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dimanche, 14 janvier 2018

Des scientifiques suisses ont découvert chez des migrants africains présents en Europe une nouvelle forme de tuberculose très résistante

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

Par  le 13/01/2018 

Des experts de l’Université de Zurich, en Suisse, ont découvert une forme de tuberculose «multirésistante» chez huit réfugiés originaires de la Corne de l’Afrique.

Dans un nouveau rapport officiel, le laboratoire suisse mentionne plusieurs cas à partir de 2016. Le responsable du diagnostic Peter Keller dit:

« Ces bactéries présentaient une nouvelle combinaison de mutations de résistance contre quatre antibiotiques différents qui n’avaient jamais été vus auparavant. »

Le rapport indique qu’un laboratoire en Allemagne a également enregistré un cas « avec le même pathogène ». Après vérification des données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), un total de 21 cas ont été identifiés. Tous les cas étaient liés à des patients venant aussi de la Corne de l’Afrique ou du Soudan.

L’agent pathogène a été empêché de se propager davantage, après que les autorités aient pris plusieurs mesures préventives. Chef du diagnostic Keller dit à ce sujet:

« Ce cas extraordinaire a conduit au développement d’une organisation européenne d’alerte pour les pathogènes dangereux de la tuberculose ».

 

Eurekalert via fdesouche

Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier d’affaires de Goldman Sachs !

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier d’affaires de Goldman Sachs !

Par Francesca de Villasmundo, journaliste, écrivain ♦ La mort, le 8 janvier 2018, de Peter Sutherland (RIP) permet de jeter un regard cru sur la politique immigrationniste du pape François. De 2014 à 2017, Peter Sutherland fut le président de la Commission catholique internationale pour les migrations. L’homme était au cœur des réseaux mondialistes : membre du groupe Bilderberg, ancien commissaire européen à la concurrence, fondateur de l’Organisation mondiale du commerce, ancien patron de la banque Goldman Sachs, représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour les migrations internationales. François, qui aime se présenter comme « le pape des pauvres » est surtout l’homme des… riches. Voici un article documenté de Francesca de Villasmundo paru sur Média Presse Info le 3 janvier dernier.
Polémia

Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer vers une société globale sans nations souveraines ?

« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme mondialiste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multiculturel sans barrières et sans frontières. »

Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour 2018 en font une figure de proue et une « autorité suprême » de l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande…

« …si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par George Soros, le multimilliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs : un nouvel ordre mondial multiculturel et globalisé où les entités supranationales auront la gestion du pouvoir ».

Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas qu’idéologique mais aussi pratique puisqu’il a nommé, en février dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du patrimoine du Siège apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste, lui aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland.

Irlandais, juif par sa mère, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum) et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire général fondateur de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des grandes libéralisations de l’Union européenne, il a été qualifié de « père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs, depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…

Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment abandonné aucune de ses charges.

Peter Sutherland, analyse Blondet :

« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supranationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »

Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement de sociétés multiculturelles », le problème étant, selon lui, les populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union européenne, à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance économique. »

Cet artisan de la société multiculturelle affirma de même que « l’on est passé des États qui choisissent leurs migrants aux migrants qui choisissent les États ». Par conséquent, avait-il ajouté, l’UE ne doit plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».

Ainsi, commente Maurizio Blondet :

« C’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme mondialiste financier ; pour lequel les “homogénéités”, c’est-à-dire les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce que le consommateur global type doit être littéralement “sans identité”, sans communauté, “ouvert” aux “expériences”, cosmopolite, nomade, sans “tabous”, sans “préjudices” (et sans scrupules), de sexe variable. »

Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste italien :

« un “mépris” pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage le pape François lorsqu’il affirme que “les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants”, évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture. »

Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet :

« l’ “homogénéité” culturelle est un fastidieux lien qui “résiste” à l’ “intégration” sans limites, un “manque de charité” envers “l’accueil”. Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines mains, l’ “homogénéité” nationale d’un peuple est comparée à un mal moral, et ce sera un mal de la sauvegarder. »

Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bilderberg, ce membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El Papa sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile, la Commission catholique pour les Migrations !

On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants, aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation, c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…

Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les pauvres sont privés par les idéologues du multiculturalisme et du « vivre-ensemble » !

Francesca de Villasmundo
03/01/2018

Correspondance Polémia – 8/01/2018

Crédit photo : Catho Alsace via Flickr (cc)

L’État islamique dans le grand Sahara revendique l’attentat qui a blessé 3 soldats français au Mali

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

Posté dans AfriqueOpérationsTerrorisme

 par Laurent Lagneau Le 13-01-2018

 

Le 11 janvier, trois militaires français ont été blessés (dont un gravement) lors d’une attaque suicide contre leur convoi menée avec un véhicule bourré d’explosifs (VBIED), sur l’axe reliant Ménaka à Indélimane, près de Gao, au Mali.

La date coïncidant avec le cinquième anniversaire du lancement de l’opération Serval, l’on pouvait penser que le Jamaat Nosrat al-Islam wal-Mouslimin (Groupe pour le soutien de l’islam et des musulmans – GSIM), une organisation qui réunit plusieurs groupes jihadistes ayant fait les frais de l’intervention française, allait revendiquer cette attaque.

Finalement, l’État islamique dans le Grand Sahara (EIGS) a envoué, le 12 janvier, un communiqué à l’agence de presse mauritanienne ANI pour « proclamer sa responsabilité » de l’attaque ayant visé les militaires français ainsi que de celle menée en octobre dans la région de Tongo Tongo (Niger), au cours de laquelle 4 commandos des forces spéciales américaines avaient été tués. Cette dernière n’avait jusqu’à présent pas été revendiquée.

« Les soldats du califat ont attaqué hier jeudi 11 janvier au petit matin une colonne de l’armée française avec un véhicule piégé », a ainsi affirmé l’EIGS, qui a, par la même occasion, revendiqué plusieurs autres attaques au Mali, au Burkina Faso et au Niger.

A priori, il s’agirait de la première attaque de l’EIGS contre la force Barkhane au Mali. Cette organisation est dirigée par Adnan Abou Walid Al-Sahraoui, un ancien membre du Front Polisario ayant rejoint le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao).

Après le rapprochement de ce dernier avec « Les signataires par le sang » de Mokthar Belmokthar pour former le groupe « al-Mourabitoune », Al-Sahraoui fit, en mai 2015, publiquement allégeance à Abou Bakr al-Baghdadi, le chef de l’État islamique (EI ou Daesh). Mais ce ralliement fut officiellement accepté 18 mois plus tard, c’est à dire en octobre 2016.

En décembre dernier, il a été rapporté que le GSIM et l’EIGS avaient noué une alliance. Ce qu’a confirmé un récent rapport des Nations unies sur la situation au Mali. « La MINUSMA [mission de l’ONU, ndlr] a reçu des informations selon lesquelles les deux groupes agissaient en parallèle et probablement en collaboration », y lit-on.

Apparemment, le GSIM se concentre sur le nord et le centre du Mali tandis que l’EIGS est surtout présent dans la région frontalière avec le Niger.

 

Source : opex360

Bolzano (Italie): les migrants se révoltent car la date de péremption de leurs yaourts est proche

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

yaourt
 
 

Les migrants et la “révolte du yaourt”. C’est au final les forces de polices qui ont du intervenir. Les migrants, en effet, étaient agités en raison de la date de péremption des yaourts, qui selon eux était déjà dépassée. Les faits se sont déroulés au centre d’accueil “ex Alimarket” de Bolzano, dans la zone sud de la ville. D’après ce que rapporte le Corriere dell’Alto Adige, plusieurs demandeurs d’asile accueillis dans la structure se sont plaints du fait qu’ont été servis à la cantine des pots de yaourts sur lesquels figurait une date de péremption trop proche. Apparemment, plusieurs yaourts auraient été périmés le jour même. […] les migrants en ont fait un problème exagérément grave provoquant une escalade de la situation. L’intervention des forces de l’ordre est devenue nécessaire, appelées par les responsables du centre afin d’éviter que la situation ne puisse dégénèrer.[…] Quelques brigades volantes sont arrivées sur place et les agents, non sans mal, ont réussi à ramener la situation au calme. […]

Secoloditalia via fdesouche

Pannes et agressions : voyagez (ou pas) le cœur léger avec la SNCF

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018

Rédigé par notre équipe le 13 janvier 2018.

 

Pas une seule journée ne se passe sans qu’une panne importante ne vienne perturber le trafic sur le réseau de la SNCF. Les bourdes s’enchaînent à tel point que le Gouvernement a dû faire semblant de taper du poing sur la table. Convoqué le 8 janvier dernier par le ministère des Transports, le PDG de la SNCF a réussi à sauver sa tête (pour le moment). Mais ne s’agit-il pas d’une stratégie machiavélique pour mettre fin à une entreprise publique hautement symbolique ?

La SNCF est-elle entrée dans une ère de décadence dont elle ne se relèvera pas ? Les signes s’accumulent chaque jour et si les médias commencent à s’emparer du sujet, c’est qu’il existe peut-être une raison bien particulière. Mais avant d’en arriver à un possible agenda inavouable, il est utile de rappeler que l’entreprise publique qu’est la SNCF a renoncé depuis bien longtemps à sa mission. L’usager est juste considéré comme un vache à lait qui doit payer son billet à des prix farfelus qui ne font sens qu’aux seuls algorithmes des ingénieurs de la SNCF.

Du grand n’importe quoi

Voyager est devenu horriblement cher et tant pis si les retards s’accumulent en raison de problèmes techniques plus ou moins identifiés. Les deux pannes géantes qui ont touché la gare Montparnasse en décembre ont mis de mauvaise humeur des usagers qui n’ont pas attendu les chaînes d’information en continu pour comprendre que quelque chose ne tourne pas rond à la SNCF. Tains en retard, annulations sauvages, prix délirants et service pas à la hauteur d’une entreprise qui se veut un modèle à travers le monde. Il y a peu encore, la SNCF communiquait sur ses efforts pour offrir de la nourriture agréable au palais… On ne mangera jamais bien dans un train à un prix correct alors que la SNCF cesse son manège et s’occupe de ses trains !

A l’image de la Poste qui se prend pour une banque, la SNCF parle de tout sauf de son cœur de métier. Assurément, l’Union européenne est passée par là et oblige le réseau à s’ouvrir à la concurrence. De nouvelles structures voient donc peu à peu le jour et promettent la lune à des voyageurs fatigués de subir une médiocrité d’une direction plus intéressée par les bonus en tout genre que par le bien être de ce qu’il convient désormais d’appeler : des clients.

A la tête de l’entreprise depuis dix ans, Guillaume Pépy ne peut pas nier sa responsabilité dans tous les dysfonctionnements. Mais l’homme a su s’entourer de personnes utiles qui lui permettent d’être bien vu par tous les présidents et les ministres qui comptent. Les embauches d’anciens énarques et de directeurs de cabinet à recaser sont monnaie courante. Des parachutes appréciés qui permettent d’amortir les coups lorsque la crise frappe à la porte de la direction de la SNCF. Cette dernière n’est plus qu’une cour des miracles où se retrouvent des seconds couteaux en attente de jours meilleurs ou de la retraite…

La privatisation comme solution finale

La SNCF fonce dans le mur et c’est peut-être bien l’objectif de nos élites qui ont donné leur âme au Dieu libéralisme. La stratégie initiale avait été de démontrer que l’entreprise était un poids pour les finances publiques avec une dette de plus de 45 milliards d’euros pour la seule SNCF réseaux et des privilèges d’un autre temps. Les régimes spéciaux n’ont finalement jamais été retouchés et l’entreprise continue sa chute dans les abysses. Mais une banqueroute programmée n’est pas assez marquante pour affoler les Français alors…

Les utilisateurs de la SNCF en ont marre et demandent le minimum : des trains qui fonctionnent et qui respectent les horaires. A ce stade il n’est même pas question d’une sécurité (absente). Les fraudeurs ont pris un abonnement gratuit, les vols et incivilités se multiplient dans les trains sans parler des descentes en bandes organisées qui mettent à sac des wagons entiers. Ne peut-on pas veiller à ce que tous les passagers soient munis d’un billet avant leur montée dans le train ?

Tous ces dysfonctionnements mènent à une seule solution : un changement radical qui finira par prendre la forme d’une privatisation. Le bilan catastrophique sera facile à dresser et personne ne pourra le contredire. C’est à ce moment que nos élites adorées brandiront la privatisation comme la solution idéale. Il aura fallu de la patience et pas mal de vice, mais la mission sera bientôt achevée. La SNCF ne sera plus. La France suivra peu après.

 

Source : 24heuresactu