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mercredi, 19 juillet 2017

En Allemagne, la baisse du chômage et l’islam ont fait plonger les ventes de viande de porc

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017 

 

La baisse du chômage et la croissance de la population musulmane ont un impact négatif de plus en plus sensibles sur les ventes de viande de porc en Allemagne, indiquent des chiffres de l’agence statistique Euromonitor.

L’année dernière, les Allemands ont consommé en moyenne 36,2 kilos de porc, ce qui est 1,7 kg de moins que l’année précédente. C’est la cinquième année que l’on constate cette tendance à la baisse et elle ne fera que se poursuivre, dit Tim Koch, qui analyse l’industrie de la viande pour l’Agricultural Market Information Company.

 

Koch voit deux raisons principales:

– Comme de plus en plus de gens travaillent, ils peuvent acheter de la viande plus chère et en manger plus souvent à la cantine de l’entreprise, où l’on sert du poulet et du bœuf plutôt que du cochon. Lorsque les cantines servent du porc, elles le proposent souvent avec un second type de viande pour les musulmans de l’entreprise.

– L’Allemagne compte maintenant quatre millions de musulmans, un nombre qui a augmenté depuis la crise des réfugiés.

Mais l’afflux des réfugiés n’est pas le seul facteur de réduction de la consommation de viande de porc. Les rapports sur la grippe porcine, la cruauté envers les animaux dans les élevages porcins et les mises en garde au sujet de l’impact des aliments fabriqués à base de porc sur la santé, ont aussi eu une grande influence sur les ventes de viande de cochon.

1500 types de saucisses

La consommation de porc a donc chuté de 10 % depuis 2010, mais cette viande reste extrêmement populaire en Allemagne. Dans les différentes régions du pays, on recense plus de 1500 sortes de saucisses différentes, dont la majorité est fabriquée à base de porc.

 

Source : express.live

La dictature de l’inversion

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017 

Avec l’arrivée du Parti socialiste et de toute la gauche au pouvoir, en 1981, c’est, en fait, les idées de mai 68 et son fameux slogan “il est interdit d’interdire” qui se sont installées définitivement dans le paysage quotidien des Français. Déjà à l’œuvre dans la société, l’inversion des valeurs, devient la norme au plus haut sommet de l’État et contamine, avec délectation, toutes les élites politiques et médiatiques. La devise “Famille et Patrie”, trop connotée, est mise au pilori et, donc, les valeurs traditionnelles de la famille et l’amour de la patrie doivent être, à la moindre occasion, tournées en dérision. La peur des mots est définitivement actée et les petits commissaires de la pensée veillent au grain. Mais, comme si cela ne suffisait pas, tout est pris à contre-pied. On glorifie la laideur et la grossièreté, l’insignifiant et le détail. Une chaîne télé sera même dédiée à ça : Canal + ! Qui verra défiler tous les clowns d’une génération, fils et filles de, spécialement engagés pour leur fatuité, afin d’organiser des “after-hours”. Qui n’amusent que leurs semblables ! Dans tous les domaines, toutes les minorités et toutes les différences, les plus incongrues, sont magnifiées et deviendront des porte-drapeaux. L’art n’est plus une recherche spirituelle, mais une quête incessante de l’esbroufe. Tout ce qui peut épater, choquer et requérir du public, est monté au pinacle. Depuis, la société subit un nivellement par le bas (très bas) comme jamais auparavant !

Dans le même temps, cette idéologie libertaire – de l’ouverture à tout et au n’importe quoi – va, très vite, servir le principal intéressé : le marché et tout le système financier. Cela, les gauchistes ne l’avaient pas prévu, tellement la dégénérescence de leurs idées était avancée ! Par contre, ayant bien compris d’où soufflait le vent, une fois au pouvoir, les politiciens de tous bords vont devenir, peu ou prou, les idéologues du marché. Ils vont très vite assimiler, que cette économie n’a pas vraiment besoin de citoyens pour fonctionner à plein régime, mais qu’elle a besoin de consommateurs compulsifs, abrutis par des slogans publicitaires soporifiques vantant la possession frénétique de gadgets innommables inventés par des entrepreneurs avides de fric. Complices de ce système, les gouvernements successifs vont, désormais, nous resservir la même recette. Et, maintenant, Macron, n’échappant pas à la règle, nous joue, malgré la saturation, le gauchiste de service en appliquant le précepte : “du passé faisons table rase”. Du moins en apparence ! Son image est bien la seule chose qui l’intéresse. Pour que tout change sans que rien ne change. Son action politique se réduit à la communication par l’entremise de ses amis, patrons de grands groupes de presse. Aux ordres ! Et nous prenons du Macron, matin, midi et soir.

 

Si la dictature de l’inversion fait, encore, des ravages chez nos élites et y est toujours à l’œuvre, la bataille des idées continue et se fait ailleurs. Principalement sur Internet où la diffusion des idées pour remettre la France à l’endroit, est devenue majoritaire et touche des couches très larges de la population. On arrive aujourd’hui à une situation préoccupante où l’élite, complètement assujettie à l’idéologie soixante-huitarde, se retrouve, de fait, déconnectée de la réalité du pays. Qui, lui, reste profondément attaché aux valeurs traditionnelles, certes en évolution, mais toujours dans une continuité culturelle (sans quoi, il ne pourrait y avoir de civilisation). Cette civilisation que nos apprentis sorciers de “l’interdit sans l’interdit” voudraient, bien volontiers, voir disparaître. Pour mettre à la place une société multiculturelle fortement communautarisée, à la fois, transgenre et hyper sexualisée ? Visiblement, une partie du boulot est déjà accomplie…

L’achèvement dépendra de la résistance populaire.

 

Claude Picard

 

Source : ndf

Minneapolis : Un migrant somalien devenu policier abat sans pitié une femme blanche

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017

Petit flash d’actualité sur le portail de Free  annonçant  qu’aux Etats-Unis « une femme a été abattue par le policier qu’elle avait appelé à l’aide ». Nulle autre précision. Dans l’hystérie actuelle, le lecteur non-informé traduit « une pauvre noire abattue par un flic blanc raciste ». Effectivement, il y avait dans cette histoire du noir et du blanc, sauf que…

La victime, Justine Damond, est une femme blonde de 40 ans, professeur de yoga, ressortissante australienne. Le flic assassin, Mohammed Noor, est un « migrant » somalien engagé dans la police en 2015. Ce dernier l’a abattue alors qu’elle venait d’appeler le 911 (l’équivalent américain du 17 ou du 112) pour signaler une possible agression dans une ruelle près de chez elle, à Minneapolis. Selon le Minneapolis Star Tribune, citant trois sources, le policier a tiré sur la victime vêtue d’un pyjama à travers une vitre de leur véhicule après qu’elle se soit approchée d’une des portières pour leur parler. Selon son fiancé Zach Diamond : « Elle a entendu du bruit dans la ruelle donc elle a appelé la police et les flics sont arrivés. Et ensuite, tout ce que je sais, c’est qu’ils ont pris la vie de ma meilleure amie ». « Je suis dégoûtée et profondément perturbée.  Nous ne connaissons que peu d’éléments à ce stade. Nous voulons tous en savoir davantage», a déclaré Elisabeth Ann « Betsy » Hodges, maire de Minneapolis.

Le migrant, âgé de 31 ans, fut le premier Somalien à intégrer  les forces de police de la ville. Il avait déjà fait parler de lui le 25 mai 2017 pour l’arrestation violente et arbitraire d’une femme à son domicile, la blessant à l’épaule. La police locale est dirigée par une lesbienne militante (mais mère de famille…), Janee Harteau. Les romans d’Harold Armstead Covington commencent à devenir la réalité…

Hristo XIEP

 

Source :medias-presse.info

Le Colonel Michel Goya dénonce « le Parti des petits boutiquiers politiques et le Groupe des hauts-fonctionnaires de Bercy »

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017

Voici une très intéressante tribune libre du Colonel (ER) Michel Goya.

Savez-vous qui a fait le plus de mal aux armées depuis la fin de la guerre froide ? L’armée irakienne ? Les Taliban ? Al-Qaïda ? Al-Mourabitoune ? L’Etat islamique ? Non, ce ne sont là de petits joueurs. Les organisations qui ont, et de très loin, réduit le plus nos capacités militaires s’appellent le Parti des petits boutiquiers politiques et le Groupe des hauts-fonctionnaires de Bercy, les seconds servant de bras armé aux premiers…à moins que ce ne soit l’inverse tant les fonctionnaires des finances sont puissants.

 

A force de « dividendes de la paix », de commandes repoussées ou allégées, de gels budgétaires, d’opérations extérieures sous-financées (il faudra qu’on m’explique comment on peut prévoir 450 millions d’euros pour financer quelque chose qui en coûte en moyenne un milliard depuis 27 ans), de maintien en service de matériels anciens, de petits bouts de chandelles grattés à droite et à gauche (au sens politique) on parvient effectivement à faire fondre les armées bien plus vite que n’importe quel ennemi, voire de tous nos ennemis réunis.

 

Bravo donc à Bercy et aux petits minables qui ont réussi par leur action permanente à ce qu’on divise par trois le  « contrat opérationnel majeur » (en gros la « mobilisation générale ») en seulement vingt-cinq ans, sans même parler de toute idée de « remontée en puissance » purement et simplement sacrifiée. Merci d’avoir ramené l’armée de Terre au niveau de l’armée d’armistice en 1940 sans avoir même eu à déployer un Panzer. Félicitations pour avoir réussi, malgré un Florange par mois et l’effondrement du volume des équipements, à repousser toujours la même « bosse » de 40 milliards d’euros à trouver pour simplement payer tout ce qui a été commandé dans les années 1990. Merci encore et enfin de nous obliger de plus en plus à faire appel aux autres et plus particulièrement aux Américains pour compenser ce que nous ne pouvons plus faire à grande échelle et sur la durée comme le transport aérien stratégique ou le ravitaillement en vol.

 

Saluons donc cette nouvelle offensive d’été de Bercy et l’empressement des bons élèves. Le changement de pouvoir et le remplacement d’un ministre-politique lourd (entendez « dont la menace de démission a un effet ») par une gestionnaire sans connaissance ni appétence particulière pour les armées n’y est certainement pas pour rien. Il paraît qu’elle connaît les arcanes budgétaires de Bercy, nous verrons si cela induira résistance ou complicité. Cette offensive aurait cependant pu être plus discrète tant est grand le décalage avec la posture, les gestes, les déplacements, les discours, sans même parler du programme de campagne du Président de la République mais tout est tellement prévisible parmi ceux qui s’acharnent sur les ministères régaliens (dont on rappellera qu’ils ne représentent que 2,8 % du PIB pour une dépense publique totale de 56 %).

 

Quitte à parler de guerre, on aurait aimé entendre Mr Darmanin parler de celle qui serait menée impitoyablement contre les fraudeurs en tous genres et particulièrement les énormes, ceux qui représentent au moins 60 milliards d’euros de recettes en moins (au passage, où en sommes-nous du traitement des Panama Papers et du châtiment des voleurs ?). On aimerait savoir pourquoi chaque année 30 milliards d’euros (soit presque le budget de la défense) sont donnés à des étrangers en remboursement d’intérêts de dettes alors qu’ils pourraient l’être à des Français (vous savez ce système d’emprunts qui permet à l’Etat de financer des investissements majeurs puis à soutenir la consommation intérieure en les remboursant). On aurait aimé entendre parler aussi du fameux plan de 50 milliards d’euros d’investissements du programme de campagne. En en consacrant une partie à la Défense, cela permettrait peut-être de sortir enfin de la spirale de crise qui affecte les armées depuis vingt-cinq ans tout en jouant sur une industrie de haute-technologie peu délocalisable et dont les effets bénéficierait à toute la société y compris aux finances publique (car et c’est là où la politique à la petite semaine est la plus stupide : un euro investi dans les armées est celui qui in fine ramène le plus de recettes). Au passage, on aimerait enfin avoir un jour un petit historique des sacrifices consentis par le ministère des finances sur l’autel de l’étouffement des moyens de l’Etat.

 

En mai 2014, face à l’offensive du moment (qui consistait simplement à faire en sorte qu’on ne respecte pas la loi qui venait juste d’être votée) le ministre de la défense et les chefs d’état-major avaient menacé de démissionner. L’attaque était alors pourtant moins forte dans ses conséquences que l’actuelle car nous ne nous y trompons pas, Mr Damarnin est le Gamelin d’un nouveau « mai 1940 », l’occupation en moins, et il faut arrêter très vite cette folie.

Michel GOYA
Colonel (ER) – Docteur en Histoire

(source : ASAF)

 

Source : medias-presse.info

Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, démissionne

Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2017

C’est fait : le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, a annoncé sa démission ce mercredi matin.

Le général avait déjà exprimé son mécontentement devant la commission Défense suite aux restrictions budgétaires qui vont affecter l’armée. Il avait alors menacé de présenter sa démission. Il avait ensuite été tancé par Emmanuel Macron s’estimant seul chef à bord.

Dans un communiqué, le général de Villiers explique qu’il considère « ne plus être en mesure d’assurer la pérennité du modèle d’armée auquel (il) croit pour garantir la protection de la France et des Français, aujourd’hui et demain, et soutenir les ambitions de notre pays » et avoir « pris ses responsabilités » en présentant sa démission au président.

 

Source : medias-presse.info