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lundi, 10 décembre 2018

Macron débloque 40 millions d’euros pour les salaires et retraites des… Tchadiens

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Ce lundi soir, Emmanuel Macron interviendra à la télévision pour tenter de démontrer qu’il a entendu et compris les Gilets Jaunes et proposer quelques mesures destinées à les faire rentrer dans leurs chaumières.

Pourtant, Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a déclaré sur LCI qu’il n’y aura pas d’augmentation du smic parmi les mesures annoncées par Emmanuel Macron. “On sait que ça détruit des emplois, ce n’est pas la bonne méthode”.

En attendant ce soir, sachez déjà qu’Emmanuel Macron a trouvé un budget pour les retraites et les salaires. Mais pas ceux des Français. Emmanuel Macron a préféré commencer par payer les retraites et salaires des fonctionnaires… tchadiens !

Ce n’est pas une mauvaise blague, ni une “fake news”. La France a bel et bien décidé d’octroyer au Tchad un budget de 40 millions d’euros pour payer les salaires et les retraites des fonctionnaires, a indiqué l’Agence française de développement (AFD).
Officiellement, il s’agit d’un « prêt » d’« une durée de vingt ans » avec un taux d’intérêt préférentiel. Et vu la dette du pays, le « prêt » risque fort de se transformer en don.

D’ailleurs, la France accorde aussi au Tchad un don – cette fois c’est clair – d’un montant de 10 millions d’euros pour le secteur de la santé.

Et figurez vous qu’un même montant de 50 millions d’euros avait déjà été accordé au Tchad en 2017 avec les mêmes objectifs.

Cette générosité sans fin faite avec l’argent des contribuables français s’inscrit dans les « promesses faites par la France à l’occasion de la table ronde de financement du Programme national de développement (PND) tenue à Paris en septembre 2017 ».

 

Source : medias-presse.info

dimanche, 23 septembre 2018

Macron : la stratégie dans l’impasse

Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 22 septembre 2018. 

En pleine descente aux enfers dans les sondages, minée par les scandales, en panne de résultats économiques, la Macronie est aux abois. Un an à peine au pouvoir et s’est déjà la débandade. Macron a montré son vrai visage, mais une partie encore plus hideuse continue de se cacher. Et pour cause, afin de ne pas sombrer aux prochaines élections (européennes), le chef de l’Etat se lance dans la séduction électoraliste au niveau national et dans le va-t’en guerrisme au niveau européen.  

Alors que les cellules noires de l’Elysée tentent d’éteindre tous les scandales qui entourent le chef de l’Etat, une partie des équipes macronienne garde un œil sur le côté plus politique de l’action. Et là, c’est aussi le désastre. Les mesures qui réduisent le pouvoir d’achat des Français n’ont donné aucun fruit. Les comptes sont dans le rouge, la croissance anémique loin des chiffres du chômage (à croire que les Français n’ont toujours pas fait l’effort de traverser la rue). L’échec est si vif que la Macronie a peur d’essuyer un revers électoral qui la fera trembler jusqu’à ses fondations. Il est temps de réagir et la potion concoctée par ces docteurs sans diplôme à des accents bien populistes.

Des retraités assommés et maintenant (un peu) cajolés

Après le temps des claques, voici le temps des cadeaux. Et ce sont les retraités qui sont visés. Rackettés et dénigrés par l’exécutif et des parlementaires aux ordres, les retraités sont soudainement mis sous cloche. Virage à 180° avec la décision d’exonérer 300 000 retraités de la hausse inique de la CSG. Une « décision technique » selon Edouard Philippe qui sent pourtant drôlement la course aux voix d’anciens jusque-là ostracisés. Une inflexion due à Mamie Brigitte ? Certainement pas ! Cela fait longtemps que Brigitte ne touche plus terre entourée de Mimi Marchand et Alexandre Benalla…

Le cadeau envers une petite partie des retraités n’est rien d’autre qu’un coup électoraliste désespéré. Le Gouvernement crie sur tous les toits qu’il est généreux, car il se passera ainsi de 350 millions d’euros de recettes. Il oublie de dire que la hausse de la CSG lui rapportera des milliards et que l’exonération n’aura lieu que sur deux ans. Juste le temps de se mettre à l’abri de grosses défaites aux européennes et aux municipales. Ensuite, une nouvelle vague de terreur fiscale pourra déferler pendant un an avant une temporisation et quelques faux cadeaux juste avant les élections présidentielles de 2022.

La nouvelle stratégie du Gouvernement – raconte-t-on dans les médias bien vus du pouvoir – est de communiquer plus sur ce qui est positif… L’exécutif n’est qu’une vaste machinerie de communication. Comment faire plus que ce qui a déjà été mis en place ? Et comment communiquer sur le positif quand ce dernier n’existe pas ? Le Gouvernement a déjà trouvé la solution. Il communique sur les mesures impopulaires qu’il aurait pu prendre et qu’il n’a pas prises… Ainsi, le renoncement à changer les règles des droits de succession doit être considéré comme une victoire à mettre au crédit de la Macronie. Plus c’est gros…

Il faut communiquer à tout va, ramener les retraités dans le giron du jeune Macron et montrer que la France est le phare de l’Europe à défaut d’être celui du monde. Ainsi, le petit Emmanuel a montré les dents lors de la réunion européenne de Salzbourg. Le président français a-t-il enfin fermé la porte aux vagues de migrants ? Non, son souci est ailleurs. Il faut punir le Royaume-Uni d’avoir voté contre cette Europe indigente. Alors Macron prend la bannière de tous les hystériques pro-Bruxelles en refusant tout accord avec le Royaume-Uni. Macron affirme que  « De là où je suis, ma responsabilité c’est de préserver les intérêts de l’Union européenne, et donc de la France ». Une phrase tout à fait symptomatique de l’état d’esprit du président. La France arrive en seconde position et Macron se leurre en jurant que les intérêts de Bruxelles se confondent avec ceux de notre pays.

Macron endosse le rôle de Cerbère de l’UE pour montrer aux Français qu’il a du poids à l’étranger. Après une année à s’humilier aux pieds de Donald Trump, il en redemande avec Juncker… Alors il faut punir le Royaume Uni : « Le Brexit, c’est le choix du peuple britannique. Et c’est un choix poussé par certains qui prédisaient des solutions faciles. (…) Ceux qui expliquent qu’on peut faire facilement sans l’Europe (…) sont des menteurs ». Mais qui ment vraiment Monsieur Macron ?

 

Source : 24heuresactu

lundi, 28 mai 2018

France. Pour la ministre du Travail Muriel Pénicaud, les retraités qui perdent jusqu’à 800 euros par an…

Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2018

impôts,péricaud,retraités,

…doivent le faire par « solidarité inter-générationelle ».

 

... Et en même temps, elle se fait 62 000 euros "tranquillou" avec la réforme de l'ISF.
Quelle honte ! Quel mépris pour le travail de toute une vie !

 

 
 
 
 

vendredi, 09 février 2018

Chibanis : « 1.100 euros de retraite de base, beaucoup en France s’en contenteraient, et au Maroc, c’est Byzance »

Publié par Guy Jovelin le 09 février 2018

Auteur : Pierrot

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Excellent texte de Pauline Mille pour reinformation.tv, qui revient sur la forfaiture de ces contractuels marocains embauchés par la SNCF, ainsi que leur instrumentalisation par les immigrationnistes.

La Cour d’appel de Paris vient de confirmer l’indemnisation de 848 Chibanis, ces travailleurs marocains engagés par la SNCF comme contractuels voilà quarante ans. Les juges ont ainsi condamné le statut de la SNCF et à travers lui la nationalité française.

Ceux qu’on appelle les Chibanis (littéralement les chenus) sont des marocains blanchis sous le harnois de la SNCF comme jadis le père du Cid dans les travaux guerriers. Ils ont été engagés dans les années soixante-dix et quatre-vingt comme contractuels, le statut de la SNCF étant réservé alors aux employés de nationalité française, avant qu’il ne s’ouvre récemment aux ressortissants de l’union européenne. Ils se plaignent d’avoir subi tout au long de leur carrière des salaires, formations et promotions inférieurs à ceux dont bénéficiaient les « cadres permanents » et « agents de statut », et de retraites moindres. En 2015, le conseil des prudhommes de Paris leur a donné raison, fixant leur indemnisation à environ 170 millions d’euros, soit deux cent mille euros par plaignant en moyenne. Mais la SNCF avait fait appel, et la cour d’appel a rendu son jugement. 

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samedi, 13 janvier 2018

La France paie des retraités algériens de 117 ans, et Macron s’en prend aux Français !

Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2018 

En juillet 2010, il y a déjà sept ans, Mme Ruellan Rolande, présidente de la 6e chambre de la Cour des Comptes, soulevait ce problème.

Elle s’étonnait, devant les députés de l’Assemblée Nationale, de l’étonnante longévité des ressortissants algériens bénéficiant d’une retraite française en Algérie.

Il s’agissait d’un dossier sulfureux et, comme bien d’autres, il fut classé sans suite.

Dans son rapport du 20 septembre 2017, la Cour des Comptes révèle que plus de 53.000 bénéficiaires inconnus perçoivent une retraite française alors qu’ils vivent dans un pays étranger et qui soit n’y ont aucun droit, soit ils sont morts !

Ce document donne l’exemple d’un faux bénéficiaire en Algérie, âgé de 117 ans (il serait donc un des doyens de l’humanité sans que nous le sachions !)

Selon ce même rapport, près de 200 millions d’euros seraient ainsi fraudés chaque année sur les 6,5 milliards de retraites versés en Algérie, au Maroc, au Portugal, en Italie, en Espagne, etc.

Comment cette fraude est-elle possible ? On peut se poser la question ?

Personnellement je perçois ma retraite française alors que je vis en Espagne et il y a une semaine je me suis trouvé devant l’obligation de réclamer un « certificat de vie » chez un notaire, signé en sa présence puis expédié à la CARSAT. Sans ce certificat ma retraite aurait été bloquée quelques mois. Cela s’est déjà produit l’an dernier ! Il me serait donc impossible de frauder.

Pourquoi ce qui est impossible en Espagne ne le serait-il pas au Maghreb ?

La réponse est évidente : Il n’y a aucun contrôle sérieux de l’identité des bénéficiaires de la retraite française dans les pays d’Afrique du Nord. Aucune coordination entre les différents services. Ils font preuve d’un laxisme déplorable ou, peut-être, reçoivent-ils des ordres de fermer les yeux, afin que ces « retraités » bidons restent en Algérie, ce qui, probablement, coûterait moins cher que de les renvoyer chez eux ?

Et les fraudeurs perçoivent toujours leurs retraites sans y avoir aucun droit.

A l’heure où le gouvernement estime que les retraités français sont « trop riches » et qu’il faut les taxer par une augmentation de la CSG de 1,7%, au-dessus de 1200 euros/mois, ne serait-il pas souhaitable, pour ne pas dire impératif, de mettre fin à ce scandale ?

Mme Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, ne devrait-elle pas prendre quelques heures pour stopper immédiatement ce vol manifeste de nos cotisations ?

Je vous promets de vous en reparler, ici-même, dans dix ans, en 2028, après le nouveau rapport de la Cour des comptes car, probablement, nous en serons au même point !

Et notre retraité algérien n’aura que 127 ans !

Manuel Gomez

(Source : Contribuables Associés)

 

Source : ripostelaique