Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 13 juillet 2014

« Interdit aux animaux et aux franc-maçons »

Montluçon – Pendant quelques jours, un commerçant a écrit sur sa vitrine qu’il interdisait l’entrée de son magasin aux « animaux et aux francs-maçons ». Choquées, les loges locales n’ont pas tardé à réagir.

«L’entrée du magasin est interdite aux animaux et aux francs-maçons. » Ce message a été affiché jusqu’à la semaine dernière sur la porte d’entrée d’un commerce de la zone de Châteaugay. Son auteur l’a finalement retiré, mais l’émoi qu’il a suscité au sein de trois loges présentes à Montluçon (*) est considérable. « Nous avons tous fait remonter l’information à nos obédiences ».

Un membre local du Grand Orient s’est même « penché sur les textes de loi » afin de savoir s’il était possible de poursuivre le commerçant. « A priori, il risque simplement un rappel à la loi. Mais la Ligue des droits de l’Homme, qui a été prévenue, pourrait lui envoyer un courrier. »

La « soeur » qui a contacté La Montagne explique avoir « très mal vécu » d’être assimilée à un animal. « Quand on m’a appelée pour m’expliquer ce qu’avait écrit ce commerçant, j’ai aussitôt pensé aux panneaux interdisant l’entrée de magasins aux juifs pendant la seconde guerre mondiale.

Le commerçant, lui, se défend de toute analogie antisémite.

« C’était un simple mouvement d’humeur parce que je trouve que la société part en sucette », explique-t-il.

La Montagne via FDS

samedi, 12 juillet 2014

Bernard Lugan censuré par l'Elysée

 Publié par Guy Jovelin

Bernard Lugan censuré par l'Elysée

Le 24 juin 2014, à la demande des Armées, je devais présenter "L'interaction religieuse, culturelle, historique et géopolitique entre les cinq pays de l'Afrique du Nord et ceux de la bande sahélo-tchadienne" aux Attachés de Défense français en poste dans la quinzaine de pays concernés, plus le Nigeria. Lire la suite

ll a 6 ans, et les vacances sont pour lui une délivrance… (par Caroline Artus)

Publié par Guy Jovelin

 

Il a 6 ans, et depuis le mois de février, à l’école Anatole France de Arras, un petit garçon est allé en classe, la boule au ventre tous les matins, terrifié à l’idée de subir un nouvel assaut de son tortionnaire, un autre élève de l’établissement.

Il avait été découvert dans les toilettes, en partie dénudé, du papier toilette dans la bouche et une pastille de javel entre les fesses, son bourreau debout à ses côtés. La maman a porté plainte le 18 février et la direction ayant signalé les faits à l’académie, l’école finira par priver l’agresseur en culottes courtes de récréation, de cantine, de piscine et d’activités périscolaires pendant un mois. Trente « longs » jours à l’issue desquels elle demandera à la mère de la victime son consentement pour qu’il revienne dans la cour. Un mois, c’était plus qu’il n’en fallait pour faire entendre raison à un gamin de moins de 8 ans débordant d’imagination. Sauf que cela ne s’est pas passé ainsi.

Alors que l’auteur des violences sexuelles, depuis sa réinsertion à la récré, est revenu à la charge, menaçant la petite victime de la frapper s’il elle n’acceptait pas de redevenir copain avec lui, fin mai, le vice-procureur, en réponse à la plainte et bien qu’elle ne prétende pas « qu’il n’y a pas eu d’infraction » décide de classer l’affaire évoquant l’irresponsabilité de l’auteur en raison de son âge.

Deux mois de vacances pour le petit garçon, c’est un peu deux mois de sursis – avec une boule au ventre juste un peu plus petite – avant de retrouver le chemin de l’école, laquelle n’offrira sans doute guère plus de garanties pour sa sécurité. Celle-ci, d’ailleurs, n’a pas souhaité commenter l’affaire pour « le bien des enfants » : victime ou tortionnaire, c’est l’application de l’égalité pour tous.

C’est injuste ? Mais non voyons, l’essentiel est de sauver la morale républicaine et laïque : ne pas discriminer. Surtout que lorsqu’on n’a pas 8 ans, estime Elise Bazzolo, vice-procureur de la République du tribunal d’Arras, « il s’agit de la même situation qu’avec un handicapé mental profond. L’enfant ne sait pas ce qui est bien ou mal, et, pénalement, on ne peut le poursuivre ». Avec semblable jugement, Madame le procureur va faire d’une pierre trois coups : se mettre à dos non seulement les parents de la petite victime, ceux de l’auteur de sévices sexuels sordides, mais aussi, par-dessus le marché, les parents d’handicapés mentaux ! L’important, puisqu’on vous le dit, c’est de ne pas stigmatiser.

Alors que les élèves ont de moins en moins de raisons de redouter l’école bienveillante socialiste qui leur consent avec enthousiasme des connaissances au rabais et, en prime, la suppression des « notes-sanction », le petit garçon d’Arras fait partie des 10% d’élèves victimes de harcèlement : moqueries, brimades, insultes, racket, menaces, coups, violences sexuelles. Selon une étude de l’Unicef France, 7% des élèves du primaire et du collège disent ne pas se sentir en sécurité dans leur environnement scolaire. En somme, moins il y a de raisons d’avoir l’estomac en compote en allant en classe, plus les motifs pour stresser sont nombreux ; en 2013, pour le concours de professeur des écoles, il était stipulé que « le devoir de tout enseignant » était, entre autre, d’éduquer les élèves à devenir « des hommes et des femmes agréables à fréquenter. » Zéro pointé en ce qui concerne la terreur de moins de 8 ans.

Il ne reste plus qu’à souhaiter au petit garçon traumatisé la possibilité de changer d’école… Aux plus gênés de s’en aller ?

Source

vendredi, 11 juillet 2014

Les revendications délirantes des dégénérés d’Existrans et autres lobbies « intersexes »

 Publié par Guy Jovelin

 

Le 18 octobre 2014 à Paris, le collectif Existrans a prévu d’organiser une « marche pour les droits des personnes trans’ et intersexes ».

Manifestation groupusculaire et folklorique à ses débuts, cette marche en sera déjà en 2014 à sa… dix-huitième édition !

Mais, puisque la théorie du genre est désormais un sujet de société, le collectif Existrans tentera de donner à l’édition 2014 de cette manifestation une visibilité plus importante que précédemment. Nul doute que, dans le contexte actuel, les médias y collaboreront.

L’an dernier, quelques centaines de personnes avaient participé à cette marche avec des revendications diverses comme « la simplification du changement d’état civil, la démédicalisation et la déjudiciarisation du parcours de transition, la lutte contre la transphobie et la fin des mutilations pour les personnes et les enfants intersexes. » Un discours relativement policé par rapport aux éditions précédentes.

Existrans manifeste pour la première fois en 1997. Ils sont alors à peine une quarantaine de participants.

Existrans se présente comme un collectif d’associations. On y retrouve Act Up, Trans Act, l’Organisation internationale des Intersexués, Bi’Cause, les Panthères Roses,… Homosexualité & Socialisme (HES) participe aussi à ce défilé. Ainsi que le MAG Jeunes LGBT (mouvement d’affirmation des jeunes lesbiennes, gais, bi & trans) dont des militants interviennent depuis l’année 2000 dans les collèges et lycées dans le cadre d’un programme d’intervention en milieu scolaire « contre les LGBTphobies et le sexisme et pour le respect des différences« . Précisons que le MAG Jeunes LGBT reçoit des subventions de la Mairie de Paris, la Région Ile-de-France, l’Union Européenne, l’Office franco-allemand pour la jeunesse ainsi que le Ministère de la jeunesse et des sports.

Dès 2004, ces mouvements parlent de « transphobie ». En 2007, le slogan devient : « QuelLE CandidatE pour la cause trans ? » et traduit le lobbying politique en cours. En 2010, le Conseil de l’Europe adopte une résolution favorable aux « droits des personnes transgenres ».

Ci-dessous, une série de pancartes éditées par les Panthères Roses et distribuées durant la manifestation Existrans de 2008…

Source

Le décret sur le "patriotisme économique" validé par la CE

Publié par Guy Jovelin

Le décret sur le "patriotisme économique" validé par la CE

La Commission européenne a jugé compatible avec les traités européens le décret français imposant aux groupes étrangers d'obtenir l'autorisation de l'Etat pour prendre le contrôle d'entreprises stratégiques françaises, a déclaré jeudi le ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg. Lire la suite