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jeudi, 04 octobre 2018

Chaos Collomb – Macron KO

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 03 octobre 2018. 

Ce n’est plus un avis de tempête, mais bien une alerte ouragan qui souffle sur la Macronie. Alors que Macron faisait le kéké avec des jeunes à Saint-Martin un an après le passage de l’ouragan Irma, le président est chahuté un vent lyonnais qui souffle rudement fort : le Collomb. Un ministre qui présente sa démission, qui se la voit refuser, mais qui part finalement 24 heures plus tard. Le pouvoir n’a jamais été aussi fragile et les preuves de son enlisement sont manifestes. Collomb sème le chaos et laisse son ancien champion KO.

Un ministre démissionnaire sommé de rester, mais qui « maintient sa proposition de démission » et qui se retrouve un jour plus tard à poireauter un quart d’heure pour une passation lunaire avec le Premier ministre. Si les débuts de Gérard Collomb avaient été timides place Beauvau, sa sortie est au moins très remarquée. Ministre nul qui a accumulé les fuites devant la tâche et les bourdes, Collomb n’a jamais trouvé sa place à Paris. Il file donc à Lyon où le maire a démissionné comme un bon petit soldat afin de lui laisser la place et mettre en route la machine à propagande qui devra assurer à Collomb un succès aux municipales de 2020.

Le blues du premier flic de France

Collomb est parti et il laisse un goût amer au reste de l’exécutif. Soutien de la première heure du faux novice Macron et fusible qui n’a jamais dit son non dans l’affaire Benalla-Macron. Une affaire qui a montré une fois encore que le « premier flic de France » était le dernier à savoir ce qui se passait sous son nez. Dans ces conditions, la lutte contre la délinquance et le terrorisme était largement au-dessus de ses maigres compétences. Malmené et prêt à dire n’importe quoi sous serment, Collomb a compris que sa survie passerait par un départ rapide en direction de Lyon.

Malheureusement pour lui, Macron a refusé sa démission et le ministre a alors affirmé partout (et en premier lieu au Figaro) qu’il était prêt à rendre son tablier à n’importe quel moment. Un ministre qui dit publiquement que sa fonction ne l’intéresse pas le moins du monde, c’est quelque peu problématique. Mais au fond pas plus qu’une ministre de la Culture qui baigne dans l’illégalité et qui promeut des condamnés en justice… Collomb a finalement été débarqué, mais pas remplacé. La passation de pouvoir avec le Premier ministre ce matin a confirmé l’impréparation au plus haut sommet de l’Etat.

Collomb a attendu comme un benêt qu’Edouard Philippe daigne le relever de ses fonctions et les habituels échanges d’amabilité sur le perron du ministère ont été brefs et très froids. Le Premier ministre n’a pas apprécié l’envol solitaire du septuagénaire. Faute de remplaçant pour le moment, c’est donc le Premier ministre qui devient en plus ministre de l’Intérieur. C’est une première, c’est risible, mais toute la séquence aussi désastreuse soit-elle ne signifie en rien qu’il y a une « crise ». Le pouvoir tente de nier la vérité et ne fait que rajouter au grotesque de la situation.

Les ministres (les plus importants) quittent tour à tour le navire et montrent que la Macronie a déjà atteint ses limites. Il va falloir trouver rapidement une rustine et pour l’instant les candidats crédibles ne se bousculent pas. Un transfuge de droite pour remplacer l’éléphant socialiste ? C’est dans l’air du temps, mais aux marchés aux puces, les bonnes affaires sont parfois difficiles à trouver. La Macronie se cherche un nouveau fusible. Collomb aura désormais le temps de dire ce qu’il pense vraiment de la Macronie. Il a déjà fait un premier pas en avouant lors de la passation de pouvoir qu’il avait remarqué la présence de quartiers entiers ne vivant plus selon les lois de la République. Le vieux Collomb a fini par ouvrir les yeux. Il faut maintenant ouvrir la bouche et dénoncer l’ignominie à laquelle il a tant contribué. Cela soulagera son âme !

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 20 septembre 2018

Le Collomb express bientôt à Lyon

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 18 septembre 2018. 

Il y a comme un air de fuite en Macronie. Après le départ de la députée LREM Frédérique Dumas qui a préféré rejoindre les rangs de l’UDI, c’est au tour d’un poids lourd de commencer à faire ses cartons. Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur et un des premiers sponsors de Macron a annoncé son intention de redevenir maire de Lyon. Sa courte et pénible expérience ministérielle aura eu raison de son ambition débordante. Le septuagénaire souhaite une retraite dorée à Lyon, sa ville de cœur.

Attendez de voir ! Les mesures mettent un peu de temps à faire effet, mais bientôt ce sera le plein emploi, la sécurité et le bonheur pour tous. Pour le plein emploi, il n’y a qu’à traverser la rue donc cela n’est plus un sujet. Pour la sécurité, Gérard Collomb a montré que la Macronie ne s’y intéressait guère. Pour le bonheur, ce même Collomb vient de confirmer qu’il se trouve loin de l’Elysée, de ses goodies et de son mépris pour tous. Le ministre de l’Intérieur vient de déclarer dans L’Express qu’il serait candidat aux municipales en 2020.

Lyon : terre de passé et d’avenir

Gérard n’en peut plus de Paris et surtout du ministère de l’Intérieur alors « si d’ici là on ne m’a pas diagnostiqué de maladie grave, je serai candidat à Lyon ». Malheureusement pour les Lyonnais, la macronite aiguë n’est pas encore considérée comme une maladie grave, mais cela viendra avec le temps. Le syndrome hollandais a bien été pris au sérieux au bout de quelques années ! Nul dans son ministère, incapable de se faire écouter par le chef de l’Etat (il n’écoute que lui-même depuis que son copain Benalla est parti), Collomb veut finir sur un trône.

Ce sera donc celui de la capitale des Gaulles. Encore faut-il que les électeurs pardonnent leur ancien édile d’avoir fait la courte-échelle à Macron et de leur avoir tourné le dos pour prendre la place Beauvau à défaut de Matignon. Régulièrement mis sur la touche par l’exécutif, à la risée des Français, Collomb voit se transformer son rêve ministériel en cauchemar. Il sait que son temps à Paris est compté et il a donc trouvé une porte de sortie honorable avec les municipales de 2020. Invirable jusqu’à cette échéance, il va avoir dix-huit mois pour reprendre son ancien bien et y finir sa carrière et peut-être sa vie (il sera octogénaire à la fin de son éventuel mandat) dans son fief.

Collomb ou le vrai visage du macronisme. Un apparatchik PS qui n’a pas pu goûter assez à la soupe et qui a donc pris le parti de soutenir le jeunot pour se tailler une place plus grande. Trop grande même à la lecture de son bilan d’étape catastrophique. Ce départ est également une bonne nouvelle pour Macron qui se serait de toute façon débarrassé de cet allié devenu trop encombrant. Les choses vont pouvoir se faire sans trop de vagues, mais on sent que le cœur n’y est plus. L’Elysée a réagi en ces termes qui ne débordent pas d’enthousiasme : « Nous connaissons tous l’affection de Gérard Collomb pour sa ville et la métropole lyonnaise. C’est une bonne nouvelle qu’il souhaite y consacrer du temps et de l’énergie. Le président réorganisera l’équipe gouvernementale lorsqu’il le jugera nécessaire ».

La bataille pour prendre la place Beauvau va faire rage en coulisses et il serait inattendu que le nom qui sorte du chapeau constitue un bon remède aux maux qui assaillent les Français. Aucun changement de politique ne doit être attendu, mais ce départ annoncé est assez révélateur. Ainsi, le cœur même de la Macronie commence à préparer l’avenir loin de Macron. Les députés se défilent un par un, les conseillers sont à bout de souffle et les ministres prennent aussi la clé des champs. Tout va très bien à en croire les sbires du président. Tout sauf que le vent de la défaite souffle et ramène peu à peu tout le monde à sa vraie place. Celle de Macron est dans une banque. Ne l’oublions pas !

 

Source : 24heuresactu

mardi, 26 juin 2018

Collomb annonce une grande concertation en vue de réformer l’organisation et le financement de l’islam en France

Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2018

Par  le 25/06/2018

 

Une grande concertation en vue de réformer l’organisation et le financement de l’islam en France aura lieu dans chaque département d’ici au 15 septembre, a annoncé lundi soir le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb.

Ces « assises territoriales de l’islam de France » doivent associer les « acteurs de terrain » afin d’améliorer la représentation de la deuxième religion de France, le financement de ses lieux de culte et la formation des imams et aumôniers, a précisé l’Intérieur dans un communiqué. La composition de ces instances de dialogue «  devra permettre de représenter toute la diversité des musulmans français qui souhaitent mieux organiser l’islam dans le cadre de nos institutions républicaines « , a-t-on ajouté de même source.

Le Figaro via fdesouche

dimanche, 25 mars 2018

Collomb abasourdi : il ne croyait pas que Redouane Lakdim était radicalisé

Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2018

 
 

Une fois de plus, une fois de trop, d’innocents citoyens français sont morts à cause du laxisme criminel des autorités françaises dans leur lutte contre le terrorisme.

Une fois de plus, une fois de trop, un individu, Redouane Lakdim, 25 ans, d’origine marocaine, suivi depuis 2013 par les services de police pour radicalisation, après un bref séjour en prison, en 2016, pour des faits de droit commun, est passé à l’acte et a tué.

Pour notre « terrible » ministre de l’Intérieur : « Ce n’était qu’un petit délinquant qui a un moment est passé à l’acte. On ne pouvait pas dire qu’il pouvait être radical et passant à l’acte dans les moments qui venaient. C’était plutôt quelqu’un qui était un petit dealer. »

http://www.lindependant.fr/2018/03/23/video-attaques-terr...

Déclaration indécente, indigne et totalement incompréhensible et bafouilleuse, dans un tel moment, dans la bouche d’un ministre.

Est-ce vraiment tout ce qu’il pouvait trouver à dire ?

Les parents et les proches des victimes apprécieront certainement.

Combien de dizaines de « petits délinquants » passeront à l’acte au cours des prochaines semaines ?

Combien d’innocents seront assassinés ces prochaines semaines par de « petits délinquants pas trop radicalisés » ?

Dans les prochains mois, des dizaines de « petits délinquants », mais également de « braves » terroristes, sortiront de prisons, ayant purgés leur condamnation, où plutôt la moitié de leur condamnation.

Combien, parmi eux, passeront à l’acte et nous assassineront ? Bien que « Fichés » et connus des services de police.

Combien de familles françaises vont être plongées dans les larmes et les drames parce que nos dirigeants, ceux que nous avons, que vous avez élus pour nous, pour vous protéger, n’ont pas pris les mesures nécessaires pour assurer notre sécurité, n’ont pas pris leurs responsabilités ?

Ah ! J’avais oublié : « Si les armes n’étaient pas en vente libre en France il n’y aurait pas de tels massacres ! »

N’est-ce pas ce qui s’affirme en France, après chaque nouvelle tuerie aux Etats-Unis ?

Les armes ne sont pas en vente libre dans notre pays mais cela n’empêche guère les tueurs de s’en procurer, nous en avons une nouvelle preuve.

Ceux qui décident de nous assassiner, et passent à l’acte, se procurent les armes nécessaires : armes à feu, couteaux, véhicules, explosifs, etc.

Ce n’est pas l’interdiction des armes qui mettra fin au terrorisme mais l’éloignement de ceux susceptibles de s’en servir.

Ce ne sont pas les armes qu’il faut empêcher de circuler en toute liberté mais « les petits délinquants radicalisés et les terroristes qui souhaitent quitter ce monde en martyrs », ceux pour qui une certaine minorité de notre peuple, et même quelques députés, éprouvent de la compassion, pour ne pas dire de l’admiration !

Ne vous leurrez pas, il n’y a pas de déradicalisation possible pour ces « petits délinquants », après un passage en « case prison », surtout si les services chargés de les « suivre » les retrouvent régulièrement dans les mosquées par la suite.

C’est à ce moment qu’il faut agir et non pas après le passage à l’acte.

Car, alors, il est trop tard pour ceux qui paient de leur vie « l’humanité » des autres !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

mardi, 16 janvier 2018

Les voyous n’ont plus peur du gendarme, ni du flic, et ils ont raison

Publié par Guy Jovelin le 16 janvier 2018

On  ne peut espérer se faire respecter que si l’on est craint ! Or, vous n’êtes plus craint.

Le peur du gendarme, du policier, du « flic », n’existe plus puisqu’il n’y a plus aucune raison d’en avoir peur !

Il est injurié, caillassé, tabassé, matraqué, roué de coups, enflammé dans son véhicule, etc. et il ne se défend pas, il ne réagit pas, il se laisse faire ! Comment dans de telles conditions peut-il espérer être respecté, être craint ?

La légitime défense n’existe plus pour lui, elle ne lui est plus applicable, ni même permise !

Il n’a plus le droit ni de défendre sa vie, ni celle de ses proches, de ses collègues !

Par peur de la sanction, par peur de la médiatisation, par peur de l’incompréhension !

Quelques exemples récents et significatifs : Viry-Châtillon : des voyous, des criminels, incendient volontairement, à l’aide de cocktails Molotov, des véhicules de police dans le but de « brûler » les policiers qui sont à l’intérieur.

Attaqués, menacés de mort, se sont-ils défendus ? Non. Ils avaient des armes et n’auraient pas dû hésiter une seule seconde à tirer. En l’air d’abord puis sur ceux qui auraient poursuivi leur agression. Au moins pour défendre la vie de leurs collègues, si la leur importe peu, selon eux !

Le soir de la Saint-Sylvestre 2017, à Champigny-sur-Marne, cette charmante cité où nous allions nous baigner en famille, et en toute sérénité, dans les piscines il y a encore une cinquantaine d’années, une jeune femme policière est projetée à terre par une horde sauvage, déchaînée, qui la roue de coups de pieds, qui vise son visage, qui voudrait la voir ensanglantée. Elle hurle de peur et de souffrance. Cette jeune policière est le chauffeur du véhicule de police et conduit son supérieur, le capitaine de permanence, chef du service de sécurité publique de Chennevières-sur-Marne. Il est là, présent, pris à parti également. Il est armé. Il attendait quoi pour tirer dans le tas, pour dégager et sauver sa jeune collègue, pour défendre sa propre vie ? On se le demande ?

Quel serait son terrible remords si sa jeune collègue avait succombée à cette agression sauvage ?

Des cambrioleurs armés attaquent la bijouterie du « Ritz ». Deux s’enfuient à moto. On voit un policier tenter de les stopper, sans succès, au risque même d’être projeté au sol. Il est armé. Son droit, son devoir, n’était-il pas de sortir son arme et de tirer sur la moto des fugitifs ?

Des exemples ? Je pourrai en citer des dizaines, hélas ! Il ne se passe pas une semaine sans que nos forces de l’ordre ne subissent les agressions des délinquants, des casseurs, des criminels.

Autre exemple plus tragique, celui de « ce jeune pacifiste », parait-il, qui à deux heures du matin se trouvait, par hasard, au milieu de ceux qui lançaient des cocktails Molotov et des pavés sur les gendarmes. L’éclatement d’une grenade a mis fin à ses jours. Il est bien évident que le gendarme qui a lancé cette grenade ne le visait pas particulièrement. Est-ce que l’on vise quelqu’un lorsque l’on lance une grenade ? Il s’est trouvé là, au mauvais endroit, au mauvais moment, il a pris un risque et il en a payé le prix fort !

Si les forces de l’ordre avaient été plus fermes, plus agressives, les jours précédents afin de dégager la zone, cet accident ne se serait peut-être pas produit. Mais il y avait les ordres !

Dans la prison de Venin-le-Vieil, un terroriste, connu pour sa dangerosité, se jette sur trois surveillants et les blesse à l’aide d’un ciseau. Aucun des trois n’a eu la possibilité de réagir et d’assommer ou abattre cet assassin ? Ils étaient trois tout de même !

Les forces de l’ordre, la police, ne seront de nouveau respectés en France que si elles se font respecter. Elles doivent imposer leurs lois, face à ceux qui les bafouent quotidiennement.

La police n’est plus maîtresse du terrain, elle n’y a plus tous les droits, elle ne peut que reculer, se protéger, recevoir et ne pas répliquer.

Ce dernier week-end, à Crosne (Essonne), l’exemple contraire : la police ne s’est pas laissé impressionner par la réaction brutale et dangereuse d’un groupe de rappeurs qui, volontairement, a tamponné leur véhicule pour tenter de s’échapper. Les policiers n’ont pas hésité à tirer à quatre reprises dans les pneus de la voiture et les rappeurs ont été appréhendés. Ces policiers, ils peuvent en être persuadés, seront respectés à l’avenir dans leur cité de Crosne !

Voilà l’exemple à suivre si l’on veut inspirer le respect, si on le réclame, sans quelquefois vraiment le mériter !

Nous sommes en guerre, parait-il, alors il est urgent que la peur change de camp. Il ne suffit pas de faire « promener des patrouilles » de militaires, de faire circuler des véhicules de police, loin des zones « interdites » aux forces de l’ordre. Il faut investir, nettoyer, expulser les étrangers dès leur arrestation et avant même leur condamnation.

Il ne doit plus exister des « zones de non-droits » sur te territoire de la république.

Il est des pays plus dangereux que la France (est-ce certain ?), les Etats-Unis par exemple, où la police et les forces de l’ordre, quand elles sont nécessaires, imposent le droit, la loi, sans état d’âme.

Si les forces de l’ordre ne sont pas suffisantes, ou à la hauteur, pour ce genre d’opérations alors les « Paras », la « Légion », cette armée qui a su gagner la « Bataille d’Alger » dans les années 57/58, sauront gagner la « Bataille de France », si on lui en donne l’ordre et les moyens !

Ce qui ne se fera pas, ni aujourd’hui, ni demain. Nos gouvernants ne sont-ils pas élus pour faire respecter les droits de ceux qui n’en n’ont aucun et bafouer les droits de ceux qui n’en n’ont plus !

Gérard Collomb, notre sinistre ministre de l’Intérieur, ne s’est-il pas montré particulièrement satisfait puisque les fêtes de fin d’année ont été parfaitement calmes : seulement 8 policiers et 3 militaires blessés, 1031 véhicules incendiés et 510 arrestations… à peine un peu plus que l’an dernier. Bravo !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique