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lundi, 31 juillet 2017

Toulouse : depuis presque un an, des migrants dorment dans la cour de leur immeuble

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

Crise des migrants

Luc Fournier envisage de fermer la cour avec un cadenas même s’il n’a « pas le droit »./DDM, N. Saint-Affre

Ils se disent « exaspérés ». Depuis des mois, voire un an, des résidents de plusieurs immeubles de l’avenue Etienne-Billières, à Toulouse, sont confrontés à la présence de migrants dans leur cour. « Au début, c’était une tente ou deux. Maintenant, c’est un vrai campement », explique Luc Fournier, président du conseil syndical des résidents.

Chaque matin, les vestiges de la nuit traînent sur le petit carré de pelouse. Poubelles, couvertures, tentes mais aussi, de très fortes odeurs d’urine ou fécales sont devenues récurrentes. « Le jeune homme qui habite en rez-de-chaussée va péter un plomb un jour », craint Luc Fournier. Identifié par la municipalité et la préfecture, le campement de l’avenue Etienne-Billières n’est pas simple à gérer.

D’une part, parce que ces personnes, en majorité des Roms d’Albanie, ne sont jamais les mêmes. Certaines sont relogées, d’autres arrivent. La proximité du centre communal d’action sociale (CCAS) pourrait en partie expliquer l’installation des migrants. « Ce n’est pas de la faute des employés du CCAS, ils subissent une pression constante et doivent s’occuper de tous les cas sociaux de la ville », glisse Nicole Folch, une habitante complaisante mais qui a « besoin d’une solution ». « Ce sont des êtres humains dont les droits sont bafoués dans leur pays. Mais il faut que les autorités compétentes trouvent une solution », souligne-t-elle.

« Je n’ai aucune hostilité contre ces personnes, bien au contraire. Ils me saluent, me sourient… J’apporte de l’eau, des fruits ou des sandwichs aux femmes enceintes et aux enfants en bas âge quand il fait trop chaud mais ça ne peut pas durer ainsi. Pour eux, comme pour nous», poursuit-elle.

Une servitude de passage

L’autre pan du problème concerne le « statut » de ladite cour. « Il y a une servitude de passage avec la rue Adolphe-Coll », signale Luc Fournier. Un portail a bien été installé par la municipalité mais il reste en permanence ouvert. Seul un panneau signale la possibilité de le fermer la nuit.

« Ce qui ne rimerait à rien puisqu’ils sont déjà là ! », estime Nicole Folch. « C’est une situation ubuesque ! Il suffirait pourtant qu’ils le ferment avec un code à communiquer aux résidents », poursuit la retraitée.

D’autant que selon eux, le passage tout proche de l’église de la Patte-d’Oie suffit amplement pour les piétons qui souhaitent faire la jonction entre la rue Adolphe-Coll. Qu’à cela ne tienne, Luc Fournier a acheté un cadenas. « La mairie me dit qu’elle n’est ni pour, ni contre », explique-t-il. Dernièrement, un courrier a également été adressé à Jean-Luc Moudenc, le maire.

Contactées ce lundi, ni la municipalité, ni la préfecture n’ont été en mesure de livrer des éléments de réponse sur la suite qu’elles envisagent de donner, ou non, au problème.

380 euros mensuels par immigré accueilli chez vous

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

De toutes les façons, on nous répète qu’il faut accueillir toujours plus d’immigrés.

Dernière nouveauté pour inciter les Français à se faire les complices de cette immigration de grand remplacement : offrir 380 euros par mois et par immigré pour en accueillir chez vous !

Ce « dispositif innovant » a été présenté le lundi 3 juillet au conseil départemental du Nord par Doriane Becue, vice-présidente en charge de l’Enfance, de la Famille et de la Jeunesse.

« Nous allons faire appel à des familles d’accueil qui recevront un agrément du département. Ces familles seront bénévoles mais le département leur accordera une indemnité pour frais d’entretien de 380 euros par mois. », a expliqué Doriane Becue

Jean-René Lecerf (divers droite), président du conseil départemental du Nord, a renchéri, déclarant le même jour devant les élus départementaux : « Nous faisons appel à la citoyenneté ! »

Seule condition : l’immigré accueilli sera un « mineur non accompagné » ou supposé tel, car beaucoup de ces immigrés tentent de se faire passer pour des mineurs, ayant bien compris les avantages que cela apporte.

Au mois de juin 2017, le conseil départemental du Bas-Rhin avait pris une disposition similaire appelée « Réseau d’accueil solidaire  » présentée par Frédéric Bierry (LR). Chez les Alsaciens, l’indemnité par immigré est un tout petit peu revue à la baisse : 373,50 euros par mois. Mais le conseil départemental garantit en supplément, pour chaque immigré dit « mineur non accompagné » accueilli chez vous, « une prise en charge de sa vêture, d’argent de poche et de possibilités de loisirs « .

Dans la Vienne, le conseil départemental présidé par Bruno Belin (LR) offre 426 euros par mois et par immigré accueilli chez vous.

Selon une évaluation récente, les conseils départementaux consacrent près de 50% de leur budget d’aide à l’enfance à des mineurs étrangers. En effet, tous les immigrés reconnus « mineurs non accompagnés » doivent être pris en charge non par le budget de l’Etat mais par celui des conseils départementaux.

 

Source : medias-presse.info

CASIER JUDICIAIRE VIERGE POUR LES ELUS...

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

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Source : policeetrealites

Après l'affrontement entre Macron et le général de Villiers, 15 haut gradés racontent "leur blessure profonde"

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

Jade Toussay Journaliste

Entre le chef de l'Etat et l'armée, le divorce est consommé.

STEPHANE MAHE / REUTERS
Après l'affrontement entre Macron et le général de Villiers, 15 haut gradés racontent "leur blessure profonde"

POLITIQUE - Manque d'humilité, "mépris", "manipulation"... Deux semaines après la déclaration de guerre entre Emmanuel Macron et l'ancien chef d'état-major des armées Pierre de Villiers, qui a abouti à la démission de ce dernier, quinze haut gradés de l'armée ayant quitté le service dressent un bien triste tableau des relations actuelles entre l'armée et son chef.

"La blessure est profonde". Dans une lettre ouverte, publiée dans Capital jeudi 27 juillet, les militaires se défendent de parler "au nom de l'Armée, 'cette grande muette'". "Nous estimons, en revanche, de notre devoir de vous faire part de notre indignation", annoncent-ils. Et de remettre en doute les engagements du nouveau président vis à vis des services militaires.

"L'armée est peut-être muette, mais elle n'est ni sourde ni aveugle, ni amnésique", soulignent ainsi les signataires, en rappelant les différents signaux envoyés par le candidat puis le président Macron au cours des derniers mois. "Mais alors tout cela n'était-il que promesses, paroles et maniement des symboles?"

"Humiliation" publique et vexation

Parmi les premiers reproches adressés au président de la République, le reniement de ses engagements, alors que Emmanuel Macron a usé à plusieurs reprises de ce terme devant les corps de l'armée.

"Nous ne demandons qu'à le croire, mais pour l'instant vous ne les tenez pas", affirment les militaires, avec en exemple la coupe budgétaire annoncée par le président -une "manipulation"- et le "reniement" que représente la démission contrainte de Pierre de Villiers, pourtant été prolongé d'un an au début du quinquennat.

Les signataires de la lettre regrettent également la gestion de la crise par le président, qui avait lui même accusé le général de Villiers "d'étaler certains débats sur la place publique". "Mais alors est-il vraiment digne de réprimander, non seulement en public, mais devant ses subordonnés, un grand chef militaire, au sujet de propos destinés aux membres d'une commission parlementaire, au cours d'une audition censée être confidentielle?", répondent les auteurs du courrier, qui s'insurgent alors contre "une humiliation publique".

Autre motif de tension, toujours pas digéré? Le "Je suis votre chef" d'Emmanuel Macron, lâché la veille du 14-juillet. "Tous les militaires le savent et ils sont vexés que vous le leur rappeliez", répliquent les 15 auteurs de la lettre, qui rappellent que "si la jeunesse" du président est "une excellente chose, elle ne vous a pas apporté l'expérience du Service sous les armes. Personne ne vous le reproche, mais ceci implique un minimum d'humilité (...) Ce défaut d'humilité est une erreur, Monsieur le Président."

"En conclusion, vous aurez compris, Monsieur le Président, que vos paroles publiques visant le Général De Villiers n'ont pas seulement atteint ce grand serviteur de la France et de nos armées mais aussi un grand nombre de militaires qui, comme nous, se sentent humiliés", concluent les militaires, qui critiquent l'opération de "communication" du président à Istres, aux côtés de son nouveau CEMA François Lecointre. "Laissez les symboles et les discours et passez aux actes concrets pour vos militaires. Vous êtes leur chef constitutionnel, soyez-le dans leur vie réelle, écoutez-les, respectez-les."

 

Source : huffingtonpost

La Réflexion du Jour : Il y a à l’époque moderne une force decivilisatrise à l’oeuvre en France…

Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2017

PAR  LE 

Il y a à l’époque moderne une force decivilisatrise à l’oeuvre en France…

« On déconstruit tout ce qui fait Nation et raison. On déconstruit la transmission des connaissances en affaiblissant le langage, la notion de mérite et de l’autorité du Maître. En même temps, on brise tout rapport avec la culture et le passé. L’histoire est amputée, on confond mémoire et memoriel pour rendre douloureux tout effort de construction d’une projection dans une perspective historique. On culpabilise même celui qui aime l’histoire ou la tradition. Le relativisme culturel agit de même en rendant dérisoire, futile ou relatif, tout progrès de civilisation. Et la culture est ramenée au rang de divertissement. Tout ce qui empêche le travail de raison et coupe le lien au temps empêche toute compréhension de la notion de causalité, donc de responsabilité. L’homme libre, celui capable de décision éclairée, sera l’exception… Le résultat, si ceci se poursuit, sera de conduire à des gens sans capacité à se construire dans un rapport au temps. On brisera la Notion de Nation pour la remplacer par un ensemble d’individus dominés par des passions momentanées. De belles forces vives bien malléables… Je ne sais pas si c’est une force obéissant à une volonté ou juste le sens de l’histoire. Mais certains mouvements y contribuent et y voient leur bénéfice. Mais cela n’est pas mon idéal pour l’humain éclairé. « 

David Duquesne 16 Juillet 2017

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