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jeudi, 20 juillet 2017

Une voiture de police à nouveau percutée par une conductrice au Mirail

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

C'est la deuxième fois en une semaine qu'une voiture de police est percutée volontairement par un automobiliste à Toulouse./ Photo DDM archives
C'est la deuxième fois en une semaine qu'une voiture de police est percutée volontairement par un automobiliste à Toulouse./ Photo DDM archives

Hier vers 18 heures, dans le quartier Bellefontaine à Toulouse, un véhicule a percuté volontairement une voiture de police. La conductrice du véhicule qui circulait sans plaque d’immatriculation a d’abord refusé un contrôle policier. Ayant pris la fuite, elle s’est ensuite retrouvée coincée dans un embouteillage où elle a percuté une première fois la voiture de police avant de s’engager dans une impasse. Bloquée et voulant fuir à nouveau elle a percuté une deuxième fois la voiture de police.

Les forces de l’ordre se sont alors portées à sa hauteur et après avoir brisé la vitre conducteur ils ont procédé à l’interpellation de la conductrice.

Pour le syndicat Unité SGP Police, "cette nouvelle affaire de violences volontaires à l’encontre des forces de l’ordre, assortie de refus d’obtempérer démontre la récurrence et l’inquiétante banalisation de cette violence du quotidien subie par les forces de l’ordre face à des personnes qui prennent tous les risques pour se soustraire à un contrôle". Le syndicat demande "la plus grande fermeté à l’encontre de la conductrice".

S. MC. 

Source : ladepeche

"Il a voulu me tuer en criant Allahou akbar mais n'est pas jugé pour terrorisme? Je ne comprends pas"

 Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

Alors qu'il moissonnait son champ, Yves, un agriculteur du Lot-et-Garonne, a été agressé au couteau le 18 juin dernier par un homme criant, selon lui, "Allahou akbar". Il ne comprend pas que son agresseur ne soit jugé ce mercredi que pour violence avec arme, et non terrorisme.

Des policiers visés à La Faourette, deux agents blessés par un chauffard

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

   
 

Un individu a délibérément foncé sur des policiers dans la soirée du mardi 18 juillet aux alentours de 20 heures. Avec son bolide il a tenté de percuter à trois reprises les agents qui effectuaient un contrôle d’identité dans le quartier La Faourette à Toulouse. 

Un banal contrôle d’identité peut rapidement dégénérer dans le quartier La Faourette. C’est ce qui est arrivé à deux policiers, mardi 18 juillet vers 20 heures, lorsqu’une voiture roulant à toute allure leur est passée devant à l’intersection des rues Claude Bourgelat et Cuvier. Au vu de la vitesse élevée, les fonctionnaires lui ont fait signe de ralentir. Mais engagé dans l’impasse Cuvier, le chauffard a fait demi-tour et a essayé de percuter l’équipage.

« Le véhicule a surgi à toute allure sur les lieux du contrôle. Au lieu d’obtempérer, son conducteur s’est engouffré dans la rue Cuvier, qui se termine en impasse, où il a fait demi-tour. Et là, il a foncé délibérément, toujours à vive allure, sur les fonctionnaires. L’un d’entre eux a alors été obligé de sauter sur le capot du véhicule de police pour éviter l’impact. » témoigne Didier Martinez, secrétaire régional Unité SGP Police Occitanie, à Actu Toulouse.

La voiture sérigraphiée endommagée, un des policiers a été violemment projeté au sol. Mais l’assaillant ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Il a alors reculé pour visé le second policier qui a bien failli être percuté de plein fouet.

Arrestation musclée et menaces de mort

En prenant la fuite, l’individu est rentré dans des véhicules en stationnement. Il a donc essayé de s’enfuir à pied, mais rattrapé par des policiers venus en renfort, une bagarre a alors éclatée. Tant bien que mal, les agents ont pu le maîtriser, non sans subir des menaces de mort.

Le chauffard, âgé d’une vingtaine d’année a été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat central de Toulouse et devra répondre de ses actes devant la justice pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique, rébellion et refus d’obtempéré aggravé. Les syndicats demandent la plus grande fermeté à l’encontre de l’auteur de ces délits, qui aurait pu coûter la vie à deux gardiens de la paix.

 

Source : infos-toulouse

Macron veut la peau de l’armée française

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

Rédigé par notre équipe le 20 juillet 2017

 

Les lecteurs de 24heures actu le savent, Emmanuel Macron est un mondialiste hystérique qui s’applique depuis qu’on lui a donné une parcelle de pouvoir à saccager tout ce qui est (trop) français. Le pays qu’il dirige désormais lui inspire du dégoût et il compte bien mettre à genoux les rares institutions qui ne se sont pas complètement écroulées. L’armée française est dans le viseur et les tensions qui se sont soldées par la démission du général Pierre de Villiers sonnent le début de l’hallali pour une armée haïe des politiques.

Comme tous les hommes politiques, Macron s’est fait élire sur des promesses qu’il n’a jamais envisagé de mettre en œuvre. Seuls les tollés provoqués par des revirements et la crainte de voir son image écornée dans les médias et les sondages permettent de réduire le rythme de l’échouage du bateau France. Mais s’il existe bien un domaine dans lequel le chef de l’Etat n’a aucun risque de rébellion et donc de polémique dangereuse pour son statut jupitérien, c’est bien l’armée. Aïe ! La réalité fut tout autre et Macron a encore une fois étalé en place publique ses intentions hostiles envers tout ce qui est trop français.

Asphyxier l’armée pour mieux achever la France

En page 8 du programme du candidat Macron on peut lire : « Nous augmenterons les moyens de nos armées. Nous mobiliserons 2% du PIB qui serviront à renouveler les avions ravitailleurs,
à moderniser les blindés de l’armée de terre, ainsi que la flotte de surface de notre marine nationale ». Une mesure pour le moins salutaire, car l’armée est devenu le jouet préféré des socialistes qui l’ont envoyé partout ou presque sans pour autant pouvoir bénéficier des moyens nécessaires pour assurer ses missions. Sauf qu’en plus d’être un menteur, Macron est un traître, car non content d’avoir promis un budget en hausse, il s’est amusé à annoncer la veille du 14 juillet que le budget consacré à la Défense ferait l’objet d’une baisse de près d’un milliard d’euros dès cette année.

La sécurité des soldats n’est pas une priorité et celle des Français encore moins. L’armée ce n’est pas assez l’esprit start-up et pas assez glamour pour le couple présidentiel. Il faut en plus trouver de l’argent pour la Première dame et son cabinet qui auront pour charge d’aider une presse déjà ventre à terre à produire de beaux articles. Ça coûte cher ! Alors il faut procéder à des coupes sombres et c’est l’armée qui trinque. Déjà branlante, la Défense est tout simplement asphyxiée par cette baisse de près d’un milliard d’euros et le gel de 2,7 milliards de crédits.

Cet assassinat aurait dû se passer dans le silence et l’indifférence générale sauf qu’un homme, Pierre de Villiers, chef d’Etat-major des armées, a fait part aux parlementaires de son effroi face à une mesure dont l’objectif est particulièrement malsain. Des propos qui auraient dû rester confidentiels et qui ont pourtant fuité… Ni une ni deux, Macron joue au généralissime et se place une couronne sur la tête pour bien montrer que les soldats qui donnent leur vie pour la France ne sont rien d’autres que des pions prêts à être sacrifiés selon ses intérêts et son humeur.

L’honneur d’un homme – le déshonneur d’un président

Après plusieurs jours pendant lesquels Macron s’est excité tout seul – le général de Villiers étant astreint à un devoir de réserve – il a finalement obtenu la démission de celui qui ne voulait pas cautionner la mise à mort de l’armée. Le désormais ex-chef d’Etat-major parlera-t-il publiquement après son départ ? Il est probable que non, car c’est un homme d’honneur qui respecte les règles d’une institution en danger de mort. Le plus scabreux et que son successeur, le général François Lecointre est désigné comme un « héros de guerre ». Une manière de dire que le général de Villiers est un planqué qui n’a jamais connu le front. Après avoir tué un homme et l’institution qu’il représente, on le salit. Macron n’est décidément pas le gentil entrepreneur décrit par les médias…

Le chef de l’Etat est peut-être un entrepreneur, mais celui en charge de la destruction de la France. L’armée ne doit être plus qu’un lointain souvenir et le 14 juillet sera bientôt célébré par une descente des Champs-Elysées des chars de la Gay Pride et des immigrés sous des airs technos. L’armée doit mourir car elle est encore trop française. Il faut la fondre dans un grand n’importe quoi européen et si les coupes sombres ne suffisent pas, Macron s’appuiera sur des scandales (réels ou fabriqués) pour faire de l’armée un ramassis de tueurs et de violeurs aux yeux des Français. Tout est possible, ils ont bien voté Macron après avoir envoyé Hollande à l’Elysée…

 

Source : 24heuresactu

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2017

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LES CAPRICES D’UN ENFANT GÂTÉ 
Emmanuel est brillant. Fils de bonne famille, un profil de premier de la classe, collectionneur de diplômes, crâne d’œuf et énarque pour tout dire, - pléonasme ? - , il a également accompli l’exploit très original d’épouser sa maitresse… d’école ! Parvenu au fait des honneurs, il compose avec elle un couple atypique mais très, disons, très « glamour », tout à la fois « chic » et décontracté, celui qui plait aux revues en papier glacé et stupéfie les capitales étrangères : Paris, décidément, sera toujours Paris ! 


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Un horizon dégagé 
Depuis son étonnante  élection à la magistrature suprême, tout semblait marcher sur des roulettes pour le jeune Emmanuel : pas de troubles à l’horizon,  pas d’attentat majeur, des banlieues calmes en apparence, une majorité parlementaire pléthorique, une opposition anéantie et un Front National déconsidéré. Et puis, l’horizon des vacances anesthésie toute velléité de rébellion…  Merkel, Poutine, Trump, Netanyahou, tous dans la poche à grands  coups de claques amicales dans le dos et de grands sourires enjôleurs, le tout  maquillant  les désaccords comme  la balayette cache la poussière sous le tapis. 
Le grain de sable 

Mais voilà, un grain de sable dans les roulements à billes, un couac dans les roulements de tambours, , un mensonge à assumer par rapport à une promesse faite aux armées que l’on ne semble cajoler qu’à l’occasion des revues et autres défilés,  vient de ternir cette image d’Epinal du beau jeune homme à qui tout réussit. De quoi  s’agit-il ? Un « détail »  comme dirait  notre  « grand blond », il y a 850 millions d’Euros qui disparaissent du budget  de la défense ! Dans ces conditions, comment atteindre  l’objectif des 2 % du PIB ?  Evidemment, là ça coince et  ça ne passe pas du tout pour le chef d’état-major des armées, le général cinq étoiles Pierre de Villiers, le frère de Philippe.  Auditionné au Palais Bourbon, le CEMA  fait part de son étonnement et de son mécontentement devant la commission de la défense de l’Assemblée Nationale. Rien de plus normal pour un cadre militaire  de ce niveau .L’homme, brillant lui aussi, est dans son rôle d’avertisseur, d’éveilleur : il informe le législateur que les limites du supportable sont dépassées et que l’armée ne pourra pas remplir toutes les missions que l’exécutif lui confie : matériel souvent obsolète ou soldats trop sollicités. Alors, trop c’est trop et le général le dit franchement.   Il s’est sans doute trouvé une balance pour faire le petit rapporteur auprès du locataire du faubourg  Saint-Honoré, lequel a recadré publiquement  et sèchement  Villiers, rappelant à tous les galonnés et étoilés de France et de Navarre qu’il est le chef ! C’est qui le chef ? «  C’est moi », s’est sans doute écrié le Président  Emmanuel Macron dans sa stupéfiante « remontée de bretelles » proférée la veille du 14 juillet. Lui, Il n’a pas connu les joies et servitudes du service militaire, les blagues de bidasses, l’odeur prégnante des rangers dans une chambrée, la délivrance d’une bonne  douche après une  marche harassante ou le staccato des armes automatiques que l’on tient  dans ses mains. Contrairement à tous ses prédécesseurs qui, eux, savaient de quoi ils parlaient lorsqu’ils évoquaient la chose militaire, il n’a jamais mis les pieds dans une caserne avant d’être promu par le hasard du suffrage universel  Chef de l’Etat. Par ailleurs, dame Parly qui a été nommée ministre des armées, est-elle plus compétente que son marcheur de Président, pour occuper une telle fonction à l’hôtel de Brienne ? A moins que, ex de Bercy, elle ne soit là que pour couper dans le budget de la « grande muette » ? 
Caprice de Prince 
  
Il n’aime pas, Emmanuel,  que son jouet se rebiffe,  sinon il le casse, car il n’a jamais été habitué à ce qu’on lui résiste. Jusqu’à présent,  tout lui a réussi, toutes les portes se sont ouvertes, la bonne étoile qui planait sur son berceau continue de veiller sur lui. Des hommes de l’ombre sont là pour lui. Mais,  en humiliant  quasiment le chef des armées, il a commis  sa première gaffe d’enfant gâté. Avec lui, c’est « En marche ou crève » !  Pierre de Villiers ne s’est pas écrasé, il a courageusement démissionné : bravo mon général, la France, la France du pays réel, cette France-là  est derrière vous. Les applaudissements de vos subordonnés  qui vous ont accompagné jusqu’à la sortie du ministère, ont dû siffler aux oreilles du Président ! Dommage qu’il ne se soit pas trouvé un seul hiérarque militaire pour refuser de vous succéder. Il est vrai que depuis la fin dramatique de l’affaire algérienne, les soldats ne sont plus que des militaires ayant le petit doigt sur la couture du pantalon et l’œil fixé sur le tableau d’avancement .Et demain,  en « Macronie »  triomphante, ne seront-ils plus que de simples fonctionnaires ? 
Jean-Claude R O L I N A T