ou résolution rapide ?

Pour contre la tiers-mondisation de la France, il est impératif d’agir rapidement. Et surtout, il est fondamental de bien faire comprendre aux Français – et aux Européens – que ne pas transformer sa nation en pays du tiers-monde, c’est déjà commencer par cesser d’importer le tiers-monde sur son sol.

Nicolas Faure
15/08/2018

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : Township sud-africain, par Diriye Amey [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

samedi, 28 juillet 2018

France : la perspective du chaos

Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2018

POSTÉ LE 26 JUILLET , 2018

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Les scènes de pillage et d’émeutes qui ont suivi la victoire de l’équipe de France de football sont tristement significatives de l’évolution du pays ces dernières années.

Elles ont fait suite aux pillages et aux émeutes qui ont eu lieu à Nantes un peu plus tôt, et à de multiples autres scènes du même type survenues en France depuis 2005.

Il ne peut plus y avoir en France un rassemblement collectif de grande ampleur, quel qu’il soit, sans que surviennent des violences et des destructions.

Quand ce n’est pas un rassemblement collectif de grande ampleur qui sert de prétexte, une arrestation qui tourne mal peut faire l’affaire.

La police reçoit des directives, ne rétablit plus vraiment l’ordre, et se contente d’endiguer et de limiter les dégâts – et, d’ailleurs, elle les limite de moins en moins.

Les médias sont incités à dissimuler la réalité et à édulcorer leurs comptes rendus aux fins que la situation apparaisse moins grave qu’elle ne l’est.

La situation n’en est pas moins grave et devient de plus en plus préoccupante.

Voici une vingtaine d’années, il y avait en France quelques zones de non-droit.

Aujourd’hui, il y en a environ six cent. En outre, ces zones de non-droit grandissent et, par un effet de contagion, débordent vers des quartiers autrefois épargnés.

Voici une quinzaine d’années, pillages et émeutes étaient rares. Aujourd’hui, ils deviennent la norme.

Voici une douzaine d’années, les prisons renfermaient un nombre élevé de gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques, et des actions de démantèlement des bandes concernées étaient menées.

Aujourd’hui, les trois quarts des criminels incarcérés sont des gens venant de zones de non-droit et appartenant à des bandes ethniques qui ne sont plus démantelées.

Voici une dizaine d’années à peine, le respect de l’uniforme existait encore, même s’il avait sérieusement commencé à s’éroder. Voir des commissariats attaqués aurait alors semblé presque impensable.

Aujourd’hui, des porteurs d’uniforme sont agressés jusque dans leur domicile, menacés de sanctions s’ils répliquent ou se défendent, et les attaques de commissariats se produisent de manière récurrente.

Ce qui se dessine a pu être défini comme une guerre civile en gestation, et j’ai moi-même pu recourir à cette expression, mais elle n’est pas vraiment exacte.

Pour qu’une guerre civile ait lieu, il faut des combattants des deux côtés.

Or il n’y a là, pour l’essentiel, qu’un seul côté qui combat, tandis que l’autre côté ne se bat pas, recule et semble simplement retarder le moment d’une défaite déjà entérinée.

Mieux vaudrait parler de déliquescence, ou de glissement lent (mais de plus en plus rapide) vers le chaos et vers une transformation de la France en un pays ressemblant à ces contrées du tiers-monde où quelques îlots préservés subsistent, tandis que, partout ailleurs, règne une loi de la jungle où tout peut arriver et où la sécurité devient très aléatoire.

Un redressement est-il possible ?

Des moyens drastiques seraient désormais nécessaires pour cela. Le recours à ces moyens serait-il envisageable ?

Cela aurait été très difficile au temps de Nicolas Sarkozy.

Au vu de la détérioration qui se poursuit, c’est devenu presque impossible.

Les dirigeants politiques qui se succèdent au pouvoir sont complices ou n’ont pas l’étoffe ni la détermination requises. Et aucune des personnes susceptibles de leur succéder présentement ne semble à même de faire ce qui devrait l’être.

Il en est ainsi en raison de ce que j’ai décrit plusieurs fois : la gauche s’est installée peu à peu dans tous les appareils et institutions.

Elle a voulu éroder, détraquer et détruire. Elle y est largement parvenue. Parce qu’elle déteste la civilisation occidentale, elle a voulu y introduire des corps étrangers inassimilables. Elle y est largement parvenue aussi. Elle a estompé, marginalisé, puis diabolisé tous les repères intellectuels à même d’étayer un sursaut.

Tout semblerait perdu si un mouvement de révolte n’était pas en train de gagner l’Europe, porté par des Européens qui ne veulent pas mourir. Ce mouvement a été qualifié de « lèpre » ou de « vent mauvais » par le minable Macron. Il importe de tout faire pour que la « lèpre » et le « vent mauvais » touchent la France. Au plus vite.

 

Source : les4verites

mardi, 24 juillet 2018

La France au travail ?

Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2018

 Le billet de Patrick Parment

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Une récente étude de BpîFrance (Banque publique d’investissement) montre que 41% des entreprises françaises de moins de 250 salariés rencontrent d’importantes difficultés de recrutement. Et cela est particulièrement vrai pour les secteurs de la réparation automobile, de la fabrication de biens intermédiaires et des transports. Cri d’alarme du président de la Capeb (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment), « on ne trouve plus personne pour aller travailler ». Et ce malgré un taux de chômage élevé. Pôle emploi estime ce déficit dans une fourchette de 220 000 à 330 000 emplois non pourvus. A titre d’exemple, trois métiers sont déclarés quasi sinistrés : les couvreurs et plombiers-zingueurs, les chaudronniers et les carrossiers automobile. On notera que le salaire n’est pas en cause car ces métiers, comme bien d’autres d’ailleurs, sont plutôt bien rémunérés, largement au-delà du Smic.

Comme le souligne Patrick Liebus, patron de la Capeb, « on a plus de 3,5 millions de chômeurs dans ce pays et on n’arrive pas à pourvoir ces postes ». Il y a plusieurs raisons à cela. On peut citer l’Education nationale évidemment qui peine à revaloriser les filières professionnelles mais, plus vrai encore, qui a bradé un baccalauréat qui génère au final plus de chômeurs que de diplômés. Mais elle n’est pas la seule en cause. Il y a ce climat délétère dans lequel la gauche comme la droite réunies nous font baigner depuis des décennies qui amène les jeunes à imaginer un avenir en forme de « Stars Académy » plutôt que d’aller au charbon comme nos pères qui ont forgé ce pays à force de sueur et de sang.  Le paradoxe ne manque pas de sel quand on sait que c’est la gauche qui a dévalorisé le travail et encensé l’actionnaire boursier. Merci monsieur Fabius.

Mais surtout, cela met à mal cette idée issue du pur gauchisme socialisant que face à une population française vieillissante, l’immigration extra-européenne était une chance pour la France. La démonstration se fait de jour en jour que l’immigration loin d’être une chance pèse d’un poids majeur sur nos finances publiques notamment en matière d’allocations, d’aides diverses et variées et surtout d’insécurité. On ne manquera pas non plus de remercier le Medef, ce patronat avide de travailleurs bons marché et principal pousse au crime dans cette affaire.  Car il s’agit bien de ces 10 millions d’individus issus du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou du sous-continent indien dont on parle et qui handicapent ce pays au détriment des vrais travailleurs encore et pour combien de temps encore Gaulois. Entendez par là tous les dolichocéphales qui vont de Brest à l’Oural, de Gibraltar à Narvik !

Allez, bonnes vacances quand même. Profitez-en, les "emmerdes" reprennent en septembre.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 18 juillet 2018

Mondial : la France, une équipe africaine ? (TV5 Monde)

Publié par Guy Jovelin le 18 juillet 2018

Par  le 18/07/2018 

Sur les réseaux sociaux, les Bleus ont gagné un surnom : « la 6ème équipe d’Afrique ». Sur 23 joueurs, 15 ont des origines africaines. Les internautes célèbrent le multi-culturalisme, alors qu’au même moment, en France, le « black blanc beur » de 1998 est totalement oublié.

« Félicitations à l’Afrique », « L’Afrique gagne sa première Coupe du monde ». Pas d’erreur, sur Twitter, c’est bien le continent africain et l’origine des joueurs de l’équipe française qui sont salués.

Accolés aux noms et visages des joueurs de l’équipe de France : les drapeaux de l’Angola, du Congo, du Niger, du Mali. Les internautes se plaisent à rappeler les origines des joueurs français : Samuel Umtiti, né à Yaoundé au Cameroun ; Paul Pogba, né de parents guinéens ; Kylian Mbappé, dont le père est originaire du Cameroun et la mère d’Algérie… Au milieu du drapeau français, la carte de l’Afrique. Et toujours ces chiffres pour rappeler ce que la victoire française doit à l’immigration et à l’Afrique : sur les 23 « héros français », quinze ont des origines africaines.

Il y a aussi eu ce hasthag #RootingForEverybodyBlack. Des militants de la cause noire, notamment aux Etats-Unis, apportent leur soutien à l’équipe de France. « A fond derrière tout ceux qui sont noirs », athlètes, artistes, hommes et femmes politiques… un mouvement pour la fierté noire.

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Mohamed Mo'alim Yusu@MM4SOM
 
 

Congratulations to on winning the World Cup. Clearly immigration can make a very positive contribution to a nation!!

« Des scènes de liesse » en Afrique

Au Burkina Faso, le soir du match, le journal Le Pays rapporte « des scènes de liesse à Ouaga ». En Guinée, le public acclamait Paul Pogba, où ses frères jouent en équipe nationale. En RDC, juste avant la victoire, le journaliste Dieudonné Kabeya Ngalula de Radio Okapi, confiait à TV5MONDE : « j’espère que tous ceux qui sont dans cette équipe de France, tous ceux que je peux appeler ‘les Africains de France’ et qui jouent la finale, puissent gagner, pour que l’Afrique puisse se réjouir ».

Pour le journaliste sénégalais Aliou Goloko, spécialiste du football, cette liesse s’explique par « une sorte d’identification. C’est toujours heureux de voir une personne qui porte un nom typiquement malien par exemple, comme N’Golo Kanté, devenir un héros. Et puis, le lien avec la France est très fort. Par exemple au Sénégal, il n’y a pas une famille qui n’ait pas un parent français ».

Le journaliste souligne aussi « l’esprit africain indéniable de l’équipe de France, avec Pogba ou Kimpembe qui ont joué le rôle de véritables ambianceurs ». Presnel Kimpembe, défenseur remplaçant, s’est en effet improvisé DJ des Bleus, inséparable de sa petite enceinte portable. Dans sa playlist, on retrouve des sons congolais et ivoriens. Sans oublier le tube de cette Coupe du monde, côté bleu, « Magic in the Air » des Ivoiriens Magic System. […]

TV5 Monde via fdesouche

mardi, 17 juillet 2018

Le FMI ne croit plus en la France (et a bien raison)

Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 17 juillet 2018.

Les Français ne comprennent rien à l’économie. Mais ils comprennent encore les titres de dépêches qui annoncent la fin de la lune de miel entre la France macronienne et le Fonds Monétaire International. Le mariage avait pourtant été célébré en grande pompe en mai 2017. Malgré les efforts pour casser le modèle social français et tous les discours en ce sens, le pari du libéralisme à tout va vire à l’échec. A tel point que les prévisions de croissance sont de nouveau à la baisse.

Le mauvais temps n’atteint pas que Macron à Moscou. Les nuages noirs s’amoncellent sur Paris et sont de nature économique cette fois. Le Fonds Monétaire International (FMI) a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour la France (et pour l’Allemagne). En 2018, la France ne devrait bénéficier que d’une hausse de 1,8 % de son PIB. Une misère dans un océan de pauvreté. Une pauvreté bien française où les chômeurs, les pauvres et les retraités s’entremêlent dans une bien triste farandole qui n’intéresse même pas le pouvoir trop occupé à regarder des matchs de foot. Le Plan pauvreté attend, et la croissance aussi.

Des discours, de la casse sociale et pas de croissance

Une croissance inférieure à 2 % et en baisse de 0,3 % par rapport aux estimations précédentes qui ne dataient que du mois d’avril. Macron a voulu faire croire qu’il survolait l’économie – il le fait mais pas dans le bon sens du terme… Bien crédules, les Français y ont cru, mais l’erreur est encore plus dure à avaler pour le FMI qui avait misé sur un champion maison. Jamais passé au sein du FMI, Macron en est pourtant l’ardent défenseur. Libéralisme, fric, aucun intérêt pour les pauvres… Le profil correspond parfaitement aux codes de la maison.

Mais avoir le bon profil ne signifie pas forcément détenir la bonne recette. Peut-être aussi que les livres empruntés au FMI ne sont plus de très bons conseils pour faire fleurir la croissance. Même l’Allemagne qui a utilisé à outrance l’option « travailleur immigré » et donc pas cher n’y arrive plus ! 2019 ne devrait pas voir une croissance dépasser le 1,7 % en France. C’est faible, et bien trop faible pour un retour à l’emploi. Le chômage de masse a de beaux jours devant lui et le Gouvernement va continuer à s’appliquer à ne pas commenter les chiffres mensuels.

Les Français veulent des bonnes nouvelles, il faut donc leur enlever la réalité de dessous les yeux. Il faut du football. Il faut de « l’unité nationale » comme le déclare avec emphase l’Assemblée nationale. Il faut des mots et des images pour ne pas évoquer la réalité des Français. Mais avec un peu de chance, la croissance va repartir d’un coup grâce à la vente des nouveaux maillots de l’équipe de France. Vous savez, celui qui a deux étoiles sur le devant ! Rien de tel pour booster l’économie même en payant un bout de tissu 85 euros pièce. Pour s’avilir, il y a toujours de l’argent à dépenser. A méditer pour les génies qui nous gouvernent.

 

Source : 24heuresactu