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dimanche, 09 octobre 2016

Le Parti de la France s'implante en Lozère (48)

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

Distribution de tracts et affichage à Mende en Lozère par Fred Delplace, le nouveau délégué régional Occitanie-Languedoc-Roussillon et délégué départemental de Lozère

Photo de Thomas Joly.
Photo de Thomas Joly.
Photo de Thomas Joly.
Photo de Thomas Joly.

DAECH PROJETTE DE CONTAMINER L'EAU DES GRANDES VILLES DE L'UE ET DE LA CEI

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

Les djihadistes de l’État islamique (Daech) projettent une attaque chimique d’envergure dans les grandes villes du Proche-Orient, de l'Union européenne et de la Communauté des États indépendants (CEI).

Le ministère russe de l'Intérieur a appris que les djihadistes de Daech envisagent de lancer une attaque chimique d'envergure contre les grandes villes du Proche-Orient, de l'Union européenne et de la Communauté des États indépendants (CEI), lit-on dans un document dont la presse a obtenu copie.


Daech projette de contaminer l'eau des grandes villes de l'UE et de la CEI
 

Daech prépare la "prochaine génération" de djihadistes Les terroristes ont choisi pour cible le système central d'approvisionnement en eau et se proposent notamment de diluer de puissants médicaments dans l'eau qui alimente les immeubles afin d'empoisonner le plus de gens possible, apprennent les médias russes. « Les djihadistes entendent utiliser de puissants médicaments et des substances chimiques se trouvant en vente libre », dit le document évoqué. 

 

L'aviation syrienne élimine une centaine de djihadistes de Daech Pour exécuter ces actes de terrorisme, ils se proposent de faire appel à des « loups solitaires », personnes ayant déserté les zones d'hostilités et ayant regagné leurs pays d'origine. 

 

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/international/2016093010279909...

EXCLUSIF. Les 15.000 islamistes que la police surveille

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

Le JDD révèle ce que contient le Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), qui recense les radicalisés surveillés par la police française.

 

Le samedi 10 septembre, un homme est interpellé par la BRI à Paris. (Eric Baudet/Divergence pour le JDD)

Dans la guerre contre le terrorisme, les services de police et de renseignement français ciblent environ 15.000 individus susceptibles de constituer une menace. Alors que l’opinion et la plupart des responsables politiques se focalisent sur les fameuses fiches S, ces personnes sont recensées dans une base de données plus récente et infiniment moins connue : le Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Créé en mars?2015 par un décret confidentiel, il énumère les islamistes radicaux français ou résidents sur notre territoire qui sont signalés et suivis.

500 individus en cours d’évaluation

Parmi ceux-ci, 4.000 constituent "le haut du spectre", dixit un responsable policier, c’est-à-dire les plus susceptibles de passer à l’action, et que les agents de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) suivent de très près, en tant qu’"objectifs opérationnels". Un nombre de suspects à peu près équivalent jugés moins dangereux sont surveillés par le Service central du renseignement territorial (SCRT). Le reste des personnes figurant au fichier incombe à la PJ, aux gendarmes et au renseignement parisien.

On estime, par ailleurs, à environ 500 le nombre d’individus en cours d’évaluation et à 2.500 celui des signalés qui ne nécessitent qu’une simple veille. Enfin, un tiers des personnes désignées, considérées comme les moins dangereuses, relèvent de la compétence des préfets et font l’objet d’un traitement parasocial, qui mobilise aussi bien l’Éducation nationale et les associations que l’administration pénitentiaire et les services sociaux.

Voici quelques enseignements à tirer de ces fichiers :
- Le fichier des 15.000 radicalisés comprend 18% de mineurs
- Le plus jeune à 11 ans
- Plus de 2.000 sont impliqués dans les filières djihadistes
- 8 départements français comptent plus de 300 cas signalés.

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Stéphane Joahny - leJDD.fr

Association de malfaisants

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

 

zone anti-raciste

Toutes les associations ne sont pas malfaisantes, heureusement ! Ce n’est pas leur but et beaucoup, dans de nombreux domaines, sont utiles à la société par le lien social qu’elles créent auprès de populations souvent démunies face aux aléas de la vie. Mais quelques-unes, et pas des moindres, confondent allègrement humanitaire et militantisme politique : le bien commun n’est manifestement pas leur principal souci ! Et surtout, elles vivent grassement en recevant des pouvoirs publics, donc, des contribuables, des sommes considérables pour l’entretien de leur fonctionnement. Est-il normal que des associations caritatives, sportives ou autres, subventionnées par nos impôts, utilisent leurs vitrines pour faire de la propagande politique qui, la plupart du temps, va à l’encontre du but initial pour lequel elles ont été créées ?

Le manque de discernement dans l’action de certaines associations laisse pantois. C’est en toute illégalité que les unes aident des clandestins à s’installer en France et que d’autres, au nom du fameux « pas d’amalgame », ferment les yeux sur la déviance de leurs protégés. Comme l’inénarrable « SOS Racisme », qui refuse de prendre en compte le racisme anti-blanc et antifrançais et qui n’attente jamais de procès aux propos de haines proférés par des rappeurs en mal de reconnaissance. Mais qui envoie devant les tribunaux tous ceux qui osent aller à l’encontre de son credo gauchiste, car son président, proche du pouvoir socialiste, ne sait toujours pas faire la distinction entre liberté d’expression, violence des textes et insultes. Son combat sectaire et partisan pour le droit à la différence et pour l’exaltation des origines, contre l’assimilation et contre toutes les idées patriotes, le disqualifie dans la vraie lutte contre le racisme. Cela n’empêche pas qu’en 2009, selon les comptes publiés au Journal officiel, « SOS Racisme » a touché 579 000 euros d’argent public et en 2011, à l’occasion du 14 juillet, pour un concert, la mairie de Paris, en plus des 40 000 euros qu’elle lui donne chaque année, lui a octroyé une subvention exceptionnelle de 160 000 euros, plus 30 000 pour le village associatif et 40 000 pour le fonctionnement du concert… Pour l’année 2013, ses subventions d’État se sont élevées à 331 992 euros sans compter les fonds alloués aux échelons locaux. Cette association reçoit également des dons privés de Pierre Berger (100 000 euros) et de la Fondation Ford.

L’association « France Terre d’Asile », qui prend en charge les demandeurs d’asile et qui ne veut pas faire de distinction avec les clandestins, a obtenu que tous, en attendant la régularisation de leurs papiers, reçoivent une indemnité de 11 € par jour. L’association déclare un budget de 54 millions d’euros, dont 70 % sont pris en charge par des subventions publiques (26,16 millions d’euros, en 2011). Son président, Pierre Henry a été conseiller municipal sous l’étiquette PS, à Provins, de 1983 à 1989. En mai 2004, il « emprunta » dans la caisse de son association, 271 000 euros pour l’achat d’un appartement privé, qu’il a, certes, remboursé peu après. Une enquête préliminaire a tout de même été diligentée par le parquet de Paris, qui a classé l’affaire sans suite… Cela ne l’a pas empêché d’être nommé au grade de chevalier de la Légion d’honneur en 2013 ! Il est intéressant de savoir que cette association a le soutien de l’État, qui paye, chaque nuit, rien qu’à Paris, l’hôtel à 30 000 clandestins. En 2013, la dépense s’est élevée à 2 milliards d’euros pour l’accueil et l’hébergement de 66 000 clandestins demandeurs d’asile. Ce montant, selon la Cour des comptes, en 2015, équivaut à peu près à la somme engagée pour les déboutés. Dont 96 % ne repartiront jamais…

Il y a en France 1 300 000 associations. Les 200 associations les plus subventionnées, qui représentent 1 % du total, touchent plus de 700 millions d’euros, quand les 99 % restants se partagent 500 millions d’euros… Sont-elles, toutes, vraiment utiles au bon fonctionnement de notre célèbre « vivre ensemble » ? Combien méritent de recevoir des subsides de la part des contribuables ? Dans un pays en dépense de guerre contre l’islamisme, qui compte 5 millions de chômeurs et de précaires, plus 8 millions de pauvres, il serait peut-être temps d’arrêter la gabegie.

 

Source : ndf

Essonne : deux policiers «sérieusement blessés» par des cocktails Molotov

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2016

Par lefigaro.fr, AFP agence

Mis à jour

Publié

 

Les deux voitures des policiers ont été totalement détruites.

Les policiers pris pour cibles par une dizaine de personnes était en mission de surveillance à Viry-Châtillon. Deux autres policiers appelés en renfort ont également été blessés, plus légèrement.

Quatre policiers ont été blessés samedi, dont deux «sérieusement», par une dizaine de personnes qui ont lancé sur leurs véhicules des cocktails Molotov à Viry-Châtillon (Essonne). Les violences se sont produites dans la cité difficile de la Grande Borne, selon une source policière.

«L'équipage qui se trouvait dans un véhicule de police était chargé de la surveillance d'une caméra vidéo près d'un feu rouge à Viry-Châtillon. Une dizaine d'individus s'en sont pris à eux avec des jets de cocktails Molotov», a indiqué cette source, précisant que cette agression avait eu lieu peu avant 15 heures. «Deux policiers ont été sérieusement blessés. Ils souffrent d'importantes brûlures et ont été conduits dans un hôpital parisien», a-t-elle ajouté.

D'autres policiers arrivés en renfort dans une deuxième voiture «ont essuyé eux aussi des jets de cocktails Molotov», a poursuivi la source policière. Ils ont été «légèrement blessés et très choqués, et évacués vers un centre hospitalier». Une source judiciaire a fait état du même bilan humain. Les deux voitures de police attaquées ont été incendiées et détruites. «On peut penser que c'était organisé et prémédité», a déclaré le directeur général de la police nationale, Jean-Marc Falcone, qui s'est rendu sur place et s'est dit «scandalisé».

Une cité sensible

Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a condamné dans l'après-midi des «actes d'une extrême gravité» précisant que tout était mis en œuvre pour «interpeller les auteurs de ces actes intolérables».

François Hollande a dénoncé samedi comme «inqualifiable et intolérable» l'agression des quatre policiers , appelant à ce que les auteurs soient «condamnés à une peine à la mesure de la gravité de leur acte». En début de soirée, le premier ministre, Manuel Valls avait déclaré que «les auteurs de ces attaques seront poursuivis sans relâche et traduits en justice. Au moment où les forces de l'ordre répondent avec courage aux menaces auxquelles notre pays est confronté, des actes aussi intolérables appellent des sanctions exemplaires»

D'importants renforts policiers ont été envoyés sur place. À ce stade, aucune interpellation n'a été opérée, selon la source policière. Ces violences sont survenues dans la cité de La Grande Borne, à un feu rouge qui a été longtemps le théâtre de vols à la portière avec violence. Depuis plus d'un an, la mairie tente de reprendre le territoire aux agresseurs à ce carrefour dit «du Fournil», du nom de la boulangerie voisine, et y a dans ce but installé une caméra de vidéosurveillance, que les policiers attaqués étaient chargés de surveiller. Cette caméra est toute neuve: la précédente avait en effet été détruite il y a deux semaines à l'aide d'une fourgonnette volée, utilisée comme voiture-bélier puis incendiée au cocktail Molotov. La scène, violente, s'était déroulée à l'heure du déjeuner, sous les yeux de nombreux passants.

Un périmètre de sécurité a été mis en place autour du carrefour. Les deux véhicules, stationnés sur un trottoir, sont entièrement calcinés. De nombreux policiers, armés de lanceurs de grenades lacrymogènes et de boucliers et casqués se sont postés à l'entrée de la cité, de même que des camions de CRS. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a condamné «avec la plus grande fermeté ces actes d'une extrême gravité». Le directeur général de la police nationale, Jean-Marc Falcone, est arrivé sur place vers 18 heures. L'enquête a été confiée à la sûreté départementale de l'Essonne.

«On a affaire à des assassins mais nous travaillons de concert avec l'État. Cette attaque va accélérer les choses. La prochaine étape, c'est d'aller à l'intérieur de la Grande Borne pour faire cesser tous ces trafics car c'est bien ça que la caméra dérange», a déclaré le maire Jean-Marie Vilain (UDI).

 

Source : lefigaro